L'inceste (consenti). On en talk deux minutes ?

Le 21 mars 2021 à 18:02:29 Frere_Ironicus a écrit :

Le 12 février 2021 à 14:55:57 OreoPresident a écrit :
A partir du moment que le gosse issue de l'inceste sort a moitié mongolo, ça veut donc dire que c'est contre nature

Ouais enfin les trucs contre nature si ce n'est que ça l'argument
Des bites dans le cul c'est contre nature, une bite dans une bouche aussi, se faire charcuter la queue pour avoir une chatte j'en parle même pas
Si notre société accepte les autres déviants, deux adultes consentants incestueux ça ne devrait plus choquer

On est d'accord. D'autant que cet argument est hypocrite vu l'avortement n'a jamais été si omniprésent qu'aujourd'hui.

Honnêtement, avec ce qui est proche (frère/soeur, cousins germains) c'est glauque je trouve, en revanche avec les cousin/cousines éloignées j'ai tendance à trouver ça moins choquant même si a titre personnel je ne le ferai pas quoi

J'ai une histoire sur ce sujet. Si ça vous plaît, je vous raconterai la suite ;)

C'était un matin de janvier, mon père et moi nous étions rendu à Paris pour le week-end dans l'espoir de visiter. Malheureusement, il faisait mauvais temps ce jour-là. Nous sommes quand même descendu prendre un café dans le parc d'en face, de l'eau ruisselait sur nos habits et sur notre peau. Alors que nous marchions pour rentrer, mon père fit tomber ses clés. Il se pencha pour les ramasser, me laissant entrevoir un galbe que je découvrais sous un nouveau jour. La pluie avait trempé son pantalon, enserrant sa taille et malgré que je l'avais déjà vu nu, c'est la première fois que je ressenti une réelle excitation pour mon géniteur. Quand il se releva, je détournai les yeux pour paraître innocent. Il me demanda alors pourquoi ce sourire malicieux rayonnait sur mon visage. Je ne pu retenir un petit rire gêné en pensant à nos deux corps enlacés et détourna le sujet, priant pour qu'il n'ai pas vu mon regard insistant sur ses cuisses. Après une ballade tout aussi gênante qu'excitante, nous décidâmes de rentrer à l'hôtel. Sur le chemin du retour, le pas lourd de mon père résonnant en moi, je ne puis m'empêcher de nous imaginer, lui me prenant et moi jaillissant de plaisir sur ce rythme endiablé qu'il imposait de par sa musculature grecque. Dans l'ascenseur montant au 4ème étage, le souffle chaud de mon père parcourait le fil de ma nuque tel un pilote sur les dunes Dakarienne. L'espace était trop petit dans cet habitacle pour que nous y rentrâmes allongés mais j'aurai aimé que pris d'excitation, il me détruise l'anus, ici, à même le sol de ce monte charge, prison de notre liberté mais protectrice de tous nos plaisirs malsains. Epris de ces vicieuses pensées, tout aussi utopique qu'improbable, je fus sortis de celle-ci par le marbrage de mon sexe, visible aux yeux de celui qui avait enfanté une fille de joie des bas fonds que je n'avais point connu. Quand soudain Père me saisit le manche.

A suivre

d'une poigne olympienne. Cette sensation me fit tressaillir, un long frisson me parcrouru l'échine, mon père, acteur de fantasmes inavoués, et moi, réalisateur de cette lambada sensuelle. Ce film, avec Pour seule caméra, un miroir vetuste de cabine qui nous cadrait en plan large.
Le temps sembla s'arrêter l'espace d'un instant quand nos regards se croisèrent, dans ce tourment d'excitation perpétuelle, qui nous laissa stupéfait devant cette réalité inébranlable : le mal était déjà fait, autant se délecter de ce doux nectar qu'est l'amour entre un père et son fils.
Je pris alors mon courage à deux mains tout comme mon père exerça sa force strangulaire autour de mon scrotum, vice de tous mes péchés mais également salvatrice de toutes mes envies. Je m'abaissa à la hauteur de son caleçon et exerça une pression sur son entrejambe bombée, puis, élancé d'une rage galvasinante, je lui retira son pantacourt Airness ® avec tellement de sauvagerie que son habit ne le protégea plus de ma fougue incestueuse. Il comprit alors que je n'étais pas seulement là pour être l'observateur de cette scène sacrée à mes yeux mais aussi pour jouer le second rôle de cette folle histoire charnelle. J'y actais eve, goûtant le fruit interdit mais ce dernier contenait un jus beaucoup plus aqueux que le met susdit.
Quand soudain, un bruit perfora nos oreilles, je m'esclamais avec ses bourses en main : Papa !?
L'ascenseur venait de s'arrêter, et des conversations retentirent derrière les portes qui s'entrouvraient à présent , brisant la singularité de ce moment exaltant.