Le 26 avril 2023 à 20:15:15 :
Le 26 avril 2023 à 20:13:14 :
Le 26 avril 2023 à 20:11:48 :
Le 26 avril 2023 à 20:10:30 :
Le 26 avril 2023 à 20:09:13 :
> Le 26 avril 2023 à 20:05:23 :
>> Le 26 avril 2023 à 20:03:49 :
> >> Le 26 avril 2023 à 19:55:23 :
> > >Dans la même veine que le media
> >
> > Sauf que Le Media est sous la houlette d'une formation politique, en l'occurence La France Insoumise.
> > Blast n'est pas dirigée par un parti politique, mais par un collectif de journalistes indépendants.
> >
> > Ça fait une différence. Même si elle penche à gauche, elle ne fait pas la promotion d'un parti en particulier.
>
> quel est la solution que Blast propose en terme d'inflation ?
Il n'y'a pas de solution toute faite, même si un blocage de certains prix sembld indispensable.
Blast propose au travers de ses vidéos de l'analyse. L'inflation actuelle est liée en partie à la dérégulation des marchés, notamment de celui de l'électricité.
Bon tu n'as aucune connaissance en économie ..
L'inflation est un phénomène monétaire lié à la sur-impression de monnaie ensuite la solution est de monter les taux d'interets ...
Bon au moins on sait que Blast ne fait pas d'analyse économique ....
Déjà quand tu vois qu'ils disent que Science Po est "neoliberal" (alors que ça vire de plus en plus à gauche + le neoliberalisme n'existe pas)...
ça a existé dans les années 90 aux Etats-Unis
C'est plus un terme péjoratif qu'autre chose
Voir ce pavé bien explicatif:
Aucun intellectuel ne se définit comme néolibéral et aucun gouvernement au monde n’applique les idées prétendument attribuées à cette doctrine fantomatique. C’est une mystification intellectuelle. Cette théorie inventée de toutes pièces par des intellectuels antilibéraux en vue de discréditer indirectement le libéralisme est un agrégat de propositions caricaturales, d’affirmations cyniques, de mythes (sélection du plus fort, démantèlement de la sécurité sociale, négation de toute normativité, etc.), de citations tronquées ou mensongèrement attribuées aux libéraux. Depuis, les choses se sont compliquées : en raison du caractère prolifique de cette littérature antilibérale depuis des décennies, les intellectuels antilibéraux en sont venus à considérer de bonne foi que les amalgames, inventions et mensonges de leurs prédécesseurs sur le libéralisme constituaient réellement le corpus du libéralisme.
D'ailleurs ce terme en a été discuté par des intellectuels plus ou moins libéraux à l'époque, en août 1938 lors du colloque Lippmann qui réunissait des intellectuels de l’époque, certains vrais libéraux (Mises, Hayek, Étienne Mantoux…), d’autres beaucoup moins libéraux (Marcel Bourgeois, Louis Marlio : keynésien ; catholicisme social), ou très peu libéraux (Ernest Mercier : antiparlementarisme, Louis Bodin : corporatiste) autour des questions portant sur la défense d’une société libre. Quelles sont les causes du déclin du libéralisme ? Comment sauver le libéralisme face à la montée des grands totalitarismes ?
Le néolibéralisme fut l’un des termes proposés parmi ceux qui considéraient que le libéralisme devait se renouveler sur le fond et sur la forme, en laissant une place plus importante à l’État. Le terme n’était donc déjà pas consensuel parmi les libéraux. Les libéraux dits classiques (Mises, Hayek) ne partageant ni le diagnostic, ni le remède, ni donc l’intérêt d’un nouveau terme.
Néolibéralisme ne sera même pas beaucoup usité parmi ces « nouveaux » libéraux, les Allemands autour de Wilhelm Röpke, par exemple, préféreront le terme d’ordolibéralisme. On notera en passant que le néolibéralisme n’a pas servi à théoriser un libéralisme radical, mais au contraire à mettre en avant un nouveau libéralisme atténué par des interventions de l’État.
Le terme néolibéral fut ensuite utilisé sporadiquement par certains libéraux avant d’être complètement abandonné par ces derniers. Il n’a jamais fait l’objet d’une reconnaissance de masse chez les libéraux.
Il fut utilisé par contre abondamment par des intellectuels non-libéraux, parfois de manière intéressante, mais avec des définitions changeantes d’un auteur à l’autre ; le fait qu’aucun penseur ou courant politique ne s’en réclame pour trancher son sens, ou servir d’objet d’étude, favorisant évidement le foisonnement de définitions.
Cela fait donc plusieurs décennies qu’il n’est ni un étendard, personne ne s’en réclame, ni même un terme scientifique sa définition n’a ni rigueur ni constance. Donc arrêtez de l'utiliser bordel, s'il vous plait.
On s'en blc en gros on aime pas ceux qui trouvent légitimes d'enculer la planète et de payer des salariés au lance pierres pour engraisser des actionnaires.
C'est à dire les libéraux