Le 01 novembre 2023 à 16:45:05 :
Politiques malgré eux ?
Malheureusement, peu de groupes de ce genre sont conscients d'être ce qu'ils sont. Certains le sont sans aucun doute, d'autres laissent planer le doute, mais la plupart ont l'air un peu déconnecté de ces questions identitaires, tandis que d'autres tombent dans le confortable discours bien-pensant. De mon point de vue, cela ne change rien. Comme je le dis souvent, le monde est plein de fascistes qui s'ignorent et l'effet sur l'inconscient collectif de nos mythes fondateurs dépasse les questions d'un engagement politique.
Le rôle paradoxale du Black Metal.
En revanche, d'autres semblent être, au moins dans le parti-pris esthétique, parfaitement de notre bord. Vous avez peut-être remarqué qu'il existe un sous-genre du Metal qui flirte parfois avec certaines idéologies « extrêmes », au moins d'un point de vue esthétique ; il s'agit du Black Metal. Le Black Metal est aussi un sous-genre du Metal, il est en quelques sortes son dérivé le plus extrême et le plus sombre. Conceptuellement, on peut imaginer qu'il s'agisse du reflet antagoniste du Heavy Metal. Le « Black » se divise lui-aussi en d’innombrables sous-genres parfois très différents, c'est pour cela qu'il est difficile de parler de ces musiques ou de s'en faire un avis si on n'en connaît pas à fond toutes les subtilités. Certains courants du Black Metal nous livrent aussi des thèmes épiques et une vision enracinée, parfois très inspirée, y compris dans la composition et les arrangements, par la musique folklorique. Malheureusement, ce courant est pollué par une mentalité puérile de provocation et d'égocentrisme.
Une provocation immature qui exploite des thèmes macabres, les plus malsains et graveleux. Une musique d'anti-bourgeois ? Très bien, si cela n'était pas doublé d'ignorance et d'immaturité, trahie par des provocations sur des thèmes historiques et politiques très mal compris et très mal connus.
Le grand défaut du Black Metal à mes yeux (et à mes oreilles) reste son aspect décadent qui le discrédite parfaitement, surtout lorsqu'il se pare d'un décorum inspiré du National-Socialisme ou autre Fascisme européen.
De plus, de part ses tempos ultra-rapides, ses sonorités agressives, ses voix hurlées et son goût pour les enregistrements mal produits, cette musique est vouée à ne pas sortir de sa cave, ce qui arrange certains de ses aficionados « élitistes ». Un immense regret donc, pour une musique difficile d'accès et souvent puérile mais qui est indéniablement non dénuée d’intérêt et parfois de talent.
Le paradoxe, c'est que le milieu fermé du Black Metal fournit celui du militantisme patriote français depuis des années. Les transfuges en France sont en effet nombreux.
La victoire du Heavy.
Rien n'a pu empêcher à cette musique de se répandre auprès d'une population aryenne saine et équilibrée. Touchant bien au-delà du milieu des passionnés, et ce partout dans le monde.
En France le Heavy Metal est totalement inconnu dû au remplacement massif de la population française par des peuples africains et moyen-orientaux. Avec le système de propagande étatique mis en place en corrélation avec l'invasion du pays, la France empêche aux artistes de vivre de leurs musiques s'ils ne sont pas sponsorisés par l'état ; il n'existe donc en France que peu de groupes et ce petit milieu est rongé par le gauchisme "artistique" typiquement français.
Culturellement très encrée en Europe et dans les Amériques, cette musique est jouée par des musiciens de talent possédant une grande maîtrise technique.
Mainstream dans tous les pays à majorité raciale blanche et restés culturellement blancs, il existe même dans les pays scandinaves des groupes de Heavy Metal pour enfants.
La recherche d'une qualité sonore optimale, le soin d'apporter un concept fort à une musique puissante, en a fait la musique emblématique de notre RACE.
Sorti de France, ce n'est ni le punk à croix Celtique, ni le Black Metal de chambre à gaz qui nous incarne, mais bien le Heavy Metal moderne, dans sa forme mélodique et épique, aérienne et grandiose.