🔴🔴Robert Surcouf le roi des corsaires 🔴🔴

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On peut avoir la meme mais pour jean Bart svp ? Le fameux corsaire qui a vole 40 navires de grains pour donner a manger a Dunkerque

[16:50:00] <KermitGangste21>
On peut avoir la meme mais pour jean Bart svp ? Le fameux corsaire qui a vole 40 navires de grains pour donner a manger a Dunkerque

Après de très nombreuses demande je pense faire jean bart demain si j'ai le temps sinon après demain

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Le 30 juin 2019 à 14:16:55 pass-pass a écrit :
Bordel faut en faire un film

une trilogie

[21:05:02] <EmpereurLarry>

Le 30 juin 2019 à 14:16:55 pass-pass a écrit :
Bordel faut en faire un film

une trilogie

Alors deja mon khey, la moindre des choses c'est de citer ta source.
https://www.youtube.com/user/LeRetourduCajun

Après j'invite tous les Jean-Patriotes à suivre cette merveilleuse chaîne.

D'autres kheyhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490922082-giphy.gif

Hier c'était la date d'anniversaire de sa mort

https://youtu.be/wXqDJdYVZ68 la punchlines de Robert Surcouf dans un film

"Napoléon propose au corsaire Surcouf le commandement des forces navales mais ce dernier refuse qu'on ne lui accorde pas l'indépendance de manœuvre totale qu'il réclame"
Napoléon : "je ferais de vous un homme riche"
Surcouf : "j'ai déjà tout ce qu'il me faut : mon cabinet est tapis de lingots d'or"
Napoléon (offusqué) : Comment ? Mais vous me marchez sur la face !"
Surcouf : "non monsieur je les ai disposé sur la tranche"

« Les Français se battent pour le butin, tandis que les Allemands ne veulent que la gloire. — Oui Monsieur le Comte, nous nous battons chacun afin de conquérir ce qui nous manque. »912

René DUGUAY-TROUIN (1673-1736), Mémoires (posthume, 1740)

Dans son autobiographie, le célèbre corsaire malouin s’attribue cette réplique lancée au comte d’Innsbruck, pendant la guerre de la ligue d’Augsbourg. Fils de marins, capitaine corsaire à 18 ans, il sera anobli par Louis XIV, après de retentissantes victoires (…) La citation sera prêté plus tard à Surcouf, autre marin de Saint-Malo (…)

Un vrai homme