BranteDeNantes
2023-07-15 13:40:06
Petit rappel historique de comment la population européenne a été décimée puis grand remplacée:
Dans les années 20-30, l'Europe était sur le point de devenir communiste. On aurait eu une hyper natalité comme en Chine ou URSS, et aujourd'hui on serait environ 1 milliard d'européens de souche et 300 millions d'européens en Afriquehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649496482-qsdhhq.png
À la place, on a eu l'extrême droite, le fascisme, franco, hitler, la 2nd guerre mondiale, des millions de travailleurs européens exterminés sur le front et dans des fours. Puis après guerre la bourgeoisie de droite qui fait venir des millions de travailleurs africains pour compenserhttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649496482-qsdhhq.png
Ça fait rager quand on y pensehttps://image.noelshack.com/fichiers/2022/14/6/1649496482-qsdhhq.png
Hobbeservateur
2023-07-16 09:07:04
Le 15 juillet 2023 Ă 09:31:14 :
Du coup quels enfants on garde? Et qui décide???...
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png
Kalergi en avait une certaine idée
https://image.noelshack.com/fichiers/2021/43/4/1635454847-elton-john-tison-golem.png
En 1925, dans son livre Idéalisme pratique (Praktischer Idealismus)[8], qui parle notamment de la façon de garantir la paix en Europe, et de la façon dont la science peut améliorer la condition humaine, il imagine le métissage des peuples européens du futur. Il écrit : « La race du futur, négroïdo-eurasienne, d’apparence semblable à celle de l'Égypte ancienne, remplacera la multiplicité des peuples par une multiplicité des personnalités. »[9].
Kalergi essentialise les individus en deux catégories opposés (l'humain de la ville et l'humain des campagnes). Il en attribue des personnalités et des traits de caractères psychologiques, l'humain rustique serait émotionnel, croyant, superstitieux, et conservateur, comme la nature ; tandis que l'humain citadin serait rationnel, sceptique, incroyant et progressiste, comme la société. Il affirme également que « l'humain rustique est majoritairement un produit de la consanguinité, l'humain urbain un métissage[10] ». Il poursuit en substance que « les traits essentiels qui résultent de cette consanguinité sont : la fidélité, la piété, le sens de la famille, l'esprit de caste, la constance, l'obstination, l'énergie, la limitation ; la puissance des préjugés, le manque d’objectivité, l'étroitesse d'horizon[10] ». De la même façon, Kalergi associe aux personnes métis les préjugés suivants : « les métis allient souvent l’absence de caractère, l’absence d’inhibitions, la faiblesse de la volonté, l’inconstance, l’impiété et l’infidélité avec l’objectivité, la polyvalence, la vivacité spirituelle, l’absence de préjugés et l’ouverture d’horizon »[10].
Au-dessus du peuple, il prône la création d'une élite fondée sur un eugénisme[11] fait par des unions amoureuses libres (qu'il appelle « lois divines de l'eugénisme érotique ») : « Seule sera libre l’alliance des hommes les plus nobles avec les femmes les plus nobles, et inversement, les personnes de valeur moindre devront se satisfaire de personnes de valeur moindre […] La nouvelle noblesse de reproduction du futur n’émergera donc pas des normes artificielles de la culture de castes humaine, mais plutôt des lois divines de l’eugénisme érotique. Le classement naturel de la perfection humaine remplacera le classement artificiel du féodalisme et du capitalisme. »[11].
La noblesse eugénique qu'il imagine s'appuie sur une caste selon lui déjà « purifiée de tous ses éléments faibles en volonté et pauvres en esprit »[11]. Il affirme : « De l’européenne humanité de quantité, qui ne croit qu’au chiffre, qu’à la masse, se distinguent deux races de qualité : la noblesse de sang et le judaïsme. Séparées l’une de l’autre, chacune demeure fixement rivée à sa croyance en sa plus haute mission, en son meilleur sang, en une différence de rang humaine. Dans ces deux races avantagées hétérogènes réside le noyau de la noblesse européenne du futur. »[11]
Il encourage la noblesse féodale, de sang, (dont il faisait partie) à devenir une « nouvelle race noble internationale et intersociale de demain » qui reposera « sur la qualité : sur la valeur personnelle, la perfection personnelle ; sur l’accomplissement du corps, de l’âme, de l’esprit ».
Selon lui, « le socialisme, qui a commencé par l’abolition de la noblesse et par le nivellement de l’humanité, culminera dans la production de la noblesse, dans la différentiation de l’humanité » entre un peuple métissé et une élite sélectionnée par eugénisme[8], et prédit donc que le communisme n'arrivera pas à atteindre son but d'égalité entre les classes.