[PSYCHANALYSE] Un PSY de COMPTOIR dans le coin ? :)
Le 01 février 2021 à 00:54:59 VieuxFagot a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:44:15 TheNamelessMore a écrit :
Que vois tu ici?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/1/1612136652-dessin4.gif Un monstre type Gormiti ou "La chose" de marvel en position cowboy (avec des chaussures de cowboy aussi) avec des touuuus pitits bras ridicules sur son torse large et un oeil suspicieux.
Et il est "semi" assis sur une table ou un tabouret de coiffeur avec les pieds qui touchent pas le sol, ce qui accentue un peu cet air ridicule malgré ses jambes et sa corpulence qui en impose.C'était honnête et spontané même si c'est long et j'ai encore essayé de être synthétique
... T'en penses quoi ?
Te sens en permanence jugé par les gens de pouvoir? As tu un coté rebelle qui trouve l'autorité ridicule?
Quand est il de ton père comment le qualifirai tu?
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !
Le 01 février 2021 à 01:01:26 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !
Je sais. Je veux pas finir comme ces gens qui vivent derrière l'espèce d'emblème rassurante du trouble. Me justifier avec ça. J'ai juste besoin de comprendre. Je me sens malade. Il y a quelque chose de dysfonctionnel chez moi.
Le fait d'avoir le nom d'un trouble rendrait mon intimité moins unique et donc moins étrangère.
Le 01 février 2021 à 00:59:44 TheNamelessMore a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:54:59 VieuxFagot a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:44:15 TheNamelessMore a écrit :
Que vois tu ici?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/05/1/1612136652-dessin4.gif Un monstre type Gormiti ou "La chose" de marvel en position cowboy (avec des chaussures de cowboy aussi) avec des touuuus pitits bras ridicules sur son torse large et un oeil suspicieux.
Et il est "semi" assis sur une table ou un tabouret de coiffeur avec les pieds qui touchent pas le sol, ce qui accentue un peu cet air ridicule malgré ses jambes et sa corpulence qui en impose.C'était honnête et spontané même si c'est long et j'ai encore essayé de être synthétique
Te sens en permanence jugé par les gens de pouvoir? As tu un coté rebelle qui trouve l'autorité ridicule?
Quand est il de ton père comment le qualifirai tu?
J'ai été militaire, l'autorité est naturelle à la vie pour moi comme toute forme de hiérarchie.
Je vois mon père comme un enfant entretenu et rêveur, qui a au moins le mérite d'être maître de ses émotions.
Paradoxalement je l'ai toujours trouvé immature et profondément égoïste et égocentrique
Le 01 février 2021 à 01:10:41 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:20 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:03:57 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:01:26 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !Je sais. Je veux pas finir comme ces gens qui vivent derrière l'espèce d'emblème rassurante du trouble. Me justifier avec ça. J'ai juste besoin de comprendre. Je me sens malade. Il y a quelque chose de dysfonctionnel chez moi.
Le fait d'avoir le nom d'un trouble rendrait mon intimité moins unique et donc moins étrangère.J'ai peu d'éléments pour t'orienter mais peut-être que tu pourrais trouver des éléments de réponses du côté de la question des limites/excès et de ce qu'on appelle les "états limites"
C'est quoi ?
Pour dire simplement c'est la difficulté à mettre des limites dans la relation soi-autre (oscille entre amour et rejet souvent) et ces affects (très forts de fait) trouvent sont souvent mal gérés : prise de risque, mise en danger (alcool, drogue, impulsivité). Honnêtement c'est une piste parmi tant d'autre mais ça serait intéressant de questionner le lien à l'autre avec ton analyste (genre si tu arrives à garder des relations stables ou pas toussa)
Le 01 février 2021 à 01:15:57 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:41 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:20 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:03:57 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:01:26 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !Je sais. Je veux pas finir comme ces gens qui vivent derrière l'espèce d'emblème rassurante du trouble. Me justifier avec ça. J'ai juste besoin de comprendre. Je me sens malade. Il y a quelque chose de dysfonctionnel chez moi.
Le fait d'avoir le nom d'un trouble rendrait mon intimité moins unique et donc moins étrangère.J'ai peu d'éléments pour t'orienter mais peut-être que tu pourrais trouver des éléments de réponses du côté de la question des limites/excès et de ce qu'on appelle les "états limites"
C'est quoi ?
Pour dire simplement c'est la difficulté à mettre des limites dans la relation soi-autre (oscille entre amour et rejet souvent) et ces affects (très forts de fait) trouvent sont souvent mal gérés : prise de risque, mise en danger (alcool, drogue, impulsivité). Honnêtement c'est une piste parmi tant d'autre mais ça serait intéressant de questionner le lien à l'autre avec ton analyste (genre si tu arrives à garder des relations stables ou pas toussa)
Ah borderline. Je suis tellement habitué à le lire en anglais...Non je ne suis pas borderline, je ne me reconnais pas du tout dedans.
Mais je suis sorti avec une borderline.
La seule chose de borderline chez moi, c'est ma façon de me "confondre avec l'autre" dans l'amour, mes sentiments massifs, à quel point je me brûle dans la passion et que je recherche toujours ces amours totémiques, immenses, divins.
Le vide de la chasse quand j'ai enfin réussi à obtenir ce que je voulais. Le rejet en masse de l'amour de l'autre quand il est confirmé.
Mais c'est pas comme un borderline. Je vais pas me mettre à chercher à détruire l'autre, avoir des comportements impulsifs ou même ramper à ses pieds quand c'est fini. Au contraire, quand c'est fini (à moins d'être vraiment tombé amoureux et pas plutôt d'avoir cherché à être amoureux) je passe à autre chose au bout de deux jours car je n'avais jamais été attaché au fond.
J'ai des carences affectives, une grande dépréciation de moi et je cherche à les combler avec les drogues fortes de personnes intenses. Ce qui me mène à souvent tomber sur des tarées pire que moi ou être déçu parce qu'elles ne correspondent pas à mes attentes émotionnelles.
Le 01 février 2021 à 01:25:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:15:57 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:41 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:20 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:03:57 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:01:26 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !Je sais. Je veux pas finir comme ces gens qui vivent derrière l'espèce d'emblème rassurante du trouble. Me justifier avec ça. J'ai juste besoin de comprendre. Je me sens malade. Il y a quelque chose de dysfonctionnel chez moi.
Le fait d'avoir le nom d'un trouble rendrait mon intimité moins unique et donc moins étrangère.J'ai peu d'éléments pour t'orienter mais peut-être que tu pourrais trouver des éléments de réponses du côté de la question des limites/excès et de ce qu'on appelle les "états limites"
C'est quoi ?
Pour dire simplement c'est la difficulté à mettre des limites dans la relation soi-autre (oscille entre amour et rejet souvent) et ces affects (très forts de fait) trouvent sont souvent mal gérés : prise de risque, mise en danger (alcool, drogue, impulsivité). Honnêtement c'est une piste parmi tant d'autre mais ça serait intéressant de questionner le lien à l'autre avec ton analyste (genre si tu arrives à garder des relations stables ou pas toussa)
Ah borderline. Je suis tellement habitué à le lire en anglais...Non je ne suis pas borderline, je ne me reconnais pas du tout dedans.
Mais je suis sorti avec une borderline.La seule chose de borderline chez moi, c'est ma façon de me "confondre avec l'autre" dans l'amour, mes sentiments massifs, à quel point je me brûle dans la passion et que je recherche toujours ces amours totémiques, immenses, divins.
Le vide de la chasse quand j'ai enfin réussi à obtenir ce que je voulais. Le rejet en masse de l'amour de l'autre quand il est confirmé.
Mais c'est pas comme un borderline. Je vais pas me mettre à chercher à détruire l'autre, avoir des comportements impulsifs ou même ramper à ses pieds quand c'est fini. Au contraire, quand c'est fini (à moins d'être vraiment tombé amoureux et pas plutôt d'avoir cherché à être amoureux) je passe à autre chose au bout de deux jours car je n'avais jamais été attaché au fond.J'ai des carences affectives, une grande dépréciation de moi et je cherche à les combler avec les drogues fortes de personnes intenses. Ce qui me mène à souvent tomber sur des tarées pire que moi ou être déçu parce qu'elles ne correspondent pas à mes attentes émotionnelles.
D'accord je comprend, on est sans doute pas dans ce registre du coup. Mais quand tu décris les relations (désir de fusion) la question des "limites" au sens large se pose quand même ("jusqu'à quel point je me donne à l'autre?") etc.
Je te souhaite bon courage, investi-toi dans ton analyse (n'hésite pas à écrire pour toi après les séances) et ne cherche pas d'étiquette trop fourre-tout ;)
Le 01 février 2021 à 01:29:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:25:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:15:57 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:41 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:10:20 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:03:57 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 01:01:26 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:56:37 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:53:40 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:52:05 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:31 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:50:04 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:48:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:45:40 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:41:17 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:40:39 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:39:42 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:36 UgoNocebo a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:37:01 Aziya a écrit :
Le 01 février 2021 à 00:32:43 ----[N]---- a écrit :
Euh non les thérapies ça marche quand c'est fait par des gens sérieux (TCC, etc)La psychanalyse c'est un truc qui dure des années pour rien à part juste donner l'occasion au mec de parler (et c'est ça qui fait 95% de son impression que ça va mieux après, parce que le mec peut jamais raconter sa vie à personne) mais il pourrait parler à n'importe qui le résultat serait le même.
Ensuite on brode sur des concepts foireux pour donner l'impression que c'est de la science alors que c'est des théories complètement sorties du cul.
Si tu veux que ta vie s'améliore c'est thérapie ou rien.
La thérapie d'orientation analytique reste une thérapie, mais pour sûr, un coach TCC qui te dit quoi faire et laisse la subjectivité au placard c'est tellement plus confortable et tellement d'actualité !
Déjà y'a le mot "coach" ça me rebute direct
C'est quoi exactement ?C'est l'image que j'en ai. à partir du moment où l'on considère le ou les symptômes comme quelque chose à corriger plutôt qu'à interroger alors on passe à côté du problème..
Du coup tu es plus du côté de la psychanalyse ?...
Oui complètement
T'es dedans ?
Oui, je suis psy
Tu veux pas être mon psy de poche ?
Si tu es déjà suivi pourquoi t'éparpiller?
Là je veux juste un avis au jaugé. Mon psychanalyste, je le vois depuis que je suis réformé et accro, il me fait des retours assez...
Vagues. Enfin, c'est toujours très précis et pertinent, mais il ne développe pas.
Ca m'aiderait à m'observer moi-même d'avoir une piste de réflexion, en mettant un nom sur ce que j'ai si tu veux.Tu n'arrives pas à cheminer par toi-même entre les séances? Je veux dire, ça fait écho ce qu'il dit dans l'après-coup?
C'est des choses que je sais déjà en général. La seule chose qui me fait du bien c'est quelque chose de très spécifique.
Les gens qui me l'ont conseillé me l'ont décrit comme un mec impitoyable et sans empathie, très violent.
Avec moi, il ne m'a jamais agressé ou cassé dans un quelconque de mes élans.
En fait, il tempère la violence que j'ai envers moi la majorité du temps.
Il me coupe pour m'apaiser et me faire remarquer ce que je dis sur moiCa serait un autre qui ferait ça, je serai déjà parti. Je n'y vais pas pour qu'on me détende, j'y vais pour comprendre.
Mais le fait qu'il soit décrit comme un mec horrible et très confrontant et qu'avec moi il manifeste un genre de pitié me rassure quant à mon propre passé et la consistance de ma douleurMais je n'arrive pas à comprendre ce que j'ai développé en moi, non. Je ne trouve pas le noeud ultime
Je comprend ta frustration, il faut que tu sois patient justement. Vous allez "tourner autour" de la problématique jusqu'à cerner de plus en plus ce noeud que tu décris.
Tu cherches à "savoir ce que tu as", dis-moi si je me trompe mais j'entends que tu cherches un diagnostic/pathologie spécifique? je doute qu'il te le donne un jour.. Le fait de mettre une étiquette c'est rassurant dans un premier temps mais après, ça enferme beaucoup.. Tu es plus qu'une pathologie, si tant est qu'il y en est une !Je sais. Je veux pas finir comme ces gens qui vivent derrière l'espèce d'emblème rassurante du trouble. Me justifier avec ça. J'ai juste besoin de comprendre. Je me sens malade. Il y a quelque chose de dysfonctionnel chez moi.
Le fait d'avoir le nom d'un trouble rendrait mon intimité moins unique et donc moins étrangère.J'ai peu d'éléments pour t'orienter mais peut-être que tu pourrais trouver des éléments de réponses du côté de la question des limites/excès et de ce qu'on appelle les "états limites"
C'est quoi ?
Pour dire simplement c'est la difficulté à mettre des limites dans la relation soi-autre (oscille entre amour et rejet souvent) et ces affects (très forts de fait) trouvent sont souvent mal gérés : prise de risque, mise en danger (alcool, drogue, impulsivité). Honnêtement c'est une piste parmi tant d'autre mais ça serait intéressant de questionner le lien à l'autre avec ton analyste (genre si tu arrives à garder des relations stables ou pas toussa)
Ah borderline. Je suis tellement habitué à le lire en anglais...Non je ne suis pas borderline, je ne me reconnais pas du tout dedans.
Mais je suis sorti avec une borderline.La seule chose de borderline chez moi, c'est ma façon de me "confondre avec l'autre" dans l'amour, mes sentiments massifs, à quel point je me brûle dans la passion et que je recherche toujours ces amours totémiques, immenses, divins.
Le vide de la chasse quand j'ai enfin réussi à obtenir ce que je voulais. Le rejet en masse de l'amour de l'autre quand il est confirmé.
Mais c'est pas comme un borderline. Je vais pas me mettre à chercher à détruire l'autre, avoir des comportements impulsifs ou même ramper à ses pieds quand c'est fini. Au contraire, quand c'est fini (à moins d'être vraiment tombé amoureux et pas plutôt d'avoir cherché à être amoureux) je passe à autre chose au bout de deux jours car je n'avais jamais été attaché au fond.J'ai des carences affectives, une grande dépréciation de moi et je cherche à les combler avec les drogues fortes de personnes intenses. Ce qui me mène à souvent tomber sur des tarées pire que moi ou être déçu parce qu'elles ne correspondent pas à mes attentes émotionnelles.
D'accord je comprend, on est sans doute pas dans ce registre du coup. Mais quand tu décris les relations (désir de fusion) la question des "limites" au sens large se pose quand même ("jusqu'à quel point je me donne à l'autre?") etc.
Je te souhaite bon courage, investi-toi dans ton analyse (n'hésite pas à écrire pour toi après les séances) et ne cherche pas d'étiquette trop fourre-tout ;)
Mon intégrité mentale et physique a moins d'importance que réussir la fusion.
Je laisserai une folle m'emmener au suicide tant qu'elle arrivait suffissament bien à me manipuler. J'ai envie d'ignorer mes limites tout le temps en amour. Mon cerveau me culpabilise si je ne vais pas dans les extrêmes. Que ça soit avec la drogue, l'amour, les sentiments forts.
Je me piège avec un sentiment de culpabilité permanent. Je n'arrive pas à assumer mes choix, SURTOUT s'ils impliquent de me protéger
c'est deja formidable d'etre capable de cette reflecion je trouve (deso je ghoste 
Le 01 février 2021 à 01:38:50 Eyushi a écrit :
c'est deja formidable d'etre capable de cette reflecion je trouve (deso je ghoste
C'est vrai, merci
Rah dommage qu'il soit parti le khey Aziya 
J'aurai préféré faire ça en mp mais c'était intéressant.
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