Patrck16Bateman
2021-05-22 21:51:43
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Et faut pas croire que les femmes sont des êtres dénués de volonté et juste là pour vous servir
Elles sont pas à votre disposition, si vous voulez avoir un contrôle total sur vos partenaires sexuels achetez-vous une fuckdoll
Tu sais parfois chez un petit groupe d'hommes, la redpill est une nécessité, tu en fais partie.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/5/1616175044-poutinehitman.png
Bah c'est plus toi qui en a besoin
Elles aiment baiser elles aussi, après t'as le droit de vouloir une vierge, mais les femmes resteront pas vierges pour tes beaux yeux
Non pas pour tes beaux yeux mais pour tes ressources et la situation que tu leur offre.
Ta redpill de la femme libérée en toutes circonstances est réservé à la caste moyenne.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/5/1616175044-poutinehitman.png
Les redpills ne sont pas les mêmes pour tous.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/5/1616175044-poutinehitman.png
C'est vrai que beaucoup de femmes se disent "Ah je vais me préserver, au cas où j'épouse PauloVil"
Elles exigent toutes des princes charmants.
Sans jamais avoir ni l'élégance ni la vertu d'une princesse.
Tu crois que Cendrillon s'est fait gang bang par 18 mecs sur Tinder dans l'histoire originale ou pas ?
Et après ca veut se marier en blanc
Bah là c'est pareil, on a des mecs au RSA qui foutent rien de leur vie et qui se branlent sur du shemale, qui vont exiger une femme tradi vierge 9/10
Tu es conscient que toutes les caractéristiques de cassos que tu évoques (a juste titre) sont un pur produit de la société moderne et que rien de tout ça n'existait en 1950 ?
C'est la société qui est dégénérée, et mon pavé sur ce topic en atteste.
Ça ne tient qu'à eux de changer, c'est dur, mais faut pas exiger l'impossible
Moi je suis un mec à l'ancienne tu vois, je bosse, j'ai un bon job, je suis cultivé, je parle 4 langues.
Et je veux pas épouser une serpillière à foutre.
Bah tu fais ce que tu veux, après si t'es le haut du panier y'a rien d'hypocrite à exiger le haut du panier, mais de toute évidence t'es pas le genre de gars visé par mon analogie
Oui je suis un conservateur de droite, et je hais la société occidentale moderne, pour les raisons évoquées dans mon pavé en page 3 de ce topic. Tu m'as pas l'air d'être un c0n non plus, alors je t'invite à le lire, tu comprendras mieux ma position
Moi ce qui me gène surtout sur ce topic, c'est qu'il y a beaucoup de kheys qui ne saisissent pas que la recherche de pureté chez la femme est un instinct très prégnant chez l'homme, et tout aussi naturel et normal que celui de la femme qui recherche un mâle dominant.
Une bonne fois pour toutes, hommes et femmes ont une stratégie de reproduction différente.
Les deux sexes ont une stratégie de reproduction et de choix du partenaire, elle-meme guidée par l'interêt supérieur de l'espèce et sa survie. Et comme chez bon nombre d'espèces de mammifères le role des femelles est de trier les mâles et de n'offrir leurs faveurs sexuelles qu'aux plus dominants, afin de garantir les meilleurs gènes aux générations suivantes. Elles sont instinctivement attirées vers ces caractères dominants et délaissent les autres, parce que c'est leur boulot.
Un homme de son côté a une stratégie différente, il n'a aucun contrôle sur la gestation et prendre pour femme la sal*pe du village, c'est prendre le risque de sacrifier son temps, son énergie et ses ressources à faire prospérer les gènes d'un autre, ce qui est évidemment un mauvais calcul sur le plan évolutionniste. Aucune femme à travers l'histoire de l'humanité ne s'est jamais demandé si l'enfant qui sortait de son ventre était bien le sien. En revanche des hommes qui ont élevé à leur insu les enfants d'un autre il y en a eu des millions, et c'est à ce titre que cette pression sociale qui existe sur les femmes (principalement exercée par les autres femmes d'ailleurs...) quant a leur vertu est non seulement totalement naturelle, mais en plus tout à fait souhaitable pour le bien de l'espèce et la stabilité d'une société. Une femme qui déroge a son rôle de trieuse est un élément corrompu aux yeux des autres femmes et un danger pour la stabilité du clan, et par extension de la société toute entière, parce qu'elle fait prendre le risque à toute la communauté de pérenniser des gènes défaillants.
Il est donc normal que le critère du passé sexuel soit au premier plan pour un homme lorsqu'il doit choisir celle avec qui il s'investira à tous les sens du terme, comme il est normal que les femmes choisissent les hommes ayant les meilleurs gènes et la meilleure position sociale.
La nature surdétermine nos comportements sociaux, et ses lois sont universelles partout sur la planète, en de dépit de la culture locale.
Une gonzesse qui se faisait tringler par tout le village en 500 avant JC etait deja une biatch et personne n'en voulait pour épouse parce qu'elle avait failli à remplir son devoir de femelle, celui de filtrer, de selectionner, et ca n'avait rien à voir avec le puritanisme religieux, c'est un instinct profondément ancré.
Par ailleurs je fais remarquer que les plus dures au niveau du slu-t shaming sont les femmes elles-memes, et se sont globalement les seules à êtres médisantes et à vouloir exclure la dite salope de la communauté, parce qu'elle représente une menace pour elles d'une part, et parce qu'elle fait mécaniquement baisser la valeur d'échange de leur propre c*l, en offrant aux hommes du sexe sans aucune contrepartie.
Les hommes eux, à l'exception de quelques blagues potaches n'ont pas d'animosité particulière à l'egard de la sal*pe du quartier, bien trop heureux d'avoir l'opportunité de se vider les c*uilles à moindre frais.
Pour ce qui concerne les mœurs sexuelles :
Notre civilisation n'en est plus une depuis le jour ou elle a tué le père, renversé le patriarcat, et détruit la famille traditionnelle par le gauchisme libertaire.
Les anciens avaient bien compris la nature humaine et les dynamiques du rapport homme-femme, et avaient tous sans exception mis en place des systèmes de contraintes sociales, morales et religieuses puissantes qui ne sont rien d'autre que ce qu'on appelle le patriarcat ou tout du moins des composantes essentielles de ce dernier. Les sociétés matriarcales ne sont à l'échelle de l'humanité qu'un mode de fonctionnement anecdotique, n'ayant produit que des micro-sociétés faibles et vulnérables. Le patriarcat en revanche, en canalisant les pulsions sexuelles et les passions des individus selon un modèle conforme à leur nature, -nature et culture étant inextricablement liées- a permis l'émergence de sociétés complexes pacifiées et pérennes.
Le temps et l'énergie que les hommes mariés jeunes ne consacraient plus à se battre et à courir derrière les femmes pour copuler était mis à profit pour inventer, découvrir, conquérir. Aucune civilisation ou un peuple ne peut subsister sans mettre en place un tel système, la primauté en fait et en droit de l'homme, la figure du patriarche étant consubstantielle à la naissance, à la grandeur et à la survie d'une civilisation ou d'un peuple quel qu'il soit.
Joseph Daniel Unwin, éminent anthropologue ethnologue de l'université d'Oxford et de Cambridge edite à ce sujet en 1934 un travail colossal et un ouvrage majeur dans lequel il passe au crible 5000 ans d'Histoire, 80 tribus primitives et 6 civilisations, il démontre une corrélation systématique entre leur effondrement ou leur disparition et la libéralisation des mœurs. Pour faire simple, lorsqu'une société quelconque atteinte un niveau de puissance de prospérité élevé, elle a tendance à abandonner peu à peu la morale sexuelle, morale sexuelle qui était pourtant aux origines de cette prospérité de cette grandeur, puisque constitutifs de sa cellule de base, la famille. L'émancipation de la femme, qui consiste dans le simple fait d'accorder aux femmes des droits au moins égaux à ceux des hommes aboutit invariablement a une décadence telle que la société en perd sa cohésion, sa substance et son but. Passée une période de décadence plus ou moins longue consistant en une dépravation progressive des mentalités, elle meurt, remplacée par une société patriarcale effective et solide. Moins réjouissant encore pour Unwin toujours cet effondrement est irrévocable, l'affaiblissement du patriarcat signe l'arrêt de mort de la civilisation irrémédiablement, invariablement.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/J._D._Unwin
https://www.goodreads.com/book/show/15707651-sex-and-culture
Je cite Aldous Huxley à son sujet :
Sex and Culture est une thèse de la plus haute importance. Les conclusions d'Unwin, qui reposent sur une quantité inimaginables et de fait, peuvent se résumer de la façon suivante. Toutes les sociétés humaines humaines appartiennent à l'une des catégorie suivantes : animiste, phallocrate, déiste, rationaliste, impérialiste, productiviste. Parmi celles-ci, les sociétés animistes sont celles qui ont réalisé le moins d'accomplissements culturels et scientifiques et d'«énergie sociale», les sociétés productivistes le plus. Son enquête nous révèle que les sociétés avec le moins d'énergie sociale (et donc d'accomplissements civilisationnels) sont celles où la chasteté avant une union conjointe (mariage par exemple) n'est pas imposée et où les opportunités sexuelles et de libertinage sont les plus grandes. La grandeur d'une civilisation et sa production culturelle semble intrinsèquement liée à la chasteté pré-nuptiale et le conservatisme sexuel qu'elle impose à ses membres. »
Toujours selon Unwin, quand une nation est prospère et puissante elle a tendance à se «gauchiser», se libertariser et lâche beaucoup de lest quant aux mœurs sexuelles. Il en résulte une déconstruction globale de la société qui finit par s'effondrer, ainsi que sa production culturelle et scientifique. L'auteur n'a pas trouvé un seul exemple à travers l'histoire de société qui s'est libéralisée sexuellement et qui a continué à perdurer en tant que puissance et grande civilisation.