J’ai 149 de QI certifié, mais la conscience du caractère hors-normes de mon efficience cognitive s’est révélée très progressivement et plutôt tardivement, de sorte que, pendant longtemps, face au sentiment chronique de décalage que j’éprouvais avec la plupart de mes semblables, j’ai fortement sous-estimé l’hypothèse de ma prééminence intellectuelle en trouvant plus légitime de commencer par remettre en question mon propre fonctionnement et par faire l’effort de me mettre au diapason des autres. Par ailleurs, ayant grandi dans un environnement de prolo assez frustes, j’ai d’emblée était accoutumé à composer avec des mentalités triviales et à banaliser mes propres frustrations intellectuelles sur le terrain social. En conséquence, j’ai tendance à être très indulgent envers les limitations intellectuelles des autres, et honnêtement, il ne m’arrive que très rarement d’être exaspéré/frustré par la bêtise d’autrui. Empiriquement, je remarque que la moyenne de mes amis semble être au alentours de 125, et que les moins doués sont tout juste au-dessus de la moyenne (mais compensent par des qualités spirituelles que ne mesurent par les tests de QI, telle que la créativité, la faculté d’introspection, la richesse de la vie affective, etc). Empiriquement toujours, je constate que c’est à partir d’un niveau environnant les 90-95 que le décalage commence à devenir vraiment rédhibitoire, ou tout du moins, qu’il n’est plus possible de vivre une relation satisfaisante sur le plan de la réciprocité (tous les efforts d’adaptation me reviennent).
J’ai 149 de QI certifié, mais la conscience du caractère hors-normes de mon efficience cognitive s’est révélée très progressivement et plutôt tardivement, de sorte que, pendant longtemps, face au sentiment chronique de décalage que j’éprouvais avec la plupart de mes semblables, j’ai fortement sous-estimé l’hypothèse de ma prééminence intellectuelle en trouvant plus légitime de commencer par remettre en question mon propre fonctionnement et par faire l’effort de me mettre au diapason des autres. Par ailleurs, ayant grandi dans un environnement de prolo assez frustes, j’ai d’emblé été accoutumé à composer avec des mentalités triviales et à banaliser mes propres frustrations intellectuelles sur le terrain social. En conséquence, j’ai tendance à être très indulgent envers les limitations intellectuelles des autres, et honnêtement, il ne m’arrive que très rarement d’être exaspéré/frustré par la bêtise d’autrui. Empiriquement, je remarque que la moyenne de mes amis semble être au alentours de 125, et que les moins doués sont tout juste au-dessus de la moyenne (mais compensent par des qualités spirituelles que ne mesurent par les tests de QI, telle que la créativité, la faculté d’introspection, la richesse de la vie affective, etc). Empiriquement toujours, je constate que c’est à partir d’un niveau environnant les 90-95 que le décalage commence à devenir vraiment rédhibitoire, ou tout du moins, qu’il n’est plus possible de vivre une relation satisfaisante sur le plan de la réciprocité (tous les efforts d’adaptation me reviennent).
Le 14 janvier 2023 à 23:39:16 : J’ai 149 de QI certifié, mais la conscience du caractère hors-normes de mon efficience cognitive s’est révélée très progressivement et plutôt tardivement, de sorte que, pendant longtemps, face au sentiment chronique de décalage que j’éprouvais avec la plupart de mes semblables, j’ai fortement sous-estimé l’hypothèse de ma prééminence intellectuelle en trouvant plus légitime de commencer par remettre en question mon propre fonctionnement et par faire l’effort de me mettre au diapason des autres. Par ailleurs, ayant grandi dans un environnement de prolo assez frustes, j’ai d’emblé été accoutumé à composer avec des mentalités triviales et à banaliser mes propres frustrations intellectuelles sur le terrain social. En conséquence, j’ai tendance à être très indulgent envers les limitations intellectuelles des autres, et honnêtement, il ne m’arrive que très rarement d’être exaspéré/frustré par la bêtise d’autrui. Empiriquement, je remarque que la moyenne de mes amis semble être au alentours de 125, et que les moins doués sont tout juste au-dessus de la moyenne (mais compensent par des qualités spirituelles que ne mesurent par les tests de QI, telle que la créativité, la faculté d’introspection, la richesse de la vie affective, etc). Empiriquement toujours, je constate que c’est à partir d’un niveau environnant les 90-95 que le décalage commence à devenir vraiment rédhibitoire, ou tout du moins, qu’il n’est plus possible de vivre une relation satisfaisante sur le plan de la réciprocité (tous les efforts d’adaptation me reviennent).
Toi dire n'importe quoihttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/27/4/1562235187-grudu-taper-si-toi-touche-viande-grudu.png
dans le boulot ça m'arrive souvent de discuter avec des mecs qui selon moi n'ont vraiment rien compris au métier, à force ça me blase j'essaye même plus d'expliquer quoi que ce soit j'ai l'impression de gâcher mon temps, qu'ils restent cons tant pis pour eux
Le 14 janvier 2023 à 22:48:18 AnusGoutVanille a écrit : 140 qi ici Tant que la personne en face a 3 chiffres, j'osef total. Ok c'est toujours sympa de croiser un autre HPI déter qui te bluffe par des raisonnements inédits, mais globalement tant que mon interlocuteur arrive à avoir des pensées cohérentes et justes, c'est la personnalité qui prime
ça marche anusgoutvanillehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/25/2/1529422413-risitaszoom.png
Le 14 janvier 2023 à 23:49:39 Remontee a écrit : Pour ma part, j'arrive à me faire passer pour intelligent.
En effet, on dit de moi que je compris vite et que j'ai une belle réactivité. Alors que c'est l'inverse.
De plus, une infirmière m'a demandé si j'étais hpi. Je lui ai rigolé au nez par contre.
t'es pas si con que ça si t'arrives à te faire passer pour intelligent, la discussion c'est avant tout de la manipualtion et du théâtre, pas besoin d'avoir 150 de qi pour suivre. D'ailleurs le qi ne veut pas dire grand chose à ce niveau ce n'est q'une des composantes, tu peux être hors norme et totalement inadapté dans certains contextes et inversement, il y a beaucoup trop de paramètres à prendre en compte.
Le 14 janvier 2023 à 22:16:38 : Ça s'adresse plutôt aux HQI vérifiés mais rien n'empêche les autres de se prêter au jeu. Quand vous discutez avec des gens, vous faites réellement l'épreuve de la distance entre eux et vous ? Ça vous arrive souvent de penser "Putain qu'il est con lui" en pleine discussion ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/3/1611133513-ahihaitriste.png Pourquoi ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/3/1611133513-ahihaitriste.png
La plupart sont des golems. Low QI satisfait de leur situation de merde. 0 ambitions
Oui souvent On s'y fait très bien, le jeu c'est de s'adapter C'est très marrant quand tu tombes sur quelqu'un qui essaie aussi de te jauger et de s'adapter, c'est la sympathie instantanée
Le 14 janvier 2023 à 22:49:31 BIGFREAKS a écrit : On est tous le el con de quelqu'unhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/35/3/1630497570-51ne3g7b.png
faut juste pas être le con de tout le monde quoihttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png
le problème n'est pas le QI mais le manque de culture (connaissances) affligeant des gens à qui je parle
Quand un type te dit que le RN veut expulser les migrants et il y croit sincèrement, bon. Ok il est un peu con mais c'est surtout un manque de connaissance
alors certifié à 6 ans à voir ce que ça vaut aujourd'hui ayaahttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png cependant discuter avec la plupart des gens est un calvaire car c'est soit insipide et sans humour ou débat de pmu avec des raisonnements débiles de type "moi une fois j'ai vu xxxx implique yyyy donc si yyyy se passe c'est quelque chose xxxx qui l'a impliqué"
alors oui il faut un minimum parler à tout le monde, ne pas être snob et se forcer à avoir ces discussions quotidiennes mais c'est vraiment pas marrant !
heureusement ça se voit tout de suite quand quelqu'un dit n'importe quoi ou essaie de bluffer et heureusement qu'il y a des gens vraiment futés et même davantage que soi
Le 15 janvier 2023 à 00:03:47 : le problème n'est pas le QI mais le manque de culture (connaissances) affligeant des gens à qui je parle
Quand un type te dit que le RN veut expulser les migrants et il y croit sincèrement, bon. Ok il est un peu con mais c'est surtout un manque de connaissance
vaut mieux quelqu'un qui raisonne sans trop de culture qu'un dictionnaire ambulant incapable de raisonner
Le 15 janvier 2023 à 00:04:23 Pizza_Ananas a écrit : alors certifié à 6 ans à voir ce que ça vaut aujourd'hui ayaahttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png cependant discuter avec la plupart des gens est un calvaire car c'est soit insipide et sans humour ou débat de pmu avec des raisonnements débiles de type "moi une fois j'ai vu xxxx implique yyyy donc si yyyy se passe c'est quelque chose xxxx qui l'a impliqué"
alors oui il faut un minimum parler à tout le monde, ne pas être snob et se forcer à avoir ces discussions quotidiennes mais c'est vraiment pas marrant !
heureusement ça se voit tout de suite quand quelqu'un dit n'importe quoi ou essaie de bluffer et heureusement qu'il y a des gens vraiment futés et même davantage que soi
il me semble que ça ne peut que descendre à partir d'un certain âge, et c'est surtout lié à ton mode de vie (ne plus lire, jeux vidéos/drogues à outrance et compagnie).
Moi l'écart que je ressens sur le moment je dirais pas que j'ai l'impression que l'autre est con. Pour moi un con c'est plus en général tu sais genre le cliché du tonton Roger.
Par contre des fois c'est comme si la longueur d'onde était vraiment différente. Et le constat que pour communiquer je dois me faire violence pour m'aligner et c'est épuisant. Accompagné d'un autre constat qui est qu'avec certaines personnes, si ce n'est pas moi qui fait le chemin pour les rejoindre, eux ne le feront pas car ne se rendent même pas compte du fossé. En général les gens ressentent aussi un malaise mais vont avoir tendance à t'etiqueter rapidement pour réduire la dissonance induite. En réalité c'est pareil de mon côté, j'affronte cette angoisse avec diverses narrations (notamment celle de HPI).
Pour résumer je dirais que le malaise est palpable pour tout le monde et que la conscience de soi et de l'autre peut-être plus élevé fait que les ajustements occasionnés vont être très unilatéral dans mon cas. Mais ça c'est a relativiser dans le contexte de vie de chacun aussi. Ça dépend de ton environnement.
Je rajouterai aussi qu'au fond c'est pas que j'étiquette moins que les autres ou que je juge moins, mais c'est juste que si tu représentes 5% d'une population bah un moment c'est toi qui va faire l'effort de comprendre les 95% autres. Bon c'est super binaire et complètement faux mais c'est l'idée que je veux transmettre derrière plutôt.
Vu que t'es seul avec tes constats t'es un peu amené à construire des narrations et des cases plus complexes mais au fond c'est la même chose
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