Le 23 octobre 2021 à 01:37:47 :
Et si c'était les trucs chelous que certains labos ont trouvé au microscope ? https://www.harvardmagazine.com/2011/01/virus-sized-transistors
En parlant de ceci, cela m'a fait remonter un souvenir
Un topic a tourné sur le 18-25, on voyait un article de 2013 parlant d'un truc louche qui se passait dans le labo P4 à Wuhan. Si un khey voit de quoi je parle, pourrais-tu m'aider?
Le 23 octobre 2021 à 01:38:09 :
Le 23 octobre 2021 à 01:35:05 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png A la limite c'est une sous-question, là n'est pas l'essentiel, mais effectivement quand on creuse (Event 201, Davos & co..) on peut trouver les preuves d'une volonté. Mais là encore ça n'est pas l'essentiel. Les apprentis-sorciers qui se sont dit qu'ils allaient confiner et masquer les nations pour calmer l'économie sont eux-même précédés par la ruse de la raison marchande
Moi je trouve cela important, puisque nous serions bien plus au courant et net sur les théories
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Peux-tu développer la fin kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Oui effectivement car si la raison marchande se sert de la bande d'enc*lés dont je viens de parler ça ne les déresponsabilise pas. Comme disait l'autre chaque problème a un nom et un prénom et si Dieu le veut le veut le tribunal de l'humanité se chargera d'eux
Le 23 octobre 2021 à 01:39:20 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png C'est pas le covid qui est important dans l'histoire, c'est le vaccin. Le covid, qu'il soit accidentel, volontaire, ou inexistant, n'a aucune légitimité pour justifier tout ce qui a été fait contre lui et contre nous. Même en se basant sur les pires chiffres officiels.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/31/5/1501864897-risitas-doomguy-v2.png
Tout à fait d'accord, mais si c'est volontaire, alors tout est déjà écrit
Ah oui, autre souvenir, là UNE du journal The Economist en 2018
Troublant aussi
Le 23 octobre 2021 à 01:39:20 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png C'est pas le covid qui est important dans l'histoire, c'est le vaccin. Le covid, qu'il soit accidentel, volontaire, ou inexistant, n'a aucune légitimité pour justifier tout ce qui a été fait contre lui et contre nous. Même en se basant sur les pires chiffres officiels.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/31/5/1501864897-risitas-doomguy-v2.png
Ceci mon khey, le covidisme est une tentative de l'économie capitaliste de se survivre à elle-même
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!
Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.
Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Le 23 octobre 2021 à 01:40:40 :
Le 23 octobre 2021 à 01:38:09 :
Le 23 octobre 2021 à 01:35:05 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png A la limite c'est une sous-question, là n'est pas l'essentiel, mais effectivement quand on creuse (Event 201, Davos & co..) on peut trouver les preuves d'une volonté. Mais là encore ça n'est pas l'essentiel. Les apprentis-sorciers qui se sont dit qu'ils allaient confiner et masquer les nations pour calmer l'économie sont eux-même précédés par la ruse de la raison marchande
Moi je trouve cela important, puisque nous serions bien plus au courant et net sur les théories
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Peux-tu développer la fin kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png Oui effectivement car si la raison marchande se sert de la bande d'enc*lés dont je viens de parler ça ne les déresponsabilise pas. Comme disait l'autre chaque problème a un nom et un prénom et si Dieu le veut le veut le tribunal de l'humanité se chargera d'eux
Ca me donnerai presque envie d'être croyant
Surtout quand je me suis informé du Kali Yuga
Le 23 octobre 2021 à 01:42:01 :
Le 23 octobre 2021 à 01:40:40 :
Le 23 octobre 2021 à 01:38:09 :
Le 23 octobre 2021 à 01:35:05 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png A la limite c'est une sous-question, là n'est pas l'essentiel, mais effectivement quand on creuse (Event 201, Davos & co..) on peut trouver les preuves d'une volonté. Mais là encore ça n'est pas l'essentiel. Les apprentis-sorciers qui se sont dit qu'ils allaient confiner et masquer les nations pour calmer l'économie sont eux-même précédés par la ruse de la raison marchande
Moi je trouve cela important, puisque nous serions bien plus au courant et net sur les théories
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Peux-tu développer la fin kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png Oui effectivement car si la raison marchande se sert de la bande d'enc*lés dont je viens de parler ça ne les déresponsabilise pas. Comme disait l'autre chaque problème a un nom et un prénom et si Dieu le veut le veut le tribunal de l'humanité se chargera d'eux
Ca me donnerai presque envie d'être croyant
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464218-1469971029-risitas233.png
Surtout quand je me suis informé du Kali Yugahttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
Tout viendra de nous, Dieu est métaphysiquement en nous à nous de savoir le reconnaître dans la pratique du Logos
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Oulah le pavé
Le 23 octobre 2021 à 01:44:57 :
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Oulah le pavé
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
Le 23 octobre 2021 à 01:44:47 :
Le 23 octobre 2021 à 01:42:01 :
Le 23 octobre 2021 à 01:40:40 :
Le 23 octobre 2021 à 01:38:09 :
Le 23 octobre 2021 à 01:35:05 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png A la limite c'est une sous-question, là n'est pas l'essentiel, mais effectivement quand on creuse (Event 201, Davos & co..) on peut trouver les preuves d'une volonté. Mais là encore ça n'est pas l'essentiel. Les apprentis-sorciers qui se sont dit qu'ils allaient confiner et masquer les nations pour calmer l'économie sont eux-même précédés par la ruse de la raison marchande
Moi je trouve cela important, puisque nous serions bien plus au courant et net sur les théories
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Peux-tu développer la fin kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png Oui effectivement car si la raison marchande se sert de la bande d'enc*lés dont je viens de parler ça ne les déresponsabilise pas. Comme disait l'autre chaque problème a un nom et un prénom et si Dieu le veut le veut le tribunal de l'humanité se chargera d'eux
Ca me donnerai presque envie d'être croyant
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464218-1469971029-risitas233.png
Surtout quand je me suis informé du Kali Yugahttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg Tout viendra de nous, Dieu est métaphysiquement en nous à nous de savoir le reconnaître dans la pratique du Logos
Aussi ai-je lu comme quoi le jour où un batiment fera de l'ombre à la Mecque, cela annoncera la fin du monde. O peut le voir avec la nouvelle tour en construction.
Chez les catho, orthodoxe etc je ne sais pas comment est interpreter la fin du monde/l'époque maudite. Mais cela m'intéresse
Le 23 octobre 2021 à 01:46:38 :
Le 23 octobre 2021 à 01:44:57 :
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Oulah le pavé
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/3/1606269671-ronaldofumette.png
J'ai lu qu'une partie khey
Tu as vraiment prit ton temps pour écrire cela? Un vocaroo aurairt été mieux
Le 23 octobre 2021 à 01:44:47 :
Le 23 octobre 2021 à 01:42:01 :
Le 23 octobre 2021 à 01:40:40 :
Le 23 octobre 2021 à 01:38:09 :
Le 23 octobre 2021 à 01:35:05 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png A la limite c'est une sous-question, là n'est pas l'essentiel, mais effectivement quand on creuse (Event 201, Davos & co..) on peut trouver les preuves d'une volonté. Mais là encore ça n'est pas l'essentiel. Les apprentis-sorciers qui se sont dit qu'ils allaient confiner et masquer les nations pour calmer l'économie sont eux-même précédés par la ruse de la raison marchande
Moi je trouve cela important, puisque nous serions bien plus au courant et net sur les théories
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png
Peux-tu développer la fin kheyouhttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562239907-trump-kim-sans-fond.png Oui effectivement car si la raison marchande se sert de la bande d'enc*lés dont je viens de parler ça ne les déresponsabilise pas. Comme disait l'autre chaque problème a un nom et un prénom et si Dieu le veut le veut le tribunal de l'humanité se chargera d'eux
Ca me donnerai presque envie d'être croyant
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480464218-1469971029-risitas233.png
Surtout quand je me suis informé du Kali Yugahttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg Tout viendra de nous, Dieu est métaphysiquement en nous à nous de savoir le reconnaître dans la pratique du Logos
+ c'est ce qu'ils disent aussi. Nous reflètons Dieu. Un truc du style
Le 23 octobre 2021 à 01:47:29 :
Le 23 octobre 2021 à 01:46:38 :
Le 23 octobre 2021 à 01:44:57 :
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Oulah le pavé
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/3/1606269671-ronaldofumette.png J'ai lu qu'une partie khey
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
Tu as vraiment prit ton temps pour écrire cela? Un vocaroo aurairt été mieux
Le 23 octobre 2021 à 01:48:47 :
Le 23 octobre 2021 à 01:47:29 :
Le 23 octobre 2021 à 01:46:38 :
Le 23 octobre 2021 à 01:44:57 :
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.Oulah le pavé
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/48/3/1606269671-ronaldofumette.png J'ai lu qu'une partie khey
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/46/6/1573902740-kalicron.jpg
Tu as vraiment prit ton temps pour écrire cela? Un vocaroo aurairt été mieux
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/51/5/1608307164-ronaldo-main-gonflee.png
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
j'ai enregistré merci
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Meilleur pavé sur le COVID que j’ai eu à lire jusqu’ici
Le 23 octobre 2021 à 01:41:45 :
Le 23 octobre 2021 à 01:39:20 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png C'est pas le covid qui est important dans l'histoire, c'est le vaccin. Le covid, qu'il soit accidentel, volontaire, ou inexistant, n'a aucune légitimité pour justifier tout ce qui a été fait contre lui et contre nous. Même en se basant sur les pires chiffres officiels.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/31/5/1501864897-risitas-doomguy-v2.png Ceci mon khey, le covidisme est une tentative de l'économie capitaliste de se survivre à elle-même
Je pense que cette crise était prévue plus tôt, mais qu'il y a du retard et des ratés qui ont ralenti le plan global. La grippe A, qui n'a pas pris dans les esprits des gens, ressemble fort à une première tentative. Les réseaux sociaux n'existaient pas à l'époque, la télé s'est avérée un moyen insuffisant pour capter l'attention des golems et les faire paniquer. La propagande n'était pas assez puissante.
Aussitôt après, ils ont mis le paquet : explosion des réseaux sociaux et des smartphones, tout le monde a rapidement sa "télé" de poche qui fourni de la propagande h24. Mais ils sont en retard, ils ont du faire vite. C'est pourquoi la menace du covid complètement foireuse a été bâclée. Mais ils n'ont plus le choix, ils sont apparemment pressés, ils doivent faire avec. C'est une course contre la montre. Si nous résistons suffisamment longtemps, leur plan peut foirer. Ils paniquent et font connerie sur connerie.
Voici une preuve que le 18-25 n'est pas que des boucleurs et un repère à fachosphère
Mais bien un endroit où nous pouvons parler de manière constructif, et avec bien plus d'arguments rationnel que les journaleux
Le 23 octobre 2021 à 01:53:58 :
Le 23 octobre 2021 à 01:41:45 :
Le 23 octobre 2021 à 01:39:20 :
Le 23 octobre 2021 à 01:31:56 :
Le 23 octobre 2021 à 01:30:50 :
Une sous-grippe instrumentalisée pour justifier l'avènement d'un ordre mondial, lui même inspiré par l'évolution de la raison marchande qui prend conscience de sa fragilité intrinsèque et qui pour se purger de ses vicissitudes (baisse tendancielle du taux de profit, taux d'intérêts négatifs, surproduction, péril écologique) a besoin de mettre en friche périodiquement l'économie.. avant c'était la guerre mais dialectique oblige aujourd'hui c'est la tyrannie sanitaire et demain la tyrannie écologiste.Voilà c'est aussi simple que ça en vérité
Du coup, Covid accidentelle (prétexte) ou crée et laché volontairement
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/1/1595873511-zinzin.png C'est pas le covid qui est important dans l'histoire, c'est le vaccin. Le covid, qu'il soit accidentel, volontaire, ou inexistant, n'a aucune légitimité pour justifier tout ce qui a été fait contre lui et contre nous. Même en se basant sur les pires chiffres officiels.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/31/5/1501864897-risitas-doomguy-v2.png Ceci mon khey, le covidisme est une tentative de l'économie capitaliste de se survivre à elle-même
Je pense que cette crise était prévue plus tôt, mais qu'il y a du retard et des ratés qui ont ralenti le plan global. La grippe A, qui n'a pas pris dans les esprits des gens, ressemble fort à une première tentative. Les réseaux sociaux n'existaient pas à l'époque, la télé s'est avérée un moyen insuffisant pour capter l'attention des golems et les faire paniquer. La propagande n'était pas assez puissante.
Aussitôt après, ils ont mis le paquet : explosion des réseaux sociaux, tout le monde à sa "télé" de poche qui fourni de la propagande h24. Mais ils sont en retard, ils ont du faire vite. C'est pourquoi la menace du covid complètement foireuse a été bâclée. Mais ils n'ont plus le choix, ils sont apparemment pressés, ils doivent faire avec. C'est une course contre la montre. Si nous résistons suffisamment longtemps, leur plan peut foirer. Ils paniquent et font connerie sur connerie.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/31/5/1501864897-risitas-doomguy-v2.png
Ce qui est drôle c'est que le pays dont il est originaire est toujours le même
Le 23 octobre 2021 à 01:41:48 :
Pour couper court aux fausses divisions vax/ antivax, complotix et golem, qui de la poule ou l’oeuf, je vous livre ici une synthèse des origines et enjeux futurs de la crise présente. A partager, augmenter, affiner, contredire comme chacun le souhaite.
Il s’agit d’un état des lieux et d’une mise en perspective se basant sur la situation géopolitique, économique et sociologique. Le pavé en dissuadera qquns, mais il ne peut en être autrement si l’on veut prendre un peu de hauteur. C'est dit!Nous commençons à avoir assez de recul pour mettre en perspective et mieux comprendre la crise présente du covid.
Il faut d’abord brosser l’arrière plan géopolitique de ces dernières années : Echecs successifs de l’Occident au Moyen-Orient et à la périphérie eurasiatique avec un retour inattendu de la Russie (en Syrie notamment), création de nouvelles routes de la soie, dédollarisation progressive du monde (Pétroyuan) visant notamment à se débarrasser de la fatigante extra-territorialité du droit US, et des conséquences des sanctions sur les pays non-alignés…
L’endiguement de la Russie a produit un volte-face de celle-ci vers la Chine. Russie qui n’espère plus rien des européens et dont le discours officiel se positionne aujourd’hui clairement dans une rupture civilisationnelle avec un Occident qu’elle juge fou.
De plus, la stratégie US des « regime change » menée dans la 1ère décennie des années 2000 semble au point mort. Avec le développement de nouvelles armes stratégiques très performantes dévoilées par les armées Russes et Iraniennes ( S-400 Russe ou Khordad-3) face à un bouclier antimissile patriot qui s’est révélé inefficace, depuis 2015 (notamment lors de l’intervenions Russe en Syrie) l’hégémonie occidentale à opéré un repli stratégique, la guerre avec l’Orient devenue impossible. Ceci a résulté d’abord par des abus spéculatifs via la titrisation à outrance des produits financiers. Abus favorisés dès les années 90 avec la politique de libéralisation des capitaux et des taux de change. Ce phénomène a eu pour résultat en 2008 la crise des surprimes et la destruction de la confiance entre les banques. Celles-ci ont alors mis en place des politiques de taux d’intérêt bas et négatifs, afin de lutter contre la déflation causée par la décroissance démographique des boomers.
Dans ce contexte, l’espace euro-atlantiste s’est replié sur son propre marché intérieur. Ici 3 secteurs clé :
industrie du numérique, énergies renouvelables, et l’énorme marché du soin qui émerge de ses populations vieillissantes.Le programme de « Great reset » annoncé à Davos ne se cache pas d’instrumentaliser la crise sanitaire pour forcer le passage au tout numérique, au télétravail, à la télésanté, au développement de l’IA dans une logique de contrôle, et le tout, perçu à l’horizon d’une crise écologique.
La médiation est importante ici pour comprendre la relation entre base matérielle et son chapeautage idéologique nécessaire : celui d’un humain à l’activité destructrice de la nature, devenu espèce nuisible dans cette nature, et potentiellement surnuméraire. La virtualisation quasi intégrale de l’activité économique du secteur tertiaire est donc ainsi "justifiée écologiquement". Il s’agit de faire accepter 1/ la baisse générale du niveau de vie 2/ la disparition d’une large partie des couches moyennes 3/ contenir et gérer ces inactifs futurs via un revenu universel et créer la possibilité de gestion de leur santé comme ressource à profit.
Un mixte idéologique entre positivisme radical des plus riches (religion « transhumaniste » et son délire d’immortalité), écologisme et techno-scientisme (IA, contrôle) donne le fond dans lequel s’opèrent dorénavant des réformes systémiques puissantes.
Ici, le terreau propice était celui d’une génération vieillissante, les boomers, qui ont jouit des 30 glorieuses, de l’idéologie du désir et de la consommation. Génération qui aura le mieux profité du système, avec de bonnes retraites, et à présent proche de la mort, sans réel rapport philosophique ou spirituel à celle-ci (contrairement à leur parents qui avaient connu la guerre). Cette typologie psychologique produit une génération qui a peur de mourir.
Elle fut donc le levier idéal pour le « choc pandémique » qui permettrait le coup de pouce nécessaire à un dépassement du capitalisme dans sa crise présente et fatale (crise des débouchés, baisse tendancielle du taux de profit). Dans un système en développement maximal et sans antagonisme, surgit la crise inhérente à ses contradictions internes. Pour surmonter cette crise, il lui reste à investir le dernier secteur non encore vampirisé par le marché : celui des corps. Essor des biotechnologies et gestion d’un cheptel qu’il est nécessaire de conformer préalablement à ce futur marché : en le constituant juridiquement comme potentiel malade (rôle du pass sanitaire, identité numérique). C’est donc ici l’occasion d’une gigantesque réforme de privatisation à venir de la Santé, où santé et maladie deviendront les contours d’une nouvelle identité. Cycle maladie-rémission, abondance-austérité, saisonnalité basée sur une naturalisation achevée du capital et des échanges, marchandisation totale du vivant et sa péremption à terme en tant qu’objet comme un autre.
Ici enfin il faut se demander, au-delà des débats sapés sur les thérapies précoces, l’innocuité ou le danger des vaccins ... à quoi peut bien servir une campagne de vaccination massive si 99,9% des gens atteints du covid guérissent spontanément ? Il s’agit donc bien d’un coup de pouce, d’une stratégie du choc pour créer les conditions réelles du nouveau marché bio-sanitaire. Que le système ait profité d’une pandémie, qu’il l’ai amplifié ou même produite sciemment est secondaire, et nous perd en conjectures vaines.
La première séquence de cette crise début 2020 a révélé ici l’état de délabrement avancé de l’hôpital public, sous les coups de boutoirs des réformes libérales. C’est uniquement cette situation qui explique les confinements successifs, et non la gravité intrinsèque du covid. Le système produit les causes du problème qu’il veut ensuite résorber, en logique de vase clos. De la même façon, la privatisation de la santé et des corps sera sa réponse au terrain de délabrement qu’il a lui-même produit. C’est ce qu’il faut entendre par le nouveau sésame du champ social, «l’inclusif », autre nom de l’hétéronomie des sujets, dans une logique totalisante qui va par crans d’inclusion successives, et qui ne peut dépasser ses crises que par des crises plus grandes. Discours d’inclusion des corps qui va paradoxalement croissant avec l’exclusion en acte et l’atomisation des individus.
Il faut comprendre que la crise sanitaire est une instrumentalisation qui sert à camoufler la crise économique systémique, au bord de l’explosion depuis 2008. Les quantitative easing et la politique des taux d’intérêt négatifs ont servi à maintenir artificiellement à la hausse les marchés financiers et les bourses. Mais cela ne pouvait plus durer. De même ce que nous vivons actuellement est la mise en place de cet après-explosion, afin de permettre aux oligarchies de garder la mainmise sur les banques centrales et les politiques de contrôle monétaire.
Perspectives...
Les mouvement sociaux récents ont révélé une nouveauté, imprévue et très difficilement récupérable par les discours dominants de clivage et division : les enjeux ressentis (privatisation de la vie, liberté, atteinte aux enfants) sont tels que nous avons vu ces derniers jours des profils de tout horizon défiler côte à côte : de la gauche à la droite, libéraux, croyants, modérés, libertaires, anars, gilets jaunes, apolitiques, personnel soignant et mères de famille .... Cela nous dit la hauteur de ce qui se joue maintenant, ressenti profondément, comme une problématique eschatologique.
On ne voit en l’état que 3 issues, sachant que tout est absolument imprévisible.
1/ La 1ère et la plus souhaitable serait un soulèvement massif conduisant à une révolution : si cela se produisait en France, le phénomène s’étendrait très sûrement à d’autres pays européens (Italie d’abord, Allemagne ensuite...). Pour cela, un jalon n’est pas encore franchi, qui est l’acceptation de perdre beaucoup, y compris au risque de sa vie (cette attitude est possible si prise de conscience que le processus en cours nous fera, effectivement et plus sûrement, TOUT perdre). Il lui faut aussi une avant-garde organisée et prête à prendre le pouvoir.
2/ La seconde est la réussite (doucement, par recul concessions et avancées successives des gouvernements) de ce nouvel ordre bio-capitaliste. C’est la fin de l’Homme tel qu’on l’a connu jusqu’à présent. Elle est possible par le maintien d’une division interne des populations, par effet mimétique (vax vs antivax, délation, intériorisation pour une partie de la population du narratif sanitaire...) Mais cette séquence historique continue à faire coexister des blocs inégaux au niveau mondial, et concernerait en premier chef les pays occidentaux. On y retrouvera des antagonismes externes (Occident vs Eurasie) avec une poussée du réel géopolitique qui se maintiendrait comme lors de la guerre froide, mais non nécessaire à la tenue d’un corps social biopolitique occidental. Pour cela la triple crise (écologique, terroriste et sanitaire) peut être réemployée et modulée à loisir. Ici il faut bien comprendre que la gestion numérique du corps social qui est nécessaire à cette gouvernance, est fragile : trop sensible aux catastrophes ou variations naturelles, et très vulnérable en cas de conflit militaire. Sans liens électroniques pour faire les transactions numériques, alors les simples échanges de base afférents à la survie des individus et de la société sont détruits. Ce pourquoi cette perspective n’est pas durable. Pour accomplir cette post-humanité rénovée, il faudrait un monde unis (au moins sur les principes essentiels) sans antagonisme.
3/ La guerre conventionnelle de l’occident contre l’Eurasie (Chine et/ ou Russie), qui effacerait instantanément la séquence sanitaire et biopolitique en cours. Elle est toujours un horizon possible.
Waow. Qui a écrit ça ? Excellent esprit d'analyse et de synthèse.