Mangeprout2
2024-08-17 18:55:27
Au clair de lune, dans un coin reculé,
Vivait un être au goût bien singulier,
Qui trouvait plaisir, à l’aube ou au crépuscule,
À des délices étranges, dans un monde incrédule.
Son appétit vorace, nul ne pouvait comprendre,
Des friandises douteuses qu’il aimait engendrer,
C’était un rituel, presque sacré,
Gober les cacas, en rang, sans se faire attendre.
Un festin répugnant, une danse sans fin,
Chaque bouchée avalée, un plaisir malsain,
Il en riait, la bouche pleine, un sourire divin,
Car pour lui, c’était le summum du festin.
Une fois repu, dans une étrange euphorie,
Il s’élançait, sans hésiter, vers un bain interdit,
Une mare scintillante, aux reflets pervertis,
Où le sperme abondant l’accueillait, sans bruit.
Il plongeait alors, dans ce lac singulier,
La peau enveloppée dans ce liquide épais,
Et se laissait couler, tout en entier,
Dans un monde de plaisir, où il trouvait la paix.
Dans cette mare étrange, il flottait, exalté,
Emporté par les vagues d’un désir insensé,
Un bonheur qu’il savourait, le corps enivré,
Dans ce festin obscur, où l’âme était comblée.
Ainsi vivait-il, dans son monde à part,
Un univers de plaisir, sans honte, sans égard,
Où le bizarre devenait un art,
Et où, dans l'obscurité, il trouvait son phare.
Conbinou6
2024-08-27 13:14:44
Le 17 août 2024 à 18:55:27 :
Au clair de lune, dans un coin reculé,
Vivait un être au goût bien singulier,
Qui trouvait plaisir, à l’aube ou au crépuscule,
À des délices étranges, dans un monde incrédule.
Son appétit vorace, nul ne pouvait comprendre,
Des friandises douteuses qu’il aimait engendrer,
C’était un rituel, presque sacré,
Gober les cacas, en rang, sans se faire attendre.
Un festin répugnant, une danse sans fin,
Chaque bouchée avalée, un plaisir malsain,
Il en riait, la bouche pleine, un sourire divin,
Car pour lui, c’était le summum du festin.
Une fois repu, dans une étrange euphorie,
Il s’élançait, sans hésiter, vers un bain interdit,
Une mare scintillante, aux reflets pervertis,
Où le sperme abondant l’accueillait, sans bruit.
Il plongeait alors, dans ce lac singulier,
La peau enveloppée dans ce liquide épais,
Et se laissait couler, tout en entier,
Dans un monde de plaisir, où il trouvait la paix.
Dans cette mare étrange, il flottait, exalté,
Emporté par les vagues d’un désir insensé,
Un bonheur qu’il savourait, le corps enivré,
Dans ce festin obscur, où l’âme était comblée.
Ainsi vivait-il, dans son monde à part,
Un univers de plaisir, sans honte, sans égard,
Où le bizarre devenait un art,
Et où, dans l'obscurité, il trouvait son phare.
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