Les RICHES ne se sappent pas avec des FRINGUES

Le 21 février 2023 à 15:11:22 :

Ya que les bas Qi pour fonctionner aux prix

Toute l'industrie du luxe dément ce que tu dis.
Trisomique.

Oui. Plus c'est cher plus ça attire le client.
Les marques comme ralph lauren etc pourraient vendre moins cher, mais c'est l'image de leur marque. Cher = qualité = ça attire. Il y a plusieurs études sur ça. Juste le prix qui fait l'image.

Le 21 février 2023 à 15:11:56 :
je vis à saint tropez tous le riches que je connais s'habillent super bien y'a que les ploucs américains qui s'habillent comme des sacs même quand ils sont riches

l'auteur n'a jamais été dane le sud , sur des yatchs, ou à Monaco..

Y'a les prolétaires

Y'a les bourgeois / riches

Et y'a ceux qui ont un voilier de 40m à Antibes

Bravo khey, tu sais différencier le nouveau riche beauf de la personne aisée.
Un riche s'en fout des vêtements et de la marque qu'il porte tant que ça renvoie une image de propreté.
T'en voies avec de vieilles casquettes de sport sur les golfs, ils doivent se faire 50k/mois.

tu vas dans les meilleurs boites du monde, tu verras si les riches ne s'habillent pas super bien

c'est juste comme tout le monde y'a des ploucs même chez les riches, c'est les moins dépensiers et les plus égoïstes.

c'est les genre à rouler en clio

Les vrais riches s'habillent preppy, sans excès ni logo trop apparent. Sinon y a les nouveaux riches geek mais pas des références vestimentaires.

Le 21 février 2023 à 14:47:26 :
De marque qui coûtent cher.

Les gens les plus riches que j'ai connu, vraiment riche je veux dire, le genre qui a un ou plusieurs bateaux, ils portaient tous des fringues basique. Ils regardent pas au prix, et ils achètent si ils aiment bien. Que ça coûte 5 euros ou 500 euros OSEF. Et il se trouve que des t shirt à 15 euros ou des pulls à 40euros leurs plaisent plus souvent que les trucs à 600 euros.

BVG

Houellebecq le prophète avait déjà tout théorisé:

Je ne ressentais de mon côté aucune attirance pour ces jeunes issus des classes dangereuses ; je ne les comprenais pas, ni ne cherchais à les comprendre. Je ne sympathisais nullement avec leurs engouements, ni avec leurs valeurs. Je n’aurais pas pour ma part levé le petit doigt pour posséder une Rolex, des Nike ou une BMW Z3 ; je n’avais même jamais réussi à établir la moindre différence entre les produits de marque et les produits démarqués. Aux yeux du monde, j’avais évidemment tort. J’en avais conscience : ma position était minoritaire, et par conséquent erronée. Il devait y avoir une différence entre les chemises Yves Saint Laurent et les autres chemises, entre les mocassins Gucci et les mocassins André. Cette différence, j’étais le seul à ne pas la percevoir ; il s’agissait d’une infirmité, dont je ne pouvais me prévaloir pour condamner le monde. Demande-t-on à un aveugle de s’ériger en expert de la peinture post-impressionniste ? Par mon aveuglement certes involontaire, je me mettais en dehors d’une réalité humaine vivante, suffisamment forte pour provoquer des dévouements et des crimes. Ces jeunes, à travers leur instinct demi-sauvage, pressentaient sans nul doute la présence du beau ; leur désir était louable, et parfaitement conforme aux normes sociales ; il suffisait en somme de rectifier son mode d’expression inadéquat.
À bien y réfléchir, pourtant, je devais convenir que Valérie et Marie-Jeanne, les deux seules présences féminines un tant soit peu consistantes de ma vie, manifestaient une indifférence totale aux chemisiers Kenzo et aux sacs Prada ; en réalité, pour autant que je puisse le savoir, elles achetaient à peu près n’importe quelle marque. Jean-Yves, l’individu que je connaisse bénéficiant du plus haut salaire, optait préférentiellement pour des polos Lacoste ; mais il le faisait en quelque sorte machinalement, par ancienne habitude, sans même vérifier si sa marque favorite n’avait pas été dépassée en notoriété par un challenger plus récent. Certaines fonctionnaires du ministère de la Culture, que je connaissais de vue (si l’on peut dire, car j’oubliais régulièrement, entre chaque rencontre, leur nom, leur fonction et jusqu’à leur visage) achetaient des vêtements de créateur ; mais il s’agissait invariablement de créateurs jeunes et obscurs, distribués dans une seule boutique à Paris, et je savais qu’elles n’auraient pas hésité à les abandonner si d’aventure ils avaient connu un succès plus large.

La puissance de Nike, Adidas, Armani, Vuitton, était ceci dit indiscutable ; je pouvais en avoir la preuve concrète, chaque fois que nécessaire, en parcourant Le Figaro et son cahier saumon. Mais qui exactement, en dehors des jeunes de banlieue, faisait le succès de ces marques ? Il devait y avoir des secteurs entiers de la société qui me demeuraient étrangers ; à moins qu’il ne s’agisse, plus banalement, des classes enrichies du tiers-monde. J’avais peu voyagé, peu vécu, et il devenait de plus en plus clair que je ne comprenais pas grand-chose au monde moderne.

Tu vas te prendre une redpill quand tu apprendras que le t-shirt simple de mark Zuckerberg c'est 2000usd l'unité

Not ready les " les vrai riches s'habillent pas chère "

Le 21 février 2023 à 14:51:19 :
je pense que c'est faux honnêtement, un riche ne va pas aller s'habiller chez kiabi non plus.

Les vetements ne seront pas tape à l'oeil c'est sur, mais le prix lui sera bien là.

non khey pas forcement ce sera des bon vetements certe j'entend par la de bonne qualité mais pas du tout obligé que ce soit de la grosse marque