[SONDAGE] Pour ou contre l'avortement ?
RisitasFantome
2021-05-05 16:34:40
contre mais avec des exeptions précises du type : viole, risque pour la santé de la mère/ de l'enfant etc
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:35:10
Le 05 mai 2021 à 16:30:48 :
Le 05 mai 2021 à 16:23:58 :
On célèbre la liberté sexuelle des femmes ce qui induit la célébration de la mort des enfants, on se sent progressistes
Ce qui me sidère c'est cette prétention à se croire meilleur qui les anime et les pousse à agir ainsi.
Ils sont prêt à sacrifier des enfants pour leur culte
Ca me rappelle je-ne-sais-plus quel penseur 68ard insultaient les jeunes qui se plaignaient du COVID car eux avaient connu le SIDA et sa psychose, alors qu'ils voulaient vivre la totale libération sexuellehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/1/1535326966-sans-titre-1-copie.png
On se plaint d'un phénomène dont on est largement la cause et le vecteur, et on le compare à quelque chose qui n'est pas comparable ahihttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/35/1/1535326966-sans-titre-1-copie.png
C'est fou leur obsession pour tremper le biscuit. On dirait des puceaux
SunDew
2021-05-05 16:35:34
Par contre c'est une question sémantique, mais personne n'est "pour" l'avortement c'est évident, on peut juste être pour la légalisation de l'avortement.
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:36:10
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
Amine_DRX
2021-05-05 16:36:25
Je trouve qu'une femme peut avorter seulement en cas de viol ou si le préservatif a lâcher, car la elle ne l'a pas choisit, mais si elle était consentante je trouve que non elle n'a pas le droit, tu a coucher de maniere consentit et non-protégé, assume.
SunDew
2021-05-05 16:36:49
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
GonAD
2021-05-05 16:36:53
À propos de l'usage idéologie du concept d'humanité, pour exclure l'autre et l'exterminer :
« Il y a là, semble-t-il, un procédé de justification des guerres particulièrement fécond de nos jours. Dans ce cas, les guerres se déroulent, chacune à son tour, sous forme de toute dernière des guerres que se livre l’humanité. Des guerres de ce type se distinguent fatalement par leur violence et leur inhumanité, pour la raison que, transcendant le politique, il est nécessaire qu’elles discréditent l’ennemi dans les catégories morales et autres pour en faire un monstre inhumain, qu’il ne suffit pas de repousser, mais qui doit être anéanti définitivement au lieu d’être simplement cet ennemi qu’il faut remettre à sa place, reconduire à l’intérieur de ses frontières. [...]
L’humanité en tant que telle ne peut pas faire la guerre, car elle n’a pas d’ennemi, du moins sur cette planète. Le concept d’humanité exclut le concept d’ennemi parce que l’ennemi lui-même ne laisse pas d’être un homme et qu’il n’y a là aucune distinction spécifique. Le fait que certaines guerres soient menées au nom de l’humanité ne constitue par une réfutation de cette vérité simple, mais seulement un renforcement de la signification politique. Quand un État combat son ennemi politique au nom de l’humanité, ce n’est pas une guerre de l’humanité mais bien plutôt une de celles où un État donné affrontant l’adversaire cherche à accaparer un concept universel pour s’identifier à celui-ci (aux dépens de l’adversaire), comme on abuse d’autre part de la paix, de la justice, du progrès et de la civilisation en les revendiquant pour soi tout en les déniant à l’ennemi. Le concept d’humanité est un instrument idéologique particulièrement utile aux expansions impérialistes, et sous sa forme éthique et humanitaire, il est un véhicule de l’impérialisme économique. On peut appliquer à ce cas, avec la modification qui s’impose, un mot de Proudhon : “Qui dit humanité veut tromper.” Étant donné qu’un nom aussi sublime entraîne certaines conséquences pour celui qui le porte, le fait de s’attribuer ce nom d’humanité, de l’invoquer et de le monopoliser, ne saurait que manifester une prétention effrayante à faire refuser à l’ennemi sa qualité d’être humain, à le faire déclarer hors la loi et hors l’humanité et partant à pousser la guerre jusqu’aux limites extrêmes de l’inhumain. »
— Carl Schmitt, La Notion de politique (1927), trad. Marie-Louise Steinhauser, éd. Flammarion, coll. « Champs Classiques », 2006 (ISBN 9782081228733), p. 75-97
SunDew
2021-05-05 16:37:31
Le 05 mai 2021 à 16:36:25 :
Je trouve qu'une femme peut avorter seulement en cas de viol ou si le préservatif a lâcher, car la elle ne l'a pas choisit, mais si elle était consentante je trouve que non elle n'a pas le droit, tu a coucher de maniere consentit et non-protégé, assume.
Et comment on fait pour prouver que le rapport s'est fait avec ou sans préservatif ? Absolument impossible de prouver ça.
RisitasFantome
2021-05-05 16:37:32
Le 05 mai 2021 à 16:36:49 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
tuer un enfant dans le ventre de sa propre mère , bravo le progressisme
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:37:47
L'ivg est défendue car le fruit du sexe est vu comme.un obstacle alors qu'il est conséquence d'acte, de choix.
Cest une rébellion contre l'ordre naturel, prétentieuse, obsessionnelle.
C'est vouloir se goinfrer sans prendre un gramme.
Amine_DRX
2021-05-05 16:38:02
Le 05 mai 2021 à 16:36:53 :
À propos de l'usage idéologie du concept d'humanité, pour exclure l'autre et l'exterminer :
« Il y a là, semble-t-il, un procédé de justification des guerres particulièrement fécond de nos jours. Dans ce cas, les guerres se déroulent, chacune à son tour, sous forme de toute dernière des guerres que se livre l’humanité. Des guerres de ce type se distinguent fatalement par leur violence et leur inhumanité, pour la raison que, transcendant le politique, il est nécessaire qu’elles discréditent l’ennemi dans les catégories morales et autres pour en faire un monstre inhumain, qu’il ne suffit pas de repousser, mais qui doit être anéanti définitivement au lieu d’être simplement cet ennemi qu’il faut remettre à sa place, reconduire à l’intérieur de ses frontières. [...]
L’humanité en tant que telle ne peut pas faire la guerre, car elle n’a pas d’ennemi, du moins sur cette planète. Le concept d’humanité exclut le concept d’ennemi parce que l’ennemi lui-même ne laisse pas d’être un homme et qu’il n’y a là aucune distinction spécifique. Le fait que certaines guerres soient menées au nom de l’humanité ne constitue par une réfutation de cette vérité simple, mais seulement un renforcement de la signification politique. Quand un État combat son ennemi politique au nom de l’humanité, ce n’est pas une guerre de l’humanité mais bien plutôt une de celles où un État donné affrontant l’adversaire cherche à accaparer un concept universel pour s’identifier à celui-ci (aux dépens de l’adversaire), comme on abuse d’autre part de la paix, de la justice, du progrès et de la civilisation en les revendiquant pour soi tout en les déniant à l’ennemi. Le concept d’humanité est un instrument idéologique particulièrement utile aux expansions impérialistes, et sous sa forme éthique et humanitaire, il est un véhicule de l’impérialisme économique. On peut appliquer à ce cas, avec la modification qui s’impose, un mot de Proudhon : “Qui dit humanité veut tromper.” Étant donné qu’un nom aussi sublime entraîne certaines conséquences pour celui qui le porte, le fait de s’attribuer ce nom d’humanité, de l’invoquer et de le monopoliser, ne saurait que manifester une prétention effrayante à faire refuser à l’ennemi sa qualité d’être humain, à le faire déclarer hors la loi et hors l’humanité et partant à pousser la guerre jusqu’aux limites extrêmes de l’inhumain. »
— Carl Schmitt, La Notion de politique (1927), trad. Marie-Louise Steinhauser, éd. Flammarion, coll. « Champs Classiques », 2006 (ISBN 9782081228733), p. 75-97
g pas lu
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:38:27
Le 05 mai 2021 à 16:36:49 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
Bah oui
Tu peux dresser autant de barrière sémantique et d'étiquette pour minimiser, ça change rien.
SunDew
2021-05-05 16:39:53
Le 05 mai 2021 à 16:38:27 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:49 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
Bah oui
Tu peux dresser autant de barrière sémantique et d'étiquette pour minimiser, ça change rien.
Non mais là ça suffit par contre, c'est toi qui nies la science hein.
"L'organisation mondiale de la santé définit l'enfance comme la période de la vie humaine allant de la naissance à 18 ans"
Raven__
2021-05-05 16:39:55
Contre sauf exception
Je suis pour que les gens assument leurs actes
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:41:29
Or cette attitude mène à rien, est sterile, nefaste,.toxique et contradictoire.
Elle mène à la perte de repère et de confiance.
Moi je prône l'harmonie des actes avec les connaissances du monde.
Detopz
2021-05-05 16:44:17
Beaucoup des arguments avancés pour justifier l'avortement sont fallacieux ou inconsistants. Exemple typique : l'embryon/le fœtus est dans le corps de la mère et à ce titre elle dispose d'un droit à la vie sur son enfant, or cela ne constitue absolument pas une justification en soi. Il ne vous viendrait pas à l'esprit de considérer qu'une mère posséderait un droit de vie ou de mort sur ses enfants vivants sur sa propriété ce qui est aussi son "territoire", pourtant c'est bien ce que certains supposent en prétendant qu'une dépendance envers autrui justifierait une négation du droit de l'individu, alors même que l'embryon n'est pas responsable de l'offense dont il est accusé et qu'une alternative résultant dans la préservation de toutes les vies humaines est possible. De même l'argument du violoniste de Thompson a déjà été démonté maintes fois par des analogies bien plus pertinentes et problématiques pour les pro-IVG.
Personnellement je ne nie pas la morale puisque c'est précisément sur des axiomes moraux que je développe mon jugement négatif de l'IVG. C’est toute l’hypocrisie d’une société soi-disant humaniste et garante des droits humains (pour les uns mais pas pour les autres) que je pointe du doigt, il va sans dire que dans une société qui aurait abandonné toute considération pour la vie humaine on peut se douter que l’ensemble de cet argumentaire n’aurait plus aucune pertinence. Espérons simplement ne pas y arriver un jour.
En revanche pour ce qui est de la définition même de l'être humain il m'apparaît évident que la définition biologique se suffit à elle-même, que toute autre justification "philosophique" repose sur des jugements de valeurs arbitraires ayant pour but de justifier un 2 poids 2 mesures quant aux droits alloués à la nature humaine. Car si on défend l'IVG alors on doit aussi défendre l'infanticide des nouveau-nés et c'est cette inconsistance chez la plupart des pro-IVG, que je ne me prive pas de dénoncer, qui marque bien tout le caractère arbitraire et infondé de leur position.
Ma position est très simple : tout être humain dispose de droits inaliénables indépendamment de son état, le plus fort de ces droits étant le droit à la vie. De ce fait il n’est pas acceptable qu’une personne puisse disposer de la vie d’un autre être humain sous prétexte qu’il lui serait momentanément dépendant, ou même que la nature humaine soit sujette à des juridictions changeantes (les différences en termes de législations montrent d’ailleurs très bien le caractère arbitraire de la chose : à 15 semaines un fœtus serait un être humain en France mais pas au Royaume-Uni ? Dans le cadre d'un vol Paris-Londres la nature de l'être en gestation change en cours de vol ? Cette conception de la vie humaine est totalement absurde et elle est bien sûre difficilement tenable pour quelqu’un qui voudrait s’en remettre uniquement à la loi)
Ce que je trouve désolant c'est surtout l'absence d'esprit critique ou de valeurs réelles défendues par les pro-IVG pétris d'individualisme, de relativisme et de nihilisme mais qui sont pourtant convaincus d'être les porteurs de la bonne parole car le système les a conditionné pour penser ainsi.
Pour ma part il me semble clair qui si l'on croit encore au bien il est nécessaire de poser des principes et de s'y tenir.
King_Hades
2021-05-05 16:46:24
Les khey du forum vont te dire qu'ils sont contre l'avortement, mais ce seront les premiers à pas assumés d'avoir engrosser une Magalie et lui demander d'avoir recourt à l'avortement
OeufDeBrebis
2021-05-05 16:46:38
Le 05 mai 2021 à 16:39:53 :
Le 05 mai 2021 à 16:38:27 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:49 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
Bah oui
Tu peux dresser autant de barrière sémantique et d'étiquette pour minimiser, ça change rien.
Non mais là ça suffit par contre, c'est toi qui nies la science hein.
"L'organisation mondiale de la santé définit l'enfance comme la période de la vie humaine allant de la naissance à 18 ans"
Tu joues sur les mots
D'ailleurs son avis est basé sur quoi ? Il peut évoluer et être redefinis
Konnery
2021-05-05 16:47:44
Le 05 mai 2021 à 16:44:17 :
Beaucoup des arguments avancés pour justifier l'avortement sont fallacieux ou inconsistants. Exemple typique : l'embryon/le fœtus est dans le corps de la mère et à ce titre elle dispose d'un droit à la vie sur son enfant, or cela ne constitue absolument pas une justification en soi. Il ne vous viendrait pas à l'esprit de considérer qu'une mère posséderait un droit de vie ou de mort sur ses enfants vivants sur sa propriété ce qui est aussi son "territoire", pourtant c'est bien ce que certains supposent en prétendant qu'une dépendance envers autrui justifierait une négation du droit de l'individu, alors même que l'embryon n'est pas responsable de l'offense dont il est accusé et qu'une alternative résultant dans la préservation de toutes les vies humaines est possible. De même l'argument du violoniste de Thompson a déjà été démonté maintes fois par des analogies bien plus pertinentes et problématiques pour les pro-IVG.
Personnellement je ne nie pas la morale puisque c'est précisément sur des axiomes moraux que je développe mon jugement négatif de l'IVG. C’est toute l’hypocrisie d’une société soi-disant humaniste et garante des droits humains (pour les uns mais pas pour les autres) que je pointe du doigt, il va sans dire que dans une société qui aurait abandonné toute considération pour la vie humaine on peut se douter que l’ensemble de cet argumentaire n’aurait plus aucune pertinence. Espérons simplement ne pas y arriver un jour.
En revanche pour ce qui est de la définition même de l'être humain il m'apparaît évident que la définition biologique se suffit à elle-même, que toute autre justification "philosophique" repose sur des jugements de valeurs arbitraires ayant pour but de justifier un 2 poids 2 mesures quant aux droits alloués à la nature humaine. Car si on défend l'IVG alors on doit aussi défendre l'infanticide des nouveau-nés et c'est cette inconsistance chez la plupart des pro-IVG, que je ne me prive pas de dénoncer, qui marque bien tout le caractère arbitraire et infondé de leur position.
Ma position est très simple : tout être humain dispose de droits inaliénables indépendamment de son état, le plus fort de ces droits étant le droit à la vie. De ce fait il n’est pas acceptable qu’une personne puisse disposer de la vie d’un autre être humain sous prétexte qu’il lui serait momentanément dépendant, ou même que la nature humaine soit sujette à des juridictions changeantes (les différences en termes de législations montrent d’ailleurs très bien le caractère arbitraire de la chose : à 15 semaines un fœtus serait un être humain en France mais pas au Royaume-Uni ? Dans le cadre d'un vol Paris-Londres la nature de l'être en gestation change en cours de vol ? Cette conception de la vie humaine est totalement absurde et elle est bien sûre difficilement tenable pour quelqu’un qui voudrait s’en remettre uniquement à la loi)
Ce que je trouve désolant c'est surtout l'absence d'esprit critique ou de valeurs réelles défendues par les pro-IVG pétris d'individualisme, de relativisme et de nihilisme mais qui sont pourtant convaincus d'être les porteurs de la bonne parole car le système les a conditionné pour penser ainsi.
Pour ma part il me semble clair qui si l'on croit encore au bien il est nécessaire de poser des principes et de s'y tenir.
Jamais lu autant de bullshit dans un post
Je sais même pas si je dois feed
SunDew
2021-05-05 16:48:15
Le 05 mai 2021 à 16:46:38 :
Le 05 mai 2021 à 16:39:53 :
Le 05 mai 2021 à 16:38:27 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:49 :
Le 05 mai 2021 à 16:36:10 :
Aujourd'hui, une remarque sexiste est plus dramatique que le fait de tier un enfant
On est déjà loin dans la folie.
El famoso embryon qui est déjà un enfant.
Bah oui
Tu peux dresser autant de barrière sémantique et d'étiquette pour minimiser, ça change rien.
Non mais là ça suffit par contre, c'est toi qui nies la science hein.
"L'organisation mondiale de la santé définit l'enfance comme la période de la vie humaine allant de la naissance à 18 ans"
Tu joues sur les mots
D'ailleurs son avis est basé sur quoi ? Il peut évoluer et être redefinis
Bon tu es de mauvaise foi mec j'abandonne, tu me reproches de nier la science que je pose une question sur un terme qui n'est même pas bien défini scientifiquement mais toi tu te permets de réfuter une définition de L'OMS.