Le seul facteur que je prend en compte c'est que c'est rarement dans des pays dits communistes que les gens vont. C'est tous l'inverse et les gens cherche a fuir le pays en question...
On peut couper la tête du roi, tuer chronos comme l'a fait Zeus avec ses frères, il y'aura toujours une autorité et une élite qui prendra la place après la mort du père, de l'aristocratie, de l'autorité, du tsar, et la cheftaine hystérique féministe peut se révéler pire que le patriarcat lorsqu'elle est au pouvoir, le communiste également apre avoir abattu le tsar ou le capitaliste, seul le militant est persuadé qu'il en sera autrement. Les communistes ont sans doute fait un travail introspectif énorme pour rejeter leur propre amour du pouvoir, leur propre avidité, eux ils sont gentils, ils sont pas comme les capitalistes
En le présentant comme une nécessité naturelle, tu donnes l'impression qu'au fond c'est toi qui désire l'autoritarisme. Anthropologiquement, il n'y a de nécessité d'une figure autoritaire que pour ceux qui le désirent. Les pays les moins autoritaires (scandinaves) s'en sortent bien. On a besoin de loi, pas de pouvoir. « Il n'y a donc pas de liberté sans Lois, ni où quelqu'un est au-dessus des Lois. […] Un peuple libre obéit, mais […] il obéit aux Lois, mais n'obéit qu'aux Lois et c'est par la force des Lois qu'il n'obéit pas aux hommes » Lettres écrites de la montagne (1764) J-J Rousseau.
Je suis en désaccord fondamentale avec Rousseau, le fait que le cites prouve ta naïveté.
Je ne vais pas tergiverser avec quelqu'un qui pense que l'on peut se défaire de l'autorité. L'autorité est nécessaire à la plus petite échelle, celle de la famille.
La crise de l'autorité on sait ce que ça donne aujourd'hui même dans les familles, dans les institutions, à l'école, etc
De manière symbolique les tables de la loi sont délivrés par une autorité, par dieu à Moïse. L'autorité sans roi, sans maître, sans dieu, ça donne Robespierre bricolant son culte de l'être suprême car se rendant compte des dégâts du déclin du religieux et de sa morale arbitraire.
L'homme ne sait pas faire sans dieu, sans cette autorité. Et penser cette autorité nécessaire n'est pas etre autoritarisme comme tu sembles m'attribuer. C'est un mal nécessaire que Louis XVI n'a pas su accomplir du fait de manque de préparation.
Freud disait que le pouvoir etait comme l'acte d'éduquer quelque chose d'impossible, en éducation on rate toujours, et le roi, le président ou toute figure d'autorité se fera de toute manière haïr. Son seul tort à Louis XVI c'est de ne pas avoir pu réprimer de manière efficace par la violence les fauteurs de trouble ayant influencé le peuple.
Ce qui s'applique ici, c'est juste le mythe du meurtre du père, on a le choix entre être réaliste et voir à travers même les peuples primitifs disposant de l'animal totem, ou du mythe grec et biblique, que le meurtre du père est inhérent à la société. Mais celui qui croit à une loi sans père et un idéaliste, ou un idiot non pas communiste cette fois, mais existentialiste même s'il a eu des tendances communistes à cuba pour Sartre.
Le.roi n'était pas au dessus des lois, au dessus de lui il y'avait dieu. Le problème du communiste c'est qu'il tend à nier la loi symbolique comme l'existentialiste tend à nier ce qu'il y'avait avant, que l'homme n'est pas libre mais aliéné dès la naissance par le langage, une histoire, une culture, une morale.
Pour le mythe grec il s'agit de la famille des atrides, Athena incarne cette autorité qui n'est pas dans l'égalité. Cette famille se déchirant du fait de manque de loi entre meurtre, parricide, viol, Athena y met fin en jugeant Oreste. Il en est de même pour Caïn, s'il n'y avait pas cette autorité que tu sembles rejeter, ton idée de loi sans autorité reviendrait à celle d'aujourd'hui, une loi de faible dans le laisser faire car le symbole de cette autorité est absente. Dieu marque Caïn d'un signe pour éviter que le meurtre se répète, comme Athena.
Le problème étant que le communiste rejette cette inégalité naturelle, et en créé une autre en voulant la régler. La base du premier meurtre, c'est l'envie, celle de Caïn car c'est Abel qui recevait ses faveurs. Il en est de meme avec la pointe de haine que je ressens chez les communistes envers ceux qui détiennent ce que eux n'ont pas, les moyens de production, l'argent, le pouvoir.
La logique reste relativement la même avec le féminisme, selon certaines même s'il y'a différents mouvements comme celui d'Antoinette fouque qui était à contre courant des idéologies actuelles, selon certaines on est pas encore assez égaux à leur goût. C'est simple, communiste ou féministe n'en auront jamais assez , des enfants capricieux dans l'envie, sans arrêt à désirer abattre celui qui a, sauf qu'il séduit l'autre et le peuple par sa morale de faible en se pensant juste, en propageant un discours qui serait bon pour le peuple et pour tous en niant leur propre envie de domination.
Le communiste de manière exagérée, me fait penser aux faux gentil, au prétendu gentil qui ne fait que cacher ses propres intentions agressives envers l'autre, sauf que la loi il ne l'a pas mieux intégré que l'autre, c'est juste qu'il est trop faible pour faire valoir son désir sur l'autre. Les communistes sont juste ces faibles là qui n'ont que la pleurnicherie en temps de paix pour s'exprimer, et la révolution sanglante dans les temps plus troubles, des éternels gamins rejetant l'autorité du père .
Anthropologiquement Levi Strauss énonce tout de même le fait que l'interdit de l'inceste que l'on retrouve dans toutes les sociétés (or élites comme les pharaons puisque se prenant eux-mêmes pour dieu) , et donc l'exogamie, le partage des femmes c'est la culture elle-même. T'es juste un idéaliste, ce que ça implique c'est la confrontation entre le patriarcat et le matriarcat.
Croire à une autorité et à une loi sans père symbolique, c'est croire au matriarcat. Sauf que ça ne marche pas et ça n'a jamais marché, la mère comme le communiste n'est pas meilleure moralement que le père. C'est juste qu'un homme qui s'empêche dans son amour pour sa fille dans cet amour qu'ils ne feront jamais ensemble comme Gainsbourg c'est dégueulasse pour les gens, mais quand il s'agit d'une femme c'est beau sauf que le mythe revele la nature profonde de l'homme, de médée qui tue ses propres enfants.
Là où je veux en venir, c'est que la loi que tu énonces, elle se fait par le père symboliquement. Dolto prenait des cas d'enfants ayant développés des troubles psychosomatiques et l'énurésie après la 2GM. On pense souvent qu'il suffit d'une mère pour un enfant, le père serait comme l'autorité accessoire. Sauf que l'enfant était en réalité dévoré par le désir de la mère, lorsque l'Allemand venait ou un homme de la famille, les problèmes de pipi au lit se réglaient d'eux-mêmes. Il en esr de même avec les femmes niant l'homme avec qui elles ont eu un enfant, ou lorsqu'ils sont en prison, cette loi peut évidemment être incarnée dans la parole de la mère, elle y fait vivre le père en parlant de lui, de ce qu'il y'avait avant
C'est là où je veux en venir, c'est la convergence idéologique entre l'existentialisme de Sartre, le communisme et le féminisme, toutes ces idéologies tendent à nier l'origine, le père. C'est juste le problème que se posait Nietzsche avec la mort de dieu ou Dostoïevski si dieu n'existe pas, Sartre lui part du principe de la négation de ce dieu là en se prenant lui-même pour dieu.
Sauf que l'homme ne peut prétendre détenir lui-même la loi, la bonne morale, l'église le faisait, le communiste, la féministe le font.
Avant les lois, il faut bien un énonciateur de ces lois. Avant on l'appelait dieu, car il n'est en rien rationnel d'interdire le meurtre, le vol, l'inceste, ou la propagation d'un faux témoignage. Lorsque je prétends à la nécessité de cette autorité, c'est pas celle d'un homme comme toi, tu n'as aucune autorité et je n'ai aucune autorité sur toi. Je parle de l'autorité symbolique du père, pas juste papa qui te donne ses gametes, mais celles aussi des institutions, de l'autorité du chef, du roi qui fut un temps acceptait lui-même du fait de son droit divin une limite, il n'était pas au dessus des lois symboliques même s'il souhaitait sans extraire, et il pouvait en payer le prix de sa vie, ou de sa descendance qui paierait pour ce qu'il a fait.
Aujourd'hui on est justement dans ce paradigme d'hommes émancipés de dieu, mais cherchant la soumission. Rousseau était un naïf, il fait être bête pour nier le fait que l'homme veuille de cette liberté. La liberté c'est comme la bonté naturelle des miséreux, des lieux communs acceptés généralement alors que le peuple ne veut pas de cette liberté car sinon il serait responsable.
Il veut rester dans l'enfance, il élève un tyran pour ensuite dire "j'ai juste obéit aux ordres" le chef ne peut pas dire ça. À ton avis, quel intérêt ont les féministes, employés de la scnf ou les communistes dans le fait dénoncer un maître ? Celui de jouir de leur plainte. Tant que les gens ne comprendront pas que la liberté le peuple n'en veut pas, ça ne bougera. On reste dans cette servitude volontaire, et c'est pas en propageant l'idéal communiste à travers le monde que ça va changer, c'est par l'éducation, et elle est défaillante si on rejette le père en tant que symbole d'autorité.
C'est beau de penser qu'on peut avoir deux mamans, qu'on va s'éduquer sans rencontrer de limite, sauf que ça n'existe pas justement ton délire anthropologiquement. Les communistes ont eu assez d'influence comme ça durant les années qui ont suivi la guerre pour foutre un bordel monstre, que ce soit les philosophes, politiques, ou mouvements sociaux. La merde actuelle, les communistes y sont pour beaucoup.
Et les pays scandinaves sont bien obligés pour certains de retourner à l'autorité, ils ont fait pour certains confiance aux gens, l'homme qu'ils viennent d'ici et d'ailleurs serait bon par nature, sauf que ça commence à faire machine arrière car il y'a des dérives vis à vis de cette loi. Si personne ne vient enoncer cette loi, ou si elle ne porte pas, tu te feras marcher dessus comme en Suède.
Les lois tout le monde les connait, mais si t'es trop faible pour les faire respecter tu peux te les foutre au cul. C'est par la faiblesse des uns et la moral des faibles issu du christianisme que les barbares peuvent faire valoir leur loi. Il en aurait été autrement si comme au temps de certains empires le métèque et le barbare aurait été traité comme tel, avec une loi dure nécessitant une autorité de certains hommes. On allait pas soumettre des populations barbares par plaisir, mais pour les soumettre à une loi morale afin d'éviter qu'ils viennent appliquer la leur. Sans homme avec autorité, ta loi ne vaut que pour le petit français qui respecte cette loi car de racine judéo-chrétienne.
Le 16 novembre 2024 à 17:55:50 :
Le 16 novembre 2024 à 17:49:34 :
L'être humain en général est par nature trop individualiste et au mieux clanique pour un communisme véritable, raison pour laquelle ça n'a jamais fonctionnéL’être humain est à la fois un être individualiste et un être sensible à l’équité. Ce n’est pas qu’un homoeconomicus
Il se fiche de l'équité, dès le plus jeune âge dans les fratries on observe l'envie et le désir de prendre ce que l'autre a, et il se montre bien content qu'un frere puisse être puni, il peut penser du fait qu'il est puni qu'il est préféré des parents. Croire que le partage serait une qualité naturelle c'est être naïf.
Ce n'est pas un homoeconomicus, mais la dette, l'argent font parti de la notion de société. Une dette déjà symbolique du fait du don de la vie, une dette entre commerçants, entre pays, nécessitant un lien entre les hommes par l'argent.
C'est beau de croire à une société sans violence, sans dette, sans argent, mais là faut arrêter de se foutre de la gueule des religieux prenant le mythe du paradis perdu pour réel, les communistes sont tout autant idéaliste à leur façon.
Il est "sensible" à l'équité si et seulement la loi du père est appliquée. Sans ça il tue son prochain, vol, viole. L'envie fausse tout, et croire etre exempté de cette envie c'est beau, mais on est quasiment dans une logique religieuse ascétique niant la violence et les désirs immoraux des hommes. C'est en ayant connaissance de sa prose violence, de sa propre envie, de son propre amour du pouvoir que l'on peut vivre mieux en société.
Mais l'homme de base il cherche aucunement l'équité, il est égoïste par nature, la loi des hommes et de la vie en société le font justement souffrir car en contradiction avec ses désirs personnels qu'il ne peut accomplir. La société se fonde justement sur ce renoncement pulsionnel, l'homme ne peut plus tuer, voler, son prochain comme il le souhaite.
L'homme est un meurtrier sanguinaire qui se soumet à une morale par crainte de dieu, par crainte d'une punition, que ce qu'il a fait lui arrive à son tour. Si cette loi n'est jamais énoncé, ton sens de la justice et de l'équité tu peux attendre, le barbare se fiche de l'équité et te coupe la tête pour te prendre femme, maison, enfant.
Le problème du communiste c'est qu'il s'agit d'un chapon sans couille qui a refoulé si sévèrement cette agressivité qu'il pense en être dénué, alors qu'il ne diffère en rien du barbare, et il est nécessaire d'accepter une autorité même si ça ne fait pas plaisir aux communistes, féministes et autres.
L'homme est bien plus proche de l'homoeconomicus, de l'homme avide, que de l'homme bon par nature qui s'inquiète de son prochain et de la justice.
Le 16 novembre 2024 à 16:47:49
Jamais tu ne verras un milliardaire financer un média anticapitaliste,
Marcel Dassault envoyait de l'argent au journal l'humanité durant toute sa vie
Mais c'était sans contrepartie éditoriale, un communiste l'avait aidé dans les camps pendant la 2nde GM.
Alors pour le remercier, il a envoyé de l'argent au journal l'humanité, malgré leurs divergences évidentes
C'est assez beau comme histoire quand même
[REDPILL] Il n'existe aucune société communiste qui a réussi sur le long terme
Le communisme a historiquement tenté d'abolir la propriété privée pour détruire la "domination bourgeoise", mais les résultats ont toujours été des régimes totalitaires, avec une nouvelle élite bureaucratique qui a émergé (comme le Nomenklatura en URSS) tout en supprimant les libertés individuelles et économiques.
L'auteur t'as 18 ans au max, tu deviendras un droitard comme tout le monde, on est tous passé par cette phase communard de mes couilles, va ouvrir des bouquins et regarde des reportages.
Pas le communisme, bien sûr, puisqu'il nie à l'homme sa part la plus sublime, le fait d'exister hors des choses, il le prive d'un ciel, c'est donc une proposition radicalement contraire au genre humain, le communisme, mais la droite, ceci étant, pèche souvent par ignorance, quand elle ne le nie pas strictement, du réel, voilà, elle se contente de regretter les cathédrales glorieuses, les maisons bien tenues, les foyers bien fondés, sans jamais s'attacher à expliquer le sens de leur disparition, or c'est bien le capitalisme qui a le premier arraché l'homme à sa terre, à ses familles, à sa paroisse, qui, par un travail forcené, et par son obsession du ventre et des choses, de la marchandise, a débarrassé l'individu du temps spirituel, le capitalisme a oblitéré toutes les solidarités organiques traditionnelles, détruit tous les rapports hiérarchiques de l'ancien monde, il n'en a conservé qu'un, entre le possédant et le possédé, il a ruiné les églises, ruiné les familles, pour ne laisser qu'un individu seul, terriblement seul, perdu dans la nuit de ses angoisses, et tout projet réactionnaire devra d'abord viser l'abolition pure et simple, sans compromis, du système de production capitaliste
Dire que l'idéologie la plus meurtrière et inefficace de l'histoire est une option crédible c'est fort
Les communistes ont pour idole un énorme chapon sans couille, c'est là tout le problème
"Substituer à l’éducation familiale l’éducation par la société "
"En outre, on accuse les communistes de vouloir abolir la patrie, la
nationalité.
Les ouvriers n’ont pas de patrie. On ne peut leur ravir ce qu’ils n’ont
pas. Comme le prolétariat de chaque pays doit, en premier lieu, conquérir
le pouvoir politique, s’ériger en classe maîtresse de la nation "
Ce.petit goret admiré sur ce forum par certains représente pourtant en partie l'idéal progressiste actuel, du sans limite, reniant les identités, le nationalisme, l'autorité symbolique du père, dieu, la famille.
Il a eu la chance d'être assez aisé pour n'avoir jamais à se battre contre un état ennemi. Vas dire que le prolétaraire ne se battait pas pour sa patrie, pour sa culture, son peuple, sa langue, son identité et ses valeurs.
Lui, il pouvait se le permettre le cul plein de merde assis sur sa chaise, comme se le permettaient également nos auteurs français apres la 1GM avec leur élan pacifiste et gauchiste, comme lui, la priorité c'était le travail, les inégalités sociales, les droits sociaux, sauf que la réalité en était tout autre et on rappelle ce que l'on déteste, l'autorité, le père Pétain, les valeurs famille, patrie, travail lorsque ça chie mou derrière les idées utopistes.
Ce n'est pas le capitalisme et encore moins les bourgeois qui vont disparaitre d'eux-mêmes, ce sont les communistes, LGBT, et autres groupes nourrissant une haine d'eux-mêmes qui vont disparaitre, et c'est pas plus mal, après tout ce sont souvent les mêmes qui ne veulent plus faire d'enfant, ils ne veulent plus de cette guerre culturelle, démographique, économique et préfèrent se laisser manger tout cru par celui qui ignore sa morale de faible et la lutte des classes.
On la voit bien la fameuse lutte des classes en France, sauf que c'est faux, les personnes issus du Maghreb et d'Afrique sub saharienne ne convergent aucunement vers la lutte des Français. Et on peut difficilement appeler ça un sous prolétariat lorsqu'il y'a suffisamment d'aides pour vivre et s'acheter ce que le capitalisme leur offre, ou même au niveau des études, puisqu'il se trouve que le prolétaire blanc du fin fond de la Creuse est défavorisée vis à vis de ceux de banlieues.
Les guerres et les luttes réelles, ne se sont jamais fait comme le veut l'idéologie de Marx d'un contexte matérialiste mais bien idéologique et identitaire. On lutte contre l'effacement de notre identité ou alors à l'inverse on tente d'effacer celle de l'autre pour répandre nos idées, valeurs.
C'est ce qui se passait sous l'empire romain et son expansion, lors des guerres de religion, des guerres Napoléoniennes ou des deux guerres mondiales avec des monarchies et empires centraux allant à l'encontre du nouveau monde à venir.
Il correspond au gauchiste moyen qui se fiche de l'immigration massive puisque seul la lutte des classes prédomine, pourtant il est difficile de ne pas voir un parallèle avec le déclin de Rome du fait des peuples barbares à l'intérieur de l'empire, et d'un empire ayant du mal à assoir son autorité.
Le réel du communisme qui réussit, c'est la chine, en terme de croissance ça peut laisse rêveur, idéologiquement certainement pas.
Et le prolo de la campagne chinoise n'a aucun intérêt avec le prolétaire français, Marx est tout autant daté que certains textes des lumières, il fait figure d'antiquité, de vieux con que l'on étudie à l'école et dont certains tombent amoureux du fait de leur adolescence rebelle en se positionnant contre l'ordre établi.
Marx a projeté sa propre névrose de juif athée coupé des origines à l'échelle du monde sans comprendre l'âme humaine, il n'a fait que décrire les résultats, la surface sans en analyser la profondeur. Et le pire c'est qu'il a écrasé un idéal, celui religieux considéré comme illusion, pour en assoir contre sa volonté une autre, d'une dictature du prolétariat temporaire pour aller vers un idéal communiste sans guerre, sans classe.
Et c'est quand même cocasse de sa part de penser que le monde tourne autour de cette lutte des classes, sur l'accumulation des biens et de l'argent par la bourgeoisie, faisant du bourgeois un être acide par défaut. Il me fait penser à ces prolos dans leur avidité habituelle sont énervés de voir que certains ont d'immenses fortunes, en réalité ce sont eux qui ne font que penser à l'argent. Ils sont comme les féminines envieuses du pouvoir qu'elles attribuaient aux hommes, voulant delonner le patriarcat, le communiste fait de.meme en étant dans l'envie avec le bourgeois. Mais lui si il permet au peuple de prendre le pouvoir il n'y aurait aucun abus car bon et denué d'amour du pouvoir
Capitalisme = les moyens de production appartiennent aux capitalistes.
Féodalisme = les moyens de production appartiennent à la noblesse.
Communisme = les moyens de production appartiennent au pouvoir.
Je préfère la première option, plus libérale. Dans le féodalisme, tout est décidé à la naissance, aucune possibilité de changer de classe sociale. Dans le communisme, la concentration des pouvoirs et des richesses rend la classe dirigeante beaucoup trop puissante, ce qui a logiquement toujours mené au totalitarisme.
Evidemment dans la théorie communiste de Marx, le communisme véritable est atteint par la suppression des classes sociales (puis de l'Etat, car Marx avait bien vu la possibilité de dérive totalitaire). Mais les classes sociales sont une émanation mécanique de toute organisation sociale depuis l'invention de l'agriculture puisqu'à partir du moment où des richesses (bouffe, biens matériels, argent, etc) sont accumulables, une classe sociale dominante va émerger dans l'optique de contrôler cette accumulation.
Donc non le communisme n'est pas une bonne solution contre le capitaliste. Au lieu d'avoir un Arnault ou un Bolloré vous aurez un Hollande ou un Macron détenteur des moyens de production, à aucun moment c'est mieux.
Le 16 novembre 2024 à 16:51:22 :
palmares des pays communistes : faire fuire leur population dans des pays capitalistes
Le 16 novembre 2024 à 19:35:10 :
Le communisme a historiquement tenté d'abolir la propriété privée pour détruire la "domination bourgeoise", mais les résultats ont toujours été des régimes totalitaires, avec une nouvelle élite bureaucratique qui a émergé (comme le Nomenklatura en URSS) tout en supprimant les libertés individuelles et économiques.L'auteur t'as 18 ans au max, tu deviendras un droitard comme tout le monde, on est tous passé par cette phase communard de mes couilles, va ouvrir des bouquins et regarde des reportages.
C'est surtout que dans ce monde en guerre perpétuelle, c'est suicidaire d'être communiste. On les connait le étudiants communistes, plutôt aisés en réalité, dans nos pays occidentaux.
Sans arrêt à se plaindre de ce qu'ils n'ont pas, de ce qui devrait être, comme tu dis, des enfants capricieux, rebelle mais ça passe normalement. Le communiste est envieux comme ce tableau de l'enfant épiant son puiné au sein de la mère, il désire le supprimer pour retourner à son idéal, comme le communiste par la propriété privée, par l'effacement des classes.
Ce monde idéal, c'est le paradis perdu, et à trop le contempler ces gauchistes creusent leur tombe car les autres pays, peuples et cultures qui ne sont pas émancipés du patriarcat se fichent des valeurs de faibles de Marx ou chrétiennes de la pitié pour les faibles et les pauvres.
La fameuse convergence des luttes des prolo internationale on la voit à l'œuvre lorsque les soldats sont émancipés de la moral en temps de guerre, lorsqu'ils abattent, torturent leur prochain , violent des femmes qu'ils prennent pour conquête
Marx oublie une chose que rappelle levi Strauss, c'est que la société qu'il le veuille ou non, se base sur l'échange des femmes, sur l'interdit de l'inceste et l'exogamie, donc sur une loi du père. On peut la nier et se penser tel un dieu comme les élites égyptiennes, ça ne fonctionne pas à l'échelle de l'individu, ou occulter cette loi que l'on pense archaïque en se voulant plus révolutionnaire que le révolutionnaire, car au fond Marx est un progressiste pour qui les chaînes et l'autorité n'ont pas été assez abattus avec la révolution française.
Mélenchon veut la même chose, il se sait inéligible, son public, jeunes et indigénistes vote peu, seul persiste la révolution ou l'endoctrinement comme à science po. Et pour lui, le dernier représentant de l'autorité chancelant a encore trop de pouvoir, il désire attribuer un pouvoir moindre au chef de l'état alors que c'est ce qui permet un minimum de souveraineté
Un peuple qui tue dieu, le père, le.roi, l'aristocratie, qui s'en prend aux nationalisme, à la bourgeoisie et enfin au président va seulement être libre d'être séduit par les sophistes. C'est l'erreur des russes en s'en prenant au tsar de Russie qui les protégeait de l'ogre Stalinien, du bon petit père du peuple.
La France après la révolution française était tout sauf dans une bonne situation mais au contraire visée par ses voisins ayant pris peur que les idéaux se répandent en Europe. Il en serait de même d'un état communiste français et d'une dictature du prolétariat qui ouvrirait les bras grands ouverts à la chine et aux usa en raison de la déstabilisation du pays.
Le communiste c'est l'idiot utile du capital et de son maître, comme la propagande ciblant les femmes pour la cigarette, et mai68 en général, ils ont voulu plus de liberté en tuant l'autorité, ils se retrouvent esclaves d'un autre et de leur propre avidité. Finalement l'avidité d'un seul, d'un roi, permettait bien souvent à empêcher au peuple de l'être.
Mais lorsqu'on voit les enfants et pas seulement, les adultes également être dans cette envie perpétuelle, de bien mais aussi de relation puisqu'en raison du déclin de la famille comme le voulait Marx, l'homme n'est pas plus libre de désirer, mais esclave de son envie.
Le désir comme le démontrait Lacan, c'est la loi elle même, c'est ce qui borne le.desir, c'est la loi énoncée par dieu pour la pomme et contre le retour au paradis perdu, l'homme souhaite s'en extraire, mais dieu puni en le séparant en différents langages. Le communiste souhaite dans sa naïveté mortifère déjouer cette loi séparant l'homme en deux sexes et différents langages et vient nous sortir son histoire à la con de prépubère de lutte des classes.
L'homme ne fera jamais un, et si Marx pensait possible l'absence même de guerre par la révolution communiste à l'échelle mondiale, c'est qu'il était clairement névrosé. Qu'il soit un juif athée sans repère c'est une chose, qu'il souhaite que l'ensemble du monde épouse son délire c'est autre chose. Sans cette loi, l'homme perd ses repères, les adolescents devenus adultes restent capricieux, dans l'envie, les femmes enviant ce qu'ont les hommes, les ado persistant du fait de manque de séparation dans un flou de l'identité sexuée ne peuvent pour certains se dire homme ou femme.
C'est une longue déconstruction de la culture que l'on voit en occident, Marx ayant posé quelques pierres, c'est loin d'être le seul. La logique est la même que ceux niant la différence des sexes, pour eux le sexe importe peu, c'est le ressenti, de se dire femme ou homme, ils nient le fait qu'une personne leur attribue à leur naissance un sexe et qu'ils doivent s'y confronter.
Le communiste nie la réalité des guerres, des conflits, de la violence et de ses propres désirs. Oui, c'est beau, magnifique, une convergence des luttes des prolétaires réalisant leur révolution et s'unissant malgré les barrières des nationalismes, des langues et des cultures, sauf que le naturel revient au galop, t'as beau jouer au con en crachant sur l'autorité, la bourgeoisie et le capitalisme, le voisin et pas seulement celui qui est proche va voir l'opportunité de l'instabilité politique pour prendre le pouvoir.
Le communisme c'est le mode d'emploi rêvé pour la mise en place d'une dictature sous couvert d'une utopie prônant des valeurs dans l'intérêt général, favorables aux prolétaires. C'est comme ces immondes gauchistes qui ont du sang sur les mains en refusant de se préparer à la guerre, à force de nier la violence en eux en se espérant la der des der ils ont laissé le champs libre à l'Allemagne.
Le monde est dans une lutte de pouvoir, une guerre perpétuelle , dans un monde multipolaire, usa,. chine, et t'as encore des idiots pour se prétendre communiste. Le seul intérêt du communisme aujourd'hui, c'est de répandre un discours de sophiste pour que le peuple accepte volontairement leur futur tyran par une pseudo liberté, la fin de l'existence des classes sociales.
Les armes nucléaires dont la France dispose, l'armée et le budget des armées ce qui ennuie d'ailleurs Mélenchon car il aimerait voire cet argent destiné à la lutte des classes, prouvent justement que la paix est fragile. Le communiste a beau détester l'idée d'une nation, de l'autorité, de la structure familiale en adorant l'idée d'une société s'eduquant elle même, il fera comme les pacifistes après sa rébellion quand il verra qu'économiquement la chine verra la France communiste comme un marché facile, et d'autres pays ne se gêneront pas pour attaquer militairement.
Une petite guerre, ça rappelle vite fait aux gauchistes la réalité de l'homme après les années folles, après les 30 glorieuses et mai 68, ils vont vite se calmer les gauchistes quand le pays sera menacé dans son intégrité, avec leur langue, leur culture, et quand le prolétaire du pays voisin pointe son fusil il se fiche de savoir combien tu gagnes par moi, t'es différent, t'es ennemi, je te tue et je prends ton territoire, ta femme et j'impose ma langue, ma culture.
Ils ont la tête dans les nuages avec leur utopie car paradoxalement le capitalisme et l'autorité d'un état leur permet de le faire, ils devraient remercier chaque jour leur maître capitaliste du fait de leur permettre d'exprimer leur haine comme des ados contre leur père. Sans lui ils se feraient abattre par un pays voisin.
Le 16 novembre 2024 à 17:54:00 :
Ferenczi : alors soumets-toi à ton dieu ou à ton patron si ça t'arrangeCe que tu soulèves dans ta diatribe médiocre c'est la question de l'autorité. Le communisme ne s'oppose pas forcément à l'autorité, mais à l'autorité illégitime. Dans cette société capitaliste ultra mondialisée, l'autorité des flux financiers internationaux qui peuvent asseoir ou liquider n'importe quel gouvernement, est ce qu'il y a de plus illégitime. Que l'on ne me parle pas de main invisible du marché ou de pareilles sornettes, on voit bien que ce pouvoir insaissable, celui de l'argent et de l'accumulation déraisonnable de capitaux ne se dirige aucunement vers la gestion harmonieuse de nos besoins essentiels (paix, santé, éducation, climat, juste répartition des ressources). Nous vivons, par excellence, dans l'ère de la contradiction interne du système capitaliste : l'économie devient de plus en plus une économie de patrimoine, comme au tout début du XXème siècle.
Sauf que ce capitalisme avide est permis en raison des différentes révolutions que Marx attribue à la lutte des classes. Selon lui, la révolution française ce n'est pas allé assez loin, on a déboulonné l'aristocratie, désormais il souhaite la dictature du prolétariat et la mise à mort de la classe bourgeoise détenant la propriété privée.
La mise à mort de la limite et ce que les hommes pensaient comme toi en leur temps une autorité illégitime car le roi l'était selon certains du fait du droit divin, cette mise à mort a laissé le champs libre au capital justement.
Il ne s'agit juste d'une diatribe que tu penses médiocre, ce sont les faits, l'homme dans sa quête de liberté en interdisant l'interdit n'a pas ouvert la boîte de Pandore pour les multinationales ? En réalité l'autorité illégitime du père les protégeait de leur propre avidité, le problème n'est pas le capitalisme mais l'avidité de l' homme lui même, du fait qu'il soit naïf et corruptible.
C'est par l'éducation qu'on empêche un peuple de.plonger dans ce que tu enonces, mais si tu vises un plus d'autorité en t'en prenant au pretendu tyran montré du doigt fut un temps par les bourgeois, désormais par les communistes, tu ne fais que donner les clés du pouvoir à d'autres.
Le peuple, c'est de la merde, ça ne pense pas, il obéit à son instinct grégaire, c'est un enfant qui cherche un guide, un chef, un Führer pour certains, croire qu'en 2024 l'infantilisme du peuple sur la recherche messianique d'un homme providentiel a disparue c'est plus qu'être naïf, c'est dangereux.
L'histoire oui, se répètera comme le dit Marx, mais à aucun moment il ne se rend compte que son idéologie n'est que la répétition du meurtre du père. Ouais super coupons encore des têtes, les élites, et après ça va aller mieux il ne fera qu'accelerer sa chute, parce que cela revient à croire que l'homme du peuple est bon par nature, qu'il n'a pas besoin de cette autorité que tu penses arbitraire, sauf que d'expérience ça ne va pas mieux lorsqu'on déloge par le.sang une autorité
Avant il y'avait les monarchies, l'aristocratie, puis les nationalismes et les deux guerres mondiales ont provoqué un sacré foutoir, de même que la prise de pouvoir temporaire chez nous des communistes. Maintenant désolé d'avoir un doute sur le fait que ça ira mieux sans la bourgeoisie, c'en est presque religieux, vous attendez vous communistes la chute du capitalisme à travers des signes comme les religieux avec l'apocalypse et le retour du Messi, c'en est presque attendrissant.
Je préfère pour ma part ralentir la chute, laisser le monde tel qu'il est, plutôt de la jouer rebelle en répétant inlassablement ce meurtre du père, de l'autorité en pensant que si on le tue pour la 54 ème fois ça ira mieux.
Le débat idéologique actuel en occident se situe d'ailleurs ici, entre conservateurs mous souhaitant aucunement rétablir les nationalismes d'autrefois ou interdire le mariage gay chez nous, mais limiter la casse, la chute que souhaitent les révolutionnaires de gauche de tout bord dont les communistes en pensant qu'on a pas été assez loin dans le progrès et la mise à mort de l'autorité.
Car aucune autorité n'est légitime, mais on se doit d'accepter l'iniquité sous peine de recommencer ce que cain a fait par envie, si personne dit "stop" ça continuera. Le roi n'était pas plus légitime que dieu, que l'église, que l'autorité scientifique, que l'autorité de l'ONU désormais défaillante, que les usa jouant les gendarmes du monde, que l'empire romain, que notre présent, que les élites actuelles
Le modèle actuel capitaliste n'est pas idéal, mais c'est sans doute ce qu'il y'a de préférable. On peut repenser ce modèle, le changer timidement, ce qui ne fera que ralentir la chute inéluctable là où certains pensent malgré les révolutions françaises, russes ou dernièrement les révolutions arabes, ca ira mieux en passant par la révolte.
Ça va tellement mieux que dans cette quête de liberté prôné par des sophistes le peuple de ces pays arabes est désormais comme nous avec le capital, entre les mains des groupuscules terroristes et extrémistes, top
Qui est plus légitime, Kadhafi ou l'autorité actuelle en libye ? Qui l'est le plus entre le roi par droit divin ou l'empereur Napoléonien ou le parlement élu par un peuple au cerveau atrophié ? Qui l'est le plus entre le président acceptant un modele nationaliste avant les deux guerres mondiales ou un état faible dirigé par une institution européenne au ventre mou manipulée par leur avidité ?
En réalité aucun pouvoir n'est légitime, encore moins celui du peuple et de la démocratie, le seul à la limite et je rejoins Platon, c'est le pouvoir des meilleurs, d'une aristocratie. Mais on est en France, ce peuple régicide, dans un paradigme égalitariste, de fraternité , à aucun moment le peuple ne doit avoir droit au pouvoir puisque si on suit ses caprices à entendre les étudiants, ils sont contre une sélection à la fac
Quand je regarde le peuple, effectivement je me dis que le pouvoir actuellement c'est ce qu'il y'a de moins pire, j'imagine pas les gogoles avec leur ric éduqué par la télé, des familles monoparentales sans repère, à aucun moment le peuple ne doit se prononcer sur certaines choses, il a déjà trop de pouvoir par les réseaux sociaux, la parole d'une personne, d'une rumeur peut faire écrouler un pays.
Si on se retrouve désormais avec des hommes politiques sans diplôme, arrivistes, c'est ce que le peuple veut. Il peut pas à la fois défoncer la logique aristocratique, l'héritage, et prôner l'égalité et l'accession au pouvoir, aux études à tous.
Les études ne valent plus rien lorsque tu ne mets plus de limite à l'accessibilité, il en est de même avec le pouvoir.