12 124 RICHES guillotinés pendant la révolution, SAH QUEL PLAISIR
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Je n'ai pas les sources, mais la classe sociale la plus touchée par des exécution capitale sous la révolution/terreur est la classe populaire (ouvrière et paysanne)La fameuse Loi Le Chapelier qui a transformer les travailleurs Français en esclaves, ce qui fera de la France un des principaux foyers du socialisme au XIXe et au XXe siècle
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Loi_Le_Chapelier
La loi Le Chapelier avait une raison d'être juste au départ : il s'agissait d'en finir avec les pratiques népotiques des corporations et de libéraliser le travail. C'était une bonne chose.
Ca n'aurait cependant pas dû empêcher la création d'associations libres de militer pour se faire entendre.
Non libéraliser le travail n'est jamais une bonne chose pour le prolétaire.
Bien sûr que si, n'importe qui pouvait dès lors devenir travailleur dans le domaine de son choix, au lieu d'avoir à se faire adouber par une petite mafia, ce qu'étaient devenues les corporations, où de père en fils, certaines familles restaient en haut de la hiérarchie et empêchaient ceux d'en bas d'accéder à leur rang.
Sans les corporations, n'importe qui pouvait devenir travailleur indépendant dans le domaine de son choix et s'élever jusqu'au plus haut rang social par la seule force de son travail.
Mais j'imagine que j'ai affaire à un marxiste qui considère qu'il n'existe que des employés et des patrons ? Les employés sont trop bêtes pour se mettre à leur propre compte, sans doute ?
ça n'existe pas grimper les échelons a la force de son travail et son mérite.
Non ils ne sont pas trop bête mais leur origine sociale leur en empêche.
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Je n'ai pas les sources, mais la classe sociale la plus touchée par des exécution capitale sous la révolution/terreur est la classe populaire (ouvrière et paysanne)La fameuse Loi Le Chapelier qui a transformer les travailleurs Français en esclaves, ce qui fera de la France un des principaux foyers du socialisme au XIXe et au XXe siècle
La loi Le Chapelier avait une raison d'être juste au départ : il s'agissait d'en finir avec les pratiques népotiques des corporations et de libéraliser le travail. C'était une bonne chose.
Ca n'aurait cependant pas dû empêcher la création d'associations libres de militer pour se faire entendre.
Non libéraliser le travail n'est jamais une bonne chose pour le prolétaire.
Bien sûr que si, n'importe qui pouvait dès lors devenir travailleur dans le domaine de son choix, au lieu d'avoir à se faire adouber par une petite mafia, ce qu'étaient devenues les corporations, où de père en fils, certaines familles restaient en haut de la hiérarchie et empêchaient ceux d'en bas d'accéder à leur rang.
Sans les corporations, n'importe qui pouvait devenir travailleur indépendant dans le domaine de son choix et s'élever jusqu'au plus haut rang social par la seule force de son travail.
Mais j'imagine que j'ai affaire à un marxiste qui considère qu'il n'existe que des employés et des patrons ? Les employés sont trop bêtes pour se mettre à leur propre compte, sans doute ?
Sauf que comme tu le dis, les avantages de cette mobilité ont vite disparus à cause de la perte des droits sociaux. Sur le long terme, on arrive dans un cas où l'Allepagne autoritaire et militariste avait une meilleure sécurité sociale et des jours de congés avant les Français, ce n'est pas pour rien que les Alsaciens ont demandés à garder les droits qu'ils avaient au sein de l'empire en 1918.
Concrètement, excepté sous Napoléon III, il n'y a jamais eu de vrai libéralisation économique en France. La République et la Monarchie ont toujours dû s'appuyer sur un despotisme bureaucratique totale pour pouvoir s'imposer durablement, au détriment de l'économie et de la majorité de la population.
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Je n'ai pas les sources, mais la classe sociale la plus touchée par des exécution capitale sous la révolution/terreur est la classe populaire (ouvrière et paysanne)La fameuse Loi Le Chapelier qui a transformer les travailleurs Français en esclaves, ce qui fera de la France un des principaux foyers du socialisme au XIXe et au XXe siècle
La loi Le Chapelier avait une raison d'être juste au départ : il s'agissait d'en finir avec les pratiques népotiques des corporations et de libéraliser le travail. C'était une bonne chose.
Ca n'aurait cependant pas dû empêcher la création d'associations libres de militer pour se faire entendre.
Non libéraliser le travail n'est jamais une bonne chose pour le prolétaire.
Bien sûr que si, n'importe qui pouvait dès lors devenir travailleur dans le domaine de son choix, au lieu d'avoir à se faire adouber par une petite mafia, ce qu'étaient devenues les corporations, où de père en fils, certaines familles restaient en haut de la hiérarchie et empêchaient ceux d'en bas d'accéder à leur rang.
Sans les corporations, n'importe qui pouvait devenir travailleur indépendant dans le domaine de son choix et s'élever jusqu'au plus haut rang social par la seule force de son travail.
Mais j'imagine que j'ai affaire à un marxiste qui considère qu'il n'existe que des employés et des patrons ? Les employés sont trop bêtes pour se mettre à leur propre compte, sans doute ?
croire que la france n'est pas un système de caste, faut vraiment etre con
E pur si mueve !, comme disait l'autre.
Au XIXe siècle, de nombreuses familles se sont enrichies parce qu'on les a laissées libres de développer leur business sans avoir à se faire adouber par qui que ce soit. Il y en a des exemples dans ma famille comme dans tant d'autres.
Ceci était impossible à l'époque des corporations qui pour chaque métier maintenaient justement ces castes dont tu parles, où les mêmes familles se transmettaient la "maîtrise" de père en fils (il y avait un numerus clausus pour la plupart), condamnant la plupart des travailleurs à rester perpétuellement en bas de l'échelle pendant que les patrons étaient protégés.
Ceux qui sont restés en bas de l'échelle au XIXe siècle n'ont aucune excuse.
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Je n'ai pas les sources, mais la classe sociale la plus touchée par des exécution capitale sous la révolution/terreur est la classe populaire (ouvrière et paysanne)La fameuse Loi Le Chapelier qui a transformer les travailleurs Français en esclaves, ce qui fera de la France un des principaux foyers du socialisme au XIXe et au XXe siècle
La loi Le Chapelier avait une raison d'être juste au départ : il s'agissait d'en finir avec les pratiques népotiques des corporations et de libéraliser le travail. C'était une bonne chose.
Ca n'aurait cependant pas dû empêcher la création d'associations libres de militer pour se faire entendre.
Non libéraliser le travail n'est jamais une bonne chose pour le prolétaire.
Bien sûr que si, n'importe qui pouvait dès lors devenir travailleur dans le domaine de son choix, au lieu d'avoir à se faire adouber par une petite mafia, ce qu'étaient devenues les corporations, où de père en fils, certaines familles restaient en haut de la hiérarchie et empêchaient ceux d'en bas d'accéder à leur rang.
Sans les corporations, n'importe qui pouvait devenir travailleur indépendant dans le domaine de son choix et s'élever jusqu'au plus haut rang social par la seule force de son travail.
Mais j'imagine que j'ai affaire à un marxiste qui considère qu'il n'existe que des employés et des patrons ? Les employés sont trop bêtes pour se mettre à leur propre compte, sans doute ?
ça n'existe pas grimper les échelons a la force de son travail et son mérite.
Non ils ne sont pas trop bête mais leur origine sociale leur en empêche.
L'origine sociale n'empêche en aucun cas 2 ou 3 personnes motivées de s'associer et de créer une entreprise.
Tu nies des faits qui ont existé et que tout le monde peut constater pour justifier ta lâcheté ou celle de tes ancêtres.
Le 26 mai 2021 à 11:40:06 :
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Je n'ai pas les sources, mais la classe sociale la plus touchée par des exécution capitale sous la révolution/terreur est la classe populaire (ouvrière et paysanne)La fameuse Loi Le Chapelier qui a transformer les travailleurs Français en esclaves, ce qui fera de la France un des principaux foyers du socialisme au XIXe et au XXe siècle
La loi Le Chapelier avait une raison d'être juste au départ : il s'agissait d'en finir avec les pratiques népotiques des corporations et de libéraliser le travail. C'était une bonne chose.
Ca n'aurait cependant pas dû empêcher la création d'associations libres de militer pour se faire entendre.
Non libéraliser le travail n'est jamais une bonne chose pour le prolétaire.
Bien sûr que si, n'importe qui pouvait dès lors devenir travailleur dans le domaine de son choix, au lieu d'avoir à se faire adouber par une petite mafia, ce qu'étaient devenues les corporations, où de père en fils, certaines familles restaient en haut de la hiérarchie et empêchaient ceux d'en bas d'accéder à leur rang.
Sans les corporations, n'importe qui pouvait devenir travailleur indépendant dans le domaine de son choix et s'élever jusqu'au plus haut rang social par la seule force de son travail.
Mais j'imagine que j'ai affaire à un marxiste qui considère qu'il n'existe que des employés et des patrons ? Les employés sont trop bêtes pour se mettre à leur propre compte, sans doute ?
Sauf que comme tu le dis, les avantages de cette mobilité ont vite disparus à cause de la perte des droits sociaux. Sur le long terme, on arrive dans un cas où l'Allepagne autoritaire et militariste avait une meilleure sécurité sociale et des jours de congés avant les Français, ce n'est pas pour rien que les Alsaciens ont demandés à garder les droits qu'ils avaient au sein de l'empire en 1918.
Concrètement, excepté sous Napoléon III, il n'y a jamais eu de vrai libéralisation économique en France. La République et la Monarchie ont toujours dû s'appuyer sur un despotisme bureaucratique totale pour pouvoir s'imposer durablement, au détriment de l'économie et de la majorité de la population.
Qu'est-ce que la sécurité sociale vient faire la dedans ? La sécurité sociale, au XIXe, c'était des mutuelles privées ou la famille dont les jeunes aidaient (et souvent hébergeaient) les vieux. Ca suffisait pour les gens responsables. Si ensuite des cigales ont fait n'importe quoi, ça les regarde.
Mais il est vrai que bien vite l'Etat est venu mettre ses grosses pattes bien grasses pour empêcher les petits entrepreneurs de s'enrichir, afin que la haute bourgeoisie conserve ses intérêts, comme c'est toujours le cas aujourd'hui.
Il n'empêche qu'au début du XIXe siècle le pays était à peu près libéralisé et même sous Napoléon III, c'était bien plus libre qu'aujourd'hui.
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