la banalisation de la VULGARITE dans le langage commun

Le 10 octobre 2024 à 17:37:55 :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:44 :

Le 10 octobre 2024 à 17:28:51 :
Pour une fois, on ne peut pas blâmer uniquement les 2000.

les 2000 herite d'une situation globale, construite alors qu'ils n'étaient que des nourrissons voir pas né.

Un groupe de musique populaire qui s'appelle Nique Ta Mere, c'était inconcevable avant les 90's, meme chez les punks.

Des groupes avec des noms aussi vulgaires que “Nique Ta Mère” existaient déjà bien avant les années 90. Par exemple, le groupe espagnol “Fuck Off”, formé en 1986, portait un nom directement insultant et provocateur. De même, le groupe américain “Anal Cunt”, apparu en 1988, était bien plus vulgaire et choquant. Même dans les années 60, le collectif anarchiste et punk “The Motherfuckers” adoptait un nom tout aussi cru. Ces exemples montrent que des groupes avec des noms aussi vulgaires, voire plus, existaient bien avant les années 90.

il faut un groupe de musique français populaire (du niveau de NTM) pour valider ton propos.

je parle ni de l'evolution du langage espagno ou anglais que je n e connais pas.

Le 10 octobre 2024 à 17:54:11 :
Ca a commencé avec l'apparition du rap français.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/03/3/1611133513-ahihaitriste.png

oui c'est vrai, meme le rap au début n'était pas aussi vulgaire.
Les chansons les plus vulgaire n'était pas diffusé au grand publics.

Le 10 octobre 2024 à 18:23:48 :

Le 10 octobre 2024 à 18:02:03 :

Le 10 octobre 2024 à 17:52:42 :

Le 10 octobre 2024 à 17:50:32 :
La vulgarité n’est absolument pas un marqueur social. C’est un langage universel, utilisé par toutes les classes sociales, des plus pauvres aux plus riches. Peu importe que tu sois ouvrier ou PDG, la vulgarité traverse tous les milieux et n’appartient à aucune catégorie particulière. La vulgarité est un outil d’expression utilisé par tous, peu importe leur statut ou leur milieu. C’est un fait : que ce soit dans les quartiers populaires ou dans les cercles les plus huppés, tout le monde l’utilise pour exprimer des émotions fortes, des frustrations, ou même pour détendre l’atmosphère. Dire que c’est un marqueur social est faux, car c’est justement une manière de transcender les distinctions sociales.

Oui oui "et là tu vois j'lui ai baisé sa mère à ce fils de pute, qu'il aille niquer ses mortshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/2/1520364536-arnault1.png"

Allé pour avoir réellement servis des gens haut placés et puissant (big 4, JP Morgan, vice presidents, ministres de différents pays européens etc…) lors de mes premiers jobs desclave en restauration, je peux te confirmer que ces gens là aussi utilise un language vulgaire. T’imagine bien qu’ils vont pas forcément parler en verlan et avec exactement le même lexique que les jeunes, mais oui ils peuvent avoir un language tout aussi vulgaire et cru.

Mais bon dans ta tête ces gens là sont comme à la télé, sauf que non, en dehors des caméras et de certains contextes oui ils peuvent être vulgaires, comme n’importe qui. À la rigueur si tu me dis que certaines familles royales ne le sont pas, ok, et encore, ça c’est devant les caméras

T’es un sacré low

ils peuvent etre vulgaire ils le sont pas au quotidien, dans les espaces partager avec le public ou devant les enfants.

Le 10 octobre 2024 à 18:23:48 :

Le 10 octobre 2024 à 18:02:03 :

Le 10 octobre 2024 à 17:52:42 :

Le 10 octobre 2024 à 17:50:32 :
La vulgarité n’est absolument pas un marqueur social. C’est un langage universel, utilisé par toutes les classes sociales, des plus pauvres aux plus riches. Peu importe que tu sois ouvrier ou PDG, la vulgarité traverse tous les milieux et n’appartient à aucune catégorie particulière. La vulgarité est un outil d’expression utilisé par tous, peu importe leur statut ou leur milieu. C’est un fait : que ce soit dans les quartiers populaires ou dans les cercles les plus huppés, tout le monde l’utilise pour exprimer des émotions fortes, des frustrations, ou même pour détendre l’atmosphère. Dire que c’est un marqueur social est faux, car c’est justement une manière de transcender les distinctions sociales.

Oui oui "et là tu vois j'lui ai baisé sa mère à ce fils de pute, qu'il aille niquer ses mortshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/2/1520364536-arnault1.png"

Allé pour avoir réellement servis des gens haut placés et puissant (big 4, JP Morgan, vice presidents, ministres de différents pays européens etc…) lors de mes premiers jobs desclave en restauration, je peux te confirmer que ces gens là aussi utilise un language vulgaire. T’imagine bien qu’ils vont pas forcément parler en verlan et avec exactement le même lexique que les jeunes, mais oui ils peuvent avoir un language tout aussi vulgaire et cru.

Mais bon dans ta tête ces gens là sont comme à la télé, sauf que non, en dehors des caméras et de certains contextes oui ils peuvent être vulgaires, comme n’importe qui. À la rigueur si tu me dis que certaines familles royales ne le sont pas, ok, et encore, ça c’est devant les caméras

T’es un sacré low

ils peuvent etre vulgaire ils le sont pas au quotidien, dans les espaces partager avec le public ou devant les enfants.

Est ce que tu les a déjà côtoyer au quotidien ?

Le 10 octobre 2024 à 18:31:14 :

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Le 10 octobre 2024 à 18:02:03 :

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La vulgarité n’est absolument pas un marqueur social. C’est un langage universel, utilisé par toutes les classes sociales, des plus pauvres aux plus riches. Peu importe que tu sois ouvrier ou PDG, la vulgarité traverse tous les milieux et n’appartient à aucune catégorie particulière. La vulgarité est un outil d’expression utilisé par tous, peu importe leur statut ou leur milieu. C’est un fait : que ce soit dans les quartiers populaires ou dans les cercles les plus huppés, tout le monde l’utilise pour exprimer des émotions fortes, des frustrations, ou même pour détendre l’atmosphère. Dire que c’est un marqueur social est faux, car c’est justement une manière de transcender les distinctions sociales.

Oui oui "et là tu vois j'lui ai baisé sa mère à ce fils de pute, qu'il aille niquer ses mortshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/2/1520364536-arnault1.png"

Allé pour avoir réellement servis des gens haut placés et puissant (big 4, JP Morgan, vice presidents, ministres de différents pays européens etc…) lors de mes premiers jobs desclave en restauration, je peux te confirmer que ces gens là aussi utilise un language vulgaire. T’imagine bien qu’ils vont pas forcément parler en verlan et avec exactement le même lexique que les jeunes, mais oui ils peuvent avoir un language tout aussi vulgaire et cru.

Mais bon dans ta tête ces gens là sont comme à la télé, sauf que non, en dehors des caméras et de certains contextes oui ils peuvent être vulgaires, comme n’importe qui. À la rigueur si tu me dis que certaines familles royales ne le sont pas, ok, et encore, ça c’est devant les caméras

T’es un sacré low

ils peuvent etre vulgaire ils le sont pas au quotidien, dans les espaces partager avec le public ou devant les enfants.

Le 10 octobre 2024 à 18:23:48 :

Le 10 octobre 2024 à 18:02:03 :

Le 10 octobre 2024 à 17:52:42 :

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La vulgarité n’est absolument pas un marqueur social. C’est un langage universel, utilisé par toutes les classes sociales, des plus pauvres aux plus riches. Peu importe que tu sois ouvrier ou PDG, la vulgarité traverse tous les milieux et n’appartient à aucune catégorie particulière. La vulgarité est un outil d’expression utilisé par tous, peu importe leur statut ou leur milieu. C’est un fait : que ce soit dans les quartiers populaires ou dans les cercles les plus huppés, tout le monde l’utilise pour exprimer des émotions fortes, des frustrations, ou même pour détendre l’atmosphère. Dire que c’est un marqueur social est faux, car c’est justement une manière de transcender les distinctions sociales.

Oui oui "et là tu vois j'lui ai baisé sa mère à ce fils de pute, qu'il aille niquer ses mortshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/10/2/1520364536-arnault1.png"

Allé pour avoir réellement servis des gens haut placés et puissant (big 4, JP Morgan, vice presidents, ministres de différents pays européens etc…) lors de mes premiers jobs desclave en restauration, je peux te confirmer que ces gens là aussi utilise un language vulgaire. T’imagine bien qu’ils vont pas forcément parler en verlan et avec exactement le même lexique que les jeunes, mais oui ils peuvent avoir un language tout aussi vulgaire et cru.

Mais bon dans ta tête ces gens là sont comme à la télé, sauf que non, en dehors des caméras et de certains contextes oui ils peuvent être vulgaires, comme n’importe qui. À la rigueur si tu me dis que certaines familles royales ne le sont pas, ok, et encore, ça c’est devant les caméras

T’es un sacré low

ils peuvent etre vulgaire ils le sont pas au quotidien, dans les espaces partager avec le public ou devant les enfants.

Est ce que tu les a déjà côtoyer au quotidien ?

je les ai non seulement cotoyer au quotidien, mais je me suis pas contenté de les servir et de les observer de loin...
J'ai eu a échanger et produire avec eux.

La vulgarité n'est pas banalisé, elle est utilisé uniquement à des fins de choquer et marquer le propos.

Je parle des individus agés et en poste.

mais je le repete c'est pas une histoire de classe sociale, non.

j'ai voyagé entre les classes sociales et les communauté ethno-religieuse pendant 25 ans.
Jamais la vulgarité n'a été aussi banalisé et répandue dans la toute société.

franchement j'ai plu envie d'entre des histoire de "bandeur", "d'enculer", "de sucer son patron", "d'aller niquer sa mere", de "bien le baiser" au quotidien dans les lieux publics.

c'était vraiment pas repandue dans la classse moyenne comme aujourd'hui

je voulais juste savoir si ma fatigue etait partagé.
https://image.noelshack.com/fichiers/2019/01/5/1546635371-image.png

L'auteur a raison mais j'avoue que "s'enculer quelque chose" en parlant de bouffe ça me fait trop rigolerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Je m'imagine un gros lard qui va tout dévaster dans la cuisinehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/7/1629027266-1499374046-risistasgroschef.png

Vous comprenez désormais pourquoi les étrangers disent que les francais sont "rudes"

Le 10 octobre 2024 à 18:41:40 :
L'auteur a raison mais j'avoue que "s'enculer quelque chose" en parlant de bouffe ça me fait trop rigolerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Je m'imagine un gros lard qui va tout dévaster dans la cuisinehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/32/7/1629027266-1499374046-risistasgroschef.png

quand les alcolo du forum parle de "s'enculer une bouteille" j'ai l'image du mec qui bois mais ça passe pas par la bouche.
https://image.noelshack.com/fichiers/2020/04/7/1580048751-jesus-question-perplexe.png

Le 10 octobre 2024 à 18:41:43 :
Vous comprenez désormais pourquoi les étrangers disent que les francais sont "rudes"

franchement les americains on aussi était touché par ça tu regarde une émission de mtv des années 80 et une des année 2000, t'a le meme choc que les docu INA des années 60 en france.

Le 10 octobre 2024 à 18:13:46 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:36:54 :C’est la définition même de la vulgarité que d’être banalisée.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

??j'ai relu plusieur fois j'ai fait l'effort d'essayer de comprendre, mais ça pas de sens.

Vulgaire. 



Du latin vulgaris, de vulgus, « foule, peuple, populace », « multitude ».



Adjectif 



(En particulier) (Linguistique) (Didactique) Ce que le peuple parle à l’époque considérée.

Vous n’avez jamais eu de cours de latin ou de français ?

Le 10 octobre 2024 à 18:15:03 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:40:30 :

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

> Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça

Si tu veux du raffinement, il ne faut pas côtoyer la masse, ça a toujours été comme ça.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Je cherche pas de raffinement, juste de la décence.c'etait la norme avant dans les masses.

Non, jamais, pas dans les masses.

Le 10 octobre 2024 à 18:07:04 :

Le 10 octobre 2024 à 17:58:52 :
J'assume totalement être extrêmement vulgaire comme marqueur de mon origine sociale et territoriale même si j'ai su m'élever dans un milieu où justement dire "merde" est vu comme de la vulgarité extrême.

Et en même temps quand tu réponds que ton équipe ne passe pas son temps à se beurrer les burnes alors qu'on arrête de te péter les couilles avec des kpi qui sont de 0,1 sous l'objectif, ben on te fout la paixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/7/1635043932-raconte-pas-ta-vie.png

Alors que mes homologues responsables de service passent 15 minutes d'humiliation collective en se justifiant mais en soutenu

En fait on utilise la vulgarité parce que sa violence permet plus facilement la soumission de l'interlocuteur dans la situation où elle est employéehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/7/1635043932-raconte-pas-ta-vie.png

Le 10 octobre 2024 à 17:58:52 :
J'assume totalement être extrêmement vulgaire comme marqueur de mon origine sociale et territoriale même si j'ai su m'élever dans un milieu où justement dire "merde" est vu comme de la vulgarité extrême.

Et en même temps quand tu réponds que ton équipe ne passe pas son temps à se beurrer les burnes alors qu'on arrête de te péter les couilles avec des kpi qui sont de 0,1 sous l'objectif, ben on te fout la paixhttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/7/1635043932-raconte-pas-ta-vie.png

Alors que mes homologues responsables de service passent 15 minutes d'humiliation collective en se justifiant mais en soutenu

En fait on utilise la vulgarité parce que sa violence permet plus facilement la soumission de l'interlocuteur dans la situation où elle est employéehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/7/1635043932-raconte-pas-ta-vie.png

Autrement dit tu es sociopathe et tu fais un taff que tu détestes donc tu es en permanence sur la défensive. Bravo champion.

Putain le forum

J'adore mon métier et je refuse juste d'être une serpillière.

Mais pour les niveaux 40 ça suffit pour être sociopathehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/42/7/1635043932-raconte-pas-ta-vie.png

Le 10 octobre 2024 à 18:57:00 :

Le 10 octobre 2024 à 18:15:03 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:40:30 :

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

> Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

> > Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

>

> non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça

Si tu veux du raffinement, il ne faut pas côtoyer la masse, ça a toujours été comme ça.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Je cherche pas de raffinement, juste de la décence.c'etait la norme avant dans les masses.

Non, jamais, pas dans les masses.

si cela était trés répandu dans les masses ouvriere il y en avait encore de large trace dans un bassin d'emploi que je connais tres bien. Le bassin minier.

Les ouvriers chercher à se faire respecter en utilisant un langage sans obscénité, en se rasant et en se peignant.

Jusqu'au années 2000, ne pas être rasé était considéré comme un manque de respect envers soi et les autres, et synonyme de chomage et d'abandon de soi, une condition mal vu par la société ouvriere.

Il en était de meme pour le langage obscene.

Je vois que l'op n'a pas grandi dans le sud-ouest où les gosses de 12 ans utilisaient "enculé" pour ponctuer leurs phrases en crachant par terre toute la journée il y a de ça déjà 20 ans

Le 10 octobre 2024 à 18:55:48 :

Le 10 octobre 2024 à 18:13:46 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:36:54 :C’est la définition même de la vulgarité que d’être banalisée.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

??j'ai relu plusieur fois j'ai fait l'effort d'essayer de comprendre, mais ça pas de sens.

Vulgaire. 



Du latin vulgaris, de vulgus, « foule, peuple, populace », « multitude ».



Adjectif 



(En particulier) (Linguistique) (Didactique) Ce que le peuple parle à l’époque considérée.

Vous n’avez jamais eu de cours de latin ou de français ?

le "vulgaire" tel que tu l'emploi et qui n'est pas le sujet du topic, n'a aucun rapport avec la banalisation.
Donc t'a voulu faire un trait d'esprit mais ça tombe à l'eau.

bien essayé.

Je viens justement de m'enculer un paquet de m&m's

Le 10 octobre 2024 à 19:07:02 :
Je vois que l'op n'a pas grandi dans le sud-ouest où les gosses de 12 ans utilisaient "enculé" pour ponctuer leurs phrases en crachant par terre toute la journée il y a de ça déjà 20 ans

c'est vrai qu'on etait plus vulgaire dans le sud, mais les gens était surtout plus grivois (proximité des plages et culture du corps dénudé?).

l'usage du mot "enculé", c'était quand meme pas aussi repandu dans les années 90.
on parlais de con, de fada..
con qui était déja tres vulgaire pour les anciens qui connaissaient son etymologie.

puisqu'on parle du Sud, pour revenir à l'accusation de racisme plus haut faites par pseudo gaucho vraiment biaisé...

Il y avait à l'époque une distinction entre les maghrebins du Nord et ceux du Sud sur l'usage de la vulgarité dans le cadre familiale. ce n'était pas la norme dans le Sud mais ça existait plus que dans le Nord (nord de loire) et les maghrebins du Nord en était souvent choqué.

"Hachem cousin, tu peux pas parler comme ça devant ton bouïye !"

Le 10 octobre 2024 à 19:05:00 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 18:57:00 :

Le 10 octobre 2024 à 18:15:03 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:40:30 :

Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 Polpotine a écrit :

> Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

>

> > Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

>

> > > Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

>

> >

>

> > non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

>

> La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

>

> Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

>

> Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

>

> La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça

Si tu veux du raffinement, il ne faut pas côtoyer la masse, ça a toujours été comme ça.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Je cherche pas de raffinement, juste de la décence.c'etait la norme avant dans les masses.

Non, jamais, pas dans les masses.

si cela était trés répandu dans les masses ouvriere il y en avait encore de large trace dans un bassin d'emploi que je connais tres bien. Le bassin minier.

Les ouvriers chercher à se faire respecter en utilisant un langage sans obscénité, en se rasant et en se peignant.

Jusqu'au années 2000, ne pas être rasé était considéré comme un manque de respect envers soi et les autres, et synonyme de chomage et d'abandon de soi, une condition mal vu par la société ouvriere.

Il en était de meme pour le langage obscene.

Quel idéalisme. Les ouvriers d’avant la télévision passaient leur temps dans les bistrots à se bourrer la gueule et chanter des grivoiseries ou faire des blagues douteuses.

Il ne faut pas croire que l’humanité change vraiment, juste les modes d’expression changent.

Le 10 octobre 2024 à 19:19:08 :

Le 10 octobre 2024 à 19:05:00 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 18:57:00 :

Le 10 octobre 2024 à 18:15:03 Polpotine a écrit :

Le 10 octobre 2024 à 17:40:30 :

> Le 10 octobre 2024 à 17:38:54 Polpotine a écrit :

> > Le 10 octobre 2024 à 17:32:23 :

> >

> > > Le 10 octobre 2024 à 17:30:50 :

> >

> > > > Le 10 octobre 2024 à 17:29:10 :C’est faux cette vulgarité a toujours été présente

> >

> > >

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> > > non elle n'était pas aussi banal, c'était vraiment utilisé par les cas sociaux dans l'ecrasante majorité des cas.et meme chez eux on parlait rarement en famille comme ça, seulement chez les cassos les plus extreme.

> >

> > La vulgarité a toujours fait partie du langage, y compris en France. Ce qu’on observe aujourd’hui n’est pas une dégradation récente, mais simplement une évolution de la manière dont on parle et des contextes dans lesquels certains mots sont utilisés. Déjà au Moyen Âge et à la Renaissance, on retrouve dans les écrits et les conversations populaires des expressions très crues, parfois même plus choquantes que celles qu’on entend aujourd’hui. Les poèmes satiriques, les chansons paillardes, et les échanges dans les tavernes étaient remplis de termes vulgaires.

> >

> > Au XIXe siècle, des écrivains comme Zola ou Rabelais avant lui utilisaient un langage coloré et parfois grossier pour décrire la vie quotidienne du peuple. Cela reflétait une réalité sociale. La vulgarité n’était pas seulement un signe de mauvais goût, mais aussi une forme d’expression authentique, qui traduisait la liberté de parole, le refus des conventions rigides et l’envie de se moquer du pouvoir ou des normes.

> >

> > Aujourd’hui, les médias et les réseaux sociaux amplifient cette réalité, mais la vulgarité en elle-même n’est pas nouvelle. Ce qui a changé, c’est peut-être l’acceptation plus large de ce langage dans des contextes plus publics. Avant, les mots crus étaient réservés à des cercles privés ou à certaines classes sociales. Maintenant, ils se diffusent dans tous les milieux, à cause de la télévision, de la musique, des films, et surtout des réseaux sociaux. On pourrait dire que ce langage est plus démocratisé, mais cela ne veut pas dire que notre société est devenue plus vulgaire.

> >

> > La vulgarité sert souvent à choquer, à défier les normes, ou simplement à exprimer des émotions fortes. Ce n’est ni bon ni mauvais en soi, cela dépend du contexte. Dire que ce phénomène est récent ou qu’il va nécessairement disparaître serait une erreur. La langue est vivante et reflète l’époque dans laquelle elle évolue. Plutôt que de voir ça comme une dégradation, on peut le percevoir comme une manière pour les gens de s’approprier le langage, de l’adapter à leur quotidien. En fin de compte, la vulgarité fait partie du langage humain depuis toujours, et elle ne disparaîtra probablement jamais.

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> j'ai lu ton pavé qui tourne en rond.

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> il confirme ce que je dis au milieu en disant qu'il y a plus de vulgarité et se conclue par "c'est pas grave, c'est l'évolution".

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> moi je dis que cette évolution est une dégradation de la qualité de vie au quotidien.

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> Serieusement, qui trouve normale d'entendre des gens balancer des vulgarité ignoble dans les lieux publics, dans des conversation banale?

>

> je peux tout à fait comprendre l'usage de la vulgarité pour choquer, mais au quotidien comme ça

Si tu veux du raffinement, il ne faut pas côtoyer la masse, ça a toujours été comme ça.https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png

Je cherche pas de raffinement, juste de la décence.c'etait la norme avant dans les masses.

Non, jamais, pas dans les masses.

si cela était trés répandu dans les masses ouvriere il y en avait encore de large trace dans un bassin d'emploi que je connais tres bien. Le bassin minier.

Les ouvriers chercher à se faire respecter en utilisant un langage sans obscénité, en se rasant et en se peignant.

Jusqu'au années 2000, ne pas être rasé était considéré comme un manque de respect envers soi et les autres, et synonyme de chomage et d'abandon de soi, une condition mal vu par la société ouvriere.

Il en était de meme pour le langage obscene.

Quel idéalisme. Les ouvriers d’avant la télévision passaient leur temps dans les bistrots à se bourrer la gueule et chanter des grivoiseries ou faire des blagues douteuses.

Il ne faut pas croire que l’humanité change vraiment, juste les modes d’expression changent.

ce n'est pas l'idealisme je te raconte ce que j'ai vu et vécu.
Les chansons grivoise les plus vulgaires n'étaient chanté qu'entre homme dans les bistrots, c'était un lieu ou t'accepté d'etre confronté à ça en y entrant.

Les chansons les plus paillardes et obscene que j'ai entendu à l'époque dans les espaces publics ce n'était ni le proletariat extra-europeen, ni le prolétariat autochtone. c'était les faluchards ( corporation etudiante) en début d'années scolaire.