Le 14 décembre 2022 à 19:45:34 :
Le 14 décembre 2022 à 19:43:18 :
Le 14 décembre 2022 à 19:42:50 :
Le 14 décembre 2022 à 19:13:35 :
Le 14 décembre 2022 à 19:12:56 :
J'adore ce mecGuillaume Erner ?
Attention à Janco, il est très bon mais il dit parfois de la merde.
Des exemples ?
Quand il dit que la crise de 2008 est déclenchée par un choc pétrolier.
El famoso "subprimes"
Je vous conseille le film "Big Short" (avec des belles têtes d'affiche en plus !) et le docu "Inside Job" de Charles Henry Ferguson sur ce sujet d'ailleurs
Je les ai vus trois fois.
le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
"S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."Il a l'air cool !
Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Le 14 décembre 2022 à 19:43:18 :
Le 14 décembre 2022 à 19:42:50 :
Le 14 décembre 2022 à 19:13:35 :
Le 14 décembre 2022 à 19:12:56 :
J'adore ce mecGuillaume Erner ?
Attention à Janco, il est très bon mais il dit parfois de la merde.
Des exemples ?
Quand il dit que la crise de 2008 est causée par un choc pétrolier.
https://jancovici.com/publications-et-co/articles-de-presse/du-petrole-ou-pas/
Ce passage du pic conventionnel conduit la production mondiale à rester quasiment stable de 2005 à 2009, déclenchant un nouveau choc, qui vient heurter le mur de dettes qui s’est patiemment construit depuis le choc de 1973, et qui restera dans les mémoires sous le nom de « crise des subprime ».
Ah oui, il est prêt à tout pour vendre son idéologie
Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
"S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."Il a l'air cool !
Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
Le 14 décembre 2022 à 19:50:51 :
Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
"S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."Il a l'air cool !
Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
T'as le M2 aussi pour te spécialiser ou faire un dd si tu viens d'une grande école.
Mais ça fait tâche que les étudiants des mines... détestent les mines
Le 14 décembre 2022 à 19:53:08 :
Le 14 décembre 2022 à 19:50:51 :
Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
"S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."Il a l'air cool !
Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
T'as le M2 aussi pour te spécialiser ou faire un dd si tu viens d'une grande école.
Mais ça fait tâche que les étudiants des mines... détestent les mines
J'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Le 14 décembre 2022 à 19:56:23 :
Le 14 décembre 2022 à 19:53:08 :
Le 14 décembre 2022 à 19:50:51 :
Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
> le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
> "S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."
Il a l'air cool !
Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
T'as le M2 aussi pour te spécialiser ou faire un dd si tu viens d'une grande école.
Mais ça fait tâche que les étudiants des mines... détestent les minesJ'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Oui
Le 14 décembre 2022 à 19:57:28 :
Le 14 décembre 2022 à 19:56:23 :
Le 14 décembre 2022 à 19:53:08 :
Le 14 décembre 2022 à 19:50:51 :
Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
> > le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
> > "S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."
>
>
> Il a l'air cool !
>
> Il est bien ?
Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
T'as le M2 aussi pour te spécialiser ou faire un dd si tu viens d'une grande école.
Mais ça fait tâche que les étudiants des mines... détestent les minesJ'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Oui
Pourquoi les gamins en maths sup se branlent sur le nom de l'école où ils aimeraient faire leur DD alors ?
C'est juste qu'ils n'ont pas compris le concept, ou bien l'effet cosmétique fonctionne vraiment ?
J'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Parfois.
Mais souvent, c'est l'aspect cosmétique. Comment expliquer sinon, par exemple, l'existence d'un double diplôme ENSAI-ENSAE ?
Qui n'est pratiqué, d'ailleurs, que dans un seul sens
Le 14 décembre 2022 à 20:04:17 :
J'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Parfois.
Mais souvent, c'est l'aspect cosmétique. Comment expliquer sinon, par exemple, l'existence d'un double diplôme ENSAI-ENSAE ?
Qui n'est pratiqué, d'ailleurs, que dans un seul sens
Je me demande si les employeurs y sont sensibles.
Plus le temps passe, plus je me dis qu'en tant qu'employeur, je regarderais surtout les GitHub, les Kaggle, les publications et ce genre de choses (dans mon domaine).
Le service public ravagé par la gauchiasserie mis en pièce en 30 secondes
Inadmissible de payer pour ça
Grotte mais toujours bien drôle, le nucléaire c'est clairement l'avenir, les risques sont maitrisés depuis Tchernobyl et quand on voit la production d'une centrale c'est juste abusé la puissance de ces machins
Le 14 décembre 2022 à 19:58:40 :
Le 14 décembre 2022 à 19:57:28 :
Le 14 décembre 2022 à 19:56:23 :
Le 14 décembre 2022 à 19:53:08 :
Le 14 décembre 2022 à 19:50:51 :
> Le 14 décembre 2022 à 19:48:24 :
>> > le voilà : https://www.editionsartilleur.fr/produit/rebatir-france-education-enseignement/
> > > "S’agissant de l’enseignement supérieur, la formation des sphères dirigeantes du pays est restée scindée depuis Napoléon 1er en deux univers qui ne parlent pas la même langue. Du côté des entreprises, les « grandes écoles d’ingénieurs » où règnent sans partage des mathématiques excessivement abstraites, sans culture générale vraiment solide. Et de l’autre, celui de la sphère publique, le règne du verbe et l’ignorance des chiffres dans un monde qu’il est désormais impossible de comprendre sans les maîtriser."
> >
> >
> > Il a l'air cool !
> >
> > Il est bien ?
>
> Oui il est intéressant, l'auteur écrit pour que ce soit digeste avec des chiffes, donc on n'est pas sur de la haute complexité. Il parle de la déconnexion entre science-po qui fournit presque tous les politiques, et les grandes écoles de l'autre. Il parle aussi de l'absurdité de l'enseignement dans les grandes écoles (avec un cursus trop généraliste) et la raison historique (un débat entre Monge et Laplace). L'auteur fait partie par ailleurs d'une famille de polytechniciens de père en fils sur 6 générations. Le livre est juste un poil cher.
Je trouve ça bien un cursus généraliste, de toute façon tu te spécialises toujours avec tes stages puis avec ton taf.
C'est ce qui permet d'aller piocher des idées ailleurs, de ne pas rester enfermé dans une voie...
T'as le M2 aussi pour te spécialiser ou faire un dd si tu viens d'une grande école.
Mais ça fait tâche que les étudiants des mines... détestent les minesJ'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Oui
Pourquoi les gamins en maths sup se branlent sur le nom de l'école où ils aimeraient faire leur DD alors ?
C'est juste qu'ils n'ont pas compris le concept, ou bien l'effet cosmétique fonctionne vraiment ?
Oui (ils n'ont pas compris le concept). Et non l'effet cosmétique ne fonctionne pas.
Pour ma part en master d'info t'as pas mal d'élève d'ingé en M2 (1/3 de la promo).
Le 14 décembre 2022 à 20:07:07 :
Le 14 décembre 2022 à 20:04:17 :
J'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Parfois.
Mais souvent, c'est l'aspect cosmétique. Comment expliquer sinon, par exemple, l'existence d'un double diplôme ENSAI-ENSAE ?
Qui n'est pratiqué, d'ailleurs, que dans un seul sens
Je me demande si les employeurs y sont sensibles.
Plus le temps passe, plus je me dis qu'en tant qu'employeur, je regarderais surtout les GitHub, les Kaggle, les publications et ce genre de choses (dans mon domaine).
C'est aussi mon domaine pour l'instant. D'expérience, peu d'employeurs de grosses boîtes y sont sensibles en France : on me demandait rarement de lien pendant mes recherches de poste.
Et même quand on me le demandait, je me suis rendu compte que personne n'avait rien lu même pour l'entretien technique
Je l'explique par le fait qu'ils ont souvent un grand nombre de candidatures, et donc qu'il faut trier rapidement les candidats. Ils ont pas le temps de lire le script python du candidat Michu. D'autre part les premiers sélectionneurs sont souvent des RH qui n'ont pas la capacité de juger la compétence par ce biais.
Ah, et aussi le fait que le chef de service s'en bat les couilles de la compétence du candidat. Ce qui est demandé est de toutes façon hyper simple, un niveau bac suffit largement en général.
Qui plus est, le chef de service est souvent médiocre et cherche à avoir des agents qu'il peut contrôler pour les quelques années qui lui restent sur son poste.
Le 14 décembre 2022 à 20:15:25 :
Le 14 décembre 2022 à 20:07:07 :
Le 14 décembre 2022 à 20:04:17 :
J'ai toujours pas compris l'intérêt des doubles diplômes (hormis l'aspect cosmétique sur le CV).
C'est juste un moyen d'étudier une spécialité qui n'est pas enseignée dans ton établissement non ?
Parfois.
Mais souvent, c'est l'aspect cosmétique. Comment expliquer sinon, par exemple, l'existence d'un double diplôme ENSAI-ENSAE ?
Qui n'est pratiqué, d'ailleurs, que dans un seul sens
Je me demande si les employeurs y sont sensibles.
Plus le temps passe, plus je me dis qu'en tant qu'employeur, je regarderais surtout les GitHub, les Kaggle, les publications et ce genre de choses (dans mon domaine).
C'est aussi mon domaine pour l'instant. D'expérience, peu d'employeurs de grosses boîtes y sont sensibles en France : on me demandait rarement de lien pendant mes recherches de poste.
Et même quand on me le demandait, je me suis rendu compte que personne n'avait rien lu même pour l'entretien technique
Je l'explique par le fait qu'ils ont souvent un grand nombre de candidatures, et donc qu'il faut trier rapidement les candidats. Ils ont pas le temps de lire le script python du candidat Michu. D'autre part les premiers sélectionneurs sont souvent des RH qui n'ont pas la capacité de juger la compétence par ce biais.
Ah, et aussi le fait que le chef de service s'en bat les couilles de la compétence du candidat. Ce qui est demandé est de toutes façon hyper simple, un niveau bac suffit largement en général.
Qui plus est, le chef de service est souvent médiocre et cherche à avoir des agents qu'il peut contrôler pour les quelques années qui lui restent sur son poste.
Oui absolument, c'est le cas pour les grosses boîtes.
Mais mon intuition, peut-être erronée, est que les entreprises qui seront plus rationnelles au niveau de leur recrutement vont détruire la plupart des entreprises traditionnelles.
Même dans le milieu de la tech, entre les entreprises type Twitter pré-Musk avec 5 fois trop d'employés et 90% qui ne branlent rien, les entreprises chiantes qui ne veulent pas de télétravail ou évaluent les employés au nombre de lignes, les entreprises type Google/Microsoft où des teubés au QI à deux chiffres sont pris parce qu'ils ont appris par cœur pendant 1 an tous les livres du type "cracking the code interview", ou encore les mecs des cabinets de conseil qui sont recrutés uniquement sur le prestige de leur diplôme, je suis persuadé que des petites équipes de types motivés et compétents peuvent faire un carnage.
Typiquement, chez Instagram ils étaient 13 quand ils se sont faits racheter par FB, ils étaient 20 chez Snapchat avant les propositions de rachat par Google et FB, 35 chez WhatsApp avant le rachat par FB...
Si j'étais employeur, je prendrais d'abord des mecs qui se sont lancés dans des projets, qu'ils aient réussi ou non, avec tout ce que ça implique d'expérience acquise sur le plan humain, et tout ce que ça révèle en terme de caractère.
Oui absolument, c'est le cas pour les grosses boîtes.
Mais mon intuition, peut-être erronée, est que les entreprises qui seront plus rationnelles au niveau de leur recrutement vont détruire la plupart des entreprises traditionnelles.
Même dans le milieu de la tech, entre les entreprises type Twitter pré-Musk avec 5 fois trop d'employés et 90% qui ne branlent rien, les entreprises chiantes qui ne veulent pas de télétravail ou évaluent les employés au nombre de lignes, les entreprises type Google/Microsoft où des teubés au QI à deux chiffres sont pris parce qu'ils ont appris par cœur pendant 1 an tous les livres du type "cracking the code interview", ou encore les mecs des cabinets de conseil qui sont recrutés uniquement sur le prestige de leur diplôme, je suis persuadé que des petites équipes de types motivés et compétents peuvent faire un carnage.
Typiquement, chez Instagram ils étaient 13 quand ils se sont faits racheter par FB, ils étaient 20 chez Snapchat avant les propositions de rachat par Google et FB, 35 chez WhatsApp avant le rachat par FB...
Si j'étais employeur, je prendrais d'abord des mecs qui se sont lancés dans des projets, qu'ils aient réussi ou non, avec tout ce que ça implique d'expérience acquise sur le plan humain, et tout ce que ça révèle en terme de caractère.
Moi aussi évidemment. C'est même trop évident ! Qu'on ne le fasse pas traduit une inefficacité dans le domaine de la data voire dans le monde du travail en général...
Après, je pense que tu as tort. Tu présupposes que les grosses boîtes sont obligées d'innover / de travailler en interne pour créer des produits compétitifs. Il n'y a qu'à voir la stratégie ultra agressive de Google de rachat de centaines de startups innovantes pour voir qu'ils ont d'autres leviers : https://www.webrankinfo.com/dossiers/google/acquisitions (liste non exhaustive, contrairement à ce qu'affirme le site).
Bref, c'est un problème. Ils sont too big to fail.
Le 14 décembre 2022 à 20:39:29 :
Oui absolument, c'est le cas pour les grosses boîtes.
Mais mon intuition, peut-être erronée, est que les entreprises qui seront plus rationnelles au niveau de leur recrutement vont détruire la plupart des entreprises traditionnelles.
Même dans le milieu de la tech, entre les entreprises type Twitter pré-Musk avec 5 fois trop d'employés et 90% qui ne branlent rien, les entreprises chiantes qui ne veulent pas de télétravail ou évaluent les employés au nombre de lignes, les entreprises type Google/Microsoft où des teubés au QI à deux chiffres sont pris parce qu'ils ont appris par cœur pendant 1 an tous les livres du type "cracking the code interview", ou encore les mecs des cabinets de conseil qui sont recrutés uniquement sur le prestige de leur diplôme, je suis persuadé que des petites équipes de types motivés et compétents peuvent faire un carnage.
Typiquement, chez Instagram ils étaient 13 quand ils se sont faits racheter par FB, ils étaient 20 chez Snapchat avant les propositions de rachat par Google et FB, 35 chez WhatsApp avant le rachat par FB...
Si j'étais employeur, je prendrais d'abord des mecs qui se sont lancés dans des projets, qu'ils aient réussi ou non, avec tout ce que ça implique d'expérience acquise sur le plan humain, et tout ce que ça révèle en terme de caractère.
Moi aussi évidemment. C'est même trop évident ! Qu'on ne le fasse pas traduit une inefficacité dans le domaine de la data voire dans le monde du travail en général...
Après, je pense que tu as tort. Tu présupposes que les grosses boîtes sont obligées d'innover / de travailler en interne pour créer des produits compétitifs. Il n'y a qu'à voir la stratégie ultra agressive de Google de rachat de centaines de startups innovantes pour voir qu'ils ont d'autres leviers : https://www.webrankinfo.com/dossiers/google/acquisitions (liste non exhaustive, contrairement à ce qu'affirme le site).
Bref, c'est un problème. Ils sont too big to fail.
En effet.
Mais on peut imaginer des petites boîtes concurrencer les géants sur des segments de marché très spécifiques.