Le 24 août 2024 à 22:55:22 :
Quand t'es un 0 tout, il ne te reste plus qu'un métarecit ou ton groupe biologique pour les ultra-droitards ou social pour les ultra-gauchards sont les héros du monde de demain
C'est réel bordel les deux faces d'une même pièce
Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
Et dire que quand on discute avec un droitard on a affaire à ce genre de spécimen en réalité
Le 24 août 2024 à 23:19:43 :
Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
Le 24 août 2024 à 23:20:09 :
Et dire que quand on discute avec un droitard on a affaire à ce genre de spécimen en réalité
Évitez de croire que ça ne s'applique qu'aux droitards. Les cas-soc communistes avec des photos de Staline et des drapeaux de l'URSS dans des piaules qui puent le foutre et le ressentiment contre le monde sont aussi légions sur Twitter.
Le 24 août 2024 à 23:24:02 :
Le 24 août 2024 à 23:19:43 :
Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Le 24 août 2024 à 23:24:55 :
Le 24 août 2024 à 23:20:09 :
Et dire que quand on discute avec un droitard on a affaire à ce genre de spécimen en réalitéÉvitez de croire que ça ne s'applique qu'aux droitards. Les cas-soc communistes avec des photos de Staline et des drapeaux de l'URSS dans des piaules qui puent le foutre et le ressentiment contre le monde sont aussi légions sur Twitter.
ça s'applique quasi exclusivement aux communistes en France, où la restriction de l'expression empêche des cas tels que ceux de 4chan
Le 24 août 2024 à 20:57:55 :
GRANDMA'S HOUSEhttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/16/1/1713189916-jesus-pince-nez-de-coter.png
Putain mais ce sale déchet vit chez sa grand mèrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/16/1/1713189916-jesus-pince-nez-de-coter.png
Mamy qui regrette les jeunesses hitlériennes
Le 24 août 2024 à 23:28:38 :
Le 24 août 2024 à 23:24:02 :
Le 24 août 2024 à 23:19:43 :
Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
moi j'écoute des marches militaire allemand et j'ai pas du tout ce physique la mais plutot sportif et musclé
Le 24 août 2024 à 23:30:08 :
Le 24 août 2024 à 23:28:38 :
Le 24 août 2024 à 23:24:02 :
Le 24 août 2024 à 23:19:43 :
Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
> Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
>Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.
>
> Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
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> Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
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> Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
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> Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
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> Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
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> Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
>
> Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
>
> Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
Le 24 août 2024 à 23:32:10 :
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>> Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
> >Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.
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> > Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
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> > Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
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> > Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
> >
> > Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
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> > Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
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> > Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
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> > Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
> >
> > Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
>
> Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
mp
Le 24 août 2024 à 23:32:10 SuicideCaca11 a écrit :
Le 24 août 2024 à 23:30:08 :
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> Le 24 août 2024 à 23:16:20 :
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> > Le 24 août 2024 à 23:12:41 :
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> >Et ainsi, la grande farce tragique de ces vies avortées se poursuit, dans l'indifférence glaciale du monde qui tourne toujours, imperturbable. Dehors, les rues grouillent de ceux qui avancent, qui construisent, qui aiment et qui souffrent, mais qui vivent, eux. Les lumières de la ville clignotent, les néons s’allument et s’éteignent, et quelque part, une horloge continue de battre le tempo du temps qui passe, insensible à ces existences qui se sont arrêtées avant même d’avoir commencé.
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> > Ces jeunes hommes, perdus dans leurs rêves tordus de grandeur, n’ont jamais été que des ombres, des silhouettes floues que personne ne remarque vraiment. À peine sortis de l’enfance, ils se sont englués dans une haine apprise, héritée d’Internet, ce gouffre noir où toutes les amertumes se déversent, où tous les espoirs viennent mourir. Ils se sont laissés séduire par les illusions de puissance, par la promesse de faire partie d’un tout, d’un mouvement, même si ce n’était qu’un mensonge, un mirage.
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> > Mais le mirage s’est dissipé, les avatars sont tombés, révélant des visages sans éclat, sans expression, des masques fatigués de tant de veilles inutiles, d'autant de nuits passées à ruminer le vide. Ils se croyaient en guerre, mais ils n’ont jamais quitté leur tranchée imaginaire, cette tranchée qu’ils ont creusée eux-mêmes dans leur esprit, remplie de peurs et de rancœurs, de tout ce qu’ils n’ont pas su comprendre ni maîtriser.
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> > Leur colère, nourrie d’ignorance et d’un sentiment de trahison qu’ils ne savent même pas expliquer, s’est retournée contre eux, les a enfermés dans une spirale dont ils n’ont jamais voulu ou pu sortir. Ils se sont trouvés, dans ces forums glauques, des compagnons de misère, des frères d’arme aussi déchus qu’eux, mais ça ne les a pas sauvés. Au contraire, ça les a précipités plus vite encore dans l’abîme, chacun contribuant à creuser un peu plus la tombe collective où ils s’enterrent, lentement mais sûrement.
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> > Les murs de leurs cellules, qu’ils soient de béton ou numériques, n’ont fait que refléter leur propre désespoir. Ils ont joué avec le feu, sans comprendre que ce feu ne les brûlerait pas seulement, mais les consumerait tout entiers. Et maintenant, ils sont là, ces jeunes hommes sans avenir, devant des juges qui les regardent sans vraiment les voir, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces juges, avec d’autres affaires, d’autres vies à juger.
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> > Pour ces jeunes, il n’y aura pas de rédemption, juste une longue suite de jours gris, de nuits sans fin, où les souvenirs de ce qu’ils auraient pu être viendront les hanter. Ils n’ont jamais été que des fantômes, des présences éphémères qui n’ont laissé aucune trace, sinon dans les annales d’une justice qui se veut exemplaire, mais qui ne peut rien contre cette misère-là, cette misère morale et intellectuelle qui a fait d’eux des loques humaines avant l’heure.
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> > Et ainsi, le cycle continue. Dehors, d’autres jeunes sont déjà en train de suivre le même chemin, attirés par les mêmes sirènes mensongères, par cette promesse vide de sens d’appartenir à quelque chose de plus grand qu’eux. Ils finiront de la même manière, broyés par une machine sociale qui ne leur laisse aucune chance, qui ne leur offre aucune porte de sortie.
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> > Et nous, les autres, nous regardons tout cela avec une sorte de résignation, comme si c’était inévitable, comme si c’était le cours normal des choses. Nous passons à autre chose, à la prochaine alerte info, au prochain scandale, et nous oublions. Parce que c’est plus simple, parce que c’est plus confortable que de se demander pourquoi, pourquoi ces jeunes hommes se sont perdus en route, pourquoi personne n’a tendu la main pour les tirer de leur naufrage avant qu’il ne soit trop tard.
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> > Mais il est trop tard maintenant, pour eux du moins. Ils disparaîtront dans l’oubli, tout comme ils ont vécu, dans l’anonymat le plus complet. Et le monde continuera de tourner, indifférent à ces drames silencieux qui se jouent dans l’ombre, chaque jour, chaque nuit, à chaque instant.
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> Résume moi ça ChatGPT, merci
Et pourtant, ce silence qui les enveloppe, ces jeunes hommes en perdition, n’est pas tout à fait sans écho. Dans les couloirs déserts de leurs pensées, résonnent encore les voix des discours creux qui les ont séduits, ces slogans faciles, ces théories simplistes qui leur promettaient un rôle, une place dans ce monde qui les a si vite rejetés. Ils y ont cru, aveuglément, parce que c’était tout ce qu’ils avaient, ces illusions de grandeur dans un océan de banalité.
Ils n’étaient pas méchants au départ, ces garçons, juste ignorants, désespérés, en quête d’un sens, d’une direction. Mais dans un monde où personne ne leur a tendu la main, où les écoles n’ont été que des enclos à frustrations, où les familles se sont fissurées sous le poids de la routine et de l’indifférence, ils ont trouvé dans la haine un refuge, une forme de rébellion contre un destin qu’ils n’avaient pas choisi. Une rébellion vaine, sans noblesse, sans même de réelle conviction, juste la rage brute d’être nés dans une époque qui ne voulait pas d’eux.
Ils se sont jetés dans l’abîme, poussés par une force qu’ils ne comprenaient pas, et qui n’était rien d’autre que leur propre impuissance, déguisée en bravoure. Ils ont rêvé de brûler le monde, mais c’est eux qui se sont consumés, peu à peu, étouffés par leurs propres flammes. Ils n’ont jamais su qu’ils étaient déjà perdus avant même d’avoir commencé à lutter, que leur guerre n’était qu’un mirage, une excuse pour ne pas affronter la vacuité de leur existence.
Maintenant, ils errent dans les couloirs des commissariats, des tribunaux, comme des ombres erratiques, des spectres que plus personne ne peut sauver, même s’il y avait encore quelque chose à sauver. On leur parlera de réinsertion, de réhabilitation, mais ces mots sonnent creux pour des esprits déjà ravagés, des vies déjà brisées. Ils écouteront, sans vraiment entendre, les sermons des juges, les promesses des avocats, les conseils des psys. Mais tout ça glissera sur eux comme l’eau sur un rocher, sans laisser de trace, parce qu’ils sont déjà ailleurs, ces jeunes hommes, dans un autre monde, un monde où la douleur s’est fait habitude, où l’ennui s’est fait complice.
De retour dans leurs cellules, ou peut-être, pour les plus chanceux, dans les centres de redressement, ils retrouveront la solitude qu’ils connaissent si bien, ce face-à-face avec eux-mêmes qu’ils n’ont jamais su affronter. Ils replongeront dans les mêmes réflexions stériles, les mêmes rêves de revanche, de violence, parce que c’est tout ce qu’il leur reste, ce résidu de rage qui leur rappelle qu’ils existent encore, d’une manière ou d’une autre.
Les murs gris, les lits de fer, les repas insipides, tout cela deviendra leur quotidien, une routine qui finira par les engloutir tout entiers, jusqu’à ce qu’ils ne soient plus que des ombres parmi d’autres, des numéros dans un fichier, des noms sur une liste. Leurs visages perdront peu à peu toute expression, leurs voix s’éteindront dans le murmure collectif des âmes perdues.
Et la société, celle qui les a d’abord ignorés, puis jugés, finira par les oublier, les condamnant à une seconde mort, celle de l’oubli. Ils ne seront plus que des statistiques, des cas d’école pour les sociologues, des chiffres dans les rapports de police. Peut-être qu’un jour, quelqu’un écrira sur eux, tentera de comprendre ce qui les a menés là, mais ce ne sera qu’un exercice intellectuel, dénué de toute réelle compassion, une analyse froide et distante, bien loin de la chaleur humaine dont ils auraient eu besoin.
Ils disparaîtront dans l’histoire comme tant d’autres avant eux, des jeunes hommes qui auraient pu être autre chose, qui auraient pu construire, créer, aimer, mais qui ont été broyés par un système trop grand, trop froid pour s’intéresser à leurs petites vies, à leurs petites misères. Et ceux qui les suivront, ceux qui sont encore libres pour l’instant, continueront de marcher sur le même chemin, à leur tour aspirés par ce vide, par cette promesse de grandeur qui n’est qu’un mensonge.
Et le cycle recommencera, encore et encore, jusqu’à ce que quelque chose change, peut-être, un jour, si quelqu’un, quelque part, décide enfin de tendre la main à ces jeunes hommes avant qu’ils ne tombent, avant qu’ils ne s’éteignent dans l’obscurité de leurs propres démons. Mais en attendant, ils continuent de disparaître, silencieusement, un à un, dans l’indifférence générale, comme des feuilles mortes emportées par le vent d’automne.
zinzin, tu viens d'écrire tout ça ou je méconnais un pavé notoire ?
C'est la sainte IA. Je suis bluffé par ses capacités et je m'amuse à l'utiliser depuis peu sur le forum pour faire comprendre aux kheys les plus réfractaires qu'on va rentrer dans une nouvelle révolution industrielle.
L'IA encule déjà certains écrivains.
Envoie ton prompt. T'as demandé du Céline ?
Prompt bien précis, et en effet j'ai demandé la plume du King
t'utilises quelle ia ?
La vidéo que YT me propose après celle de l'OP, encore une cam de Police Américaine
La voix du Policier, quelle patience et gentillesse au début avec la blonde conductrice du véhicule.
On croirait plus une vidéo scénarisée -18 pour un site Po-no ...qu'une vidéo "Law & Crime"
Le drapeau putain
Le corps de lâche
La chambre en bordel
Le fait qu'il vive chez sa grand mère
Les plus grands défenseurs de la race blanche sur Internet sont systématiquement des déchets génétiques de basse classe j'ai remarqué