Napoliss01
2022-04-01 12:35:26
Le 01 avril 2022 à 12:33:02 :
Les histoires de bonnes femmes du vagabond judéen et de sa clique de chômeurs hébraïques n'ont rien à faire chez nous. C'est le terreau du cosmopolitisme, de la faiblesse, de la paresse et de la petitesse. C'est la religion des modérés dont l'imbécile docilité nous avilit depuis tant de siècles !
Le christianisme, secte subversive créée pour libérer le peuple élu de l'envahisseur romain en détruisant sa morale supérieure est le véritable poison qui maintient l'Europe docile et servile.
Je rêve d'une France enfin débarrassée des folies abrahamiques.
Mes frères Celtes et mes cousins Germains pataugent dans une fange nauséabonde depuis bien trop longtemps.
Avoir vingt ans, être des peuples les plus grandioses de l'histoire et faire le sémite physiquement et moralement : quelle décrépitude et quelle déchéance !
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/50/2/1607386908-enxt.pngpremier inculte, qui a permit aux hommes de travailler avec dignité, avec un salaire ? L'Église, qui au contraire méprise les prolos, esclaves, travailleurs ? L'empire Romain
Chez tous les peuples païens l’esclavage a régné. À Rome, aux plus beaux jours de la république et de l’empire, les citoyens libres étaient peu nombreux, les esclaves innombrables. Sur cent vingt millions d’habitants sous Trajan, on comptait seulement dix millions d’hommes jouissant des droits du citoyen.
On sait ce que les lois et les mœurs avaient fait des esclaves. On les vendait au marché, ils étaient là rangés comme des animaux. Ils étaient regardés comme une marchandise, une valeur, une chose à forme humaine. Ils pouvaient être vendus, loués, battus ou même mis à mort sans que la loi intervint en leur faveur, sauf en des cas très rares. Ils n’avaient pas d’état civil, la famille leur était interdite, les enfants qui naissaient d’eux n’étaient pas à eux, mais au maître. La fuite ne pouvait pas les soustraire à la tyrannie du maître. Repris, ils étaient punis par la mutilation ou la mort.
Ils vivaient entassés chez le maître dans les ergastula, logis infects ; le stylet les punissait de leurs maladresses.
La brillante civilisation de la Grèce n’était pas plus humaine. À Sparte, on fustigeait les ilotes pour qu’ils n’oubliassent pas qu’ils étaient esclaves ; on tuait leurs enfants pour qu’ils ne devinssent pas trop nombreux.
Les humbles travailleurs, ceux qui composaient la plèbe, étaient méprisés à peu près à l’égal de l’esclave.
En somme, le monde ancien haïssait l’ouvrier, le pauvre et le faible. Les prétendus sages eux-mêmes, les philosophes manifestaient leur mépris pour le travail manuel. Sénèque s’est demandé, il est vrai, si les esclaves n’étaient pas des hommes comme nous, mais, en attendant, il en employait vingt mille et il n’en affranchit aucun.
Aristote disait : « Une constitution parfaite n’admettra jamais l’artisan parmi les citoyens. »
Cicéron a dit : « Les gains d’un mercenaire sont indignes d’un homme libre : Le salaire est le prix de la servitude. »
Pour exprimer son mépris pour le peuple de Rome, Cicéron l’appelle « un ramassis d’esclaves, de journaliers, de scélérats et de pauvres ».
Plaute nous décrit le dévergondage grossier auquel se livraient les esclaves, avilis par la situation qui leur était faite.
https://lecatho.fr/histoire/la-contribution-de-leglise-pour-liberer-les-esclaves-dans-lempire-romain/