Le 25 février 2023 à 17:43:59 :
> Le 25 février 2023 à 17:41:29 :
>> Le 25 février 2023 à 17:38:17 :
> >> Le 25 février 2023 à 17:34:11 :
> > >Tu es surtout un petit masochiste.
> > >
> > > Tu aurais pu laisser cette période de ta vie derrière toi mais non, c’était plus fort que toi, il te fallait pister ce type. Et puisque les réseaux sociaux sont des vitrines qui nous permettent de bâtir l’illusion d’une vie bien codifiée, tu as préféré te renseigner sur lui par ce biais, pour être sûr que l’image que tu aurais de lui soit parfaite. Tu voulais souffrir. Tu voulais, au fond, qu’il ait réussi mieux que toi. Tout ça pour te conforter dans ton rôle de victime; victime d’une fatalité, victime de “la génétique”, victime de tout ce qui pourrait te déresponsabiliser et t’éviter de devenir autre chose que le lâche que tu es.
> > >
> > > Mais sache-le : tu es l’architecte de ta douleur. Et tu aimes ça.
> >
> > Oui et non.
> > Etre l'architecte ça signifie en conséquence avoir la pleine maîtrise de ses choix hors la question c'est pourquoi faire ce choix masochiste si tu est en pleine puissance comme un architecte ?
> > La vérité c'est qu'il est dans une boucle qu'il n'arrive pas a s'extraire, probablement les conséquences tardive de son harcèlement.
> > En d'autre mots, ils a besoin d'aide
> >
> >
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> Le masochiste a toujours un degré élevé de puissance et de contrôle sur sa propre souffrance. Il veut souffrir selon les conditions qu’il aura pu établir lui-même. C’est aussi pour ça qu’il parvient à aimer sa douleur.
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> C’est pour ça que les relations SM sont souvent contractuelles. Le/la masochiste impose au sadique des limites. Le/la sadique ne peut pas tout faire sur lui. Et les deux conviennent souvent d’un “mot de passe” qui permet de signaler l’arrêt des frais.
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> La seule aide qu’on pourrait offrir à l’auteur, c’est le ramener à la réalité de ses tendances masochistes. Il aime souffrir parce que ça le déresponsabilise.
Pour etre dans le bdsm c'est aussi pour une question de securité
Évidemment. Mais si le masochisme se résumait simplement à “j’aime souffrir”, la question de la sécurité ne se poserait pas.