Les tas de jeunes qui ont des soucis psy on en parle ?

La preuve que faire des études ne les a pas rendu plus intelligents, en quoi ils sont supérieurs à un Indien qui peut résoudre une équation sans besoin de calculatrice, c'est une vidéo qui a vraiment était tournée, où quelqu'un donnait aux gens dans la rue un calcul mental, je crois que c'était aux États-Unis où les gens se trompaient très souvent, alors qu'en Inde les gens donnaient le bon résultat très fréquemment. Alors qu'ils vivent presque tous dans la pauvreté là bas.

ils font des ballons , car ils manque d'air et d'élévationhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/20/1495031964-1485484836-larry.png

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Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Tiktok a ravagés les récalcitrants

La nudité est promu, s'afficher est signe de réussite, la débilité paie,

Ont a simplement allumer un feu dans une grande cuve et regarder bruler tout ses gens

Ce sont malheureusement que des cobayes

Et personne n'agis, tout le monde suis le mouvement en se plaignant de sa vie misérable

Le truc c'est qu'il y a des gens avec des vrais souffrances comme je l'ai évoqué cf.

Et tu as les autres, les privilégiés qui s'accapare l'apanage de la souffrance pour pas grand chose.

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Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Pareil, j'ai même fini par mentir sur le forum tellement ça me soûlait. Enfin c'est plus le forum qui me déprime.

Le 18 août 2022 à 02:30:46 :
Perso ts a 13-14 balais

La psy en mode "oui je vais te mettre du CHEVAL" ca te fera du bien notroll

Moralite c'était chiant tu faisais rien hormis les nourrir et parler a une meuf qui se prenait pour une psy

On m'a proposé une expérience une expérience similaire à 21 ans, 0 tout, mais je ne vois aucun cas comment une telle expérience pourrait m'aider dans ma reconstruction. Comme tu le dis, ça sent le bullshit job. Je ne sais même pas si ces individus possèdent des qualifications dans le domaine de la psychologie. Ça m'a tout l'air d'une perte de temps , sauf que je n'ai plus de temps à perdre

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Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
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Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Pareil, j'ai même fini par mentir sur le forum tellement ça me soûlait.

C'est triste mais je pense que c'est pour le mieux. Il suffit de dire aux gens que tu traverses une phase de doute dans ta vie pour que leur regard change directement et qu'il commence à te considérer comme un misérable insecte.

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C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Pareil, j'ai même fini par mentir sur le forum tellement ça me soûlait.

C'est triste mais je pense que c'est pour le mieux. Il suffit de dire aux gens que tu traverses une phase de doute dans ta vie pour que leur regard change directement et qu'il commence à te considérer comme un misérable insecte.

Et pourtant ça prône la tolérance à tout prix, c'est paradoxal.

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Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/11/4/1521140629-apocalypseussou.png

Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Pareil, j'ai même fini par mentir sur le forum tellement ça me soûlait.

C'est triste mais je pense que c'est pour le mieux. Il suffit de dire aux gens que tu traverses une phase de doute dans ta vie pour que leur regard change directement et qu'il commence à te considérer comme un misérable insecte.

De fou mais pourtant ça prône la tolérance à tout prix, c'est paradoxal.

Vis ta vie de manière à ne pas te faire manger par les loups. La priorité c'est de préserver ta santé mentale, c'est pas des petits mensonges de ce style qui vont te mener en enfer.

De toute façon je pense que l'écrasante majorité des gens qui te sortent qu'ils viennent de grandes écoles, qu'ils font telles études sont des énormes fakes. Ils sont au plus grand rsa, slash aides sociales

j'ai pas l'impression que c'est la generation pour mon cas,
d'ailleurs j'aime pas le culte de l'image et la sociabilité malsaine qui en decoule je me suis vite detacher de ca, apres monde de merde + famille de merde ca aide pas a ce developper de mainere saine surtout quand t'est emotifs comme moi

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Le 18 août 2022 à 02:36:09 :
Je suis née dans les années 2000, honnêtement le nombre « d'amis » que j'ai eu au collège, au lycée qui s'inventaient des vies, des dépressions alors que c'était une déprime pour au final dès qu'ils vont mieux t'abandonner alors que tu as tout fait pour eux, les a écouté, soutenu, aidé à se sentir mieux, aujourd'hui c'est moi qui ne suis pas bien, je ne fais plus confiance aux gens pour l'instant.

C'est le problème principal aujourd'hui, les petits bourgeois qui ont des chagrins d'amour feignent la dépression tous les trois mois et les vrais laissés-pour-compte sont condamnés au silence.

Exactement, j'ai l'impression qu'ils ne mesurent, ne saisissent point les mots qu'ils emploient, ils utilisent ce terme et se plaignent comme si ils devaient mener la vie difficile d'un travailleur manuel mal payé pour son utilité précieuse à la société ou on leur avait ôté la vie de leur famille et qu'ils se retrouvaient orphelins, complètement à l'ouest, dans leur monde. C'est pathétique. (pas au sens triste.)

J'ai compris à quel point les choses allaient mal quand mon meilleur pote m'a coupé la parole le jour où mon père est mort pour me parler de sa pute de copine.
Malheureusement, il y a des gens avec qui on aimerait très bien s'entendre mais avec qui il y aura toujours une espèce de blocage anthropologique.

C'est écœurant ce niveau d'égo.
Quand ton ami vient de perdre un parent tu l'écoutes surtout ! Et tu évites de lui couper la parole, quitte à y avoir des silences, c'est agressif je trouve les gens qui coupent la parole à tout bout de champs dans ce genre de situation. Il faut laisser place au recueillement et à la réflexion.
Proposer de se donner rendez-vous en dehors si vous étiez dans un cadre scolaire pour sortir la personne de sa tristesse, lui montrer qu'il doit continuer la vie parce que ses parents seraient fiers de le voir leurs enfants heureux.

Les gens ont perdu les valeurs traditionnelles de base. Ils n'ont plus aucune conscience des hiérarchies, tout se vaut, la mort de mon père et l'énième crise de nerf de sa copine ? C'est du pareil au même.
Je pense qu'il faut baisser nos attentes vis à vis des autres, faire quelques activités sportives, rencontrer des gens à travers ces activités mais ne pas forcément espérer des relations basées sur une compréhension mutuelle.
C'est dur de faire ce deuil mais je suis en train de le faire.

Je te souhaite du courage, je tiens beaucoup à mon père et j'aurais peur de le perdre.

Oui, il y a une diminution de l'empathie certaine, j'ai l'impression que la valeur sociale prime sur le tout et cela me dégoûte. Les gens ont accordé trop d'importance aux choses futiles, avant ce n'était pas le cas, tout le monde s'aidait, vivait ensemble, les gens se regardaient, la cohésion dans un village ou un quartier était très forte. Je pense qu'il y avait plus de soutien avant, infiniment.

Merci, je ferai mieux.
Et c'est ça, je regrette juste cette perte du sens des priorités que la génération de mes grands-parents avait encore. Faut s'adapter comme on peut au monde actuel écoute.

Tant que tu es en bonne santé.

Il y a une grosse obsession sur la richesse alors que comme tu le dis avant ce n'était pas ce qui importait mais quand il y aura le krach, crois-moi tout ceux qui ne savent rien faire de leurs dix doigts, n'ont aucun savoir vivre, vont se terrer six mille lieues sous la mer.

Prions l'atome.
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Je suis comme toi, franchement j'ai 19 ans, c'est la désillusion, en fait tout le monde s'intéresse à ce que tu fais comme études, dans quoi tu travailles, combien tu gagnes par mois, la France n'est plus ce qu'elle était jadis.

Cela me rend triste de savoir à quel point les gens étaient humbles et plus pudiques sur ces questions avant.

Perso, j'hésite même plus à embellir le tableau voire à carrément mentir juste pour qu'on me foute la paix, cette obsession pour savoir exactement ce que je vaux socialement me rend cinglé.

Pareil, j'ai même fini par mentir sur le forum tellement ça me soûlait.

C'est triste mais je pense que c'est pour le mieux. Il suffit de dire aux gens que tu traverses une phase de doute dans ta vie pour que leur regard change directement et qu'il commence à te considérer comme un misérable insecte.

De fou mais pourtant ça prône la tolérance à tout prix, c'est paradoxal.

Vis ta vie de manière à ne pas te faire manger par les loups. La priorité c'est de préserver ta santé mentale, c'est pas des petits mensonges de ce style qui vont te mener en enfer.

Bon ce n'est pas parce que je poste avec un pseudo J... Mais ce que je pense au fond c'est que tout est parti en sucette avec la Seconde Guerre mondiale, les camps d'extermination, expériences sur les humains, femmes, enfants y compris avec la bombe nucléaire.

Mais oui tu as bien raison ce n'est pas grave de mentir à un inconnu que tu as croisé au cours d'une discussion à une soirée ou à la caissière du coin. Tu ne risques pas de leur reparler, ni même de les revoir, donc en soi il n'y a rien de mal à privilégier sa santé mentale dans une société aliénée par l'argent alors que ça n'est aucunement valeureux.