[CINEMA 🎬] Mes 100 Films préférés (Dans le désordre)
35ème : Your Name
C'est le film d'amour ultime par excellence, celui de la rencontre de deux flammes jumelles qui en apparence tout oppose. Lui vit à Tokyo, ville-monde et point culminant de la mondialisation et elle est originaire de Itimori, un lieu de vie champêtre et montagneux avec des traditions ancestrales solidement enracinées. Pourtant, tout semble les lier l'un à l'autre, l'un est une pièce du puzzle et l'autre la complète. Le Ruban rouge de Mitsuha agira alors durant tout le film comme symbole de ce lien d'âme immuable qui les unis.
Pourvu d'une direction artistique visuellement somptueuse, Your Name est le chapitre exceptionnel de Makoto Shinkaï qui le place au panthéon des réalisateurs de l'animation Japonaise. A mes yeux, le meilleur film d'animation de tous les temps.
36ème : Edward aux mains d'argent
Le meilleur film de Tim Burton. A la fois poignant, beau, extrêmement poétique tout en abordant des sujets sensibles et délicats Edwards aux mains d'argents fait partie de ces rares films que l'on oublie jamais.
37ème : Coraline
Les films d'animation en Stop-Motion font souvent partie de ceux que je préfère, parce qu'on y retrouve le côté artisanal, rustique et tout le potentiel créatif des fabricants de marionnettes/décors et des animateurs. Coraline est probablement celui qui me fascine le plus de part son univers enchanteresse, sa bande son Fantastico-gothique et son histoire ou plane une atmosphère de tension permanente magnifiée justement par les partitions
38ème : Une affaire de famille
Une affaire de Famille démontre réellement ce que signifie vraiment être une famille. Le thème central étant que les liens que nous forgeons sont plus épais que ce qui nous est imposé et cela vous questionne sur votre propre existence. C'est poignant, c'est beau, c'est profondément émouvant
39ème : Ghajini :
Ghadjini commence tout d'abord comme un Thriller frénétique et très sombre durant près d'une demi-heure ou l'action se déroule dans le présent. Avant un basculement assez radical dans son passé de riche homme d'affaire sur un ton oscillant entre sérieux et humour. S'en suit une longue séquence d'une heure qui prend des airs de comédie romantique à cause d'un quiproquo très amusant. Mon passage préféré du film. Par la suite le film multiple de nouveau les genres jusqu'à son climax, pour le reste je vous laisse découvrir par vous-même.
Un très bon film, bien au-delà de mes attentes initiales ou le suspens maintien notre attention et notre éveil jusqu'au bout si bien que les 3 heures sont passées comme une lettre à la poste. Dans les points négatifs comme souvent avec les films Hindis (d'antan) ce sont les scènes d'action qui font défaut et ne sont pas encore à la hauteur des Américains, loin s'en faut. Même si de nos jours, c'est plutôt le contraire. Mais c'est pour autant très loin d'être ridicule.
Pour ce qui est des points positifs le suspens et clairement la pierre angulaire de sa réussite. Le mélange des genres fonctionnent eux aussi très bien. Le clip au milieu du film dans le désert du Thar est un baiser attrapé en plein vol et son final est excellent
40ème : Tu ne tueras point
L'enfer du pacifique sous l'égide de Mel Gibson qui revient en chef de file dans l'un des plus grands films de guerre à ce jour. L'histoire d'un homme vaillant et opiniâtre prêt à mourir au combat pour défendre ses valeurs et qui va renverser l'opinion publique en leur donnant une leçon de vie qu'ils n'oublieront jamais. Je vous invite à aller voir l'homme qui a inspiré ce film , ce qu'il a accomplit et encore plus grandiose que ce que l'on a pu voir dans cette oeuvre. Un véritable Héros
41ème : 3 Idiots
Incarner un étudiant d'une vingtaine d'année quand tu en as toi même 42 au moment du tournage, en soi c'était déjà un pari audacieux, et c'est pour le moins réussi puisque jamais réellement on ne s'attarde sur ce détail. L'effet providence de la fontaine de jouvence peut-être ?
Mais la plus grosse réussite de ce film n'est ni la, ni dans la bonne performance de tous les acteurs à cheval entre le burlesque et un jeu plus à terre-à-terre. C'est dans son intelligence à aborder un sujet aussi épineux que celui du Suicide qu'il se distingue. Sans jamais tomber dans le pathos et le moralisateur il parvient à distiller subrepticement et efficacement ses critiques sur un sujet qui soulève un problème majeur en Inde. Statistiquement, c'est en Inde que les étudiants commettent le plus cet acte de désespoir (Du moins au moment ou le film a été tourné).
L'autre aspect prégnant ou "3 Idiots" brille, c'est dans sa faculté incroyable à mélanger les registres, si bien qu'il est tout bonnement impossible de le genrer. La première partie prend des allures de film pastiche, c'est sympa mais on se dit qu'à la longue ça risque d'être lourdingue surtout que les Indiens ont parfois cette fâcheuse tendance (essentiellement dans certains films des années 90) à forcer le trait un peu trop, jusqu'à l'écœurement. Mais absolument pas, puisqu'on bascule assez rapidement sur l'aspect musical et le drame, sans jamais toutefois perdre le sel de ce film, à savoir son humour, même dans les moments les plus poignants. Dans sa dernière heure, c'est l'émotion qui prime. Les Héros pleurent à foison et il est difficile de rester de marbre face à leur destinée.
Tout comme Taare Zameen Par, Bajrangi bhaijaan ou Laal Singh Chaddha c'est un exemple parfait pour convaincre les plus réfractaires de s'intéresser au Cinéma Indien et plus particulièrement l'industrie de Bollywood. Chef d'oeuvre !
42ème : Velai Illa Pattathari (V.I.P)
Durant les premières minutes j'ai été pris au dépourvu car le film commence de manière abrupte en rentrant directement dans le vif du sujet sans scène d'introduction pour lancer le film. Les Indiens font souvent des montages très saccadés, ce n'est pas pour autant que c'est mauvais, c'est juste différent.
Mais très rapidement on remarque que le film traite de la question brûlante des diplômés au chômage en Inde. Pour qui, c'est la croix et la bannière de trouver un emploi dans certaines branches de métier, en l'occurrence ici, il s'agit du métier d'ingénieur en génie civile. Le protagoniste que l'on pense être à première vue un gros fainéant puisqu'il est au chômage depuis 4 ans, doit subir le fiel et les griefs de ses parents. Il a du mal à accepter la situation et lorsque sa délicieuse voisine qu'il convoite le lui reproche sa situation, il est blessé dans son orgueil. Pour enfoncer le clou, son jeune frère semble réussir son début de carrière de la meilleure des manières. Il est sage, ne bois pas, étudie bien et il est aussi lisse et immaculé qu'un discours de Thomas Pesquet.
Seulement, plus on avance dans le temps et plus la structure des personnages est affinée. C'est d'ailleurs l'une des grandes qualités de Velaiyilla Pattathari (Le chômeur diplômé en Français) car rien ne laissait présager cela à la lisière du film. Loin d'être un clampin frêle et peureux, Raghuvaran (très convaincant dans son rôle) se révèle être finalement un homme de grands principes avec des convictions inextinguibles et beaucoup de courage. Juste avant l'entracte, un point de bascule va changer sa destinée et celle de sa famille. Le film qui mettait jusque la l'accent sur sa vie familiale, personnelle et amoureuse va alors davantage se concentrer sur sa sa destinée professionnelle.
La première partie est à mon sens plus réussie et riche que la seconde. L'arc narratif familial est une réussite, hormis la fin qui a été trop vite expédiée particulièrement sur la relation père/Fis qui aurait mérité plus de profondeur dans sa dernière ligne droite. La romance subit le même traitement en étant laissée pour compte au fur et à mesure que je me rapprochais du dénouement, mais dans l'ensemble c'est également une réussite car ça fonctionne très bien dans la première heure.
Bien que la deuxième partie soit un peu en deca selon moi, peu aidé par le Némésis incarné par un acteur sans grand talent qui on le sent, a été recruté avant tout pour sa belle gueule. elle nous garnit malgré tout d'une tension tangible de plus en plus percutante et de la meilleure scène du film dans les 20 dernières Minutes. (La scène du Bureau, j'en dis pas +)
Un film Redpill et d'introspection comme Tamasha, et forcément ce registre, je suis un fan absolu
43ème : 2001, L'odyssée de l'espace
Dans mon TOP5 de tous les temps ! y a rien d'autre à dire après ça, mis à part que c'est un impératif de le voir. Le meilleur film de Science-fiction avec Interstellar ! pas très original mais bel est bien réel.
Te fatigués pas pour tes avis personne ne les lira. On regarde juste les titres des films 
Le 06 mars 2023 à 12:40:24 :
Te fatigués pas pour tes avis personne ne les lira. On regarde juste les titres des films
oui je pense aussi
Intéressant topic vivement la suite 
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