Ce QUOICOUBIX en SURPOIDS INSULTE la MÈRE des POLICIERS à MARSEILLE : SÉLECTION pour lui
GigaChatte
2024-09-27 12:39:33
Il disait woulah au poubelle et sur le coran aux petites vieilleshttps://image.noelshack.com/fichiers/2020/29/6/1595024673-oouuuuhhhhhhhhhent.png
Kbenzbenz
2024-09-27 12:39:40
Le 27 septembre 2024 à 12:36:27 :
Encore une énième petite salope de beuret fragile qui fait le fou dans un pays qui n'est pas le sien
Apaise ton cœur khey il est blanc et blondhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1487779320-img-7786.jpg
Lefeu24
2024-09-27 12:41:00
Le 27 septembre 2024 à 12:39:40 :
Le 27 septembre 2024 à 12:36:27 :
Encore une énième petite salope de beuret fragile qui fait le fou dans un pays qui n'est pas le sien
Apaise ton cœur khey il est blanc et blondhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1487779320-img-7786.jpg
La haine l'aveugle faut le comprendre mon frèrehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/48/1480540191-risitasprie.png
NeonLove4
2024-09-27 12:41:01
Le 27 septembre 2024 à 12:29:54 :
Mais c'est pas toi qui décidehttps://image.noelshack.com/fichiers/2019/44/2/1572380555-20191029-212210.jpg
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/26/1467335935-jesus1.png
Cortez_442
2024-09-27 12:42:07
Le 27 septembre 2024 à 12:39:22 :
"Par Yahvé, la Torah"
"Sur la Bible du Vatican"
SuicideCaca14
2024-09-27 12:42:15
C’est dans les ombres de ces ruelles que tout se brouille. L’identité, le désir, la rage... Tout éclate en mille éclats sous le halo blafard des réverbères. Les hommes traînent, se cherchent, se bousculent... un théâtre de peau, de sueur, de regards qui se dérobent et qui s’accrochent à la fois, comme un défi à la propre peur qui bouillonne au creux des ventres.
Ils avancent, fuyants et pourtant si présents, comme guidés par un appel... Une force enfouie, une pulsion qui n’a ni nom, ni visage, mais qui s’embrase, brûle les veines... Et c’est là, dans cet acte, qu’ils se défient eux-mêmes. Le désir s'enroule, interdit, pris entre le carcan d'une histoire, d'une culture... et cette ivresse d'aller à l'encontre, de frôler l'interdit. L'affrontement, il le cherche, comme une délivrance ! L'impact, la soumission... tout se mélange dans une frénésie où se croisent violence et évasion. Ils veulent sentir, oui, sentir les coups, le choc brutal contre cette peau, l'autre, la blanche, celle qui les renvoie à une histoire lourde, sombre.
Tout ça, c’est une quête confuse. Une pulsion, un fétiche étrange, enraciné dans le fond de l'âme, là où se télescopent l'envie et la honte, l'attirance et la haine. Une transcendance par la douleur, par ce besoin d’être dominé, comme pour exorciser les fantômes qui rôdent, ceux qui parlent de puissance et de domination... Mais dans le creux de la nuit, c'est autre chose. C'est la friction des corps, la rébellion contre soi-même, une sorte de masochisme... colonial, dis-tu ? Peut-être. C’est bien plus noir que ça. C’est la chair qui crie, la peau qui se tend, c’est l'homme qui, sous l'assaut, se perd, se retrouve, s'oublie...
PaddleGirl
2024-09-27 12:44:08
Par allah
Wallah
Le coran
Par Allah
Par Allah
Le coran
Quelle belle poésiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1488145728-1479321684-img-0609.png
Vitre_en_or
2024-09-27 12:44:52
Le 27 septembre 2024 à 12:44:08 :
Par allah
Wallah
Le coran
Par Allah
Par Allah
Le coran
Quelle belle poésiehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/08/1488145728-1479321684-img-0609.png
Il fait des rimes en parlant et vous les kheys?https://image.noelshack.com/fichiers/2017/16/1492821085-risitas-romantique.png
PaddleGirl
2024-09-27 12:44:53
Le 27 septembre 2024 à 12:25:35 :
"Wallah par le coran ta mère la pute"
Allah doit être ravihttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494343590-risitas2vz-z-3x.png
On a les représentants qu'on mérite
SuicideCaca14
2024-09-27 12:45:33
Là, sous les néons grésillants, c’est toujours la même danse. Une tension insoutenable qui les traverse, les fait frissonner jusqu’aux os. Comme un appel, une voix intérieure, viscérale, qui murmure à l’oreille des secrets lourds. Ils marchent, se glissent entre les ombres, poussés par ce désir, ce feu sourd et inavouable.
Leurs regards se croisent, hésitent, puis s’accrochent. Ils savent, sans même se le dire, ce qu’ils cherchent. Une libération. Une brèche dans leur propre chair, pour se défier eux-mêmes, pour défier le monde qui les entoure et les enferme. Ce n’est pas qu’une question de domination ou de soumission. C’est la quête d’un instant de pure vérité, quelque part entre la douleur et l’extase. Un point de bascule où ils peuvent s’abandonner, tout perdre pour enfin se sentir vivants, peut-être même se sentir maîtres d’eux-mêmes, paradoxalement.
Ils avancent dans cette frénésie, se jetant dans l’abîme de ce fétiche étrange qui les consume. Le masque tombe, la peau se découvre, s’ouvre à ce contact brutal, presque primal. Ils veulent la sentir, cette violence, l'impact de l’autre, le choc de ce qu’ils ne sont pas, mais qu’ils désirent. Parce que dans cette collision des corps, des peaux, il y a quelque chose de plus profond qu'un simple affrontement. Une sorte de transcendance, un éclat de lumière au milieu du chaos.
Et pourtant, derrière tout ça, il y a l’autre vérité, celle qu’ils ne nomment jamais. Cette pulsion enfouie, celle qui les attire vers l'interdit, vers ce qu’on leur a toujours dit de haïr, de repousser. Une pulsion qu’ils se cachent à eux-mêmes, qu’ils répriment le jour, et qui revient les hanter la nuit. Ils cherchent cette domination, ce choc, parce que c’est là, dans l’étreinte rugueuse, qu’ils espèrent briser leurs propres chaînes, leurs propres interdits. L’idée leur échappe, mais elle est là, tapie, prête à exploser.
Ils se heurtent, se bousculent, se mêlent dans cette danse macabre. Mais c’est plus qu’une simple quête de souffrance ou d’humiliation. C’est un rite, un passage secret pour transcender leurs propres limites, pour s’affranchir des tabous qu’ils portent comme des fardeaux. Une alchimie de peau et de cris, un mélange où la douleur et le plaisir se confondent, se tordent, pour créer autre chose. Quelque chose de cru, d'authentique. Une évasion vers une liberté étrange, celle qu’ils ne trouvent nulle part ailleurs.
Et quand tout retombe, quand les corps se séparent, essoufflés, ils restent là, avec cette sensation brûlante, cette certitude confuse. C’est là, dans cette pulsion, dans cette recherche éperdue de l’autre, qu’ils touchent, pour un instant, la part la plus sombre et la plus lumineuse d’eux-mêmes.
Losnikaia006
2024-09-27 12:45:34
Par Alain, par Alain !!
Mais Alain il a rien a foutre d'eux !!https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366339-risitas39.png
Parley2
2024-09-27 12:46:03
fallait lui briser els rotules à coup de tonfa
fiondetripes
2024-09-27 12:48:25
Le 27 septembre 2024 à 12:25:35 :
"Wallah par le coran ta mère la pute"
Allah doit être ravihttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/19/1494343590-risitas2vz-z-3x.png
https://image.noelshack.com/fichiers/2022/37/1/1663014384-ahi-pince-mais.png
XiaomoMiA1
2024-09-27 12:48:46
Par allah c'est un cliché ce mec
IreetHaro
2024-09-27 12:51:15
Il se fait tirer le néné et balance son racial
SuicideCaca14
2024-09-27 12:51:19
Dans cette ruelle sans fin, là où les lumières grésillantes n’éclairent que des fragments, ils marchent, silencieux. Lourdement. Les désirs non-dits flottent, errent comme des ombres sans nom, s’enroulent autour d’eux, comme une seconde peau. L’atmosphère est dense, presque suffocante. Ils sont là, tous ces hommes, le regard fuyant, mais les sens en éveil, chaque mouvement comme un frisson nerveux sur leur épiderme tendu.
Ce désir, ils le portent en eux, comme une brûlure, une trace indélébile de tout ce qu'ils n'osent pas affronter à la lumière du jour. C'est plus fort qu'eux, cette attirance qu’ils n’admettraient jamais, car elle heurte, fracasse leur propre image, tout ce qu’on leur a appris à être. Une attraction vers l’interdit, oui, vers l’autre, cet autre qu’ils ont été conditionnés à craindre, parfois à haïr, mais qu’ils cherchent malgré tout, attirés comme des papillons par la flamme.
L’ethnicité, la peau, les origines, tout cela fait partie de l’équation, une étrange fascination qui brouille les frontières du désir et du rejet. Ils s’avancent dans ce labyrinthe, écartelés entre des sentiments contradictoires : une honte qui les ronge et un besoin qui les dévore. Une pulsion, enfouie au plus profond de leurs tripes, qui les pousse à défier leurs propres tabous, à franchir des lignes qu’ils pensaient infranchissables.
Leur regard, lorsqu’il se pose sur l’autre, est à la fois une provocation et une imploration silencieuse. Cette attraction qu'ils ressentent pour la peau différente, pour ce qu'ils ne sont pas eux-mêmes, prend une dimension presque rituelle. C’est un jeu dangereux, où chaque mouvement est une danse entre l’envie de domination et l’abandon total. Ils veulent être saisis, réduits, repoussés jusqu’à leurs propres limites. Comme pour explorer, au-delà de la douleur et du plaisir, ce que signifie réellement être.
Dans l’obscurité, tout devient plus flou, plus vrai peut-être. C’est là qu’ils cherchent à transcender les injonctions de leur propre identité, de leur héritage. Les chuchotements des ancêtres, des dogmes religieux, des codes d’honneur... tout se dissout dans ce moment de friction, dans cette quête désespérée de quelque chose d’authentique, d’une vérité qui se dévoile, fugace, au milieu de la tension des corps.
Ils se heurtent à la réalité de leur propre être, cette facette cachée qui aspire à se libérer. La dimension de ce désir n’est pas simple ; elle se nourrit de tout ce qu'ils n’ont jamais osé regarder en face. Et lorsqu'ils cèdent, lorsqu'ils franchissent la ligne, c'est un éclat de lumière brutale, une fracture qui les laisse à nu. Mais dans cette nudité, dans cette soumission consentie, ils entrevoient pour un instant la possibilité d'une autre forme de liberté.
BioBrew
2024-09-27 12:51:20
C'est Hugo de Titeuf
fiondetripes
2024-09-27 12:51:31
Le 27 septembre 2024 à 12:49:49 :
Un blanc en plus ?
c'est ça la beauté de l’universalisme de l'islam
finitofrance59
2024-09-27 12:52:38
Bordel, il l’a à peine mis à terre que sa brioche est sortie