Ici on ECRIT un poème DE MEMOIRE

Le 10 juin 2023 à 13:50:58 :
Homme libre, toujours tu chériras la mer
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme.
Dans le déroulement infini de sa lame
Et ton esprit n'est pas un gouffre moins amer

Homme libre, toujours tu chériras la mer !
La mer est ton miroir ; tu contemples ton âme
Dans le déroulement infini de sa lame,
Et ton esprit n’est pas un gouffre moins amer.

Sublime nuit, jolie amie
Je suis à toi, ton servant Styx,
Tu luis sur moi, ma belle Nyx,
Je suis en toi, dormons sans bruit.

Demain, dès l'aube, a l'heure où blanchit la campagne,
Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irai pas la forêt, j'irai par la montagne ,
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant,
Quand il miaule on l'entend à peine

Tant son timbre est tendre et discret
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde,
C'est la son charme et son secret

Non, il n'est pas d'archet qui morde
Dans mon coeur parfait instrument
Se retourne docilement
Chanter sa plus vibrante corde

Elle endors les plus cruels mots
Et contient toutes les extases
Pour dire les plus longues phrases
Elle n'a pas besoin de mots

Cette voix qui perle et qui filtre
Dans mon fond le plus ténébreux
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre

Que ta voix chat mystérieux
Chat séraphique, chat étrange
En qui tout est comme en un ange
Aussi subtile qu'harmonieux

II

De se fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux qu'un soir
J'en fus ambaumé pour l'avoir
Caresser une fois, rien qu'une.

C'est bien lui le maître des lieux
Il juge, il préside, il inspire
Toute chose dans son empire;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?

Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même

Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles
Clairs fanaux, vivantes opales
Qui me contemplent, fixement.

Le 10 juin 2023 à 16:14:10 :
Dans ma cervelle se promène,
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant,
Quand il miaule on l'entend à peine

Tant son timbre est tendre et discret
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde,
C'est la son charme et son secret

Non, il n'est pas d'archet qui morde
Dans mon coeur parfait instrument
Se retourne docilement
Chanter sa plus vibrante corde

Elle endors les plus cruels mots
Et contient toutes les extases
Pour dire les plus longues phrases
Elle n'a pas besoin de mots

Cette voix qui perle et qui filtre
Dans mon fond le plus ténébreux
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre

Que ta voix chat mystérieux
Chat séraphique, chat étrange
En qui tout est comme en un ange
Aussi subtile qu'harmonieux

II

De se fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux qu'un soir
J'en fus ambaumé pour l'avoir
Caresser une fois, rien qu'une.

C'est bien lui le maître des lieux
Il juge, il préside, il inspire
Toute chose dans son empire;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?

Quand mes yeux vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même

Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles
Clairs fanaux, vivantes opales
Qui me contemplent, fixement.

Dans ma cervelle se promène
Ainsi qu'en son appartement,
Un beau chat, fort, doux et charmant.
Quand il miaule, on l'entend à peine,

Tant son timbre est tendre et discret ;
Mais que sa voix s'apaise ou gronde,
Elle est toujours riche et profonde.
C'est là son charme et son secret.

Cette voix, qui perle et qui filtre
Dans mon fonds le plus ténébreux,
Me remplit comme un vers nombreux
Et me réjouit comme un philtre.

Elle endort les plus cruels maux
Et contient toutes les extases ;
Pour dire les plus longues phrases,
Elle n'a pas besoin de mots.

Non, il n'est pas d'archet qui morde
Sur mon coeur, parfait instrument,
Et fasse plus royalement
Chanter sa plus vibrante corde,

Que ta voix, chat mystérieux,
Chat séraphique, chat étrange,
En qui tout est, comme en un ange,
Aussi subtil qu'harmonieux !

II

De sa fourrure blonde et brune
Sort un parfum si doux, qu'un soir
J'en fus embaumé, pour l'avoir
Caressée une fois, rien qu'une.

C'est l'esprit familier du lieu ;
Il juge, il préside, il inspire
Toutes choses dans son empire ;
Peut-être est-il fée, est-il dieu ?

Quand mes yeux, vers ce chat que j'aime
Tirés comme par un aimant
Se retournent docilement
Et que je regarde en moi-même

Je vois avec étonnement
Le feu de ses prunelles pâles,
Clairs fanaux, vivantes opales,
Qui me contemplent fixement.

Ah presque...

Elle endort les plus cruels maux

Elle endort les plus cruels mots en effet

Ayaa, j'aime cet exercicehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/21/5/1653651836-full-35-1.png

On peut, sans aboutir à une hâblerie,
faire état d'analphabétisme, bien que tu puisses objecter que tu te fais aproximativement entendre, malgré que tes propos puissent paraître nébuleux en raison des multiples impropriétés qui parsèment tes phrases, mais j'n'ai cure de la clairvoyance, je fais ici référence aux règles basales et irréfragables de la langue française, qui sont le fondement de la déférence envers ses interlocuteurs.https://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/1/1520260980-risitas94.png

Mon enfant, ma soeur, songe à la douceur
D'aller là bas vivre ensemble
Aimer à loisir, aimer et mourir
Au pays qui nous ressemble
Les soleils mouillés, de ces ciels brouillés
Me rappellent les charmes, si mystérieux
De tes traîtres yeux, brillants à travers leurs larmes

Là, tout n'est qu'ordre et beauté,
Luxe calme et volupté

J'ai plus les deux autres strophes

Un peu de merde et de fromage.
Ne sont pas pour effaroucher ma bouche, mon nez et mon courage

Je tente "El Desdichado" de Nerval

Je suis le Ténébreux, le Veuf, l'Inconsolé
Le Prince d'Aquitaine à la Tour abolie
Ma seule étoile est morte, et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie

Sur le ??, toi qui m'a consolé
Donne
???
Le pampre à la ?? s'allie

Suis-je Amour ou Phoebus, Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encore du baiser de la Reine
J'ai pleuré dans la grotte où nage la Sirène

Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéon
Modulant tour à tour sur la lire d'Orphée
Les soupirs de la sainte, les sanglots de la fée

L'original :

Je suis le Ténébreux, - le Veuf, - l’Inconsolé,
Le Prince d’Aquitaine à la Tour abolie :
Ma seule Etoile est morte, - et mon luth constellé
Porte le Soleil noir de la Mélancolie.

Dans la nuit du Tombeau, Toi qui m’as consolé,
Rends-moi le Pausilippe et la mer d’Italie,
La fleur qui plaisait tant à mon coeur désolé,
Et la treille où le Pampre à la Rose s’allie.

Suis-je Amour ou Phébus ?… Lusignan ou Biron ?
Mon front est rouge encor du baiser de la Reine ;
J’ai rêvé dans la Grotte où nage la sirène…

Et j’ai deux fois vainqueur traversé l’Achéron :
Modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée
Les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée.

Je tente ma signature et mon histoire préférée en pleine insomnie

Connais-tu Faust ?
L'docteur lulu ?
Mon serviteur lulu.
Ah ! Lui, vous sert d'une manière étrange.
Le fouyu!! Rien de terrestre il ne boit ni ne mange.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/21/5/1653651836-full-35-1.png
Lui-même sa folie sent à moitié:
Il veut du ciel l'étoile la plus belle,
Et de la terre toute volupté,
Et nulle chose près ou loin fût-elle,
Ne peut calmer ce coeur si agité. ^,..,^

Le 11 juin 2023 à 02:24:27 :
Je crois que c'est bon. ^,..,^

Ah non
Qui sait où va sa tête qui fermente !https://image.noelshack.com/fichiers/2022/21/5/1653651836-full-35-1.png

Demain rendez-vous quinze heures
Tu pourras déguster ma liqueur
Je te rassasierai autant que je peux
Tu suceras délicatement ma queue
Ton trou je remplierai ainsi
Pour te prendre debout ou assis
Sur ton faciès je finirai par juter
16 heures, voilà l'heure du goûter

si c'est en italien ça passe?

Camminiamo una sera sul fianco di un colle
In silenzio
Nell'ombra del tardo crepuscolo mio cugino è un vigante vestito di bianco, che si muove paccato, abbronzato nel volto, taciturno
Tacere, è la nostra virtù
Qualche nostro antenato dev'essere stato ben solo
Un grand uomo tra idioti o un povero folle
Per isegnare ai suoi tanto silenzio

Du poil au cul, des grains de merde pendants,
J'aime sentir le fion des granny dans les calanques
Au fond, la cyprine c'est du citron ,
J'aime mastiquer le cornichon.

O rage, o désespoir, o malheur sans pareil, o vieillesse ennemie
N'ai je donc tant véçu que pour cette infamie
Et ne suis je blanchi dans les travaux guerriers
Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers
Mon bras qu'avec respect toute l'Espagne admire
Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire
Tant de fois affermit le trône de son roi
Trahis donc ma querelle et ne fait rien pour moi?
O glorieux témoin de ma gloire passée
Je sais plus après

Viens mon hirondelle,
Viens dans mon nid, rondelle
Mélangeons nos parfums
Du crépuscule au petit matin,
Unissons nos deux corps
Dans une lutte sonore
Puis tu rentres chez toi comme t'es venue
Dégage de là, t'es qu'un plan cul

Les deux bonnes soeurs

La débauche et la mort sont deux aimables filles
Prodigues de baisers et riches de santé
Dont le flanc toujours vierge et drapé de guenilles
Sous l'éternel labeur n'a jamais enfanté

Au poëte sinistre, ennemi des familles,
Favori de l'enfer, courtisan mal ranté
Tombeaux et lunapars montrent sous leur charmilles
Un lit que le remords n'a jamais fréquenté

Et la bierre et l'alcôve en blasphèmes fécondes
Nous offrent tour à tour, comme deux bonnes soeurs,
De terribles plaisirs et d'affreuses douceurs.

... oublié