Le 12 septembre 2024 à 15:53:34 :
Le 12 septembre 2024 à 15:51:24 :
Le 12 septembre 2024 à 15:48:59 :
Le 12 septembre 2024 à 15:47:31 :
Le 12 septembre 2024 à 15:42:27 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:35:25 :
>Des Jeans histoire ici ? Vraiment, c'est normal que notre état major a renié le risque des Ardennes malgré les multiples avertissements des belges ? Les arbres arrêtent les chars ?
Oui l'idée c'est que les Ardennes et la Meuse étaient infranchissable pour des troupes mécanisées, on a vu ce que ça a donné. En même temps les décisionnaires côté français c'étaient tous des dinosaures avec 20ans de retard
Après les généraux ont aussi sacrément merdé quand les allemands ont commencé à percer, notamment Huntzinger. Ils réagissent bien trop tard et ne prennent pas la menace au sérieux, ils n'engageront pas leurs réserves pourtant disponible
Oui j'ai lu cela, la majorité des historiens considèrent qu'ils étaient à la ramasse concernant la seconde guerre mondiale et les avancées technologiques, les généraux français étaient encore bloqué sur les modes opératoires de la 1ère, ça paraît dingue quand même avec le nombre d'espions et l'expérience française d'être resté bloqué comme cela
Non mais pendant la campagne de France les allemands ont intégré les radio à l'échelle de la compagnie. Les généraux français communiquaient par téléphone voir par estafette. A partir de là t'as compris
Un lieutenant allemand face a un imprévu pouvait directement remonter l'information à son supérieur puis au QG par radio et recevoir une directive dans les deux heures. Le même exemple côté français c'etait une à deux journée
AYAAA, les socialistes des années 30 ont-ils une responsabilité concernant les budgets déversés à l'armée française durant cette période, notamment pour le développement des équipements etc ?
Bof le coup du SFIO qui aurait causé la défaite c'est un mythe. Les crédits de guerre ont énormément augmenté après 36, logique au vu de la situation géopolitique, d'ailleurs Pétain ira qualifier Blum de "va-t-en guerre"
Le gros problème il est plutôt doctrinal. D'ailleurs l'équipement on l'avait, la France avait beaucoup de tanks et d'avions dans l'ensemble d'une qualité équivalente à l'Allemagne. Le problème c'était l'utilisation qui en était faite, le manque de radio et de communication et combination inter-armes
Heu... Les Petainix ?? Une explication ?!
Le 12 septembre 2024 à 16:07:37 :
Le 12 septembre 2024 à 16:05:26 :
Le 12 septembre 2024 à 16:03:31 :
Le 12 septembre 2024 à 16:01:51 :
Le 12 septembre 2024 à 15:59:39 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:57:04 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:56:17 :
> >> Le 12 septembre 2024 à 15:53:00 :
> > >> Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
> > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
> > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
> > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
> > > > > > >Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuites
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > >
> > > > > > Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
> > > > >
> > > > > Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > >
> > > > > Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > >
> > > > Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
> > > > Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines batailles
> > > >
> > > > Parlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
> > >
> > > Napoleon III a déclaré une guerre qu’il savait déjà perdue, il y est allé à cause de la pression parlementaire mais il savait déjà que l’armée française avait 20 ans de retard en comparaison de l’armée Prussienne
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > >
> > > C’est bien lui qui a eu les couilles d’être personnellement présent à Sedan d’ailleurs, pendant ce temps certains se galvanisaient de leur nouvelles commune
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > >
> > > Y’a bien eu la Crimée, mais pour ce que ça vaut ahi
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > >
> > Pourtant Napoléon et les Goat qui l'entourait ont détruit l'armée prussienne au début de ce siècle, putain les prussiens ont du être tellement heureux de rentrer dans Paris en prenant leur revanche. Il y a t'il eu des débordements dans la capitale ?
>
> Les débordements c'était surtout en 1815 quand ils ont voulu faire exploser le pont Iéna
Désolé pour les fautes ayaaa.
Tu parles de quoi ? Les prussiens ont voulu faire exploser ce pont ?
Oui les Prussiens occupaient Paris avec les Russes et ils ont voulu faire sauter le point Iéna nommé après leur défaite
Au final les russes vont calmer le jeu et le pont sera renommé pour apaiser les Prussiens
AYAAA je ne savais pas, merci pour cette information
Les prussiens qui prennent le seum de Lena, ça ne m'étonnes pasça aurait été horrible de péter l'arc de triomphe
L'arc de triomphe était pas encore fini a ce moment là
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
> >et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
>
> AYAAAA je n'y crois pas
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Alors je connais pas l'auteur donc je me mefierais mais c'est clair que c'est pas blanc ou noir.
Après si l'armée et les doctrines sont organisées pour disperser les chars tu peux pas subitement les concentrer en divisions mécanisées, ça marche pas comme ça. La France a développé une doctrine et une organisation avec des chars dispersés en appui de l'infanterie, t'es donc limite obliger de les utiliser de cette façon
Pour l'arc de triomphe, je faisait plutôt référence à 1870, il me semble qu'il était bien terminé et que les prussiens ont re occupé Paris, car ils ont proclamé leur empire au château de Versailles.
Donc si je ne dit pas de conneries, c'est incroyable la chance d'avoir encore des batiments et monuments prestigieux de l'époque malgré 1815, 1870, la WW1 (bombardements ?) et l'occupation de la WW2
Ouais Paris a été épargné des conflits de ces deux derniers siècles, on peut pas en dire autant de Berlin
Le 12 septembre 2024 à 16:08:13 :
Le 12 septembre 2024 à 15:53:34 :
Le 12 septembre 2024 à 15:51:24 :
Le 12 septembre 2024 à 15:48:59 :
Le 12 septembre 2024 à 15:47:31 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:42:27 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:35:25 :
> >Des Jeans histoire ici ? Vraiment, c'est normal que notre état major a renié le risque des Ardennes malgré les multiples avertissements des belges ? Les arbres arrêtent les chars ?
>
> Oui l'idée c'est que les Ardennes et la Meuse étaient infranchissable pour des troupes mécanisées, on a vu ce que ça a donné. En même temps les décisionnaires côté français c'étaient tous des dinosaures avec 20ans de retard
>
> Après les généraux ont aussi sacrément merdé quand les allemands ont commencé à percer, notamment Huntzinger. Ils réagissent bien trop tard et ne prennent pas la menace au sérieux, ils n'engageront pas leurs réserves pourtant disponible
Oui j'ai lu cela, la majorité des historiens considèrent qu'ils étaient à la ramasse concernant la seconde guerre mondiale et les avancées technologiques, les généraux français étaient encore bloqué sur les modes opératoires de la 1ère, ça paraît dingue quand même avec le nombre d'espions et l'expérience française d'être resté bloqué comme cela
Non mais pendant la campagne de France les allemands ont intégré les radio à l'échelle de la compagnie. Les généraux français communiquaient par téléphone voir par estafette. A partir de là t'as compris
Un lieutenant allemand face a un imprévu pouvait directement remonter l'information à son supérieur puis au QG par radio et recevoir une directive dans les deux heures. Le même exemple côté français c'etait une à deux journée
AYAAA, les socialistes des années 30 ont-ils une responsabilité concernant les budgets déversés à l'armée française durant cette période, notamment pour le développement des équipements etc ?
Bof le coup du SFIO qui aurait causé la défaite c'est un mythe. Les crédits de guerre ont énormément augmenté après 36, logique au vu de la situation géopolitique, d'ailleurs Pétain ira qualifier Blum de "va-t-en guerre"
Le gros problème il est plutôt doctrinal. D'ailleurs l'équipement on l'avait, la France avait beaucoup de tanks et d'avions dans l'ensemble d'une qualité équivalente à l'Allemagne. Le problème c'était l'utilisation qui en était faite, le manque de radio et de communication et combination inter-armes
Heu... Les Petainix ?? Une explication ?!
Y'a beaucoup à dire sur Pétain même pendant la WW1, c'est pas blanc ou noir mais on est loin de l'image du héros de la WW1 qui provient de la propagande vichyste
Le 12 septembre 2024 à 16:09:52 :
Le 12 septembre 2024 à 16:07:37 :
Le 12 septembre 2024 à 16:05:26 :
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> Le 12 septembre 2024 à 15:59:39 :
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> >> Le 12 septembre 2024 à 15:56:17 :
> > >> Le 12 septembre 2024 à 15:53:00 :
> > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
> > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
> > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
> > > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
> > > > > > > >Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuites
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > > >
> > > > > > > Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
> > > > > >
> > > > > > Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > >
> > > > > > Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
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> > > > > Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
> > > > > Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines batailles
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> > > > > Parlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
> > > >
> > > > Napoleon III a déclaré une guerre qu’il savait déjà perdue, il y est allé à cause de la pression parlementaire mais il savait déjà que l’armée française avait 20 ans de retard en comparaison de l’armée Prussienne
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > > >
> > > > C’est bien lui qui a eu les couilles d’être personnellement présent à Sedan d’ailleurs, pendant ce temps certains se galvanisaient de leur nouvelles commune
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > > >
> > > > Y’a bien eu la Crimée, mais pour ce que ça vaut ahi
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> > > Pourtant Napoléon et les Goat qui l'entourait ont détruit l'armée prussienne au début de ce siècle, putain les prussiens ont du être tellement heureux de rentrer dans Paris en prenant leur revanche. Il y a t'il eu des débordements dans la capitale ?
> >
> > Les débordements c'était surtout en 1815 quand ils ont voulu faire exploser le pont Iéna
>
> Désolé pour les fautes ayaaa.
>
> Tu parles de quoi ? Les prussiens ont voulu faire exploser ce pont ?
Oui les Prussiens occupaient Paris avec les Russes et ils ont voulu faire sauter le point Iéna nommé après leur défaite
Au final les russes vont calmer le jeu et le pont sera renommé pour apaiser les Prussiens
AYAAA je ne savais pas, merci pour cette information
Les prussiens qui prennent le seum de Lena, ça ne m'étonnes pasça aurait été horrible de péter l'arc de triomphe
L'arc de triomphe était pas encore fini a ce moment là
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
> >> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
> > >et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
> >
> > AYAAAA je n'y crois pas
>
> https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
>
> De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Alors je connais pas l'auteur donc je me mefierais mais c'est clair que c'est pas blanc ou noir.
Après si l'armée et les doctrines sont organisées pour disperser les chars tu peux pas subitement les concentrer en divisions mécanisées, ça marche pas comme ça. La France a développé une doctrine et une organisation avec des chars dispersés en appui de l'infanterie, t'es donc limite obliger de les utiliser de cette façon
Pour l'arc de triomphe, je faisait plutôt référence à 1870, il me semble qu'il était bien terminé et que les prussiens ont re occupé Paris, car ils ont proclamé leur empire au château de Versailles.
Donc si je ne dit pas de conneries, c'est incroyable la chance d'avoir encore des batiments et monuments prestigieux de l'époque malgré 1815, 1870, la WW1 (bombardements ?) et l'occupation de la WW2
Ouais Paris a été épargné des conflits de ces deux derniers siècles, on peut pas en dire autant de Berlin
J'ai pensé à la même chose, je me demande si Berlin était aussi beau que Paris, en termes de monuments prestigieux etc. La WW2 a rayé de la carte cette ville
D'ailleurs pour avoir regardé Venner c'est un ancien de l'OAS (autant dire qu'il ne portait pas De Gaulle dans son cœur) et sa bibliographie est pour le moins... Particulière
Le 12 septembre 2024 à 16:11:40 :
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> Le 12 septembre 2024 à 16:01:51 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:59:39 :
> >> Le 12 septembre 2024 à 15:57:04 :
> > >> Le 12 septembre 2024 à 15:56:17 :
> > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:53:00 :
> > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
> > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
> > > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
> > > > > > > >> Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
> > > > > > > > >Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuites
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > > > >
> > > > > > > > Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
> > > > > > >
> > > > > > > Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > > >
> > > > > > > Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg > > > > > >
> > > > > > Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
> > > > > > Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines batailles
> > > > > >
> > > > > > Parlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
> > > > >
> > > > > Napoleon III a déclaré une guerre qu’il savait déjà perdue, il y est allé à cause de la pression parlementaire mais il savait déjà que l’armée française avait 20 ans de retard en comparaison de l’armée Prussienne
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > > > >
> > > > > C’est bien lui qui a eu les couilles d’être personnellement présent à Sedan d’ailleurs, pendant ce temps certains se galvanisaient de leur nouvelles commune
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > > > >
> > > > > Y’a bien eu la Crimée, mais pour ce que ça vaut ahi
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/37/4/1726148904-img-9617.jpeg > > > >
> > > > Pourtant Napoléon et les Goat qui l'entourait ont détruit l'armée prussienne au début de ce siècle, putain les prussiens ont du être tellement heureux de rentrer dans Paris en prenant leur revanche. Il y a t'il eu des débordements dans la capitale ?
> > >
> > > Les débordements c'était surtout en 1815 quand ils ont voulu faire exploser le pont Iéna
> >
> > Désolé pour les fautes ayaaa.
> >
> > Tu parles de quoi ? Les prussiens ont voulu faire exploser ce pont ?
>
> Oui les Prussiens occupaient Paris avec les Russes et ils ont voulu faire sauter le point Iéna nommé après leur défaite
>
> Au final les russes vont calmer le jeu et le pont sera renommé pour apaiser les Prussiens
AYAAA je ne savais pas, merci pour cette information
Les prussiens qui prennent le seum de Lena, ça ne m'étonnes pasça aurait été horrible de péter l'arc de triomphe
L'arc de triomphe était pas encore fini a ce moment là
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
> >> Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
> > >> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
> > > >et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
> > >
> > > AYAAAA je n'y crois pas
> >
> > https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
> >
> > De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
>
> Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png > Abbeville.
>
> L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
>
> Ordre de mission.
>
> Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
>
> Les forces allemandes.
>
> La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
>
> Les forces françaises.
>
> En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
>
> Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
>
> Échecs et tensions avec les subordonnés.
>
> "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
>
> Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
>
> "Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
>
> Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
>
> De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
>
> Bilan.
>
> En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
>
> De Gaulle se met au repos.
> Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.
(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Alors je connais pas l'auteur donc je me mefierais mais c'est clair que c'est pas blanc ou noir.
Après si l'armée et les doctrines sont organisées pour disperser les chars tu peux pas subitement les concentrer en divisions mécanisées, ça marche pas comme ça. La France a développé une doctrine et une organisation avec des chars dispersés en appui de l'infanterie, t'es donc limite obliger de les utiliser de cette façon
Pour l'arc de triomphe, je faisait plutôt référence à 1870, il me semble qu'il était bien terminé et que les prussiens ont re occupé Paris, car ils ont proclamé leur empire au château de Versailles.
Donc si je ne dit pas de conneries, c'est incroyable la chance d'avoir encore des batiments et monuments prestigieux de l'époque malgré 1815, 1870, la WW1 (bombardements ?) et l'occupation de la WW2
Ouais Paris a été épargné des conflits de ces deux derniers siècles, on peut pas en dire autant de Berlin
J'ai pensé à la même chose, je me demande si Berlin était aussi beau que Paris, en termes de monuments prestigieux etc. La WW2 a rayé de la carte cette ville
Certaines villes comme Berlin où Varsovie t'as presque aucun vestige de la ville pré-ww2
Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuiteshttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines bataillesParlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
Non la 1ère guerre mondiale ça marchait très bien cette stratégie, ça réellement détruit l'allemagne sans avoir à faire de grande manoeuvres
Qui ça ?
Le 12 septembre 2024 à 16:12:24 :
D'ailleurs pour avoir regardé Venner c'est un ancien de l'OAS (autant dire qu'il ne portait pas De Gaulle dans son cœur) et sa bibliographie est pour le moins... Particulière
L'OAS, les pro Algérie Française, ayaa mais la France des années 60 je me couperait un bras pour vivre à cette époque, voir les gaullistes dans les rues
C'est qui ?
Le 12 septembre 2024 à 16:14:02 :
Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuiteshttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines bataillesParlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
Non la 1ère guerre mondiale ça marchait très bien cette stratégie, ça réellement détruit l'allemagne sans avoir à faire de grande manoeuvres
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png
Je ne suis pas sur, tu enlèves l'enlisement de l'armée allemande sur le front de l'est avant le traité de paix entre eux, et les millions d'alliés qui ont débarqué en France, donc un seul 1V1 France Allemagne dès le début du conflit, je ne donne pas cher de notre pays, après c'est mon ressentit ayaa
Bizarre, j'avais souvenir que le plan Allemand saisi en Belgique suite à un atterrissage forcé n'était pas celui qui sera appliqué, et que justement la fuite de ce plan pousse les Allemand à retarder leur offensive et à mettre au point un plan alternatif reportant l'effort principal sur les Ardennes.
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.AYAAAA je n'y crois pas
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Ahii je voulais bien y croire mais source Dominique Venner fréroENT
ça invalide tout
Le 12 septembre 2024 à 16:16:28 :
Bizarre, j'avais souvenir que le plan Allemand saisi en Belgique suite à un atterrissage forcé n'était pas celui qui sera appliqué, et que justement la fuite de ce plan pousse les Allemand à retarder leur offensive et à mettre au point un plan alternatif reportant l'effort principal sur les Ardennes.
Je crois que c'est bien Fall Gelb qui va fuiter mais je suis pas certain
Le 12 septembre 2024 à 16:17:18 :
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
>et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
AYAAAA je n'y crois pas
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Ahii je voulais bien y croire mais source Dominique Venner fréroENT
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png
ça invalide touthttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png
Ok le golemus gauchiste
Le 12 septembre 2024 à 16:18:58 :
Le 12 septembre 2024 à 16:17:18 :
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
> >et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
>
> AYAAAA je n'y crois pas
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Ahii je voulais bien y croire mais source Dominique Venner fréroENT
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ça invalide touthttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png Ok le golemus gauchiste
Golem
Le 12 septembre 2024 à 16:18:58 :
Le 12 septembre 2024 à 16:17:18 :
Le 12 septembre 2024 à 16:01:48 :
Le 12 septembre 2024 à 15:50:01 :
Le 12 septembre 2024 à 15:44:15 :
> Le 12 septembre 2024 à 15:41:24 :
>> Le 12 septembre 2024 à 15:37:47 :
> >et encore c'est loin des seules alertes envoyé à l'état major, notamment de gaule qui avait fait un bouquin ou il disait que c'était facile pour les tank allemand de traversé les ardennes.
>
> AYAAAA je n'y crois pas
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Vers_l%27arm%C3%A9e_de_m%C3%A9tier
De Gaulle est l'un des rares en France a avoir compris la guerre moderne, là où en Allemagne et en URSS ça a été vite intégré en France ça a été rejeté en bloc
Bordel De Gaulle le goat
Maintenant une petite dose de réalité à propos de l'indéniable goat de la prestidigitation
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/36/4/1631215379-angela-merkel-cheveux-akatsuki-fartatou-couleur.png Abbeville.
L'affaire d'Abbeville, les biographes s'y sont peu attardés. Elle est pourtant connue avec précision depuis l'étude rigoureuse et documentée qu'Henri de Wailly a consacrée à la bataille qui s'est déroulée pendant trois jours, les 28, 29 et 30 mai 1940. Une bataille oubliée par les livres d'histoire, sans doute parce que ce fut une bataille perdue. Du côté franco-britannique, Abbeville a pourtant été le théâtre d'une des plus grosses concentrations de chars de la campagne. Un homme a dirigé l'un des épisodes de cette bataille, le général de Gaulle. Faute d'avoir su manoeuvrer, malgré son courage et son acharnement, il a échoué.
Ordre de mission.
Abbeville avait été conquise par l'offensive audacieuse de Guderian. Le 28 mai, de Gaulle, dont la 4e DCR a été reconstituée, reçoit mission de reprendre ce noeud de communications capital sur lequel la 1re division blindée britannique vient déjà de se casser les dents. Le but est de couper Guderian de ses arrières et de ses approvisionnements (carburants, munitions, etc.), en attendant de la détruire.
Les forces allemandes.
La ville n'est défendue, au prix de lourdes pertes, que par un régiment d'infanterie bavarois. Celui n'a pas un seul char et ne dispose d'aucune couverture aérienne, tous les Stukas étant jetés sur Dunkerque. En dehors de son armement d'infanterie, le régiment bénéficie toutefois d'un roupe de huit canons antiaériens Flak de 88mm qui seront remarquablement utilisés en tir horizontal par le lieutenant-colonel Wolf, commandant la Flak 64, et vrai vainqueur de cette bataille.
Les forces françaises.
En face, le général de Gaulle dispose d'une supériorité écrasante. Que l'on en juge : 187 chars modernes de la 4e DCR, dont 33 chars lourds B1/Bis, les plus imposants et les mieux protégés de l'époque. La DCR compte également six bataillons d'infanterie. Elle est renforcée par deux régiments de la 4e DLM (division légère mécanique), il est vrai en piteux état. Deux divisions légères de cavalerie motorisée (la 5e et la 2e DLC) lui sont subordonnées. Environ 20 000 combattants français sont engagés dans l'attaque d'Abbeville. À la tête de cette force, de Gaulle n'est soumis à aucun supérieur pour conduire l'action, et il a l'oreille du chef du gouvernement.
Pendant trois jours, de Gaulle livre une bataille en contradiction complète avec ses écrits. À la façon des généraux de 1918, il utilise les chars en appui de l'infanterie, les dispersant par petits paquets, expédiant ses fantassins devant les blindés sur des glacis meurtriers battus par le feu adverse.
Échecs et tensions avec les subordonnés.
"Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne".
Avec ses subordonnés qu'il insulte parfois publiquement, il se montre arrogant, impérieux, fermé aux objections. Vieil officier d'une trempe exceptionnelle le chef de bataillon Bertrand, commandant le 4e bataillon de chasseurs à pied, ne se laissera pas faire. Ses chasseurs obtiendront le seuls succès français de cette bataille, capturant en deux jours 250 fantassins allemands (et non pas 500 comme il est dit dans les Mémoires de guerre [de De Gaulle]). Alors que de Gaulle croit devoir le stimuler en lui faisant miroiter une décoration s'il s'empare d'un village, Bertrand réplique : "Merci, Mon Général, mais je ne suis pas un âne : la carotte est superflue, je ferai mon devoir". Le dialogue n'ira pas plus loin.
"Le plan appliqué amènera au même échec que la veille."
Au troisième jour de la bataille, le 30 mai, alors que ses unités ont été durement étrillées en pure perte au cours des journées précédentes, le général de Gaulle a donné ses ordres pour reprendre l'attaque comme la veille. Au cours d'une brève conférence de liaison, intervient le général Chanoine qui commande la 5e DLC. Il a écouté le plan exposé par le chef d'état-major du général de Gaulle. Cavalier formé à la manoeuvre, il n'approuve pas. Il le dit. Le capitaine Le Corbeiller témoignera : "le général Chanoine fit une observation très pertinente. Le plan appliqué contre un ennemi ayant bien préparé ses couverts et connaissant les hausses à appliquer, amènera au même échec que la veille. Il suggère donc de modifier l'axe d'attaque : au lieu d'attaquer le point fort de l'ennemi, il propose de le déborder. On progressera ainsi hors des vues de l'ennemi, qui sera à la fois isolé et obligé de modifier ses plans de feu. on coupera de la sorte la tête de pont à sa racine".
De Gaulle n'a encore rien dit. Ayant écouté Chanoine, il répond d'un mot, écartant toute discussion : "Mon général, mes ordres sont donnés : je n'y changerai rien". Tous les officiers présents sont atterrés. Le plan sera donc appliqué. Et comme les jours précédents, il échouera au prix de de grosses pertes et beaucoup de sang.
Bilan.
En trois jours, sur 187 chars, la DCR en a perdu 111 et elle atteint la limite de l'épuisement. Le lendemain, au vu de ces brillants résultats, le général Altmayer, chef de la Xe armée, suspend jusqu'à nouvel ordre l'attaque sur Abbeville.
De Gaulle se met au repos.
Par la magie de son imagination et de son verbe, le fiasco d'Abbeville se transforme en grand succès. Se félicitant d'avoir provisoirement "conquis" quelques kilomètres de prairies sans utilité militaire, il écrit dans ses mémoires de guerre : "Nous n'avons pu liquider entièrement la tête de pont d'Abbeville". Admirable ! La position allemande n'a pas même été écornée.(De Gaulle, la grandeur et le néant, Dominique Venner)
Ahii je voulais bien y croire mais source Dominique Venner fréroENT
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png
ça invalide touthttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png Ok le golemus gauchiste
ça me fait marrer parce que j'ai des autocollants de Dominique Venner dans mon placard qui proviennent de groupes pas légaux en france
Exa comme dit plus haut
Pétain n’avait absolument aucune fonction avant l’armistice votée par la majorité des députés français
Il était à la retraite je ne vois pas pour tu le cites l’op ??
Le 12 septembre 2024 à 16:14:02 :
Le 12 septembre 2024 à 15:43:10 :
Le 12 septembre 2024 à 15:37:18 :
Le 12 septembre 2024 à 15:33:40 :
Le 12 septembre 2024 à 15:30:52 :
Il me semble que Pétain était à la retraite à ce moment là, pour être rappelé en urgence par les republicucks quand les carottes étaient déjà cuiteshttps://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Oui j'ai pensé à la même chose en lisant l'article, il était pas ambassadeur en espagne ou quelque chose comme ça ? Je pense donc que Gamelin est l'un des seuls responsables de la non prise en compte du danger des Ardennes malgré les avertissements de nos frères belges
Si il n’y avait que ça, chaque décision avant et pendant la campagne de France était une catastrophe
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Mais non, l’immobilisme faisant suite sabotage parlementaire depuis 10 ans nous aura tout coûté
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/33/5/1723813844-full-1.jpg Incroyable, l'armée française a été commandé par des incapables, est-ce toujours le cas aujourd'hui ?
Même en regardant 14-18, la politique des "assauts interminables" de Joffre, c'est juste de la folie le nombre de perte française pour quelques km2 concernant certaines bataillesParlons aussi de Sedan en 1870, sur le papier notre armée n'a pas rayonné depuis Waterloo
Non la 1ère guerre mondiale ça marchait très bien cette stratégie, ça réellement détruit l'allemagne sans avoir à faire de grande manoeuvres
https://image.noelshack.com/fichiers/2023/28/3/1689179692-ent.png
« Sans avoir à faire » quand le conflit ne relève plus d’une guerre de mouvement mais de position involontaire.
Ça ne peut que très bien fonctionner d’épuiser un ennemi sous embargo en balançant quotidiennement la jeunesse du pays dans cette boucherie, et encore Joffre c’était au début du conflit ce gros déchet qui n’avait aucune valeur pour la vie humaine
Stratégie top produit
Sous le féodalisme ce n’était pas le tiers état qui allait crever pour les guerres de la noblesse