L’HOMME qui a eu la VIE la plus EXCEPTIONNELLE de l’HISTOIRE ?

Les Conquistadores qui se sont rendus aux Amériques, imaginez le choc culturel immense que ça a du être (avant que ça ne se termine en bain de sang )

Garibaldi
Vasco de gama
l’empereur Hadrien

Jules César clairement, il a déjà été esclave

Cizia Zyke est pas mal
Délinquant dans sa jeunesse, il se barre de France et fait des affaires dans le monde entier
Marchant d'art en amérique du sud, homme d'affaire plus ou moins légal, machines à sous, récup de dettes
Puis chercheur d'or en amérique et australie puis écrivain à succés

Georges Best, il a vécu la meilleur vie qu'un homme puisse vivre. Star du foot, adulé, considéré comme le 5ème Beatles, sa vie est faite uniquement de plaisir, football, soirée, alcool, femmes à profusion.

+1 bordel sa vie entière a été une soirée qui ne s'est jamais arrêté, sauf quand il a finit sur le billard à cause de toutes ces conneries mais bon ça l'a pas raisonné et il est mort peu de temps après

Le 04 janvier 2021 à 17:55:29 GaryLeGars a écrit :

Le 04 janvier 2021 à 17:51:20 Shekel2Goyim a écrit :
Alexandre le grand a eu une vie de merde, rongée par la passion et la démesure. Les seuls bons moments de sa vie, c'est sa rencontre avec Aristote et le moment où sa campagne militaire commence à franchir l'Hindou Kouch, dépassant ainsi les limites connues du monde à l'époque

On a pas dis vie sympas, heureuse ou morale, on a dis vie exceptionnelle. Sa vie est bien exceptionnelle.

Après quel mérite quand on naît roi
En tant que prolo ça m'impressionne moyennement. Surtout quand t'as Darius en face et les perses, pas vraiment un adversaire redoutable.

Le 04 janvier 2021 à 18:07:10 Komandir a écrit :
Les Conquistadores qui se sont rendus aux Amériques, imaginez le choc culturel immense que ça a du être (avant que ça ne se termine en bain de sang )

+choc géographique, après si je ne me trompe pas ils n'ont pas su tout de suite qu'ils avaient decouvert un nouveau continent, ça aurait été encore plus la folie dans leur esprit

Steve jobs on peut dire même si je n'aime pas apple, sans lui le 21e siècle ne ressemblerait pas du tout à ce qu'il est c'est dingue, et il a aussi un parcours de fou, d'abord adopté puis hippie défoncé au LSD h24 et il a révolutionné le monde

Autre, parce-que

Arnold Schwarzenegger.

Le mec, peu importe le domaine dans lequel il s'engage arrive à atteindre l'excellence.

Le 04 janvier 2021 à 18:10:56 b-boy-dark5tar a écrit :
Arnold Schwarzenegger.

Le mec, peu importe le domaine dans lequel il s'engage arrive à atteindre l'excellence.

A l'ère contemporaine il est bien classé oui

Duncan MacLeod

Albert Severin Roche

En 1914, à 19 ans, lors de la mobilisation, le conseil de révision le refuse car l’estimant trop chétif pour servir, à la grande joie de son père : on a besoin de bras pour faire tourner la ferme. Albert veut cependant coûte que coûte se battre. Devant l’opposition de son père, il fait son sac et se sauve. Il se présente au camp d’instruction d’Allan qui l’affecte au 30e bataillon de chasseurs[2]. Cependant son incorporation se passe mal : mal noté, mal-aimé, il s’énerve et s’enfuit. Aussitôt rattrapé, il est envoyé en prison pour désertion.

Insigne du 27e BCA. Devise : « Vivre libre ou mourir », devise du bataillon des Glières et « Toujours à l'affût ».
Il se défend en ces termes : « Les mauvais soldats, on les expédie là-haut, et moi je veux aller où l’on se bat. »

Il est alors envoyé le 3 juillet 1915 au 27e bataillon de chasseurs alpins engagé dans l’Aisne, bataillon surnommé « diables bleus » par les Allemands.

Les diables bleus : une tranchée.

Les diables bleus : la soupe.

Les diables bleus : le poste de secours.

Il se porte volontaire pour aller détruire un nid de mitrailleuses. Rampant jusqu’aux tranchées ennemies, il parvient à proximité de la cible, atteint le tuyau de cheminée du poêle autour duquel se pressent les Allemands pour se chauffer et y fait tomber une poignée de grenades. La position est neutralisée : il y a plusieurs morts et les survivants se rendent, croyant être attaqués par un bataillon entier. Albert revient à sa base avec les mitrailleuses et huit prisonniers[3],[4].

Le 15 octobre 1915, il est distingué comme chasseur de première classe[5].

Régulièrement en première ligne, il se retrouve un jour être le seul survivant de sa position, une tranchée au Sudel en Alsace, tous ses camarades ayant été tués. Il positionne alors tous les fusils des morts avec lesquels il tire alternativement faisant croire à l’ennemi à la résistance d’une garnison, mettant ceux-ci en déroute[3],[4].

Régulièrement volontaire pour des missions de reconnaissance, il est un jour fait prisonnier avec son lieutenant blessé. Isolé dans une casemate lors d’un interrogatoire, il parvient à maîtriser et tuer son interrogateur à qui il a subtilisé le pistolet. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il ramène 42 nouveaux prisonniers et son lieutenant blessé sur son dos[3].

Lors d'une offensive de la bataille du Chemin des Dames, son capitaine est grièvement blessé et gît entre les lignes. Il rampe alors sous le feu au péril de sa vie pendant six heures pour le rejoindre, puis encore quatre heures pour le ramener avant de le confier aux brancardiers. Épuisé, il s’endort dans un trou de guetteur. Il est réveillé par une patrouille qui le prend pour un déserteur. « Abandon de poste sous le feu, fusillé dans les 24 heures ». Malgré ses dénégations, sans témoin et en période de mutinerie, il est envoyé au cachot en attente de l’application de la sentence. Il écrit alors à son père « Dans une heure je serai fusillé, mais je t’assure que je suis innocent. ». Il est emmené au peloton d’exécution qui s’apprête à faire sa besogne lorsqu’une estafette l’interrompt : le capitaine est sorti juste à temps de son coma et apporte son témoignage disculpant Albert[3],[4].

Le chasseur Roche est nommé chevalier de la Légion d'honneur le 3 septembre 1918 avec la citation suivante :

« Chasseur dont la bravoure est légendaire au bataillon. Fait preuve, dans les circonstances les plus difficiles d'un mépris absolu du danger ; conserve un calme absolu aux moments les plus critiques, donne à ses camarades l'exemple de l'entrain, exalte leur courage, est pour ses chefs un auxiliaire précieux. Pendant les opérations du 31 août 1918, a réussi comme agent de liaison à transmettre à toutes les sections de sa compagnie les ordres du commandant, n'hésitant devant aucun danger, triomphant des difficultés de toutes sortes, montrant un rare esprit de décision, une conscience au dessus de tout éloge. Médaillé militaire pour faits de guerre (sept citations). »

— 3 septembre 1918

Il reçoit la croix de la Légion d'honneur des mains du commandant de l'armée des Vosges, le général de Maud'huy. Il est invité à la table du général Mangin.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Albert_S%C3%A9verin_Roche

Le 04 janvier 2021 à 18:10:56 b-boy-dark5tar a écrit :
Arnold Schwarzenegger.

Le mec, peu importe le domaine dans lequel il s'engage arrive à atteindre l'excellence.

Zyzz pendant que t'y eshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/51/2/1607997474-ayaoo.png

[17:56:38] <KuroroNero>
Alexandre j'aurais dit
Être Roi,Passer par de nombreux pays, prendre des villes et en fonder, le tout accompagné par des amis fidèles. Découvrir des mœurs et coutumes différentes, faire des fêtes énormes , connaître les grands noms de l'époque.Graver son nom dans l'histoire. + a amené de nouvelles stratégies militaires
Même si il est mort jeune, il a bien vécu je trouve

Le roi Salomon et y a même pas de débat

Le 04 janvier 2021 à 18:12:25 MharcelFitness a écrit :
Albert Severin Roche

En 1914, à 19 ans, lors de la mobilisation, le conseil de révision le refuse car l’estimant trop chétif pour servir, à la grande joie de son père : on a besoin de bras pour faire tourner la ferme. Albert veut cependant coûte que coûte se battre. Devant l’opposition de son père, il fait son sac et se sauve. Il se présente au camp d’instruction d’Allan qui l’affecte au 30e bataillon de chasseurs[2]. Cependant son incorporation se passe mal : mal noté, mal-aimé, il s’énerve et s’enfuit. Aussitôt rattrapé, il est envoyé en prison pour désertion.

Insigne du 27e BCA. Devise : « Vivre libre ou mourir », devise du bataillon des Glières et « Toujours à l'affût ».
Il se défend en ces termes : « Les mauvais soldats, on les expédie là-haut, et moi je veux aller où l’on se bat. »

Il est alors envoyé le 3 juillet 1915 au 27e bataillon de chasseurs alpins engagé dans l’Aisne, bataillon surnommé « diables bleus » par les Allemands.

Les diables bleus : une tranchée.

Les diables bleus : la soupe.

Les diables bleus : le poste de secours.

Il se porte volontaire pour aller détruire un nid de mitrailleuses. Rampant jusqu’aux tranchées ennemies, il parvient à proximité de la cible, atteint le tuyau de cheminée du poêle autour duquel se pressent les Allemands pour se chauffer et y fait tomber une poignée de grenades. La position est neutralisée : il y a plusieurs morts et les survivants se rendent, croyant être attaqués par un bataillon entier. Albert revient à sa base avec les mitrailleuses et huit prisonniers[3],[4].

Le 15 octobre 1915, il est distingué comme chasseur de première classe[5].

Régulièrement en première ligne, il se retrouve un jour être le seul survivant de sa position, une tranchée au Sudel en Alsace, tous ses camarades ayant été tués. Il positionne alors tous les fusils des morts avec lesquels il tire alternativement faisant croire à l’ennemi à la résistance d’une garnison, mettant ceux-ci en déroute[3],[4].

Régulièrement volontaire pour des missions de reconnaissance, il est un jour fait prisonnier avec son lieutenant blessé. Isolé dans une casemate lors d’un interrogatoire, il parvient à maîtriser et tuer son interrogateur à qui il a subtilisé le pistolet. Ne s’arrêtant pas en si bon chemin, il ramène 42 nouveaux prisonniers et son lieutenant blessé sur son dos[3].

Lors d'une offensive de la bataille du Chemin des Dames, son capitaine est grièvement blessé et gît entre les lignes. Il rampe alors sous le feu au péril de sa vie pendant six heures pour le rejoindre, puis encore quatre heures pour le ramener avant de le confier aux brancardiers. Épuisé, il s’endort dans un trou de guetteur. Il est réveillé par une patrouille qui le prend pour un déserteur. « Abandon de poste sous le feu, fusillé dans les 24 heures ». Malgré ses dénégations, sans témoin et en période de mutinerie, il est envoyé au cachot en attente de l’application de la sentence. Il écrit alors à son père « Dans une heure je serai fusillé, mais je t’assure que je suis innocent. ». Il est emmené au peloton d’exécution qui s’apprête à faire sa besogne lorsqu’une estafette l’interrompt : le capitaine est sorti juste à temps de son coma et apporte son témoignage disculpant Albert[3],[4].

Le chasseur Roche est nommé chevalier de la Légion d'honneur le 3 septembre 1918 avec la citation suivante :

« Chasseur dont la bravoure est légendaire au bataillon. Fait preuve, dans les circonstances les plus difficiles d'un mépris absolu du danger ; conserve un calme absolu aux moments les plus critiques, donne à ses camarades l'exemple de l'entrain, exalte leur courage, est pour ses chefs un auxiliaire précieux. Pendant les opérations du 31 août 1918, a réussi comme agent de liaison à transmettre à toutes les sections de sa compagnie les ordres du commandant, n'hésitant devant aucun danger, triomphant des difficultés de toutes sortes, montrant un rare esprit de décision, une conscience au dessus de tout éloge. Médaillé militaire pour faits de guerre (sept citations). »

— 3 septembre 1918

Il reçoit la croix de la Légion d'honneur des mains du commandant de l'armée des Vosges, le général de Maud'huy. Il est invité à la table du général Mangin.

https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Albert_S%C3%A9verin_Roche

Bordel, dire qu'aujourd'hui on donne la Légion d'honneur à Mimi Mathy

Personne cite Genghis Khan ?

Très subjectif mais Khalid ibn al-Walid incontestablement.

Le 04 janvier 2021 à 18:08:32 vetareg a écrit :
Jules César clairement, il a déjà été esclave