EELV était content de Fukushima

Cas-Roussel
2023-05-14 12:16:16

Le 14 mai 2023 à 12:00:15 :

Le 14 mai 2023 à 11:58:12 :

Le 14 mai 2023 à 11:57:19 :

Le 14 mai 2023 à 11:56:23 :

Le 14 mai 2023 à 11:54:45 :
"catastrophes écologiques dont on sait qu'il y en aura de plus en plus"

Ah oui mais ce sont vraiment des religieux

Oui le réchauffement climatique augmente le risque de séisme faut croire :)

:) :) :)

Ils ne savent plus quoi inventer :)

Et puis j'avais oublié que la France se tapait un tsunami par an :)

Complètement stupide comme raccourçis.

Les typhons et les inondations sont des catastrophes écologiques qui sont en augmentation.

Les fameux typhons de Normandie
Ou les ouragans de l'Ariège

Y a pas que la France dans le monde l'ahurax. Par ailleurs la France est touchée par les inondations.

L'écologie doit s'inscrire dans une gouvernance internationale car il s'agit d'un enjeux qui concerne le monde entier, et l'empreinte carbone du chinois affecte aussi bien le chinois que le Français et l'Haïtien.

Bah voyons, la fameuse gouvernance mondiale, pour être dirigé en raison de situation locale en chine :)
Ainsi vous aurez les pleins pouvoirs :)

Vous donner ce sujet permet de vous donner une dimension mondiale de citoyen du monde, jonglant avec les évènements pour entretenir ce discours et vendre votre régime :)

COUSINED____-
2023-05-14 12:18:30

Les séismes et tsunamis sont provoqués par le réchauffement climatique maintenant. BTG?

Cas-Roussel
2023-05-14 12:18:38

Et surtout, le plus important ; c'est le système économique dans son ensemble qui doit être repensé, lequel ne doit plus reposer sur une consommation effrénée et infinie qui s'opère au détriment de la nature et du vivant. Ce qui suppose de baisser la consommation à l'échelle individuelle et collective.

Vous n'aurez rien :)

Faut donc vivre comme après une catastrophe pour éviter des catastrophes

veaux-francais
2023-05-14 12:18:40

Le 14 mai 2023 à 12:07:21 :
Oui, le nucléaire pose de sérieux problèmes - généralement totalement éludés par les pro nucléaires - en termes de gestion des déchets, de coût, de maintenance, de vulnérabilité militaire, de risque accidentel. D’ailleurs, Jancovici ne les nie pas : il les relativise. Donc même s'il les relativise, ces risques existent.

De plus, s'agissant des déchets, on constate empiriquement qu'il y a eu des graves incidents sur chaque site de stockage des déchets dans les pays développés (Allemagne, Finlande, USA). En France, on prévoit de stocker les déchets dans un granit certes imperméable mais... Qui explose au contact du feu. Ce qui est très problématique s'agissant des déchets HA, qui sont instables et inflammables. En 2014, aux États-Unis, des déchets radioactifs ont pris feu, libérés des radioéléments et contaminés des employés. Dans tous les cas, l'accumulation infinie de déchets - dont certains sont radioactifs sur des centaines de milliers d'années - n'est pas souhaitable.

S'agissant du risque militaire, Jancovici n'évoque pas celui d'une attaque militaire qui anéantirait les refroidisseurs (voire les enceintes de confinement) et qui provoquerait une fuite de radionucléides au-delà de la centrale. Le patron de l'AIEA alerte chaque mois sur un tel risque pour la centrale de Zaporijia en Ukraine depuis le début de la guerre. Donc non, le seul risque n'est pas celui d'une simple fusion du coeur avec le corium qui resterait au fond de la centrale.

Enfin, sur le risque d'accident. On ne peut par nature jamais prédire avec exactitude tous les scénarios possibles. Il n'évoque - à nouveau - que celui d'une fusion du coeur et du chorium qui resterait sagement au fond de la centrale. Si absolument aucune fuite de radionucléides dans l'air n'était possible, l'Etat ne distribuerait pas des comprimés d'iode dans les zones PPI (20km autour des centrales). Bien sûr je reste confiant envers les ingénieurs français et j'estime le risque d'accident très peu probable. Pour autant, la France étant le pays le plus nucléarisé au monde (!), avec le + de centrales au prorata de la population, et certaines centrales vieillissantes, on ne peut pas totalement éluder ce risque. Encore une fois, empiriquement, il y a eu six accidents nucléaires en France liés à des centrales : Marcoule (1959 et 1956), Saint-Laurent-des-Eaux (1969 et 1980), La Hague (1981) et Blayais (1999), certes d'une gravité moyenne (morts et contaminés limités aux employés).

Jancovici reste toujours intéressant à écouter. Je note cependant le changement de récit dans l'opinion publique en faveur du nucléaire. A mon sens ce changement de récit s'explique par le vertige qui frappe chacun des citoyens face à la baisse de la croissance, de la consommation et de la production, qui s'impose à nous - que nous le voulions ou non - alors que nous souhaitons conserver le modèle actuel à tout prix. Autrement dit tout le monde veut pouvoir continuer à consommer à outrance (mcdo, zara, croisières, hypermarchés etc), malgré la diminution inéluctable des ressources et des matières premières (ce dont Jancovici concède d’ailleurs tout-à-fait). Nous sommes trop habitués au confort de la société de consommation depuis les années 60.

C'est dans ce contexte que le nucléaire nous apparaît comme une sorte de sauveur messianique, de solution miracle, qui nous offre l'illusion rassurante selon laquelle le maintien de notre niveau de consommation actuel est possible grâce à lui. D'où un tel changement de récit, qui s'inscrit dans le fond dans une peur de perdre le confort dans lequel on baigne depuis 60 ans, et qui s'accompagne parfois d'une forme de condescendance exprimée à l'égard de ceux qui demeurent critiques envers le nucléaire.

En réalité, le nucléaire ne nous sauvera pas de la diminution des ressources : au contraire il nous incitera à toujours plus sur-consommer, à maintenir un niveau de productivité élevé avec une économie qui repose sur une croissance infinie (l'illusion), dans un monde où toutes les ressources naturelles sont quant à elles finies et dans une économie qui devient nécessairement stationnaire (la réalité).

En conclusion, oui au nucléaire comme solution à court terme pour opérer la transition énergétique. Non au nucléaire comme une fin en soi. Oui à la transition énergétique comme solution à moyen et long terme, avec du R&D, pour trouver des alternatives véritablement propres et durables au nucléaire, et améliorer l'hydraulique, l'éolien, le solaire, etc. Et surtout, le plus important ; c'est le système économique dans son ensemble qui doit être repensé, lequel ne doit plus reposer sur une consommation effrénée et infinie qui s'opère au détriment de la nature et du vivant. Ce qui suppose de baisser la consommation à l'échelle individuelle et collective.

https://image.noelshack.com/fichiers/2023/19/2/1683629600-ellie-flingue.png

No-Crypto
2023-05-14 12:20:18

Le 14 mai 2023 à 12:07:21 :
Oui, le nucléaire pose de sérieux problèmes - généralement totalement éludés par les pro nucléaires - en termes de gestion des déchets, de coût, de maintenance, de vulnérabilité militaire, de risque accidentel. D’ailleurs, Jancovici ne les nie pas : il les relativise. Donc même s'il les relativise, ces risques existent.

De plus, s'agissant des déchets, on constate empiriquement qu'il y a eu des graves incidents sur chaque site de stockage des déchets dans les pays développés (Allemagne, Finlande, USA). En France, on prévoit de stocker les déchets dans un granit certes imperméable mais... Qui explose au contact du feu. Ce qui est très problématique s'agissant des déchets HA, qui sont instables et inflammables. En 2014, aux États-Unis, des déchets radioactifs ont pris feu, libérés des radioéléments et contaminés des employés. Dans tous les cas, l'accumulation infinie de déchets - dont certains sont radioactifs sur des centaines de milliers d'années - n'est pas souhaitable.

S'agissant du risque militaire, Jancovici n'évoque pas celui d'une attaque militaire qui anéantirait les refroidisseurs (voire les enceintes de confinement) et qui provoquerait une fuite de radionucléides au-delà de la centrale. Le patron de l'AIEA alerte chaque mois sur un tel risque pour la centrale de Zaporijia en Ukraine depuis le début de la guerre. Donc non, le seul risque n'est pas celui d'une simple fusion du coeur avec le corium qui resterait au fond de la centrale.

Enfin, sur le risque d'accident. On ne peut par nature jamais prédire avec exactitude tous les scénarios possibles. Il n'évoque - à nouveau - que celui d'une fusion du coeur et du chorium qui resterait sagement au fond de la centrale. Si absolument aucune fuite de radionucléides dans l'air n'était possible, l'Etat ne distribuerait pas des comprimés d'iode dans les zones PPI (20km autour des centrales). Bien sûr je reste confiant envers les ingénieurs français et j'estime le risque d'accident très peu probable. Pour autant, la France étant le pays le plus nucléarisé au monde (!), avec le + de centrales au prorata de la population, et certaines centrales vieillissantes, on ne peut pas totalement éluder ce risque. Encore une fois, empiriquement, il y a eu six accidents nucléaires en France liés à des centrales : Marcoule (1959 et 1956), Saint-Laurent-des-Eaux (1969 et 1980), La Hague (1981) et Blayais (1999), certes d'une gravité moyenne (morts et contaminés limités aux employés).

Jancovici reste toujours intéressant à écouter. Je note cependant le changement de récit dans l'opinion publique en faveur du nucléaire. A mon sens ce changement de récit s'explique par le vertige qui frappe chacun des citoyens face à la baisse de la croissance, de la consommation et de la production, qui s'impose à nous - que nous le voulions ou non - alors que nous souhaitons conserver le modèle actuel à tout prix. Autrement dit tout le monde veut pouvoir continuer à consommer à outrance (mcdo, zara, croisières, hypermarchés etc), malgré la diminution inéluctable des ressources et des matières premières (ce dont Jancovici concède d’ailleurs tout-à-fait). Nous sommes trop habitués au confort de la société de consommation depuis les années 60.

C'est dans ce contexte que le nucléaire nous apparaît comme une sorte de sauveur messianique, de solution miracle, qui nous offre l'illusion rassurante selon laquelle le maintien de notre niveau de consommation actuel est possible grâce à lui. D'où un tel changement de récit, qui s'inscrit dans le fond dans une peur de perdre le confort dans lequel on baigne depuis 60 ans, et qui s'accompagne parfois d'une forme de condescendance exprimée à l'égard de ceux qui demeurent critiques envers le nucléaire.

En réalité, le nucléaire ne nous sauvera pas de la diminution des ressources : au contraire il nous incitera à toujours plus sur-consommer, à maintenir un niveau de productivité élevé avec une économie qui repose sur une croissance infinie (l'illusion), dans un monde où toutes les ressources naturelles sont quant à elles finies et dans une économie qui devient nécessairement stationnaire (la réalité).

En conclusion, oui au nucléaire comme solution à court terme pour opérer la transition énergétique. Non au nucléaire comme une fin en soi. Oui à la transition énergétique comme solution à moyen et long terme, avec du R&D, pour trouver des alternatives véritablement propres et durables au nucléaire, et améliorer l'hydraulique, l'éolien, le solaire, etc. Et surtout, le plus important ; c'est le système économique dans son ensemble qui doit être repensé, lequel ne doit plus reposer sur une consommation effrénée et infinie qui s'opère au détriment de la nature et du vivant. Ce qui suppose de baisser la consommation à l'échelle individuelle et collective.

Ultra propre ce message, tu as tué le game.

Cas-Roussel
2023-05-14 12:21:55

Le mec nous parle de risque de guerre, tout en soulignant que ça fait un an que plusieurs centrales sont dans des zones de conflit depuis un an sans problème.

Alors même qu'une attaque sur notre sol est impensable du fait même de la nature des conséquences, de la riposte au nuage engendré.

Il invoque le cas des déchets en oubliant que les 9/10 sont des trucs ayant été vaguement exposé aux radiations et a la demi vie courte, avec 150 étapes ultra pontilleuses et des contrôles.

Il invoque des accidents qui peuvent se produire pour tout et n'importe quoi par définition.

Enfin son vrai but apparaît quand il décrète qu'on doit tout changer pour pas embêter la nature

Bakhmout1
2023-05-14 12:25:07

Le 14 mai 2023 à 12:18:38 :

Et surtout, le plus important ; c'est le système économique dans son ensemble qui doit être repensé, lequel ne doit plus reposer sur une consommation effrénée et infinie qui s'opère au détriment de la nature et du vivant. Ce qui suppose de baisser la consommation à l'échelle individuelle et collective.

Vous n'aurez rien :)

Faut donc vivre comme après une catastrophe pour éviter des catastrophes

Je ne considère pas qu'une certaine réduction de la consommation s'apparente à une catastrophe pour ma part. Dans tous les cas, soit ça se fera volontairement, soit ça s'imposera à nous.

Le 14 mai 2023 à 12:20:18 :

Le 14 mai 2023 à 12:07:21 :
Oui, le nucléaire pose de sérieux problèmes - généralement totalement éludés par les pro nucléaires - en termes de gestion des déchets, de coût, de maintenance, de vulnérabilité militaire, de risque accidentel. D’ailleurs, Jancovici ne les nie pas : il les relativise. Donc même s'il les relativise, ces risques existent.

De plus, s'agissant des déchets, on constate empiriquement qu'il y a eu des graves incidents sur chaque site de stockage des déchets dans les pays développés (Allemagne, Finlande, USA). En France, on prévoit de stocker les déchets dans un granit certes imperméable mais... Qui explose au contact du feu. Ce qui est très problématique s'agissant des déchets HA, qui sont instables et inflammables. En 2014, aux États-Unis, des déchets radioactifs ont pris feu, libérés des radioéléments et contaminés des employés. Dans tous les cas, l'accumulation infinie de déchets - dont certains sont radioactifs sur des centaines de milliers d'années - n'est pas souhaitable.

S'agissant du risque militaire, Jancovici n'évoque pas celui d'une attaque militaire qui anéantirait les refroidisseurs (voire les enceintes de confinement) et qui provoquerait une fuite de radionucléides au-delà de la centrale. Le patron de l'AIEA alerte chaque mois sur un tel risque pour la centrale de Zaporijia en Ukraine depuis le début de la guerre. Donc non, le seul risque n'est pas celui d'une simple fusion du coeur avec le corium qui resterait au fond de la centrale.

Enfin, sur le risque d'accident. On ne peut par nature jamais prédire avec exactitude tous les scénarios possibles. Il n'évoque - à nouveau - que celui d'une fusion du coeur et du chorium qui resterait sagement au fond de la centrale. Si absolument aucune fuite de radionucléides dans l'air n'était possible, l'Etat ne distribuerait pas des comprimés d'iode dans les zones PPI (20km autour des centrales). Bien sûr je reste confiant envers les ingénieurs français et j'estime le risque d'accident très peu probable. Pour autant, la France étant le pays le plus nucléarisé au monde (!), avec le + de centrales au prorata de la population, et certaines centrales vieillissantes, on ne peut pas totalement éluder ce risque. Encore une fois, empiriquement, il y a eu six accidents nucléaires en France liés à des centrales : Marcoule (1959 et 1956), Saint-Laurent-des-Eaux (1969 et 1980), La Hague (1981) et Blayais (1999), certes d'une gravité moyenne (morts et contaminés limités aux employés).

Jancovici reste toujours intéressant à écouter. Je note cependant le changement de récit dans l'opinion publique en faveur du nucléaire. A mon sens ce changement de récit s'explique par le vertige qui frappe chacun des citoyens face à la baisse de la croissance, de la consommation et de la production, qui s'impose à nous - que nous le voulions ou non - alors que nous souhaitons conserver le modèle actuel à tout prix. Autrement dit tout le monde veut pouvoir continuer à consommer à outrance (mcdo, zara, croisières, hypermarchés etc), malgré la diminution inéluctable des ressources et des matières premières (ce dont Jancovici concède d’ailleurs tout-à-fait). Nous sommes trop habitués au confort de la société de consommation depuis les années 60.

C'est dans ce contexte que le nucléaire nous apparaît comme une sorte de sauveur messianique, de solution miracle, qui nous offre l'illusion rassurante selon laquelle le maintien de notre niveau de consommation actuel est possible grâce à lui. D'où un tel changement de récit, qui s'inscrit dans le fond dans une peur de perdre le confort dans lequel on baigne depuis 60 ans, et qui s'accompagne parfois d'une forme de condescendance exprimée à l'égard de ceux qui demeurent critiques envers le nucléaire.

En réalité, le nucléaire ne nous sauvera pas de la diminution des ressources : au contraire il nous incitera à toujours plus sur-consommer, à maintenir un niveau de productivité élevé avec une économie qui repose sur une croissance infinie (l'illusion), dans un monde où toutes les ressources naturelles sont quant à elles finies et dans une économie qui devient nécessairement stationnaire (la réalité).

En conclusion, oui au nucléaire comme solution à court terme pour opérer la transition énergétique. Non au nucléaire comme une fin en soi. Oui à la transition énergétique comme solution à moyen et long terme, avec du R&D, pour trouver des alternatives véritablement propres et durables au nucléaire, et améliorer l'hydraulique, l'éolien, le solaire, etc. Et surtout, le plus important ; c'est le système économique dans son ensemble qui doit être repensé, lequel ne doit plus reposer sur une consommation effrénée et infinie qui s'opère au détriment de la nature et du vivant. Ce qui suppose de baisser la consommation à l'échelle individuelle et collective.

Ultra propre ce message, tu as tué le game.

Merci khey :hap: Il est parfois difficile d'avoir de la nuance sur un sujet qui suscite autant de passions.. Loin de totalement récuser le nucléaire, j'essaie de quand même garder du recul sur cette énergie qui n'est pas non plus la panacée.

ErinyeEumenid96
2023-05-14 12:27:46

Le 14 mai 2023 à 12:21:55 Cas-Roussel a écrit :
Le mec nous parle de risque de guerre, tout en soulignant que ça fait un an que plusieurs centrales sont dans des zones de conflit depuis un an sans problème.

Alors même qu'une attaque sur notre sol est impensable du fait même de la nature des conséquences, de la riposte au nuage engendré.

Il invoque le cas des déchets en oubliant que les 9/10 sont des trucs ayant été vaguement exposé aux radiations et a la demi vie courte, avec 150 étapes ultra pontilleuses et des contrôles.

Il invoque des accidents qui peuvent se produire pour tout et n'importe quoi par définition.

Enfin son vrai but apparaît quand il décrète qu'on doit tout changer pour pas embêter la nature

Pliéhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506463228-risibg.png

Bakhmout1
2023-05-14 12:28:03

Le 14 mai 2023 à 12:21:55 :
Le mec nous parle de risque de guerre, tout en soulignant que ça fait un an que plusieurs centrales sont dans des zones de conflit depuis un an sans problème.

C'est pas un argument ça, dans tous les cas je me fie à l'AIEA qui n'est pas aussi sereine que toi par rapport au risque en Ukraine.

Alors même qu'une attaque sur notre sol est impensable du fait même de la nature des conséquences, de la riposte au nuage engendré.

C'est toi qui le dit encore une fois.

Il invoque le cas des déchets en oubliant que les 9/10 sont des trucs ayant été vaguement exposé aux radiations et a la demi vie courte, avec 150 étapes ultra pontilleuses et des contrôles.

Et 1/10 on ne sait pas quoi en faire (4/10 je dirais plutôt d'ailleurs).

Il invoque des accidents qui peuvent se produire pour tout et n'importe quoi par définition.

Bah oui. Sauf qu'un accident nucléaire est particulièrement dangereux. ça reste pendant des centaines d'années.

Enfin son vrai but apparaît quand il décrète qu'on doit tout changer pour pas embêter la nature

Bah oui.

Samantha38G
2023-05-14 12:30:24

Le 14 mai 2023 à 12:14:43 :
Fukushima = officiellement 1 mort direct à cause de la centrale :)
Et ils veulent nous faire croire que c'est la catastrophe du sièclehttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/06/6/1676133735-palmadrogue3.png

1 mort de surmenage, il faut préciser...https://image.noelshack.com/fichiers/2018/27/4/1530827992-jesusreup.png

GangeProfond6
2023-05-14 12:41:23

Le 14 mai 2023 à 12:01:09 :

Le 14 mai 2023 à 12:00:15 :

Le 14 mai 2023 à 11:58:12 :

Le 14 mai 2023 à 11:57:19 :

Le 14 mai 2023 à 11:56:23 :

> Le 14 mai 2023 à 11:54:45 :

>"catastrophes écologiques dont on sait qu'il y en aura de plus en plus"

>

> Ah oui mais ce sont vraiment des religieux

Oui le réchauffement climatique augmente le risque de séisme faut croire :)

:) :) :)

Ils ne savent plus quoi inventer :)

Et puis j'avais oublié que la France se tapait un tsunami par an :)

Complètement stupide comme raccourçis.

Les typhons et les inondations sont des catastrophes écologiques qui sont en augmentation.

Les fameux typhons de Normandie
Ou les ouragans de l'Ariège

Y a pas que la France dans le monde l'ahurax. Par ailleurs la France est touchée par les inondations.

L'écologie doit s'inscrire dans une gouvernance internationale car il s'agit d'un enjeux qui concerne le monde entier, et l'empreinte carbone du chinois affecte aussi bien le chinois que le Français et l'Haïtien.

Construisons des milliards d'éoliennes alors si y'a plus de typhons ça veut dire qu'on a du vent à l'infini et donc de l'électricité infinie

Les éoliennes ne marchent pas quand il n'y a pas assez de vent, mais elles ne marchent pas non plus lorsqu'il y en a trophttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/30/4/1501186981-risimixbestreup.png

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