je m'appuie sur des livres et études qui en parlent, je savais même pas que Delavier partageait cet avis
Nos ancêtres ont toujours su que la sexualité libre conduirait à un mauvais résultat pour tout le monde.
Dans notre orgueil démesuré, nous avons décidé que nous savions mieux et nous avons lancé une expérience dont nous payons les conséquences aujourd'hui...
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determinous2
5 janvier 2023 à 19:57:29
L'homme est une espèce naturellement polygyne. Les comparaisons entre l'ADN Y hérité paternellement et l'ADN M maternel montrent une divergence de la diversité génétique telle que pour un mâle, 17 femelles se sont reproduites.
Bien entendu, une sélection masculine aussi brutale a pour conséquence une compétitivité et une violence élevées chez les hommes. C'est la raison pour laquelle nous avons évolué vers un dimorphisme sexuel entre les sexes. Chez d'autres espèces, plus le dimorphisme est élevé, moins elles sont monogames.
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determinous2
5 janvier 2023 à 19:58:05
L'idée géniale d'imposer la monogamie chez les humains a conduit à un appariement des sexes dans un rapport de 1:1, libérant ainsi une énorme quantité de ressources masculines auparavant consacrées aux querelles intestines, un exploit pour la construction de la civilisation.
Aujourd'hui, la monogamie est devenue facultative, voire dissuasive, ce qui constitue un retour en arrière.
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determinous2
5 janvier 2023 à 19:58:30
Nous revenons donc à l'époque d'un homme pour 17 femmes, mais comme nous avons des lois contre le meurtre et le viol, et que l'État prend en charge les mères célibataires, nous avons, en Occident, pratiquement désactivé la sélection naturelle. Ce qui nous laisse la sélection sexuelle comme facteur de distinction.
C'est pourquoi les traits masculins les plus importants sont désormais en grande partie génétiques : Un grand squelette (taille, carrure), des os crânio-faciaux robustes/esthétiques (mâchoire, crête orbitale, visage), des cheveux fournis, une barbe, etc.
Les femmes sélectionnent en fait l'homme des cavernes le plus fort, sans qu'il y ait de combat réel.
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determinous2
5 janvier 2023 à 19:59:00
Les mâles de moindre valeur génétique sont donc contraints de devenir suicidaires, homosexuels, transsexuels, homicides, bêtas bluepill ou cuck, toutes choses qui se manifestent chez les mâles beaucoup plus souvent que chez les femelles.
Une grande partie de ce que nous voyons aujourd'hui est une conséquence inévitable des incitations mises en place au cours des dernières décennies.
Si nous continuons sur cette voie, il est clair que, sans récompenser le mâle soumis par la procréation, la civilisation ne pourra être maintenue et nous reviendrons à un état plus primitif de l'humanité.
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determinous2
5 janvier 2023 à 19:59:17
Alors que le féminisme prétend lutter contre la toxicité masculine, il l'encourage en réalité. Après tout, si on leur donne le libre choix, les femmes choisiront le plus méchant, le plus mauvais et le plus dominant. Pas étonnant que 50 nuances de Grey soit le livre le plus vendu de l'histoire du Royaume-Uni.
En revanche, la monogamie apaise la "toxicité" masculine et conduit, appliquée par conséquent sur de longues périodes, à une diminution du dimorphisme sexuel.
La monogamie était en fait une idée progressiste.