Le 13 septembre 2021 à 01:21:00 :
Le covid long
Très rare :
https://twitter.com/BallouxFrancois/status/1432619277492891658?s=20
Et évidemment, autour, des recherches foireuses :
https://twitter.com/phl43/status/1356999202526625792?s=20
C’est quand même fou de se dire qu’il y’a des gens prêts à défendre un domaine pseudoscientifique qui n’offre que 39% de recherches un tant soit peu valides, un domaine qui dans sa pratique, a une influence sur la vie de nombreux individus. C’est totalement irresponsable et moralement abject.
Réponse à ce que tu as dis pour le troisième article :
Tu te rends compte du ridicule de ta justification ? Quiconque prétend vouloir devrait éviter de telles erreurs, quelque soit sa formation initiale.
Impertinent, ta perdu ton temps à écrire ça.
Un domaine qui pèche justement sur la méthodologie ne peut prétendre relever de la science.
Si l'on suivait cette logique, cela voudrait dire aussi que l'ensemble des recherches dans nimporte quel domaines ne peuvent prétendre relever de la science.
Pourquoi ? Parce que tu te fourvoies entièrement si tu crois que dans n'importe quel autre domaine de la science, comme la biologie, il n'y ait pas de problème méthodologiques au niveau de la multitudes des articles de recherche donné. Il n'y a qu'à lire nimporte quelle revue de la littérature en biologie par exemple pour voir que ceux-ci cible également des articles de recherches en biologie. Cela n'invalide pas la biologie pour autant en tant que Science. Au contraire, cela permet de faire avancer la Science, exactement comme pour les Neurosciences, en supprimant ce qui est réfutables ou faux et en gardant ce qui est non réfutable ou vrai à l'heure actuelle.
Le problème particulier des Neurosciences, et je me répète en disant cela, c'est le problème de la compétence des chercheurs dans ce domaine, comparé à ceux d'autres domaines de la Science. Je le redis, sans une formation initiale solide en mathématiques, la probabilité que le chercheur fasse une erreur de méthodologie logico-mathématique sera augmentée.
Si tu vois le background de beaucoup d'équipe de chercheur en Neurosciences, tu verras qu'environ la moitié sont de cursus Licence de Psy + Master de Psy + Doctorat en Neurosciences et que l'autre moitié vienne de Licence de Biologie + Master de Neurosciences + Doctorat en Neurosciences.Il y a également les profil ingénieurs et matheux en reconversion qui peuvent se tourner vers les Neurosciences, en particulier en Neurosciences computationnelles. Et je suis prêt à parier que c'est le premier profil de chercheur qui est à l'origine d'une grande majorité des articles de recherche en Neurosciences réfuté par les revues de la littérature que tu as mentionné. C'est cette raison ET CETTE RAISON UNIQUEMENT qui ferait qu'il y ait potentiellement plus d'erreurs méthodologiques dans les articles de recherche en Neurosciences que dans n'importe quel domaine de la Science.
C'est juste une hypothèse cohérente même si elle n'est pas prouvée, mais je pense que ce sont vraiment les Neuroscientifiques avec une intelligence et une formation logico-mathématique solide qui sont à l'origine des grandes avancées en Neurosciences. Ce sont les seuls capables de corroborer et réfuter les connaissances en Neurosciences afin de leur donner une vraie validité scientifique. Il y en a même qui passent plus de temps à réfuter qu'à créer de nouvelles connaissances en Neurosciences ou en Sciences Cognitives. Lui par exemple :
C'est ce genre de personne que je respecte. Un VRAI chercheur en Neurosciences et en Sciences Cognitives de formation initiale d'ingénieur avant de se reconvertir en Sciences cognitives qui a les couilles de faire la part des choses entre les connaissances "bullshit" et les connaissances significatives en Neurosciences qui existent bel et bien.
Et on les remercie, car au moins on sait que c'est à grâce à eux que les connaissances à l'épreuve de la réfutabilité en Neurosciences sont des connaissance ayant une vraie validité scientifique.
Conclusion : Les problèmes cités par les Neurosciences est un problème des individu à l'origine des recherches dans ce domaine, non un problème de la validité scientifique de ce domaine. Ca n'a jamais été le cas.
Par ailleurs, l’article compare les articles qui utilisent la bonne procédure avec ceux qui échouent à l’utiliser. Ça ne garantit pas que les 50% restants aient des résultats réellement pertinents ou valides, juste que la méthodologie demandée a été respectée.
C'est correct. Mais réfléchis un instant, que fait-on alors des articles de recherche dont la méthodologie scientifique a été respectée, et que personne ne peut réfuter à l'heure actuelle? Est-ce qu'on les considère comme du bullshit comme tu dis ou est-ce qu'on leur donne une certaine pertinence ?
En fait corriges-moi si je me trompes, mais est-ce que c'est bien cette logique que tu as ?
Sur un échantillon de 157 études de recherche en Neurosciences, 79 utilisent une procédure méthodologique incorrecte ==> L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.
Tu es sûr que c'est une logique valide ?
Tu viens encore de corroborer cette mécanique heuristique de l'esprit consistant à généraliser à partir d'une seule observation ou expérience pour éviter de faire l'effort couteux de raisonner de manière rigoureusement logique existe bel et bien.
C'est tellement plus simple et facile pour l'esprit de nier l'ensemble d'un domaine et de le considérer comme du bullshit juste parce que plusieurs éléments appartenant au domaine est réfuté, sans que cela soit l'ensemble du domaine qui le soit, et tu viens de le prouver.
Toujours pas convaincu ?
Voilà ce que tu dis après :
Anders Eklund, de la Linköping University, a publié une série d’articles qui révèlent que l’usage de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (fMRI) était très souvent erroné et qu’il estimait jusqu’à plus de 16 500 études avec des résultats foireux sur les 20 dernières années.
Cette discipline est une putain de blague.
Ton raisonnement :
Plus de 16 500 études (sur combien en tout ?) ont des résultats non significatifs en Neurosciences => L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.
Même si on admettait que les 16 500 études sont réfutés (je n'ai pas fini de lire en entier l'article que tu cites pour en être entièrement convaincu), c'est encore une fois un biais de généralisation de croire que cela signifie que les Neurosciences ne peuvent pas être considérées comme des Sciences à part entière.
Juste un petit commentaire intéressant par rapport à ça d'ailleurs parce que ça rejoint ce que je disais tout à l'heure. Pour ta propre info, parmi toutes les méthodes d'imagerie utilisées en Neurosciences, l'IRMf est celle qui est la plus simple à mettre en place, et est donc la plus accessible par les Psychologues voulant faire un doctorat en Neurosciences. Elle est néanmoins considérée comme la méthode d'imagerie aboutissant aux résultats les moins significatifs, comparé à d'autres méthodes utilisées en Neurosciences qui sont bien plus poussées. Ce que tu dis ne m'étonne donc même pas.
Ce gars là par exemple :
https://ecolesdoctorales.parisdescartes.fr/ed261/Les-laboratoires/Les-directeurs-de-these-HDR/Houde-Olivier
de formation initiale de Psychologue, utilise quasiment que l'IRMf dans la majorité de ses articles de recherches (il en a fait une centaine environ). Tu pourras le vérifier en regardant tous ses articles de recherche. Et il s'avère en vérifiant bon nombre des interprétations et théories qu'il donne qu'il y a beaucoup d'incohérences internes même dans ces théories
Rien à voir avec ce gars là qui est un VRAI neuroscientifique :
https://www.isir.upmc.fr/personnel/khamassi/
Il est issu d'un cursus d'ingénieur et il va bien plus loin dans la complexité des méthodes de neurosciences utilisées que simplement l'IRMf.
Si tu as le temps, je t'invites à voir cette vidéo faite par lui :
Tu me diras ensuite après si tu considères toujours les Sciences Cognitives et les Neurosciences comme du Bullshit, que ce n'est pas du tout sérieux comme Sciences.
Encore une fois je ne dis pas ça pour te provoquer, mais pour te montrer par ta propre expérience qu'il y a encore beaucoup de choses que tu peux apprendre si tu t'autorises à sortir de ton dogmatisme. J'ai vu grâce à ce topic que tu étais un des kheys les plus cultivés du forum, mais il y a encore beaucoup de choses dont tu ignores et qui peuvent te rendre encore meilleur que tu ne l'es déjà. C'est d'ailleurs pour ça que je fais l'effort de faire une réponse aussi longue, pour être sûr que tu comprennes la logique de la réponse car ma précédente réponse était peut être trop courte.
Je finis de répondre pour le reste :
Je trouve que c’est hautement arrogant de ta part de penser encore que des disciplines rongées par des problèmes de fraudes, de reproductibilité et d’incompréhension de méthodes statistiques puissent être qualifiées de sciences. Je trouve que c’est aussi hautement arrogant de ta part de m’attribuer des biais sans questionner ton propre jugement qui s’est avéré… limité. Et on reparlera pas non plus de ta compréhension de l’anglais assez douteuse.
Impertinent. tu as répondu au fait que je te traites d'arrogant avec ce paragraphe, c'était prévisible. Je te demande pardon de l'avoir fait, mais quand une personne a le culot de prendre de haut une grande communauté de scientifiques sérieux essayant de faire avancer les connaissances dans un domaine reconnu par le consensus scientifique, je ne vois pas d'autres mots pour décrire ces personnes. C'est comme si tu te croyais plus intelligent que toutes ces personnes, comme celles que j'ai cités précédemment, je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
Tu as peut être voulu défendre coute que coute ta crédibilité gagnée grâce à ce topic, ce qui explique aussi pourquoi tu es si agressif avec moi, c'est la seule explication que je vois à ton comportement discutable, mais je ne t'en veux pas.
“Les concepts que tu cites sont obsolètes” ? Ah bon ? Alors que les problèmes épistémologiques auxquelles sont confrontées la psychologie et les neurosciences ont justement été anticipés par Hume, Jacobi et Kant ?
Non, ça n’a rien d’obsolète, ils étaient en avance sur leur temps et continuent de l’être
Est-ce que tu peux préciser exactement quels sont les problèmes épistémologiques de la psychologie et les neurosciences anticipés par Hume, Jacobi et Kant ? Est-ce que tu parles du principe de l'autonomie de Kant ?
Si c'est ça, ce principe ne s'applique pas à la connaissance scientifique, mais plutôt à la connaissance morale et éthique, ainsi que métaphysique (religion et spiritualité). Il ne peut donc s'appliquer aux sciences cognitives ou à tout autre connaissance qui se rattache à la Science.
SI ce n'est pas ça, j'aimerais que tu assouvisses ma curiosité, car j'avoue ne pas savoir exactement de quoi tu parles.
Sinon. quand je parle d'épistémologie obsolète, cela ne veut pas dire qu'elle est en tout point fausse, ce n'est pas la définition d'une connaissance obsolète. Simplement que ce n'est pas l'épistémologie la plus cohérente et surtout la plus complète. J'attends que tu explicites la question posée ci-dessus pour que je puisse comprendre, mais il est clair que c'est à cause de cette épistémologie que tu dénie le fait que l'ensemble du domaine des Sciences cognitives et des Neurosciences sont aussi considérées comme des Sciences.
Personnellement, comme je l'ai dit précédemment, je m'attache plutôt à l'épistémologie de Popper : Le rationalisme critique. Popper a d'ailleurs démontré les défauts d'un point précis de l'Epistémologie de Kant. Kant éprouve un certain optimisme épistémologique quand il considère que certaines connaissances scientifiques peuvent appartenir au Réalisme Transcendantal, l'exemple le plus parlant étant la cosmologie newtonienne. Ces connaissances étaient considérées comme irréfutables, tous les tests et études montraient qu'elles ne pouvais être que vraies de manières absolue. Sauf que malheureusement Kant n'était pas contemporain d'Einstein, qui est le seul à avoir rendu possible la démarche que même les théories scientifiques les plus irréfutables comme la théorie newtonienne risquait fort d'être erronée.
Le rationalisme critique de Popper dit la chose suivante : On ne peut dire d'une corrélation/causalité/description estimée qu'elle est "vrai" mais simplement "prouvable/démontrable". De même on ne peut dire d'un corrélation/causalité estimée qu'elle est "fausse", mais simplement "contradictoire/réfutable". Ce dernier point est encore plus important : Une connaissance réfutée n'en est pas moins une connaissance fausse, c'est simplement une connaissance redevenue "incertaine" qui doit à nouveau être retestée avec la bonne méthodologie pour discerner si elle est vraiment valide ou pas.
Ce n'est pas un pessimisme epistémologique, c'est plutôt une position épistémologique identique à celles des Grecs, dont Parmenide, Xénophane et surtout Platon avec son allégorie de la Caverne. La Vérité Absolue existe bel et bien et elle Transcende l'autorité humaine. Il nous est possible de se rapprocher de celle-ci par la Réfutation et la Corroboration, mais nous n'arriverons jamais à la sonder entièrement, ni à être sûr qu'une connaissance soit toujours vraie de manière absolue. La connaissance ne peut être néanmoins que finie, tandis que notre ignorance est nécessairement infinie.
Ainsi une connaissance à l'épreuve de la Réfutation constituera toujours une connaissance pertinente et valide scientifiquement à l'heure actuelle, ce qui est le cas de bon nombre de connaissances en Neurosciences. Ce ne sont pas des connaissances vraies car rien ne le prouve, et rien ne saura jamais le prouver parfaitement comme tout connaissance scientifique, mais ce sont des connaissances pertinentes et reconnues par la Science qui permettent d'éclairer l'ombre de la Caverne de Platon en sondant la Vérité Absolue au fond de l'abîme. Il n'existe donc pas de connaissance ultimes, il existe plutôt des connaissances "Actuelles" à l'épreuve de la réfutation.
Je te suggère de lire "La logique de la découverte scientifique" ainsi que "Conjectures et Réfutations" de Popper si tu veux t'en convaincre par toi-même.
Si tu as lu jusqu'ici je tiens à te remercier. J'ai commencé à lire les 3 articles intéressants que tu cites et j'y répondrais après ta réponse. J'attends déjà que tu médites sur tout ce que je viens de dire avant de continuer le débat, sur les Neurosciences cognitives par exemple. Cette fois-ci j'ai vraiment essayé d'être humble par rapport à précédemment, je te suggères de faire de même. J'ai préféré attendre un peu avant de te répondre pour être sûr de pas me tromper plutôt que de t'envoyer une réponse au plus vite afin de protéger mon égo, car je pense que défendre le rationalisme de sa réponse est plus important que défendre son égo.
[02:59:29] <Doudiiiiiii>
Réponse à ce que tu as dis pour le troisième article :Tu te rends compte du ridicule de ta justification ? Quiconque prétend vouloir devrait éviter de telles erreurs, quelque soit sa formation initiale.
Impertinent, ta perdu ton temps à écrire ça.
Un domaine qui pèche justement sur la méthodologie ne peut prétendre relever de la science.
Si l'on suivait cette logique, cela voudrait dire aussi que l'ensemble des recherches dans nimporte quel domaines ne peuvent prétendre relever de la science.
Pourquoi ? Parce que tu te fourvoies entièrement si tu crois que dans n'importe quel autre domaine de la science, comme la biologie, il n'y ait pas de problème méthodologiques au niveau de la multitudes des articles de recherche donné. Il n'y a qu'à lire nimporte quelle revue de la littérature en biologie par exemple pour voir que ceux-ci cible également des articles de recherches en biologie. Cela n'invalide pas la biologie pour autant en tant que Science. Au contraire, cela permet de faire avancer la Science, exactement comme pour les Neurosciences, en supprimant ce qui est réfutables ou faux et en gardant ce qui est non réfutable ou vrai à l'heure actuelle.
Le problème particulier des Neurosciences, et je me répète en disant cela, c'est le problème de la compétence des chercheurs dans ce domaine, comparé à ceux d'autres domaines de la Science. Je le redis, sans une formation initiale solide en mathématiques, la probabilité que le chercheur fasse une erreur de méthodologie logico-mathématique sera augmentée.
Si tu vois le background de beaucoup d'équipe de chercheur en Neurosciences, tu verras qu'environ la moitié sont de cursus Licence de Psy + Master de Psy + Doctorat en Neurosciences et que l'autre moitié vienne de Licence de Biologie + Master de Neurosciences + Doctorat en Neurosciences.Il y a également les profil ingénieurs et matheux en reconversion qui peuvent se tourner vers les Neurosciences, en particulier en Neurosciences computationnelles. Et je suis prêt à parier que c'est le premier profil de chercheur qui est à l'origine d'une grande majorité des articles de recherche en Neurosciences réfuté par les revues de la littérature que tu as mentionné. C'est cette raison ET CETTE RAISON UNIQUEMENT qui ferait qu'il y ait potentiellement plus d'erreurs méthodologiques dans les articles de recherche en Neurosciences que dans n'importe quel domaine de la Science.
C'est juste une hypothèse cohérente même si elle n'est pas prouvée, mais je pense que ce sont vraiment les Neuroscientifiques avec une intelligence et une formation logico-mathématique solide qui sont à l'origine des grandes avancées en Neurosciences. Ce sont les seuls capables de corroborer et réfuter les connaissances en Neurosciences afin de leur donner une vraie validité scientifique. Il y en a même qui passent plus de temps à réfuter qu'à créer de nouvelles connaissances en Neurosciences ou en Sciences Cognitives. Lui par exemple :
C'est ce genre de personne que je respecte. Un VRAI chercheur en Neurosciences et en Sciences Cognitives de formation initiale d'ingénieur avant de se reconvertir en Sciences cognitives qui a les couilles de faire la part des choses entre les connaissances "bullshit" et les connaissances significatives en Neurosciences qui existent bel et bien.
Et on les remercie, car au moins on sait que c'est à grâce à eux que les connaissances à l'épreuve de la réfutabilité en Neurosciences sont des connaissance ayant une vraie validité scientifique.Conclusion : Les problèmes cités par les Neurosciences est un problème des individu à l'origine des recherches dans ce domaine, non un problème de la validité scientifique de ce domaine. Ca n'a jamais été le cas.
Par ailleurs, l’article compare les articles qui utilisent la bonne procédure avec ceux qui échouent à l’utiliser. Ça ne garantit pas que les 50% restants aient des résultats réellement pertinents ou valides, juste que la méthodologie demandée a été respectée.
C'est correct. Mais réfléchis un instant, que fait-on alors des articles de recherche dont la méthodologie scientifique a été respectée, et que personne ne peut réfuter à l'heure actuelle? Est-ce qu'on les considère comme du bullshit comme tu dis ou est-ce qu'on leur donne une certaine pertinence ?
En fait corriges-moi si je me trompes, mais est-ce que c'est bien cette logique que tu as ?
Sur un échantillon de 157 études de recherche en Neurosciences, 79 utilisent une procédure méthodologique incorrecte ==> L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.
Tu es sûr que c'est une logique valide ?
Tu viens encore de corroborer cette mécanique heuristique de l'esprit consistant à généraliser à partir d'une seule observation ou expérience pour éviter de faire l'effort couteux de raisonner de manière rigoureusement logique existe bel et bien.
C'est tellement plus simple et facile pour l'esprit de nier l'ensemble d'un domaine et de le considérer comme du bullshit juste parce que plusieurs éléments appartenant au domaine est réfuté, sans que cela soit l'ensemble du domaine qui le soit, et tu viens de le prouver.
Toujours pas convaincu ?
Voilà ce que tu dis après :Anders Eklund, de la Linköping University, a publié une série d’articles qui révèlent que l’usage de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (fMRI) était très souvent erroné et qu’il estimait jusqu’à plus de 16 500 études avec des résultats foireux sur les 20 dernières années.
Cette discipline est une putain de blague.
Ton raisonnement :
Plus de 16 500 études (sur combien en tout ?) ont des résultats non significatifs en Neurosciences => L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.Même si on admettait que les 16 500 études sont réfutés (je n'ai pas fini de lire en entier l'article que tu cites pour en être entièrement convaincu), c'est encore une fois un biais de généralisation de croire que cela signifie que les Neurosciences ne peuvent pas être considérées comme des Sciences à part entière.
Juste un petit commentaire intéressant par rapport à ça d'ailleurs parce que ça rejoint ce que je disais tout à l'heure. Pour ta propre info, parmi toutes les méthodes d'imagerie utilisées en Neurosciences, l'IRMf est celle qui est la plus simple à mettre en place, et est donc la plus accessible par les Psychologues voulant faire un doctorat en Neurosciences. Elle est néanmoins considérée comme la méthode d'imagerie aboutissant aux résultats les moins significatifs, comparé à d'autres méthodes utilisées en Neurosciences qui sont bien plus poussées. Ce que tu dis ne m'étonne donc même pas.
Ce gars là par exemple :
https://ecolesdoctorales.parisdescartes.fr/ed261/Les-laboratoires/Les-directeurs-de-these-HDR/Houde-Olivier
de formation initiale de Psychologue, utilise quasiment que l'IRMf dans la majorité de ses articles de recherches (il en a fait une centaine environ). Tu pourras le vérifier en regardant tous ses articles de recherche. Et il s'avère en vérifiant bon nombre des interprétations et théories qu'il donne qu'il y a beaucoup d'incohérences internes même dans ces théories
Rien à voir avec ce gars là qui est un VRAI neuroscientifique :
https://www.isir.upmc.fr/personnel/khamassi/
Il est issu d'un cursus d'ingénieur et il va bien plus loin dans la complexité des méthodes de neurosciences utilisées que simplement l'IRMf.
Si tu as le temps, je t'invites à voir cette vidéo faite par lui :
Tu me diras ensuite après si tu considères toujours les Sciences Cognitives et les Neurosciences comme du Bullshit, que ce n'est pas du tout sérieux comme Sciences.
Encore une fois je ne dis pas ça pour te provoquer, mais pour te montrer par ta propre expérience qu'il y a encore beaucoup de choses que tu peux apprendre si tu t'autorises à sortir de ton dogmatisme. J'ai vu grâce à ce topic que tu étais un des kheys les plus cultivés du forum, mais il y a encore beaucoup de choses dont tu ignores et qui peuvent te rendre encore meilleur que tu ne l'es déjà. C'est d'ailleurs pour ça que je fais l'effort de faire une réponse aussi longue, pour être sûr que tu comprennes la logique de la réponse car ma précédente réponse était peut être trop courte.Je finis de répondre pour le reste :
Je trouve que c’est hautement arrogant de ta part de penser encore que des disciplines rongées par des problèmes de fraudes, de reproductibilité et d’incompréhension de méthodes statistiques puissent être qualifiées de sciences. Je trouve que c’est aussi hautement arrogant de ta part de m’attribuer des biais sans questionner ton propre jugement qui s’est avéré… limité. Et on reparlera pas non plus de ta compréhension de l’anglais assez douteuse.
Impertinent. tu as répondu au fait que je te traites d'arrogant avec ce paragraphe, c'était prévisible. Je te demande pardon de l'avoir fait, mais quand une personne a le culot de prendre de haut une grande communauté de scientifiques sérieux essayant de faire avancer les connaissances dans un domaine reconnu par le consensus scientifique, je ne vois pas d'autres mots pour décrire ces personnes. C'est comme si tu te croyais plus intelligent que toutes ces personnes, comme celles que j'ai cités précédemment, je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
Tu as peut être voulu défendre coute que coute ta crédibilité gagnée grâce à ce topic, ce qui explique aussi pourquoi tu es si agressif avec moi, c'est la seule explication que je vois à ton comportement discutable, mais je ne t'en veux pas.“Les concepts que tu cites sont obsolètes” ? Ah bon ? Alors que les problèmes épistémologiques auxquelles sont confrontées la psychologie et les neurosciences ont justement été anticipés par Hume, Jacobi et Kant ?
Non, ça n’a rien d’obsolète, ils étaient en avance sur leur temps et continuent de l’êtreEst-ce que tu peux préciser exactement quels sont les problèmes épistémologiques de la psychologie et les neurosciences anticipés par Hume, Jacobi et Kant ? Est-ce que tu parles du principe de l'autonomie de Kant ?
Si c'est ça, ce principe ne s'applique pas à la connaissance scientifique, mais plutôt à la connaissance morale et éthique, ainsi que métaphysique (religion et spiritualité). Il ne peut donc s'appliquer aux sciences cognitives ou à tout autre connaissance qui se rattache à la Science.
SI ce n'est pas ça, j'aimerais que tu assouvisses ma curiosité, car j'avoue ne pas savoir exactement de quoi tu parles.
Sinon. quand je parle d'épistémologie obsolète, cela ne veut pas dire qu'elle est en tout point fausse, ce n'est pas la définition d'une connaissance obsolète. Simplement que ce n'est pas l'épistémologie la plus cohérente et surtout la plus complète. J'attends que tu explicites la question posée ci-dessus pour que je puisse comprendre, mais il est clair que c'est à cause de cette épistémologie que tu dénie le fait que l'ensemble du domaine des Sciences cognitives et des Neurosciences sont aussi considérées comme des Sciences.
Personnellement, comme je l'ai dit précédemment, je m'attache plutôt à l'épistémologie de Popper : Le rationalisme critique. Popper a d'ailleurs démontré les défauts d'un point précis de l'Epistémologie de Kant. Kant éprouve un certain optimisme épistémologique quand il considère que certaines connaissances scientifiques peuvent appartenir au Réalisme Transcendantal, l'exemple le plus parlant étant la cosmologie newtonienne. Ces connaissances étaient considérées comme irréfutables, tous les tests et études montraient qu'elles ne pouvais être que vraies de manières absolue. Sauf que malheureusement Kant n'était pas contemporain d'Einstein, qui est le seul à avoir rendu possible la démarche que même les théories scientifiques les plus irréfutables comme la théorie newtonienne risquait fort d'être erronée.Le rationalisme critique de Popper dit la chose suivante : On ne peut dire d'une corrélation/causalité/description estimée qu'elle est "vrai" mais simplement "prouvable/démontrable". De même on ne peut dire d'un corrélation/causalité estimée qu'elle est "fausse", mais simplement "contradictoire/réfutable". Ce dernier point est encore plus important : Une connaissance réfutée n'en est pas moins une connaissance fausse, c'est simplement une connaissance redevenue "incertaine" qui doit à nouveau être retestée avec la bonne méthodologie pour discerner si elle est vraiment valide ou pas.
Ce n'est pas un pessimisme epistémologique, c'est plutôt une position épistémologique identique à celles des Grecs, dont Parmenide, Xénophane et surtout Platon avec son allégorie de la Caverne. La Vérité Absolue existe bel et bien et elle Transcende l'autorité humaine. Il nous est possible de se rapprocher de celle-ci par la Réfutation et la Corroboration, mais nous n'arriverons jamais à la sonder entièrement, ni à être sûr qu'une connaissance soit toujours vraie de manière absolue. La connaissance ne peut être néanmoins que finie, tandis que notre ignorance est nécessairement infinie.
Ainsi une connaissance à l'épreuve de la Réfutation constituera toujours une connaissance pertinente et valide scientifiquement à l'heure actuelle, ce qui est le cas de bon nombre de connaissances en Neurosciences. Ce ne sont pas des connaissances vraies car rien ne le prouve, et rien ne saura jamais le prouver parfaitement comme tout connaissance scientifique, mais ce sont des connaissances pertinentes et reconnues par la Science qui permettent d'éclairer l'ombre de la Caverne de Platon en sondant la Vérité Absolue au fond de l'abîme. Il n'existe donc pas de connaissance ultimes, il existe plutôt des connaissances "Actuelles" à l'épreuve de la réfutation.
Je te suggère de lire "La logique de la découverte scientifique" ainsi que "Conjectures et Réfutations" de Popper si tu veux t'en convaincre par toi-même.Si tu as lu jusqu'ici je tiens à te remercier. J'ai commencé à lire les 3 articles intéressants que tu cites et j'y répondrais après ta réponse. J'attends déjà que tu médites sur tout ce que je viens de dire avant de continuer le débat, sur les Neurosciences cognitives par exemple. Cette fois-ci j'ai vraiment essayé d'être humble par rapport à précédemment, je te suggères de faire de même. J'ai préféré attendre un peu avant de te répondre pour être sûr de pas me tromper plutôt que de t'envoyer une réponse au plus vite afin de protéger mon égo, car je pense que défendre le rationalisme de sa réponse est plus important que défendre son égo.
D'habitude je lis tous les messages sur le forum en méprisant ceux qui ragent pour un petit pavé de 10 lignes
Mais là t'abuses
Pavay caysar
Je t'invite vraiment à tout lire. Moi non plus je n'ai pas ton temps.
Les premiers paragraphes cités, je les ai écrit non pas pour te décrédibiliser, mais plutôt pour que ce débat soit plus constructif. Il n'y a que deux paragraphe moralisateur, ce sont ceux qui citent les réponses impertinentes et inutilement provocantes que tu as faites.
Je te le redis encore une fois, la provocation en sert à rien, si je l'ai fait au début c'est juste pour t'inviter à répondre sérieusement comme tu le fait maintenant. N'écrit que ce qui est pertinent au débat, sinon tu perd autant ton temps que le mien.
Je t'invite vraiment à tout lire sur les réponses que j'ai faites si tu veux que je te répondes. Moi non plus je n'ai pas ton temps.
Les premiers paragraphes cités, je les ai écrit non pas pour te décrédibiliser, mais plutôt pour que ce débat soit plus constructif afin d'éviter à l'avenir que tu fasses des propos inutiles. Il n'y a que deux paragraphe moralisateur, ce sont ceux qui citent les réponses impertinentes et inutilement provocantes que tu as faites.
Je te le redis encore une fois, la provocation ne sert à rien, si je l'ai fait au début c'est juste pour t'inviter à répondre sérieusement comme tu le fait maintenant. N'écrit que ce qui est pertinent au débat, sinon tu perd autant ton temps que le mien.
En attendant, je te répondrais demain à ta réponse, ou peut être même après-demain. Je ne suis malheureusement pas comme toi à répondre à quelqu'un le plus vite possible juste parce que je veux défendre mes convictions. Je suis plutôt quelqu'un qui s'en fout d'avoir tord ou d'avoir raison, ce que je recherches, c'est la vérité, rien d'autre. Je n'ai que cette quête.
Le 13 septembre 2021 à 03:03:14 :
[02:59:29] <Doudiiiiiii>
Réponse à ce que tu as dis pour le troisième article :Tu te rends compte du ridicule de ta justification ? Quiconque prétend vouloir devrait éviter de telles erreurs, quelque soit sa formation initiale.
Impertinent, ta perdu ton temps à écrire ça.
Un domaine qui pèche justement sur la méthodologie ne peut prétendre relever de la science.
Si l'on suivait cette logique, cela voudrait dire aussi que l'ensemble des recherches dans nimporte quel domaines ne peuvent prétendre relever de la science.
Pourquoi ? Parce que tu te fourvoies entièrement si tu crois que dans n'importe quel autre domaine de la science, comme la biologie, il n'y ait pas de problème méthodologiques au niveau de la multitudes des articles de recherche donné. Il n'y a qu'à lire nimporte quelle revue de la littérature en biologie par exemple pour voir que ceux-ci cible également des articles de recherches en biologie. Cela n'invalide pas la biologie pour autant en tant que Science. Au contraire, cela permet de faire avancer la Science, exactement comme pour les Neurosciences, en supprimant ce qui est réfutables ou faux et en gardant ce qui est non réfutable ou vrai à l'heure actuelle.
Le problème particulier des Neurosciences, et je me répète en disant cela, c'est le problème de la compétence des chercheurs dans ce domaine, comparé à ceux d'autres domaines de la Science. Je le redis, sans une formation initiale solide en mathématiques, la probabilité que le chercheur fasse une erreur de méthodologie logico-mathématique sera augmentée.
Si tu vois le background de beaucoup d'équipe de chercheur en Neurosciences, tu verras qu'environ la moitié sont de cursus Licence de Psy + Master de Psy + Doctorat en Neurosciences et que l'autre moitié vienne de Licence de Biologie + Master de Neurosciences + Doctorat en Neurosciences.Il y a également les profil ingénieurs et matheux en reconversion qui peuvent se tourner vers les Neurosciences, en particulier en Neurosciences computationnelles. Et je suis prêt à parier que c'est le premier profil de chercheur qui est à l'origine d'une grande majorité des articles de recherche en Neurosciences réfuté par les revues de la littérature que tu as mentionné. C'est cette raison ET CETTE RAISON UNIQUEMENT qui ferait qu'il y ait potentiellement plus d'erreurs méthodologiques dans les articles de recherche en Neurosciences que dans n'importe quel domaine de la Science.
C'est juste une hypothèse cohérente même si elle n'est pas prouvée, mais je pense que ce sont vraiment les Neuroscientifiques avec une intelligence et une formation logico-mathématique solide qui sont à l'origine des grandes avancées en Neurosciences. Ce sont les seuls capables de corroborer et réfuter les connaissances en Neurosciences afin de leur donner une vraie validité scientifique. Il y en a même qui passent plus de temps à réfuter qu'à créer de nouvelles connaissances en Neurosciences ou en Sciences Cognitives. Lui par exemple :
C'est ce genre de personne que je respecte. Un VRAI chercheur en Neurosciences et en Sciences Cognitives de formation initiale d'ingénieur avant de se reconvertir en Sciences cognitives qui a les couilles de faire la part des choses entre les connaissances "bullshit" et les connaissances significatives en Neurosciences qui existent bel et bien.
Et on les remercie, car au moins on sait que c'est à grâce à eux que les connaissances à l'épreuve de la réfutabilité en Neurosciences sont des connaissance ayant une vraie validité scientifique.Conclusion : Les problèmes cités par les Neurosciences est un problème des individu à l'origine des recherches dans ce domaine, non un problème de la validité scientifique de ce domaine. Ca n'a jamais été le cas.
Par ailleurs, l’article compare les articles qui utilisent la bonne procédure avec ceux qui échouent à l’utiliser. Ça ne garantit pas que les 50% restants aient des résultats réellement pertinents ou valides, juste que la méthodologie demandée a été respectée.
C'est correct. Mais réfléchis un instant, que fait-on alors des articles de recherche dont la méthodologie scientifique a été respectée, et que personne ne peut réfuter à l'heure actuelle? Est-ce qu'on les considère comme du bullshit comme tu dis ou est-ce qu'on leur donne une certaine pertinence ?
En fait corriges-moi si je me trompes, mais est-ce que c'est bien cette logique que tu as ?
Sur un échantillon de 157 études de recherche en Neurosciences, 79 utilisent une procédure méthodologique incorrecte ==> L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.
Tu es sûr que c'est une logique valide ?
Tu viens encore de corroborer cette mécanique heuristique de l'esprit consistant à généraliser à partir d'une seule observation ou expérience pour éviter de faire l'effort couteux de raisonner de manière rigoureusement logique existe bel et bien.
C'est tellement plus simple et facile pour l'esprit de nier l'ensemble d'un domaine et de le considérer comme du bullshit juste parce que plusieurs éléments appartenant au domaine est réfuté, sans que cela soit l'ensemble du domaine qui le soit, et tu viens de le prouver.
Toujours pas convaincu ?
Voilà ce que tu dis après :Anders Eklund, de la Linköping University, a publié une série d’articles qui révèlent que l’usage de l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (fMRI) était très souvent erroné et qu’il estimait jusqu’à plus de 16 500 études avec des résultats foireux sur les 20 dernières années.
Cette discipline est une putain de blague.
Ton raisonnement :
Plus de 16 500 études (sur combien en tout ?) ont des résultats non significatifs en Neurosciences => L'ensemble des études de recherches en Neurosciences ont des résultats impertinents et invalides.Même si on admettait que les 16 500 études sont réfutés (je n'ai pas fini de lire en entier l'article que tu cites pour en être entièrement convaincu), c'est encore une fois un biais de généralisation de croire que cela signifie que les Neurosciences ne peuvent pas être considérées comme des Sciences à part entière.
Juste un petit commentaire intéressant par rapport à ça d'ailleurs parce que ça rejoint ce que je disais tout à l'heure. Pour ta propre info, parmi toutes les méthodes d'imagerie utilisées en Neurosciences, l'IRMf est celle qui est la plus simple à mettre en place, et est donc la plus accessible par les Psychologues voulant faire un doctorat en Neurosciences. Elle est néanmoins considérée comme la méthode d'imagerie aboutissant aux résultats les moins significatifs, comparé à d'autres méthodes utilisées en Neurosciences qui sont bien plus poussées. Ce que tu dis ne m'étonne donc même pas.
Ce gars là par exemple :
https://ecolesdoctorales.parisdescartes.fr/ed261/Les-laboratoires/Les-directeurs-de-these-HDR/Houde-Olivier
de formation initiale de Psychologue, utilise quasiment que l'IRMf dans la majorité de ses articles de recherches (il en a fait une centaine environ). Tu pourras le vérifier en regardant tous ses articles de recherche. Et il s'avère en vérifiant bon nombre des interprétations et théories qu'il donne qu'il y a beaucoup d'incohérences internes même dans ces théories
Rien à voir avec ce gars là qui est un VRAI neuroscientifique :
https://www.isir.upmc.fr/personnel/khamassi/
Il est issu d'un cursus d'ingénieur et il va bien plus loin dans la complexité des méthodes de neurosciences utilisées que simplement l'IRMf.
Si tu as le temps, je t'invites à voir cette vidéo faite par lui :
Tu me diras ensuite après si tu considères toujours les Sciences Cognitives et les Neurosciences comme du Bullshit, que ce n'est pas du tout sérieux comme Sciences.
Encore une fois je ne dis pas ça pour te provoquer, mais pour te montrer par ta propre expérience qu'il y a encore beaucoup de choses que tu peux apprendre si tu t'autorises à sortir de ton dogmatisme. J'ai vu grâce à ce topic que tu étais un des kheys les plus cultivés du forum, mais il y a encore beaucoup de choses dont tu ignores et qui peuvent te rendre encore meilleur que tu ne l'es déjà. C'est d'ailleurs pour ça que je fais l'effort de faire une réponse aussi longue, pour être sûr que tu comprennes la logique de la réponse car ma précédente réponse était peut être trop courte.Je finis de répondre pour le reste :
Je trouve que c’est hautement arrogant de ta part de penser encore que des disciplines rongées par des problèmes de fraudes, de reproductibilité et d’incompréhension de méthodes statistiques puissent être qualifiées de sciences. Je trouve que c’est aussi hautement arrogant de ta part de m’attribuer des biais sans questionner ton propre jugement qui s’est avéré… limité. Et on reparlera pas non plus de ta compréhension de l’anglais assez douteuse.
Impertinent. tu as répondu au fait que je te traites d'arrogant avec ce paragraphe, c'était prévisible. Je te demande pardon de l'avoir fait, mais quand une personne a le culot de prendre de haut une grande communauté de scientifiques sérieux essayant de faire avancer les connaissances dans un domaine reconnu par le consensus scientifique, je ne vois pas d'autres mots pour décrire ces personnes. C'est comme si tu te croyais plus intelligent que toutes ces personnes, comme celles que j'ai cités précédemment, je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
Tu as peut être voulu défendre coute que coute ta crédibilité gagnée grâce à ce topic, ce qui explique aussi pourquoi tu es si agressif avec moi, c'est la seule explication que je vois à ton comportement discutable, mais je ne t'en veux pas.“Les concepts que tu cites sont obsolètes” ? Ah bon ? Alors que les problèmes épistémologiques auxquelles sont confrontées la psychologie et les neurosciences ont justement été anticipés par Hume, Jacobi et Kant ?
Non, ça n’a rien d’obsolète, ils étaient en avance sur leur temps et continuent de l’êtreEst-ce que tu peux préciser exactement quels sont les problèmes épistémologiques de la psychologie et les neurosciences anticipés par Hume, Jacobi et Kant ? Est-ce que tu parles du principe de l'autonomie de Kant ?
Si c'est ça, ce principe ne s'applique pas à la connaissance scientifique, mais plutôt à la connaissance morale et éthique, ainsi que métaphysique (religion et spiritualité). Il ne peut donc s'appliquer aux sciences cognitives ou à tout autre connaissance qui se rattache à la Science.
SI ce n'est pas ça, j'aimerais que tu assouvisses ma curiosité, car j'avoue ne pas savoir exactement de quoi tu parles.
Sinon. quand je parle d'épistémologie obsolète, cela ne veut pas dire qu'elle est en tout point fausse, ce n'est pas la définition d'une connaissance obsolète. Simplement que ce n'est pas l'épistémologie la plus cohérente et surtout la plus complète. J'attends que tu explicites la question posée ci-dessus pour que je puisse comprendre, mais il est clair que c'est à cause de cette épistémologie que tu dénie le fait que l'ensemble du domaine des Sciences cognitives et des Neurosciences sont aussi considérées comme des Sciences.
Personnellement, comme je l'ai dit précédemment, je m'attache plutôt à l'épistémologie de Popper : Le rationalisme critique. Popper a d'ailleurs démontré les défauts d'un point précis de l'Epistémologie de Kant. Kant éprouve un certain optimisme épistémologique quand il considère que certaines connaissances scientifiques peuvent appartenir au Réalisme Transcendantal, l'exemple le plus parlant étant la cosmologie newtonienne. Ces connaissances étaient considérées comme irréfutables, tous les tests et études montraient qu'elles ne pouvais être que vraies de manières absolue. Sauf que malheureusement Kant n'était pas contemporain d'Einstein, qui est le seul à avoir rendu possible la démarche que même les théories scientifiques les plus irréfutables comme la théorie newtonienne risquait fort d'être erronée.Le rationalisme critique de Popper dit la chose suivante : On ne peut dire d'une corrélation/causalité/description estimée qu'elle est "vrai" mais simplement "prouvable/démontrable". De même on ne peut dire d'un corrélation/causalité estimée qu'elle est "fausse", mais simplement "contradictoire/réfutable". Ce dernier point est encore plus important : Une connaissance réfutée n'en est pas moins une connaissance fausse, c'est simplement une connaissance redevenue "incertaine" qui doit à nouveau être retestée avec la bonne méthodologie pour discerner si elle est vraiment valide ou pas.
Ce n'est pas un pessimisme epistémologique, c'est plutôt une position épistémologique identique à celles des Grecs, dont Parmenide, Xénophane et surtout Platon avec son allégorie de la Caverne. La Vérité Absolue existe bel et bien et elle Transcende l'autorité humaine. Il nous est possible de se rapprocher de celle-ci par la Réfutation et la Corroboration, mais nous n'arriverons jamais à la sonder entièrement, ni à être sûr qu'une connaissance soit toujours vraie de manière absolue. La connaissance ne peut être néanmoins que finie, tandis que notre ignorance est nécessairement infinie.
Ainsi une connaissance à l'épreuve de la Réfutation constituera toujours une connaissance pertinente et valide scientifiquement à l'heure actuelle, ce qui est le cas de bon nombre de connaissances en Neurosciences. Ce ne sont pas des connaissances vraies car rien ne le prouve, et rien ne saura jamais le prouver parfaitement comme tout connaissance scientifique, mais ce sont des connaissances pertinentes et reconnues par la Science qui permettent d'éclairer l'ombre de la Caverne de Platon en sondant la Vérité Absolue au fond de l'abîme. Il n'existe donc pas de connaissance ultimes, il existe plutôt des connaissances "Actuelles" à l'épreuve de la réfutation.
Je te suggère de lire "La logique de la découverte scientifique" ainsi que "Conjectures et Réfutations" de Popper si tu veux t'en convaincre par toi-même.Si tu as lu jusqu'ici je tiens à te remercier. J'ai commencé à lire les 3 articles intéressants que tu cites et j'y répondrais après ta réponse. J'attends déjà que tu médites sur tout ce que je viens de dire avant de continuer le débat, sur les Neurosciences cognitives par exemple. Cette fois-ci j'ai vraiment essayé d'être humble par rapport à précédemment, je te suggères de faire de même. J'ai préféré attendre un peu avant de te répondre pour être sûr de pas me tromper plutôt que de t'envoyer une réponse au plus vite afin de protéger mon égo, car je pense que défendre le rationalisme de sa réponse est plus important que défendre son égo.
D'habitude je lis tous les messages sur le forum en méprisant ceux qui ragent pour un petit pavé de 10 lignes
Mais là t'abusesPavay caysar
C'est le pavé le plus intéressant comparé à l'autre sur la réponse des 2 premiers articles.
Tu apprendras peut être des choses pertinentes.
Le 13 septembre 2021 à 01:39:53 :
C’est quand même fou de se dire qu’il y’a des gens prêts à défendre un domaine pseudoscientifique qui n’offre que 39% de recherches un tant soit peu valides, un domaine qui dans sa pratique, a une influence sur la vie de nombreux individus. C’est totalement irresponsable et moralement abject.
Donc selon toi, le désengagement total de toute volonté d'étudier la mécanique de l'esprit d'un point de vue scientifique est plus responsable et éthique selon toi ?
Tu penses que c'est préférable de laisser les nombreuses personnes souffrant psychologiquement ou n'arrivant pas à développer leur compétences mentales dans leur merde ?
Tu crois qu'il faut juste leur dire de lire Kant, Hume et Jacobi et leur dire "débrouiller vous avec cette philosophie, vous allez résoudre tous vos problèmes psychologiques avec ça", tu crois sincèrement que c'est la solution la plus responsable et morale, parce que selon toi "la science est incapable d'étudier l'esprit, la seule solution est de le faire grâce à Kant et non grâce à la Science" ?
39% de recherches valides et non réfutées à l'heure actuelle en neurosciences => domaine pseudoscientifique , c'est ça ta logique ?
S'il te plait, lis mon dernier pavé et regardes les vidéos et liens que j'ai mis dessus si tu as le temps. Je te répondrais la prochaine fois sur ton autre pavé.
Je voulais te répondre demain mais la curiosité me pousse à te répondre sur certains points
Je reviens sur ce point parce qu’il est assez ridicule. La « Vérité Absolue » n’a rien à voir avec le « Réalisme Transcendantal ». Qu’est-ce que tu baragouines ? Évite juste d’employer des termes que tu ne comprends pas. À en juger par les heures auxquelles tu postes, tu dois être québécois. Si c’est pas la fatigue, c’est « les mécanismes de défense de ton ego » qui te poussent à faire de telles assertions ?
Pas du tout. Si j'ai fais cette erreur c'est pour la raison suivante : Comme je l'ai précisé, je n'ai pas étudié en détail la philosophie et l'épistémologie de Kant car je l'ai jugé obsolète comparé à celle de Popper (obsolète ne signifie pas inutile, simplement incomplète). C'était une perte de temps pour moi de la lire en entier, donc j'ai juste assumer certaines sur la philosophie Kantienne sur le peu que j'avais lu de lui, et qui se sont donc avérées incorrectes avec la philosophie Kantienne selon ce que tu dis car tu la connais mieux que moi.
Bref j'assume donc m'être trompé sur la notion de Réalisme transcendental et je te remercie de m'avoir corrigé. Le sens que j'ai compris n'est donc pas celui dont tu fais reférence. A l'avenir je n'utiliserais pas ce terme sans m'être renseigné d'avantage sur l'épistémologie Kantienne et je te remercie de me l'avoir fait remarqué.
J'ai fais la même "erreur" sur le dernier gros pavé que j'ai envoyé. J'aimerais juste que cela ne biaise pas ton raisonnement en te disant : "il utilise un terme qu'il n'a pas tout a fait compris" ==> Tout est faux. S'il te plaît ne tombe pas dans ce biais.
Ce que tu fais là, en anglais, c’est « grasping at straws ». Autrement dit, tu te raccroches à un dernier espoir, assez vain, de me bloquer sur un détail qui n’a aucune pertinence avec mon propos dans son contexte.
Je vais pas attendre ta prochaine réponse, fallait préparer toutes tes réponses avant.
N'est-ce pas ce que tu viens de faire en essayant en vain de décrédibiliser l'ensemble de mes propos à cause d'un détail impertinent sur l'épistémologie Kantienne ?
« Bla-bla-bla t’as fais ça donc ça prouve que ton ego bla-bla-bla… »
Je n'ai pas employé le verbe "prouver", mais plutôt le verbe "corroborer". La différence d'un point de vue épistémologique entre les deux verbes est claire.
Ta fatigue à 3h du mat était peut être également une cause de l'erreur que tu as faite sur le second article que tu as montré, mais rien ne prouve (là c'est bien le verbe prouve que j'utilise) que la fatigue était la seule cause de cette erreur.
Encore une fois ça arrive à tout le monde de se tromper, moi le premier, donc ce n'est pas grave. Mais dommage cette tentative de te faire conjecturer que la mécanique de défense de l'égo existe bel et bien à travers cette expérience n'a pas fonctionné.
Par contre j'ai commencé à lire les autres articles que tu as cité. C'est assez intéressant. Je t'y répondras la prochaine fois parce qu'encore une fois, il y a des choses dont la façon avec laquelle tu les interprête qu'il faudrait clarifier. Et pour ça il faut une réponse de qualité.
Celui là je n'arrive pas à télécharger le pdf :
https://www.academia.edu/39797871/Common_Misapplications_and_Misinterpretations_of_Correlation_in_Social_Science_
Tu pourrais upload le pdf quelque part que je puisse le lire, si tu peux bien sur ?
Sinon je suis pas québécois. J'ai juste une insomnie ce soir
Impertinent, ta perdu ton temps à écrire ça.
Bien plus pertinent que tes petites psychanalyses qui parlent de « mécanisme de défense de mon ego » ou je ne sais quelle autre charlatanerie. J’essaye de te faire prendre conscience que tu te ridiculises.
Si l'on suivait cette logique, cela voudrait dire aussi que l'ensemble des recherches dans nimporte quel domaines ne peuvent prétendre relever de la science.
Sauf que, quand c’est la majorité (écrasante, selon les méta-analyses) des études de ce domaine qui s’avèrent invalides, on a affaire là à un domaine qui n’a pas la rigueur nécessaire pour être qualifié de sciences.
Le problème particulier des Neurosciences, et je me répète en disant cela, c'est le problème de la compétence des chercheurs dans ce domaine, comparé à ceux d'autres domaines de la Science. Je le redis, sans une formation initiale solide en mathématiques, la probabilité que le chercheur fasse une erreur de méthodologie logico-mathématique sera augmentée.
Le problème des neurosciences est celui des bases même sur lesquelles elles reposent : les corrélations. Les neurosciences se fondent sur la tentative de trouver des corrélations pertinentes et significatives entre des états mentaux et neuronaux. Sauf que ces corrélations sont, dans la plupart des cas, des constructions, des modélisations limitées, souvent fondées sur une compréhension tout aussi biaisée des outils qu’ils ont à disposition, d’où le fait que j’ai posté des recherches qui mettaient en lumière une erreur de compréhension que l’on retrouvait dans près de 16 500 études.
Ces fondations mêmes mènent les neurosciences à des impasses comme le problème de la liaison ou de la localisation. Tu pourrais arguer que « dans un avenir proche, on obtiendra de meilleurs outils bla-bla-bla » sauf que tu n’en sais rien. Dans les faits, les neurosciences se heurtent à ces difficultés et ne semblent toujours pas capables de les dépasser. Le problème ne repose pas sur les difficultés des neuroscientifiques à comprendre la modélisation mathématique mais sur les prétentions épistémologiques de cette science qui se heurte à des problèmes connus de la philosophie de l’esprit sans avoir pu les résoudre.
C'est tellement plus simple et facile pour l'esprit de nier l'ensemble d'un domaine et de le considérer comme du bullshit juste parce que plusieurs éléments appartenant au domaine est réfuté, sans que cela soit l'ensemble du domaine qui le soit, et tu viens de le prouver.
C’est tellement facile pour l’esprit de cope avec des explications psychologisantes que l’on projette sur son interlocuteur bla-bla-bla…
Alors, je vais te traiter à la hauteur du mépris que tu me témoignes et être de plus en plus concis.
https://en.m.wikipedia.org/wiki/Binding_problem
https://www.nature.com/articles/nrn756
Toi lire ça. Toi éviter de cope en allant voir dans « recent developments » parce que cette partie parle uniquement au conditionnel. Toi peut-être comprendre par miracle que domaine que toi défendre repose sur corrélations montées de toute pièce qui n’ont pas statut ontologique avéré. Toi peut-être comprendre que domaine que toi défendre a problèmes épistémologiques fondamentaux.
C'est d'ailleurs pour ça que je fais l'effort de faire une réponse aussi longue, pour être sûr que tu comprennes la logique de la réponse car ma précédente réponse était peut être trop courte.
Merde… C’est pour ça que tu fais l’effort de me sortir des pavés hors sujet et ridicules sur mon usage de la loi de Brandolini ou « les mécanismes de défense » de mon ego.
Je te demande pardon de l'avoir fait, mais quand une personne a le culot de prendre de haut une grande communauté de scientifiques sérieux essayant de faire avancer les connaissances dans un domaine reconnu par le consensus scientifique, je ne vois pas d'autres mots pour décrire ces personnes. C'est comme si tu te croyais plus intelligent que toutes ces personnes, comme celles que j'ai cités précédemment, je sais pas si tu vois ce que je veux dire ?
J’ignore si je suis plus intelligent mais ce qui est certain, c’est que c’est pas ton argument d’autorité qui effacera les problèmes épistémologiques fondamentaux (en plus du nombre effarant d’études qui reposent sur des corrélations fantaisistes) inhérents à ces domaines.
Tu as peut être voulu défendre coute que coute ta crédibilité gagnée grâce à ce topic, ce qui explique aussi pourquoi tu es si agressif avec moi, c'est la seule explication que je vois à ton comportement discutable, mais je ne t'en veux pas.
Tu essayes peut-être de te placer en victime en parlant « d’agressivité » parce que je te ramène au ridicule de ta défense fallacieuse de ces domaines pseudoscientifiques; des domaines qui traversent des crises épistémologiques profondes depuis une décennie parce que les chercheurs commencent enfin à comprendre qu’il suffit pas de faire de corrélations pour faire de la science… Mais c’est pas en te cachant derrière des explications psychanalytiques de ma référence humoristique à la loi de Brandolini que tu pourras convaincre qui que ce soit du bien-fondé de ta position.
Est-ce que tu parles du principe de l'autonomie de Kant ?
Tu poses une question qui te permet de projeter ta propre ignorance sur moi et tu poursuis comme si tu essayais de me corriger : « ah mais c’est de l’éthique, de la métaphysique et de la morale, pas de la science blabla »…
Mais il est évident que tu ignores les fondements mêmes de la philosophie kantienne, tu saurais sinon que sa philosophie éthique découle de son projet épistémologique.
Est-ce que tu peux préciser exactement quels sont les problèmes épistémologiques de la psychologie et les neurosciences anticipés par Hume, Jacobi et Kant ?
Tu tapes « Kant + selfhood » ou « Hume + psychology and selfhood » et tu te laisses guider par Google. Pour Jacobi, il s’agit, de manière générale, de montrer les limitations épistémologiques que l’on rencontre, peu importe le domaine.
Je veux perdre le moins de temps possible avec toi.
Pour Kant, l’usage des termes que tu emploies est complètement erroné. Évite. Ce que tu avances là n’a rien de pertinent, est incorrect et ne dit rien de l’épistémologie kantienne.
Ton couplet sur Popper était plus exact mais ne constitue pas une défense des neurosciences.
Cette fois-ci j'ai vraiment essayé d'être humble par rapport à précédemment, je te suggères de faire de même.
Tellement humble que tu essayes toujours de sonder mon esprit.
Donc selon toi, le désengagement total de toute volonté d'étudier la mécanique de l'esprit d'un point de vue scientifique est plus responsable et éthique selon toi ?
Il n’y a pas de « mécanique de l’esprit », il y’a juste des modélisations mécanistes. Tu te ridiculises encore. J’ai pas dit qu’il fallait se désengager de l’étude des maladies mentales. Ce que je dis, c’est qu’il faut rebâtir les fondements épistémologiques pour faire de ces pseudosciences de véritables sciences.
Tu penses que c'est préférable de laisser les nombreuses personnes souffrant psychologiquement ou n'arrivant pas à développer leur compétences mentales dans leur merde ?
Tu penses que c’est préférable de tenter de « soigner » les problèmes psychologiques d’individus différents avec des méthodes pseudoscientifiques ? Pourquoi ne pas tenter de les soigner avec de l’homéopathie ou des exorcismes ? À ce stade, les seuils de crédibilité épistémologique sont à peu près les mêmes.
39% de recherches valides et non réfutées à l'heure actuelle en neurosciences => domaine pseudoscientifique , c'est ça ta logique ?
Absolument. C’est d’ailleurs pour ça que le domaine de la psychologie est secoué depuis une décennie par ses crises épistémologiques révélées. Tu peines à saisir le fond du problème. Tu peines aussi à saisir son étendue.
N'est-ce pas ce que tu viens de faire en essayant en vain de décrédibiliser l'ensemble de mes propos à cause d'un détail impertinent sur l'épistémologie Kantienne ?
Non. C’est marrant mais tu dis dans le paragraphe au-dessus :
J'aimerais juste que cela ne biaise pas ton raisonnement en te disant : "il utilise un terme qu'il n'a pas tout a fait compris" ==> Tout est faux. S'il te plaît ne tombe pas dans ce biais.
Pour ensuite m’accuser très malhonnêtement d’y avoir succombé avec cette question rhétorique. Alors que je me suis simplement contenté de te dire que tu te trompais et que tu devais éviter d’utiliser des termes que tu ne comprends pas. Si c’était sur ça que je me reposais pour décrédibiliser l’ensemble de ton message, je n’aurais pas répondu aux autres points.
Je n'ai pas employé le verbe "prouver", mais plutôt le verbe "corroborer".
Si tu savais comme je m’en fous. T’as pas compris que j’avais survolé (un peu comme le reste de ton paragraphe où tu t’efforces de te concentrer sur un point stupide en essayant de présumer de mes états internes). Enfin, tu emploies « corroborer » d’un côté, puis tu ne t’emparasses plus de ce genre de distinctions quand tu écris :
C'est tellement plus simple et facile pour l'esprit de nier l'ensemble d'un domaine et de le considérer comme du bullshit juste parce que plusieurs éléments appartenant au domaine est réfuté, sans que cela soit l'ensemble du domaine qui le soit, et tu viens de le prouver.
« Et tu viens de le prouver » ? Hum…
Non, j’ai pas d’autres liens pour ce PDF. Au pire, tu peux quand même le prévisualiser et le lire en entier.
Va falloir step up mon grand parce que là, non seulement tu es d’un ennui profond mais en plus, tes réponses sont de moins en moins pertinentes. Si ça continue, je vais te BL.
(Ah moins que ça ne soit là encore un « mécanisme de défense de mon ego » que je viens de « corroborer » et pas du tout une volonté de ma part de ne plus perdre mon temps avec un type qui défend éperdument des charlatans dangereux. )
Je te laisse avec deux articles supplémentaires. Peut-être que, par miracle, t’arrêteras de défendre ces pseudosciences :
https://psyarxiv.com/jqw35
Beaucoup de jargonage dans les papiers de psychologie mais qui ne se reflètent pas dans les modèles statistiques et enfin, le gros problème, à savoir que les études en psychologie éludent des facteurs aléatoires, ce qui rend leur généralisation inepte.
https://psyarxiv.com/whds4/
Celle-ci incite à un usage précautionneux des études en sciences comportementales dans le cadre de la gestion du Covid et, sources à l’appui, pointé du doigt un certain nombre de problèmes épistémologiques liées à ces sciences, y compris dans les revues systématiques, qui peinent parfois à rendre compte de certains biais.
Tu te rends compte, un domaine fondée sur des recherches tellement mal foutues que leur généralisation en devient problématique.
Mais bon, y’a une minorité d’études reproductibles, ça devrait donner de l’espoir, non ?
(Toujours pas puisque les problèmes méthodologiques et épistémologiques sont générés par les prétentions mêmes de ces domaines.)
Bon, mon message ci-dessus est rempli de fautes d’inattention. Comme t’as pu le voir, j’ai vraiment essayé de perdre le moins de temps possible. Désolé si ça rend le truc moins digeste.
Le 13 septembre 2021 à 11:12:14 :
le s*icide
la selection naturelle chez l'homme
https://www.jeuxvideo.com/forums/message/1113605627
La s*icide est l’aboutissement de la forme la plus radicale de la dépression. La dépression constitue l’effondrement de la complexité de ta vision du monde, tes représentations se résorbent pour ne laisser qu’un sentiment de vide et de confusion. Dans sa forme la plus poussée, plus rien n’est intelligible donc le nihilisme devient totalisant. L’effondrement total de ton monde mène à l’annihilation de ta propre vie.
Concernant la sélection naturelle :
https://necsi.edu/group-selection
Note : J’ai censuré ce mot parce qu’il mène parfois à des suppressions de post.
Topic en or
Hmm , sur la schizophrénie ?
Le 13 septembre 2021 à 16:25:29 :
Topic en orHmm , sur la schizophrénie ?
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501187858-risitassebestreup.png
Merci.
Désolé, je vois vraiment pas quoi ce que je pourrais dire. Surtout que, comme je me suis efforcé de le prouver à renforts de sources nombreuses et solides, les domaines qui étudient les maladies mentales, donc celles qui sont aussi psychotiques, relèvent plus de pseudosciences que de sciences rigoureuses. Et puisque je ne connais personne dans mon entourage proche qui en souffre (des schizophrènes, j’en ai déjà rencontré, j’ai même discuté avec quelques uns d’entre eux mais ça n’allait jamais plus loin que ça), je peux pas non plus m’appuyer sur mon expérience pour en parler. Tout ce que je peux dire c’est que les médicaments antipsychotiques ont une efficacité très discutable qui varie énormément d’un individu à l’autre :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6180374/