Le 12 août 2021 à 20:14:52 vacgolem a écrit :
La sélection est comment ?https://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png
En ce qui concerne les golems, bien artificielle comme il faut
Quand il avait annoncé la levée de toutes les restrictions sanitaires le 19 juillet pour l’Angleterre, Boris Johnson n’avait pas caché une certaine inquiétude. « Il est vital que nous agissions avec prudence », avait demandé le premier ministre britannique à sa population. Le variant Delta se répandait alors très rapidement, et plus de 50 000 cas positifs par jour étaient enregistrés, nombre proche du pic de la violente troisième vague de janvier.
Trois semaines plus tard, le pari s’avère pourtant le bon. Alors que les masques ne sont plus obligatoires, qu’il n’y a plus de jauge à respecter dans les salles de concert, les discothèques ou les stades de football, la pandémie semble reculer. Le nombre de cas positifs a baissé de moitié, à 26 000 en moyenne sur les sept derniers jours. Les hospitalisations, qui étaient restées faibles mais avaient accéléré tout le mois de juillet, refluent également : il y a 750 admissions par jour actuellement, contre 900 fin juillet.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : en Angleterre, des entreprises perturbées à cause de l’isolement des salariés
Des épidémiologistes pris par surprise
Cette évolution a pris la plupart des épidémiologistes par surprise, ainsi que le gouvernement britannique lui-même. Sajid Javid, le ministre de la santé, avait publiquement anticipé un possible pic de 100 000 cas positifs par jour, ce qui aurait été le plus haut niveau jamais enregistré de la pandémie. Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College London, dont les modèles avaient été cruciaux pour convaincre M. Johnson d’imposer le premier confinement en mars 2020, évoquait même 200 000 cas par jour.
Malgré la vaccination, qui limite fortement les formes graves, un tel niveau de propagation de la maladie risquait d’engorger le système de santé. Rien de tout cela ne s’est produit. « Personne ne sait vraiment ce qu’il se passe », reconnaissait dans un article du 4 août de la revue Nature John Edmunds, épidémiologiste à la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM).
Le nombre de nouveaux cas de contaminations au Covid-19 a fortement baissé depuis deux semaines au Royaume-Uni. Une évolution de l’épidémie qui défie la plupart des prévisions : la fin des mesures de distanciation sociale, dans un pays où le très contagieux variant Delta est dominant, faisait craindre le scénario inverse.
C’est quelque chose auquel le Covid-19 ne nous a pas habitués : une bonne surprise. Du moins, la baisse soudaine, rapide et contre toute attente du nombre de nouvelles contaminations au Royaume-Uni ces deux dernières semaines y ressemble fortement.
"Les données officielles montrent que le nombre de nouveaux cas confirmés a été divisé par deux ces quinze derniers jours : on est passé de 54 674 le 17 juillet à 22 287 le 2 août", souligne la revue scientifique Nature.
Surprise et incrédulité
Ce n’est pas le scénario auquel le gouvernement britannique et une partie des scientifiques s’attendaient. Entre la présence du variant Delta, bien plus contagieux que les souches précédentes, et la fin des mesures de distanciation sociale décidée le 19 juillet, les spécialistes anticipaient plutôt une explosion des nouveaux cas.
Certains scénarios particulièrement sombres prévoyaient que le Royaume-Uni connaîtrait jusqu’à 100 000 nouveaux cas par jour avant la fin de l’été. Ce chiffre avait même été officiellement repris début juillet par Sajid Javid, le ministre de la Santé, pour pousser les Britanniques à ne pas baisser leur garde après le fameux "freedom day" (jour de liberté) du 19 juillet.
Alors quand les premiers indicateurs ont suggéré, dès la semaine du 20 juillet, que le nombre de nouveaux cas étaient en chute libre, "nous avons tous été surpris, et franchement je n’y ai d’abord pas cru", se rappelle Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open university et ancien vice-président de la Royal Statistical Society, interrogé par France 24.
L’un des premiers réflexes des observateurs a été de mettre ce petit miracle épidémiologique sur le compte d’une baisse du nombre des tests PCR, note le quotidien The Guardian. Avec l’arrivée de l’été, une partie des Britanniques n’auraient pas voulu se faire tester et prendre le risque d’un résultat positif synonyme de quarantaine forcée et de vacances gâchées.
Mais "pour les scientifiques la baisse du nombre de nouveaux cas positifs est trop importante pour pouvoir être expliquée seulement par cette réticence à se faire tester", souligne le Financial Times. Surtout, "les indicateurs montrent que les admissions à l’hôpital de patients atteints du Covid-19 ont stagné et commencent aussi à reculer, ce qui est encourageant et tend à confirmer l’hypothèse qu’il y a vraiment une décrue significative de nouveaux cas", explique Thomas Wingfield, spécialiste des maladies infectieuses à la Liverpool School of Tropical Medicine, interrogé par France 24.
C’est donc une "tendance baissière à plus long terme à laquelle nous assistons ici", confirme Kevin McConway. Et elle est difficile à comprendre. "On savait qu’il y aurait un ralentissement des nouveaux cas après l’explosion début juillet, mais pas aussi vite, et aussi fort", reconnaît ce statisticien spécialiste des questions de santé.
"Coup de chance"
La meilleure explication à l’heure actuelle est "que la chance a été du côté du gouvernement après sa décision de suspendre les mesures de distanciation sociale", poursuit Kevin McConway. Il y a alors eu une succession de circonstances favorables à un ralentissement de la propagation du variant Delta.
Parralelle avec la Pandémie de 1957 qui avait fait 3 millions de mort et 100 000 en France elle s'était eteint toute seule
https://www.latribune.fr/journal/edition-du-2210/enquete/294134/1957-100.000-morts.html
2 à 3 millions de mort dans le monde et 100k a France cela me rappel quelque chose
La pandémie s'éteint naturellement
Sans vaccin, ni médicament miracle, la première pandémie moderne s'éteint naturellement. "Les vagues de pandémies finissent toujours par s'atténuer spontanément", souligne Luc Hessel. "Les répliques ont été de moins en moins importantes d'année en année, au fur et à mesure que l'immunité augmentait dans la population. On estime qu'à l'hiver 1957-1958, 20 % des Français ont été malades, donc immunisés, auxquels il convient d'ajouter 5 % de porteurs sains, qui ont attrapé le virus sans le savoir. Petit à petit, celui-ci est devenu saisonnier", note Claude Hannoun. "Le virus de la grippe est un virus voyou : il s'échappe en mutant de manière marginale, par un phénomène de dérive génétique, indique Luc Hessel. Un peu comme s'il changeait de manteau chaque hiver".
Durant l'hiver 1957-1958, ce changement de garde-robe aura fait 9 millions de malades et 100.000 morts en France. Il faudra attendre près de dix ans et la seconde pandémie grippale mondiale de l'ère moderne pour que ce virus H2N2 soit supplanté par un troisième, le H3N2.
pour les bots voici les STATS officiels du Gouv et du NHS et non ca n'augemente pas https://coronavirus.data.gov.uk/details/healthcare
Les keys quelqu'un peut repost la source je suis sur tel et c'est bugé
Le 12 août 2021 à 19:51:22 :
Quelques exemples des accords confidentiels
L'acheteur est conscient que l'efficacité et les effets à long terme du vaccin sont inconnus et que des effets secondaires peuvent survenir et ne sont pas actuellement connus.
L'acheteur doit payer Pfizer pour les doses commandées, quel que soit le nombre que vous utilisez et que Pfizer ait ou non la préparation approuvée par les autorités. » (Ceci a été écrit avant l'approbation d'urgence par la FDA des soi-disant « vaccins »).
L'acheteur s'engage par la présente à indemniser, défendre et tenir Pfizer/BioNTech et leurs filiales indemnisées contre toutes réclamations, documents, réclamations, pertes, dommages, dettes, règlements, pénalités, amendes, frais et dépenses.
L'acheteur doit payer toutes les pertes, y compris et sans limitation les frais juridiques et autres frais juridiques.
L'Acheteur doit indemniser Pfizer pour les réclamations et toutes les pertes et doit le mettre en œuvre par le biais d'exigences légales ou réglementaires.
Pfizer a le droit d'apporter les ajustements nécessaires au nombre convenu de doses contractuelles et au calendrier de livraison, sur la base des principes décidés par Pfizer. L'acheteur est tenu d'accepter toute modification.
L'accord doit être gardé secret pendant dix ans.
Cependant, pour l'accord de l'État d'Israël avec Pfizer, signé par le ministère israélien de la Santé le 6 janvier, 30 années complètes de secret s'appliquent. La raison n'est pas claire.
Cet alinéa hyper louche.
Le 12 août 2021 à 20:58:55 :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/11/covid-19-en-angleterre-le-pari-reussi-de-la-levee-des-restrictions_6091131_3244.html?fbclid=IwAR1ktqMt0NlMNNHBLe3-IrRPCJN7CNuj7-qi5VA6fNlpaB1fTvo2jYR-vFgQuand il avait annoncé la levée de toutes les restrictions sanitaires le 19 juillet pour l’Angleterre, Boris Johnson n’avait pas caché une certaine inquiétude. « Il est vital que nous agissions avec prudence », avait demandé le premier ministre britannique à sa population. Le variant Delta se répandait alors très rapidement, et plus de 50 000 cas positifs par jour étaient enregistrés, nombre proche du pic de la violente troisième vague de janvier.
Trois semaines plus tard, le pari s’avère pourtant le bon. Alors que les masques ne sont plus obligatoires, qu’il n’y a plus de jauge à respecter dans les salles de concert, les discothèques ou les stades de football, la pandémie semble reculer. Le nombre de cas positifs a baissé de moitié, à 26 000 en moyenne sur les sept derniers jours. Les hospitalisations, qui étaient restées faibles mais avaient accéléré tout le mois de juillet, refluent également : il y a 750 admissions par jour actuellement, contre 900 fin juillet.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : en Angleterre, des entreprises perturbées à cause de l’isolement des salariés
Des épidémiologistes pris par surprise
Cette évolution a pris la plupart des épidémiologistes par surprise, ainsi que le gouvernement britannique lui-même. Sajid Javid, le ministre de la santé, avait publiquement anticipé un possible pic de 100 000 cas positifs par jour, ce qui aurait été le plus haut niveau jamais enregistré de la pandémie. Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College London, dont les modèles avaient été cruciaux pour convaincre M. Johnson d’imposer le premier confinement en mars 2020, évoquait même 200 000 cas par jour.Malgré la vaccination, qui limite fortement les formes graves, un tel niveau de propagation de la maladie risquait d’engorger le système de santé. Rien de tout cela ne s’est produit. « Personne ne sait vraiment ce qu’il se passe », reconnaissait dans un article du 4 août de la revue Nature John Edmunds, épidémiologiste à la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM).
Le nombre de nouveaux cas de contaminations au Covid-19 a fortement baissé depuis deux semaines au Royaume-Uni. Une évolution de l’épidémie qui défie la plupart des prévisions : la fin des mesures de distanciation sociale, dans un pays où le très contagieux variant Delta est dominant, faisait craindre le scénario inverse.
C’est quelque chose auquel le Covid-19 ne nous a pas habitués : une bonne surprise. Du moins, la baisse soudaine, rapide et contre toute attente du nombre de nouvelles contaminations au Royaume-Uni ces deux dernières semaines y ressemble fortement.
"Les données officielles montrent que le nombre de nouveaux cas confirmés a été divisé par deux ces quinze derniers jours : on est passé de 54 674 le 17 juillet à 22 287 le 2 août", souligne la revue scientifique Nature.
Surprise et incrédulité
Ce n’est pas le scénario auquel le gouvernement britannique et une partie des scientifiques s’attendaient. Entre la présence du variant Delta, bien plus contagieux que les souches précédentes, et la fin des mesures de distanciation sociale décidée le 19 juillet, les spécialistes anticipaient plutôt une explosion des nouveaux cas.
Certains scénarios particulièrement sombres prévoyaient que le Royaume-Uni connaîtrait jusqu’à 100 000 nouveaux cas par jour avant la fin de l’été. Ce chiffre avait même été officiellement repris début juillet par Sajid Javid, le ministre de la Santé, pour pousser les Britanniques à ne pas baisser leur garde après le fameux "freedom day" (jour de liberté) du 19 juillet.
Alors quand les premiers indicateurs ont suggéré, dès la semaine du 20 juillet, que le nombre de nouveaux cas étaient en chute libre, "nous avons tous été surpris, et franchement je n’y ai d’abord pas cru", se rappelle Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open university et ancien vice-président de la Royal Statistical Society, interrogé par France 24.
L’un des premiers réflexes des observateurs a été de mettre ce petit miracle épidémiologique sur le compte d’une baisse du nombre des tests PCR, note le quotidien The Guardian. Avec l’arrivée de l’été, une partie des Britanniques n’auraient pas voulu se faire tester et prendre le risque d’un résultat positif synonyme de quarantaine forcée et de vacances gâchées.
Mais "pour les scientifiques la baisse du nombre de nouveaux cas positifs est trop importante pour pouvoir être expliquée seulement par cette réticence à se faire tester", souligne le Financial Times. Surtout, "les indicateurs montrent que les admissions à l’hôpital de patients atteints du Covid-19 ont stagné et commencent aussi à reculer, ce qui est encourageant et tend à confirmer l’hypothèse qu’il y a vraiment une décrue significative de nouveaux cas", explique Thomas Wingfield, spécialiste des maladies infectieuses à la Liverpool School of Tropical Medicine, interrogé par France 24.
C’est donc une "tendance baissière à plus long terme à laquelle nous assistons ici", confirme Kevin McConway. Et elle est difficile à comprendre. "On savait qu’il y aurait un ralentissement des nouveaux cas après l’explosion début juillet, mais pas aussi vite, et aussi fort", reconnaît ce statisticien spécialiste des questions de santé.
"Coup de chance"
La meilleure explication à l’heure actuelle est "que la chance a été du côté du gouvernement après sa décision de suspendre les mesures de distanciation sociale", poursuit Kevin McConway. Il y a alors eu une succession de circonstances favorables à un ralentissement de la propagation du variant Delta.
Parralelle avec la Pandémie de 1957 qui avait fait 3 millions de mort et 100 000 en France elle s'était eteint toute seule
https://www.latribune.fr/journal/edition-du-2210/enquete/294134/1957-100.000-morts.html
2 à 3 millions de mort dans le monde et 100k a France cela me rappel quelque choseLa pandémie s'éteint naturellement
Sans vaccin, ni médicament miracle, la première pandémie moderne s'éteint naturellement. "Les vagues de pandémies finissent toujours par s'atténuer spontanément", souligne Luc Hessel. "Les répliques ont été de moins en moins importantes d'année en année, au fur et à mesure que l'immunité augmentait dans la population. On estime qu'à l'hiver 1957-1958, 20 % des Français ont été malades, donc immunisés, auxquels il convient d'ajouter 5 % de porteurs sains, qui ont attrapé le virus sans le savoir. Petit à petit, celui-ci est devenu saisonnier", note Claude Hannoun. "Le virus de la grippe est un virus voyou : il s'échappe en mutant de manière marginale, par un phénomène de dérive génétique, indique Luc Hessel. Un peu comme s'il changeait de manteau chaque hiver".Durant l'hiver 1957-1958, ce changement de garde-robe aura fait 9 millions de malades et 100.000 morts en France. Il faudra attendre près de dix ans et la seconde pandémie grippale mondiale de l'ère moderne pour que ce virus H2N2 soit supplanté par un troisième, le H3N2.
pour les bots voici les STATS officiels du Gouv et du NHS et non ca n'augmente pas https://coronavirus.data.gov.uk/details/healthcare
Aya les rosbeef ont dévoilé l'arnaque du covid au grand jour
aucuns pass sanitaire, plus de gestes barrières, plus de masques et pourtant le covid BIDE
Tout les pseudo scientifiques qui sont sur le cul
Le 12 août 2021 à 21:17:20 :
Le 12 août 2021 à 20:58:55 :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/11/covid-19-en-angleterre-le-pari-reussi-de-la-levee-des-restrictions_6091131_3244.html?fbclid=IwAR1ktqMt0NlMNNHBLe3-IrRPCJN7CNuj7-qi5VA6fNlpaB1fTvo2jYR-vFgQuand il avait annoncé la levée de toutes les restrictions sanitaires le 19 juillet pour l’Angleterre, Boris Johnson n’avait pas caché une certaine inquiétude. « Il est vital que nous agissions avec prudence », avait demandé le premier ministre britannique à sa population. Le variant Delta se répandait alors très rapidement, et plus de 50 000 cas positifs par jour étaient enregistrés, nombre proche du pic de la violente troisième vague de janvier.
Trois semaines plus tard, le pari s’avère pourtant le bon. Alors que les masques ne sont plus obligatoires, qu’il n’y a plus de jauge à respecter dans les salles de concert, les discothèques ou les stades de football, la pandémie semble reculer. Le nombre de cas positifs a baissé de moitié, à 26 000 en moyenne sur les sept derniers jours. Les hospitalisations, qui étaient restées faibles mais avaient accéléré tout le mois de juillet, refluent également : il y a 750 admissions par jour actuellement, contre 900 fin juillet.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : en Angleterre, des entreprises perturbées à cause de l’isolement des salariés
Des épidémiologistes pris par surprise
Cette évolution a pris la plupart des épidémiologistes par surprise, ainsi que le gouvernement britannique lui-même. Sajid Javid, le ministre de la santé, avait publiquement anticipé un possible pic de 100 000 cas positifs par jour, ce qui aurait été le plus haut niveau jamais enregistré de la pandémie. Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College London, dont les modèles avaient été cruciaux pour convaincre M. Johnson d’imposer le premier confinement en mars 2020, évoquait même 200 000 cas par jour.Malgré la vaccination, qui limite fortement les formes graves, un tel niveau de propagation de la maladie risquait d’engorger le système de santé. Rien de tout cela ne s’est produit. « Personne ne sait vraiment ce qu’il se passe », reconnaissait dans un article du 4 août de la revue Nature John Edmunds, épidémiologiste à la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM).
Le nombre de nouveaux cas de contaminations au Covid-19 a fortement baissé depuis deux semaines au Royaume-Uni. Une évolution de l’épidémie qui défie la plupart des prévisions : la fin des mesures de distanciation sociale, dans un pays où le très contagieux variant Delta est dominant, faisait craindre le scénario inverse.
C’est quelque chose auquel le Covid-19 ne nous a pas habitués : une bonne surprise. Du moins, la baisse soudaine, rapide et contre toute attente du nombre de nouvelles contaminations au Royaume-Uni ces deux dernières semaines y ressemble fortement.
"Les données officielles montrent que le nombre de nouveaux cas confirmés a été divisé par deux ces quinze derniers jours : on est passé de 54 674 le 17 juillet à 22 287 le 2 août", souligne la revue scientifique Nature.
Surprise et incrédulité
Ce n’est pas le scénario auquel le gouvernement britannique et une partie des scientifiques s’attendaient. Entre la présence du variant Delta, bien plus contagieux que les souches précédentes, et la fin des mesures de distanciation sociale décidée le 19 juillet, les spécialistes anticipaient plutôt une explosion des nouveaux cas.
Certains scénarios particulièrement sombres prévoyaient que le Royaume-Uni connaîtrait jusqu’à 100 000 nouveaux cas par jour avant la fin de l’été. Ce chiffre avait même été officiellement repris début juillet par Sajid Javid, le ministre de la Santé, pour pousser les Britanniques à ne pas baisser leur garde après le fameux "freedom day" (jour de liberté) du 19 juillet.
Alors quand les premiers indicateurs ont suggéré, dès la semaine du 20 juillet, que le nombre de nouveaux cas étaient en chute libre, "nous avons tous été surpris, et franchement je n’y ai d’abord pas cru", se rappelle Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open university et ancien vice-président de la Royal Statistical Society, interrogé par France 24.
L’un des premiers réflexes des observateurs a été de mettre ce petit miracle épidémiologique sur le compte d’une baisse du nombre des tests PCR, note le quotidien The Guardian. Avec l’arrivée de l’été, une partie des Britanniques n’auraient pas voulu se faire tester et prendre le risque d’un résultat positif synonyme de quarantaine forcée et de vacances gâchées.
Mais "pour les scientifiques la baisse du nombre de nouveaux cas positifs est trop importante pour pouvoir être expliquée seulement par cette réticence à se faire tester", souligne le Financial Times. Surtout, "les indicateurs montrent que les admissions à l’hôpital de patients atteints du Covid-19 ont stagné et commencent aussi à reculer, ce qui est encourageant et tend à confirmer l’hypothèse qu’il y a vraiment une décrue significative de nouveaux cas", explique Thomas Wingfield, spécialiste des maladies infectieuses à la Liverpool School of Tropical Medicine, interrogé par France 24.
C’est donc une "tendance baissière à plus long terme à laquelle nous assistons ici", confirme Kevin McConway. Et elle est difficile à comprendre. "On savait qu’il y aurait un ralentissement des nouveaux cas après l’explosion début juillet, mais pas aussi vite, et aussi fort", reconnaît ce statisticien spécialiste des questions de santé.
"Coup de chance"
La meilleure explication à l’heure actuelle est "que la chance a été du côté du gouvernement après sa décision de suspendre les mesures de distanciation sociale", poursuit Kevin McConway. Il y a alors eu une succession de circonstances favorables à un ralentissement de la propagation du variant Delta.
Parralelle avec la Pandémie de 1957 qui avait fait 3 millions de mort et 100 000 en France elle s'était eteint toute seule
https://www.latribune.fr/journal/edition-du-2210/enquete/294134/1957-100.000-morts.html
2 à 3 millions de mort dans le monde et 100k a France cela me rappel quelque choseLa pandémie s'éteint naturellement
Sans vaccin, ni médicament miracle, la première pandémie moderne s'éteint naturellement. "Les vagues de pandémies finissent toujours par s'atténuer spontanément", souligne Luc Hessel. "Les répliques ont été de moins en moins importantes d'année en année, au fur et à mesure que l'immunité augmentait dans la population. On estime qu'à l'hiver 1957-1958, 20 % des Français ont été malades, donc immunisés, auxquels il convient d'ajouter 5 % de porteurs sains, qui ont attrapé le virus sans le savoir. Petit à petit, celui-ci est devenu saisonnier", note Claude Hannoun. "Le virus de la grippe est un virus voyou : il s'échappe en mutant de manière marginale, par un phénomène de dérive génétique, indique Luc Hessel. Un peu comme s'il changeait de manteau chaque hiver".Durant l'hiver 1957-1958, ce changement de garde-robe aura fait 9 millions de malades et 100.000 morts en France. Il faudra attendre près de dix ans et la seconde pandémie grippale mondiale de l'ère moderne pour que ce virus H2N2 soit supplanté par un troisième, le H3N2.
pour les bots voici les STATS officiels du Gouv et du NHS et non ca n'augmente pas https://coronavirus.data.gov.uk/details/healthcare
Aya les rosbeef ont dévoilé l'arnaque du covid au grand jour
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png aucuns pass sanitaire, plus de gestes barrières, plus de masques et pourtant le covid BIDE
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png Tout les pseudo scientifiques qui sont sur le cul
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png
Les scientifiques alarmistes qui remettent ça sur le dos de la Chance pour pas se ridiculiser
c est quoi ce site eclaté je ne suis pas pr le vaccin mais la franchement........
Quoi de plus normal quand tu balance un vaccin expérimental, ils se protège comme des porc pour avoir zéro compte a rendre. C'est les Etats les gros mongoliens qui accepte toute ses merdes, et encore plus les giga golem qui se font piquer avec des merdes que personne ne sait quels problèmes ils peuvent engendrer.
Pour un exemple ma meuf qui a la maladie de Bergé (maladie auto-immune ou les défenses immunitaires lui bouffes les reins.) Aucun putain de médecin, et expert ne sait si le vaccin peut avoir des effets sur sa pathologie. Il en savent tout bonnement rien car ils ne peuvent pas le savoir...
Le 12 août 2021 à 19:56:56 :
On peut avoir confiance Ahi
Pfizer n'a été condamné que 71 fois
Donc, si je resume: Pfizer aurait déclaré, après de nombreuses observations, que la conclusion de ces etudes randomisées en double aveugle, auraient démontré qu'au final, la selection serait, selon les experts, naturelle.
Le 12 août 2021 à 21:19:34 :
Le 12 août 2021 à 21:17:20 :
Le 12 août 2021 à 20:58:55 :
https://www.lemonde.fr/planete/article/2021/08/11/covid-19-en-angleterre-le-pari-reussi-de-la-levee-des-restrictions_6091131_3244.html?fbclid=IwAR1ktqMt0NlMNNHBLe3-IrRPCJN7CNuj7-qi5VA6fNlpaB1fTvo2jYR-vFgQuand il avait annoncé la levée de toutes les restrictions sanitaires le 19 juillet pour l’Angleterre, Boris Johnson n’avait pas caché une certaine inquiétude. « Il est vital que nous agissions avec prudence », avait demandé le premier ministre britannique à sa population. Le variant Delta se répandait alors très rapidement, et plus de 50 000 cas positifs par jour étaient enregistrés, nombre proche du pic de la violente troisième vague de janvier.
Trois semaines plus tard, le pari s’avère pourtant le bon. Alors que les masques ne sont plus obligatoires, qu’il n’y a plus de jauge à respecter dans les salles de concert, les discothèques ou les stades de football, la pandémie semble reculer. Le nombre de cas positifs a baissé de moitié, à 26 000 en moyenne sur les sept derniers jours. Les hospitalisations, qui étaient restées faibles mais avaient accéléré tout le mois de juillet, refluent également : il y a 750 admissions par jour actuellement, contre 900 fin juillet.
Article réservé à nos abonnés Lire aussi Covid-19 : en Angleterre, des entreprises perturbées à cause de l’isolement des salariés
Des épidémiologistes pris par surprise
Cette évolution a pris la plupart des épidémiologistes par surprise, ainsi que le gouvernement britannique lui-même. Sajid Javid, le ministre de la santé, avait publiquement anticipé un possible pic de 100 000 cas positifs par jour, ce qui aurait été le plus haut niveau jamais enregistré de la pandémie. Neil Ferguson, épidémiologiste à l’Imperial College London, dont les modèles avaient été cruciaux pour convaincre M. Johnson d’imposer le premier confinement en mars 2020, évoquait même 200 000 cas par jour.Malgré la vaccination, qui limite fortement les formes graves, un tel niveau de propagation de la maladie risquait d’engorger le système de santé. Rien de tout cela ne s’est produit. « Personne ne sait vraiment ce qu’il se passe », reconnaissait dans un article du 4 août de la revue Nature John Edmunds, épidémiologiste à la London School of Hygiene & Tropical Medicine (LSHTM).
Le nombre de nouveaux cas de contaminations au Covid-19 a fortement baissé depuis deux semaines au Royaume-Uni. Une évolution de l’épidémie qui défie la plupart des prévisions : la fin des mesures de distanciation sociale, dans un pays où le très contagieux variant Delta est dominant, faisait craindre le scénario inverse.
C’est quelque chose auquel le Covid-19 ne nous a pas habitués : une bonne surprise. Du moins, la baisse soudaine, rapide et contre toute attente du nombre de nouvelles contaminations au Royaume-Uni ces deux dernières semaines y ressemble fortement.
"Les données officielles montrent que le nombre de nouveaux cas confirmés a été divisé par deux ces quinze derniers jours : on est passé de 54 674 le 17 juillet à 22 287 le 2 août", souligne la revue scientifique Nature.
Surprise et incrédulité
Ce n’est pas le scénario auquel le gouvernement britannique et une partie des scientifiques s’attendaient. Entre la présence du variant Delta, bien plus contagieux que les souches précédentes, et la fin des mesures de distanciation sociale décidée le 19 juillet, les spécialistes anticipaient plutôt une explosion des nouveaux cas.
Certains scénarios particulièrement sombres prévoyaient que le Royaume-Uni connaîtrait jusqu’à 100 000 nouveaux cas par jour avant la fin de l’été. Ce chiffre avait même été officiellement repris début juillet par Sajid Javid, le ministre de la Santé, pour pousser les Britanniques à ne pas baisser leur garde après le fameux "freedom day" (jour de liberté) du 19 juillet.
Alors quand les premiers indicateurs ont suggéré, dès la semaine du 20 juillet, que le nombre de nouveaux cas étaient en chute libre, "nous avons tous été surpris, et franchement je n’y ai d’abord pas cru", se rappelle Kevin McConway, professeur émérite de statistiques appliquées à l’Open university et ancien vice-président de la Royal Statistical Society, interrogé par France 24.
L’un des premiers réflexes des observateurs a été de mettre ce petit miracle épidémiologique sur le compte d’une baisse du nombre des tests PCR, note le quotidien The Guardian. Avec l’arrivée de l’été, une partie des Britanniques n’auraient pas voulu se faire tester et prendre le risque d’un résultat positif synonyme de quarantaine forcée et de vacances gâchées.
Mais "pour les scientifiques la baisse du nombre de nouveaux cas positifs est trop importante pour pouvoir être expliquée seulement par cette réticence à se faire tester", souligne le Financial Times. Surtout, "les indicateurs montrent que les admissions à l’hôpital de patients atteints du Covid-19 ont stagné et commencent aussi à reculer, ce qui est encourageant et tend à confirmer l’hypothèse qu’il y a vraiment une décrue significative de nouveaux cas", explique Thomas Wingfield, spécialiste des maladies infectieuses à la Liverpool School of Tropical Medicine, interrogé par France 24.
C’est donc une "tendance baissière à plus long terme à laquelle nous assistons ici", confirme Kevin McConway. Et elle est difficile à comprendre. "On savait qu’il y aurait un ralentissement des nouveaux cas après l’explosion début juillet, mais pas aussi vite, et aussi fort", reconnaît ce statisticien spécialiste des questions de santé.
"Coup de chance"
La meilleure explication à l’heure actuelle est "que la chance a été du côté du gouvernement après sa décision de suspendre les mesures de distanciation sociale", poursuit Kevin McConway. Il y a alors eu une succession de circonstances favorables à un ralentissement de la propagation du variant Delta.
Parralelle avec la Pandémie de 1957 qui avait fait 3 millions de mort et 100 000 en France elle s'était eteint toute seule
https://www.latribune.fr/journal/edition-du-2210/enquete/294134/1957-100.000-morts.html
2 à 3 millions de mort dans le monde et 100k a France cela me rappel quelque choseLa pandémie s'éteint naturellement
Sans vaccin, ni médicament miracle, la première pandémie moderne s'éteint naturellement. "Les vagues de pandémies finissent toujours par s'atténuer spontanément", souligne Luc Hessel. "Les répliques ont été de moins en moins importantes d'année en année, au fur et à mesure que l'immunité augmentait dans la population. On estime qu'à l'hiver 1957-1958, 20 % des Français ont été malades, donc immunisés, auxquels il convient d'ajouter 5 % de porteurs sains, qui ont attrapé le virus sans le savoir. Petit à petit, celui-ci est devenu saisonnier", note Claude Hannoun. "Le virus de la grippe est un virus voyou : il s'échappe en mutant de manière marginale, par un phénomène de dérive génétique, indique Luc Hessel. Un peu comme s'il changeait de manteau chaque hiver".Durant l'hiver 1957-1958, ce changement de garde-robe aura fait 9 millions de malades et 100.000 morts en France. Il faudra attendre près de dix ans et la seconde pandémie grippale mondiale de l'ère moderne pour que ce virus H2N2 soit supplanté par un troisième, le H3N2.
pour les bots voici les STATS officiels du Gouv et du NHS et non ca n'augmente pas https://coronavirus.data.gov.uk/details/healthcare
Aya les rosbeef ont dévoilé l'arnaque du covid au grand jour
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png aucuns pass sanitaire, plus de gestes barrières, plus de masques et pourtant le covid BIDE
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png Tout les pseudo scientifiques qui sont sur le cul
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png Les scientifiques alarmistes qui remettent ça sur le dos de la Chance pour pas se ridiculiser
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/21/1495904912-58489651.png
"on comprend pas"
"c'est le hasard"
"un coup de BOL"
Le FURUM l'avait pourtant annoncé y'a 6 mois
Le 12 août 2021 à 21:22:51 :
Y a pas une meilleure source ?
https://threadreaderapp.com/thread/1420017526977749004.html
La version originale en anglais à bien entendu été censurée. Celle en Français est restée parce qu'elle est passée inaperçue.
Tu t'attends à quoi, que ce genre d'article sorte dans le monde ou sur BFM?
Il me semble que Robert Malone en avait parlé il y a quelques jours.
Par contre...va falloir attendre une autre source pour paraître crédible.
Les mecs qui pensent que le vaccin provoque le sida changé rien
Le 12 août 2021 à 19:52:26 :
Pfizer cherche actuellement une base militaire en amerique latinehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/07/4/1613639007-risichauve.png