Quand t'es REDPILL t'es ISOLÉ

Julius32Erving
2022-05-07 05:37:43

Le 07 mai 2022 à 05:34:01 :

Le 07 mai 2022 à 05:29:53 :
Si tu a des notions la dessus je suis intéressé de l'entendre

La moisson des âmes arrive à chaque fin de cycle des 1000 ans, on arrive à la fin de ce cycle donc la récolte devrait bientôt arriver, par contre je ne peux pas donner de date.

Je pensais que c'était plutôt un cycle de précession des equinoxes
Je comprend pas trop le principe de cette moisson à grande échelle

Barbelo13
2022-05-07 05:41:01

Le 07 mai 2022 à 05:37:43 :

Le 07 mai 2022 à 05:34:01 :

Le 07 mai 2022 à 05:29:53 :
Si tu a des notions la dessus je suis intéressé de l'entendre

La moisson des âmes arrive à chaque fin de cycle des 1000 ans, on arrive à la fin de ce cycle donc la récolte devrait bientôt arriver, par contre je ne peux pas donner de date.

Je pensais que c'était plutôt un cycle de précession des equinoxes
Je comprend pas trop le principe de cette moisson à grande échelle

Dans la Bible, la bête est enchaînée pendant 1000 ans, c'est la durée de vie de la matrice artificielle qui n'est pas éternelle contrairement à la matrice primordiale ou originelle. Il faudra faire couler le sang pour l'arrivée de l'antéchrist donc ça implique des milliards de morts, ça a déjà commencé avec la guerre entre l'Ukraine et la Russie, il reste encore 2 cavaliers de l'apocalypse donc c'est loin d'être terminé.

HarryPfizer08
2022-05-07 05:42:08

Le 07 mai 2022 à 04:41:26 :
je te comprends l'op

Antifeminisme05
2022-05-07 05:42:09

Le 07 mai 2022 à 05:08:43 :

Le 07 mai 2022 à 04:58:22 :
Tu peux avoir une vision des choses différentes, le problème qui se pose souvent c'est que vous voulez imposer vos idées aux autres.
Vous pensez détenir la vérité universelle, et vous devenez méprisants avec votre entourage, ce qui vous rend insupportables.

C’est exactement ça et les mecs continueront de te dire que t’as tort en disant que ce sont simplement les autres qui sont stupides

Car vous l'etes

Barbelo13
2022-05-07 05:50:01

Le 07 mai 2022 à 05:44:54 :
https://youtu.be/OrrVR10FAA8?t=25

La femme en rouge c'est Babylone la Grande, la grande prostituée qui chevauche la bête.

ohnoencoreban3
2022-05-07 06:44:21

Le 07 mai 2022 à 04:32:22 :
Les gens "intelligents" autour de toi sont en majorité des golems matrixés.

Tu te retrouves avec des GJ politiquement, mais tu te fais vite chier avec eux.

Tes potes redpill qui reviennent dans le rang des normies avec l'âge.

Et toi qui reste redpill et qui a de moins en moins de conversations honnêtes avec les gens.

Vous verrez ça avec la 30aine les kheyshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png

+ 1

fiondujugeroug3
2022-05-07 06:45:55

Franchement je sais pas pour vous mais quand j'aurais 30 ans je me vois pas traîner sur le forum
Poster les stickers toussa , je me vois mal le faire a 29-30 ans :(

LupusGeralt
2022-05-07 06:47:28

Ça se rassure ça s'enferme en traitant ceux qui arrivent à avaler la redpill de golem.
Ça veut justement dire que vous l'avez pas avaler les no life

Un bonhomme continue à vivre en toute circonstance

Kps_VV
2022-05-07 06:50:58

Le 07 mai 2022 à 06:47:28 :
Ça se rassure ça s'enferme en traitant ceux qui arrivent à avaler la redpill de golem.
Ça veut justement dire que vous l'avez pas avaler les no life

Un bonhomme continue à vivre en toute circonstance

pas faux

North_Faced
2022-05-07 06:51:18

Mais alors, nous dit Schopenhauer, pourquoi préfèrent-ils tous la société à la solitude, si celle-ci contient tant de méfaits et de maléfices ? Et bien, il nous dit que la société permet tout simplement à ceux qui n’ont aucune richesse intérieure de trouver refuge quelque part : entre eux. Le vide qui les constitue les effraie et les pousse à se rassembler autour d’une même vacuité, mais vécue côte à côte. On comprendra donc pourquoi Freud écrivait que « l’homme cultivé est l’homme isolé ». La plénitude, la richesse, la connaissance, ne se vit qu’en soi. Schopenhauer en rajoute encore une couche : l’inintelligence, c’est-à-dire, la bêtise de la société la condamne à voir en son sein nombre d’instables, de vicieux et de détraqués ; dont la présence est au mieux incommodante, au pire : franchement malsaine. Il faut préciser d’ailleurs que Schopenhauer insiste sur la nature « sexuelle » de la pulsion de groupe, et ce, bien avant les travaux de la psychanalyse et de Freud ! Et comme il n’est pas possible, en effet, de ne pas se trouver dans le monde ou en société, Schopenhauer conseille de se carapacer et de tenir pour vain les jugements qui nous y sont faits. Toute affliction liée au monde sera donc inutile et, comme le disait Voltaire : « Nous laisserons ce monde-ci aussi sot et méchant que nous l’avons trouvé en y arrivant. » Inutile donc de s’en faire de la bile…

Le souci de l’instant sera donc la grande attention du philosophe, ainsi que les rythmes de la journée. Une journée se doit d’être vécue comme une vie entière, avec sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse. Sa légèreté, son insouciance, sa force, sa vigueur et sa sagesse, sa gravité, sa fatigue. Une journée pour une vie, de sa naissance (matin) à sa petite mort (le sommeil). En véritable sismographe, Schopenhauer y ajoute la nourriture, la température, le temps, le milieu, la santé, comme autant de paramètres influant sur notre humeur ou notre pensée. Ce qui induit par-là même une terrible fatalité, puisque l’essentiel de ces déterminismes extérieurs, contrairement à la société, ne sont pas conjurables. Le sage doit tenir compte également de sa maigre capacité d’influence. Bien mieux se doit-il de surfer sur la vague et de profiter à loisir de ses meilleurs moments. Le sage veillera également à ne nuire à personne ; à ne jamais infliger la moindre indélicatesse, le moindre préjudice, la moindre irritabilité, à l’égard de son prochain ; et comme cela n’est pas toujours réciproque, celui-ci se devra d’être indulgent et de pratiquer la circonspection ; nulle âme est sans défauts... La paix en soi se paie aussi par celle que l’on doit aux autres. Toute individualité ne pouvant fatalement pas être autre chose que ce qu’elle est, la politesse et la considération se doivent à chacune d’entre elles, fut-elle la plus mauvaise. De même que, dans la pratique de l’existence, le sage sacrifiera tant qu’il le peut ses graves réflexions à l’allégresse et à la gaieté que nécessite la présence active au monde, à l’ironie dissipatrice des ombres et des pesanteurs ; car les pensées sombres sont aisément conjurables, puisqu’elles ne sont l’effet que de la pensée elle-même, qu’il est aisé d’abandonner quelque temps au profit de la pure réalité objective, la contemplation et le mouvement. « Vivre et laisser vivre », telle est la formulation maîtresse.

Arthur Schopenhauer

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

fiondujugeroug3
2022-05-07 06:52:10

Le 07 mai 2022 à 06:51:18 :
Mais alors, nous dit Schopenhauer, pourquoi préfèrent-ils tous la société à la solitude, si celle-ci contient tant de méfaits et de maléfices ? Et bien, il nous dit que la société permet tout simplement à ceux qui n’ont aucune richesse intérieure de trouver refuge quelque part : entre eux. Le vide qui les constitue les effraie et les pousse à se rassembler autour d’une même vacuité, mais vécue côte à côte. On comprendra donc pourquoi Freud écrivait que « l’homme cultivé est l’homme isolé ». La plénitude, la richesse, la connaissance, ne se vit qu’en soi. Schopenhauer en rajoute encore une couche : l’inintelligence, c’est-à-dire, la bêtise de la société la condamne à voir en son sein nombre d’instables, de vicieux et de détraqués ; dont la présence est au mieux incommodante, au pire : franchement malsaine. Il faut préciser d’ailleurs que Schopenhauer insiste sur la nature « sexuelle » de la pulsion de groupe, et ce, bien avant les travaux de la psychanalyse et de Freud ! Et comme il n’est pas possible, en effet, de ne pas se trouver dans le monde ou en société, Schopenhauer conseille de se carapacer et de tenir pour vain les jugements qui nous y sont faits. Toute affliction liée au monde sera donc inutile et, comme le disait Voltaire : « Nous laisserons ce monde-ci aussi sot et méchant que nous l’avons trouvé en y arrivant. » Inutile donc de s’en faire de la bile…

Le souci de l’instant sera donc la grande attention du philosophe, ainsi que les rythmes de la journée. Une journée se doit d’être vécue comme une vie entière, avec sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse. Sa légèreté, son insouciance, sa force, sa vigueur et sa sagesse, sa gravité, sa fatigue. Une journée pour une vie, de sa naissance (matin) à sa petite mort (le sommeil). En véritable sismographe, Schopenhauer y ajoute la nourriture, la température, le temps, le milieu, la santé, comme autant de paramètres influant sur notre humeur ou notre pensée. Ce qui induit par-là même une terrible fatalité, puisque l’essentiel de ces déterminismes extérieurs, contrairement à la société, ne sont pas conjurables. Le sage doit tenir compte également de sa maigre capacité d’influence. Bien mieux se doit-il de surfer sur la vague et de profiter à loisir de ses meilleurs moments. Le sage veillera également à ne nuire à personne ; à ne jamais infliger la moindre indélicatesse, le moindre préjudice, la moindre irritabilité, à l’égard de son prochain ; et comme cela n’est pas toujours réciproque, celui-ci se devra d’être indulgent et de pratiquer la circonspection ; nulle âme est sans défauts... La paix en soi se paie aussi par celle que l’on doit aux autres. Toute individualité ne pouvant fatalement pas être autre chose que ce qu’elle est, la politesse et la considération se doivent à chacune d’entre elles, fut-elle la plus mauvaise. De même que, dans la pratique de l’existence, le sage sacrifiera tant qu’il le peut ses graves réflexions à l’allégresse et à la gaieté que nécessite la présence active au monde, à l’ironie dissipatrice des ombres et des pesanteurs ; car les pensées sombres sont aisément conjurables, puisqu’elles ne sont l’effet que de la pensée elle-même, qu’il est aisé d’abandonner quelque temps au profit de la pure réalité objective, la contemplation et le mouvement. « Vivre et laisser vivre », telle est la formulation maîtresse.

Arthur Schopenhauer

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

J'ai commencé a lire , mais pour moi c'est pas incompatbile que des gens cultivés aient des amis , pas vous ?

North_Faced
2022-05-07 07:04:13

Ont parle pas de culture mais d'élévation spirituelle

Faut respecter la loi fils

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

Que-sais-je
2022-05-07 07:05:11

Pilule noire : tu n'es pas "redpill".

fiondujugeroug3
2022-05-07 07:05:34

Le 07 mai 2022 à 07:04:13 :
Ont parle pas de culture mais d'élévation spirituelle

Faut respecter la loi fils

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

Ah, mais élévation spirituelle de quel point de vue ? Religieux ?

Que-sais-je
2022-05-07 07:06:46

Le 07 mai 2022 à 06:51:18 :
Mais alors, nous dit Schopenhauer, pourquoi préfèrent-ils tous la société à la solitude, si celle-ci contient tant de méfaits et de maléfices ? Et bien, il nous dit que la société permet tout simplement à ceux qui n’ont aucune richesse intérieure de trouver refuge quelque part : entre eux. Le vide qui les constitue les effraie et les pousse à se rassembler autour d’une même vacuité, mais vécue côte à côte. On comprendra donc pourquoi Freud écrivait que « l’homme cultivé est l’homme isolé ». La plénitude, la richesse, la connaissance, ne se vit qu’en soi. Schopenhauer en rajoute encore une couche : l’inintelligence, c’est-à-dire, la bêtise de la société la condamne à voir en son sein nombre d’instables, de vicieux et de détraqués ; dont la présence est au mieux incommodante, au pire : franchement malsaine. Il faut préciser d’ailleurs que Schopenhauer insiste sur la nature « sexuelle » de la pulsion de groupe, et ce, bien avant les travaux de la psychanalyse et de Freud ! Et comme il n’est pas possible, en effet, de ne pas se trouver dans le monde ou en société, Schopenhauer conseille de se carapacer et de tenir pour vain les jugements qui nous y sont faits. Toute affliction liée au monde sera donc inutile et, comme le disait Voltaire : « Nous laisserons ce monde-ci aussi sot et méchant que nous l’avons trouvé en y arrivant. » Inutile donc de s’en faire de la bile…

Le souci de l’instant sera donc la grande attention du philosophe, ainsi que les rythmes de la journée. Une journée se doit d’être vécue comme une vie entière, avec sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse. Sa légèreté, son insouciance, sa force, sa vigueur et sa sagesse, sa gravité, sa fatigue. Une journée pour une vie, de sa naissance (matin) à sa petite mort (le sommeil). En véritable sismographe, Schopenhauer y ajoute la nourriture, la température, le temps, le milieu, la santé, comme autant de paramètres influant sur notre humeur ou notre pensée. Ce qui induit par-là même une terrible fatalité, puisque l’essentiel de ces déterminismes extérieurs, contrairement à la société, ne sont pas conjurables. Le sage doit tenir compte également de sa maigre capacité d’influence. Bien mieux se doit-il de surfer sur la vague et de profiter à loisir de ses meilleurs moments. Le sage veillera également à ne nuire à personne ; à ne jamais infliger la moindre indélicatesse, le moindre préjudice, la moindre irritabilité, à l’égard de son prochain ; et comme cela n’est pas toujours réciproque, celui-ci se devra d’être indulgent et de pratiquer la circonspection ; nulle âme est sans défauts... La paix en soi se paie aussi par celle que l’on doit aux autres. Toute individualité ne pouvant fatalement pas être autre chose que ce qu’elle est, la politesse et la considération se doivent à chacune d’entre elles, fut-elle la plus mauvaise. De même que, dans la pratique de l’existence, le sage sacrifiera tant qu’il le peut ses graves réflexions à l’allégresse et à la gaieté que nécessite la présence active au monde, à l’ironie dissipatrice des ombres et des pesanteurs ; car les pensées sombres sont aisément conjurables, puisqu’elles ne sont l’effet que de la pensée elle-même, qu’il est aisé d’abandonner quelque temps au profit de la pure réalité objective, la contemplation et le mouvement. « Vivre et laisser vivre », telle est la formulation maîtresse.

Arthur Schopenhauer

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

J'ai envie de relire Aphorisme sur la sagesse dans la Vie. :-(

LunaDomination
2022-05-07 07:08:04

Le 07 mai 2022 à 04:48:26 :
Tu peux toujours redevenir bluepilled

there is no going back

les plus grosses redpill :

le solipsisme est réel
la vie n'a absolument aucun objectif
et on vit seulement dans l'espoir qu'il existe mieux ( mais ça reste une perpétuel illusion )

LunaDomination
2022-05-07 07:12:07

Le 07 mai 2022 à 07:06:46 :

Le 07 mai 2022 à 06:51:18 :
Mais alors, nous dit Schopenhauer, pourquoi préfèrent-ils tous la société à la solitude, si celle-ci contient tant de méfaits et de maléfices ? Et bien, il nous dit que la société permet tout simplement à ceux qui n’ont aucune richesse intérieure de trouver refuge quelque part : entre eux. Le vide qui les constitue les effraie et les pousse à se rassembler autour d’une même vacuité, mais vécue côte à côte. On comprendra donc pourquoi Freud écrivait que « l’homme cultivé est l’homme isolé ». La plénitude, la richesse, la connaissance, ne se vit qu’en soi. Schopenhauer en rajoute encore une couche : l’inintelligence, c’est-à-dire, la bêtise de la société la condamne à voir en son sein nombre d’instables, de vicieux et de détraqués ; dont la présence est au mieux incommodante, au pire : franchement malsaine. Il faut préciser d’ailleurs que Schopenhauer insiste sur la nature « sexuelle » de la pulsion de groupe, et ce, bien avant les travaux de la psychanalyse et de Freud ! Et comme il n’est pas possible, en effet, de ne pas se trouver dans le monde ou en société, Schopenhauer conseille de se carapacer et de tenir pour vain les jugements qui nous y sont faits. Toute affliction liée au monde sera donc inutile et, comme le disait Voltaire : « Nous laisserons ce monde-ci aussi sot et méchant que nous l’avons trouvé en y arrivant. » Inutile donc de s’en faire de la bile…

Le souci de l’instant sera donc la grande attention du philosophe, ainsi que les rythmes de la journée. Une journée se doit d’être vécue comme une vie entière, avec sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse. Sa légèreté, son insouciance, sa force, sa vigueur et sa sagesse, sa gravité, sa fatigue. Une journée pour une vie, de sa naissance (matin) à sa petite mort (le sommeil). En véritable sismographe, Schopenhauer y ajoute la nourriture, la température, le temps, le milieu, la santé, comme autant de paramètres influant sur notre humeur ou notre pensée. Ce qui induit par-là même une terrible fatalité, puisque l’essentiel de ces déterminismes extérieurs, contrairement à la société, ne sont pas conjurables. Le sage doit tenir compte également de sa maigre capacité d’influence. Bien mieux se doit-il de surfer sur la vague et de profiter à loisir de ses meilleurs moments. Le sage veillera également à ne nuire à personne ; à ne jamais infliger la moindre indélicatesse, le moindre préjudice, la moindre irritabilité, à l’égard de son prochain ; et comme cela n’est pas toujours réciproque, celui-ci se devra d’être indulgent et de pratiquer la circonspection ; nulle âme est sans défauts... La paix en soi se paie aussi par celle que l’on doit aux autres. Toute individualité ne pouvant fatalement pas être autre chose que ce qu’elle est, la politesse et la considération se doivent à chacune d’entre elles, fut-elle la plus mauvaise. De même que, dans la pratique de l’existence, le sage sacrifiera tant qu’il le peut ses graves réflexions à l’allégresse et à la gaieté que nécessite la présence active au monde, à l’ironie dissipatrice des ombres et des pesanteurs ; car les pensées sombres sont aisément conjurables, puisqu’elles ne sont l’effet que de la pensée elle-même, qu’il est aisé d’abandonner quelque temps au profit de la pure réalité objective, la contemplation et le mouvement. « Vivre et laisser vivre », telle est la formulation maîtresse.

Arthur Schopenhauer

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

J'ai envie de relire Aphorisme sur la sagesse dans la Vie. :-(

inutile shaupenhauer n'existe pas, tu l'inventes sur le moment, et toute tes pensées sont des illusions personnels.

tu n'as jamais rien lu ,tu as toujours vécu à travers l'illusion de lecture, tout est une intérprétation.

tout est dieu du vide, tout est le néant absolu

rien n'a de sens profond, tout n'est qu'une source d'interprétation infini et imaginaire

North_Faced
2022-05-07 07:13:41

Le 07 mai 2022 à 07:05:34 :

Le 07 mai 2022 à 07:04:13 :
Ont parle pas de culture mais d'élévation spirituelle

Faut respecter la loi fils

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

Ah, mais élévation spirituelle de quel point de vue ? Religieux ?

La certitude existe mais très peu y ont accès

Coucou les elites bloquer au niveau -7https://image.noelshack.com/fichiers/2020/31/7/1596384599-tovaritch-qlf.png

North_Faced
2022-05-07 07:19:32

Le 07 mai 2022 à 07:12:07 :

Le 07 mai 2022 à 07:06:46 :

Le 07 mai 2022 à 06:51:18 :
Mais alors, nous dit Schopenhauer, pourquoi préfèrent-ils tous la société à la solitude, si celle-ci contient tant de méfaits et de maléfices ? Et bien, il nous dit que la société permet tout simplement à ceux qui n’ont aucune richesse intérieure de trouver refuge quelque part : entre eux. Le vide qui les constitue les effraie et les pousse à se rassembler autour d’une même vacuité, mais vécue côte à côte. On comprendra donc pourquoi Freud écrivait que « l’homme cultivé est l’homme isolé ». La plénitude, la richesse, la connaissance, ne se vit qu’en soi. Schopenhauer en rajoute encore une couche : l’inintelligence, c’est-à-dire, la bêtise de la société la condamne à voir en son sein nombre d’instables, de vicieux et de détraqués ; dont la présence est au mieux incommodante, au pire : franchement malsaine. Il faut préciser d’ailleurs que Schopenhauer insiste sur la nature « sexuelle » de la pulsion de groupe, et ce, bien avant les travaux de la psychanalyse et de Freud ! Et comme il n’est pas possible, en effet, de ne pas se trouver dans le monde ou en société, Schopenhauer conseille de se carapacer et de tenir pour vain les jugements qui nous y sont faits. Toute affliction liée au monde sera donc inutile et, comme le disait Voltaire : « Nous laisserons ce monde-ci aussi sot et méchant que nous l’avons trouvé en y arrivant. » Inutile donc de s’en faire de la bile…

Le souci de l’instant sera donc la grande attention du philosophe, ainsi que les rythmes de la journée. Une journée se doit d’être vécue comme une vie entière, avec sa jeunesse, sa maturité et sa vieillesse. Sa légèreté, son insouciance, sa force, sa vigueur et sa sagesse, sa gravité, sa fatigue. Une journée pour une vie, de sa naissance (matin) à sa petite mort (le sommeil). En véritable sismographe, Schopenhauer y ajoute la nourriture, la température, le temps, le milieu, la santé, comme autant de paramètres influant sur notre humeur ou notre pensée. Ce qui induit par-là même une terrible fatalité, puisque l’essentiel de ces déterminismes extérieurs, contrairement à la société, ne sont pas conjurables. Le sage doit tenir compte également de sa maigre capacité d’influence. Bien mieux se doit-il de surfer sur la vague et de profiter à loisir de ses meilleurs moments. Le sage veillera également à ne nuire à personne ; à ne jamais infliger la moindre indélicatesse, le moindre préjudice, la moindre irritabilité, à l’égard de son prochain ; et comme cela n’est pas toujours réciproque, celui-ci se devra d’être indulgent et de pratiquer la circonspection ; nulle âme est sans défauts... La paix en soi se paie aussi par celle que l’on doit aux autres. Toute individualité ne pouvant fatalement pas être autre chose que ce qu’elle est, la politesse et la considération se doivent à chacune d’entre elles, fut-elle la plus mauvaise. De même que, dans la pratique de l’existence, le sage sacrifiera tant qu’il le peut ses graves réflexions à l’allégresse et à la gaieté que nécessite la présence active au monde, à l’ironie dissipatrice des ombres et des pesanteurs ; car les pensées sombres sont aisément conjurables, puisqu’elles ne sont l’effet que de la pensée elle-même, qu’il est aisé d’abandonner quelque temps au profit de la pure réalité objective, la contemplation et le mouvement. « Vivre et laisser vivre », telle est la formulation maîtresse.

Arthur Schopenhauer

https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/6/1642287426-henry-bizarre-groszoom-lunette.jpg

J'ai envie de relire Aphorisme sur la sagesse dans la Vie. :-(

inutile shaupenhauer n'existe pas, tu l'inventes sur le moment, et toute tes pensées sont des illusions personnels.

tu n'as jamais rien lu ,tu as toujours vécu à travers l'illusion de lecture, tout est une intérprétation.

tout est dieu du vide, tout est le néant absolu

rien n'a de sens profond, tout n'est qu'une source d'interprétation infini et imaginaire

C'est parcque tu a pas trouver le sens qu'il n'existe pas, mais pour toi seulement tu est dans ton interprétation et ton illusion
Ton propre film
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/02/5/1642153713-full-notreadyent.png

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