(RELATION)Les filles sans PERE , votre avis

Hebebrbrbrx
2022-10-11 07:31:56

Le 11 octobre 2022 à 07:04:24 :
je suis le seul a cotoyer ce genre de meufs ?https://image.noelshack.com/fichiers/2018/29/6/1532128784-risitas33.png

T'es fan de cuckold ?

Tympole_1
2022-10-11 07:32:45

Fille sans père, fille sans repères.

Jean-Plagiat4
2022-10-11 07:33:38

Le 11 octobre 2022 à 07:09:52 :
Elles seront toujours en quête d'une figure paternelle.
Meufs qui ont souvent besoin de jeu de séduction, des AW en puissance...
elles font partie des moins fiables en matière de couple, meufs à problèmes dans 100% des cas.

Topic clos depuis la page 1

_breathtaking
2022-10-11 07:49:22

Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

lemecalachemise
2022-10-11 07:57:08

Les filles sans père ou plutôt sans figure paternelle sont des filles fracassées émotionnellement.

Elle a jamais connu l'amour dans le regard d'un homme alors quand la puberté arrive et qu'elle se rend compte qu'elle est attirante elle va faire sa turbo pute.
Elle va tout faire pour obtenir l'amour qu'elle a pas eu et se contentera d'erstatz comme l'intérêt sexuel.

J'en ai déjà vu des filles comme ca, gros tatouages, aguicheuse envers tout les hommes, instable, comportements destructeurs (cigarette, drogue, etc.), echec scolaire, niveau d'intelligence et de discernement pas ouf, croyances new age, etc.

Bref c'est triste mais a moins de vouloir gouter a de la chair fraîche quand t'as 37 piges, aucun intérêt

Pseudoban444
2022-10-11 07:58:08

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Tu en as fait beaucoup trop khey, c'est pas sain et les meufs détestent ça

Avec mon ex j'étais le petit copain idéal, je faisais tout pour que ça aille bien entre nous et ça a produit l'effet inverse

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Et j'avoue que je suis pas fan des meufs qui ont des amis mec, c'est pas respectueux

riri944
2022-10-11 07:58:52

Oui VDD notre vie sentimentale c'est de la merdehttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/07/1487382298-risitasdepressif.png

riri944
2022-10-11 08:00:41

J'en ai déjà vu des filles comme ca, gros tatouages, aguicheuse envers tout les hommes, instable, comportements destructeurs (cigarette, drogue, etc.), echec scolaire, niveau d'intelligence et de discernement pas ouf, croyances new age, etc.

KJ aussi nonhttps://image.noelshack.com/fichiers/2017/14/1491408071-yamete.png

riri944
2022-10-11 08:02:37

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Ceci , faut poser un ultimatum generalement

Je suis quelqu'un qui sait se faire respecter IRL (zones populaires ) , mais les meufs sont pires que les mecs dans ces cas là

Baganuga3
2022-10-11 08:04:13

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

J'ai versé une larme, on dirait ma dernière relation il y a bientôt 1 an

_breathtaking
2022-10-11 08:11:31

Le 11 octobre 2022 à 07:58:08 :

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Tu en as fait beaucoup trop khey, c'est pas sain et les meufs détestent ça

Avec mon ex j'étais le petit copain idéal, je faisais tout pour que ça aille bien entre nous et ça a produit l'effet inverse

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Et j'avoue que je suis pas fan des meufs qui ont des amis mec, c'est pas respectueux

J'ai suivi mon instinct d'empathe et j'ai fini par trop lui donner. En vérité, elle méritait tous mes efforts, mais à partir d'un moment donné dans la relation, elle a perdu de vue ce que je représentais pour elle. Le truc le plus dur à supporter ça a été de la voir complètement changer de caractère, je me souviens avoir dit à un pote à l'époque que j'avais l'impression de ne plus la connaître réellement.

Peut-être j'aurais dû être un mec toxique, jouer avec elle, un peu comme font les connards. Mais c'est pas mon style, j'ai toujours préféré la stabilité, la complicité et la compassion. Au moins, j'ai pu voir de quoi j'étais capable par amour et je sais quel genre de mec je suis, ça me suffit. Parce que plusieurs fois, au bord de la crise, j'aurais pu la tromper et les opportunités ne manquaient pas, mais jamais de la vie je ne l'aurais fait, elle représentait énormément pour moi.

Pour ce qui est des amitiés mecs, pour sa part, elle était comme ça depuis toute petite, mais y'a jamais eu d’ambiguïtés et elle avait friendzone énormément de mecs avant même de me rencontrer. Parfois, je me demande si elle n'avait pas une forme d'autisme social, parce qu'elle n'arrivait pas à déceler les intentions des gens, en particulier des mecs. Et je suspecte chez ce genre de fille une grosse dissonance cognitive.

Et bien évidemment, c'est elle qui a mis un terme à la relation car elle voulait "retrouver de la liberté". Parce que justement, à force d'endosser tous ces rôles, on finit par l'étouffer et comme leur intelligence émotionnelle est souvent pas assez développée, elles finissent par interpréter notre façon d'agir comme quelqu'un de trop "peureux", trop "collant", trop "derrière elle" alors qu'elles sont justement à l'origine de ce ressenti. D'où l'énorme égoïsme dont elles savent faire preuve.

Une relation où le mec est piégé par le rôle de sauveur qu'il endosse progressivement, et en prime la pointe de l'épée de Damoclès au dessus de sa tête qui menace de descendre à tout instant.

Pseudoban444
2022-10-11 08:21:57

Le 11 octobre 2022 à 08:11:31 :

Le 11 octobre 2022 à 07:58:08 :

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Tu en as fait beaucoup trop khey, c'est pas sain et les meufs détestent ça

Avec mon ex j'étais le petit copain idéal, je faisais tout pour que ça aille bien entre nous et ça a produit l'effet inverse

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Et j'avoue que je suis pas fan des meufs qui ont des amis mec, c'est pas respectueux

J'ai suivi mon instinct d'empathe et j'ai fini par trop lui donner. En vérité, elle méritait tous mes efforts, mais à partir d'un moment donné dans la relation, elle a perdu de vue ce que je représentais pour elle. Le truc le plus dur à supporter ça a été de la voir complètement changer de caractère, je me souviens avoir dit à un pote à l'époque que j'avais l'impression de ne plus la connaître réellement.

Peut-être j'aurais dû être un mec toxique, jouer avec elle, un peu comme font les connards. Mais c'est pas mon style, j'ai toujours préféré la stabilité, la complicité et la compassion. Au moins, j'ai pu voir de quoi j'étais capable par amour et je sais quel genre de mec je suis, ça me suffit. Parce que plusieurs fois, au bord de la crise, j'aurais pu la tromper et les opportunités ne manquaient pas, mais jamais de la vie je ne l'aurais fait, elle représentait énormément pour moi.

Pour ce qui est des amitiés mecs, pour sa part, elle était comme ça depuis toute petite, mais y'a jamais eu d’ambiguïtés et elle avait friendzone énormément de mecs avant même de me rencontrer. Parfois, je me demande si elle n'avait pas une forme d'autisme social, parce qu'elle n'arrivait pas à déceler les intentions des gens, en particulier des mecs. Et je suspecte chez ce genre de fille une grosse dissonance cognitive.

Et bien évidemment, c'est elle qui a mis un terme à la relation car elle voulait "retrouver de la liberté". Parce que justement, à force d'endosser tous ces rôles, on finit par l'étouffer et comme leur intelligence émotionnelle est souvent pas assez développée, elles finissent par interpréter notre façon d'agir comme quelqu'un de trop "peureux", trop "collant", trop "derrière elle" alors qu'elles sont justement à l'origine de ce ressenti. D'où l'énorme égoïsme dont elles savent faire preuve.

Une relation où le mec est piégé par le rôle de sauveur qu'il endosse progressivement, et en prime la pointe de l'épée de Damoclès au dessus de sa tête qui menace de descendre à tout instant.

1) Jouer le rôle du "connard" est parfois la meilleure façon de trouver de la stabilité dans un couple, même si ça peut sembler illogique. Évidemment ça ne signifie pas la tromper, l'insulter à tout va, etc, mais juste faire en sorte d'être respecté dans le couple (ton autorité, ta sexualité, tes opinions, ton temps, etc) quitte à être cassant et un peu distant quand c'est nécessaire.

2) Je pense que tu la sous-estimes beaucoup si tu penses qu'elle n'est pas capable de déceler les intentions des mecs, beaucoup de meufs font semblant de pas savoir alors qu'au fond elles SAVENT très bien (mais parfois ne veulent pas se l'avouer). Pour éviter ce genre de délire, il suffit de refuser de se mettre avec une meuf qui a des potes homme (il y en a plein)

3) Et je suis totalement d'accord avec tes deux derniers paragraphes, les femmes nous poussent à endosser ce rôle du sauveur puis elles nous quittent car on l'a accepté. Essaye de ne pas refaire cette erreur à l'avenir, tu as tes propres problèmes au quotidien (qui sont probablement beaucoup plus importants que les siens), pas besoin de régler ceux de ta copine.

_breathtaking
2022-10-11 08:34:49

Le 11 octobre 2022 à 08:21:57 :

Le 11 octobre 2022 à 08:11:31 :

Le 11 octobre 2022 à 07:58:08 :

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Tu en as fait beaucoup trop khey, c'est pas sain et les meufs détestent ça

Avec mon ex j'étais le petit copain idéal, je faisais tout pour que ça aille bien entre nous et ça a produit l'effet inverse

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Et j'avoue que je suis pas fan des meufs qui ont des amis mec, c'est pas respectueux

J'ai suivi mon instinct d'empathe et j'ai fini par trop lui donner. En vérité, elle méritait tous mes efforts, mais à partir d'un moment donné dans la relation, elle a perdu de vue ce que je représentais pour elle. Le truc le plus dur à supporter ça a été de la voir complètement changer de caractère, je me souviens avoir dit à un pote à l'époque que j'avais l'impression de ne plus la connaître réellement.

Peut-être j'aurais dû être un mec toxique, jouer avec elle, un peu comme font les connards. Mais c'est pas mon style, j'ai toujours préféré la stabilité, la complicité et la compassion. Au moins, j'ai pu voir de quoi j'étais capable par amour et je sais quel genre de mec je suis, ça me suffit. Parce que plusieurs fois, au bord de la crise, j'aurais pu la tromper et les opportunités ne manquaient pas, mais jamais de la vie je ne l'aurais fait, elle représentait énormément pour moi.

Pour ce qui est des amitiés mecs, pour sa part, elle était comme ça depuis toute petite, mais y'a jamais eu d’ambiguïtés et elle avait friendzone énormément de mecs avant même de me rencontrer. Parfois, je me demande si elle n'avait pas une forme d'autisme social, parce qu'elle n'arrivait pas à déceler les intentions des gens, en particulier des mecs. Et je suspecte chez ce genre de fille une grosse dissonance cognitive.

Et bien évidemment, c'est elle qui a mis un terme à la relation car elle voulait "retrouver de la liberté". Parce que justement, à force d'endosser tous ces rôles, on finit par l'étouffer et comme leur intelligence émotionnelle est souvent pas assez développée, elles finissent par interpréter notre façon d'agir comme quelqu'un de trop "peureux", trop "collant", trop "derrière elle" alors qu'elles sont justement à l'origine de ce ressenti. D'où l'énorme égoïsme dont elles savent faire preuve.

Une relation où le mec est piégé par le rôle de sauveur qu'il endosse progressivement, et en prime la pointe de l'épée de Damoclès au dessus de sa tête qui menace de descendre à tout instant.

1) Jouer le rôle du "connard" est parfois la meilleure façon de trouver de la stabilité dans un couple, même si ça peut sembler illogique. Évidemment ça ne signifie pas la tromper, l'insulter à tout va, etc, mais juste faire en sorte d'être respecté dans le couple (ton autorité, ta sexualité, tes opinions, ton temps, etc) quitte à être cassant et un peu distant quand c'est nécessaire.

2) Je pense que tu la sous-estimes beaucoup si tu penses qu'elle n'est pas capable de déceler les intentions des mecs, beaucoup de meufs font semblant de pas savoir alors qu'au fond elles SAVENT très bien (mais parfois ne veulent pas se l'avouer). Pour éviter ce genre de délire, il suffit de refuser de se mettre avec une meuf qui a des potes homme (il y en a plein)

3) Et je suis totalement d'accord avec tes deux derniers paragraphes, les femmes nous poussent à endosser ce rôle du sauveur puis elles nous quittent car on l'a accepté. Essaye de ne pas refaire cette erreur à l'avenir, tu as tes propres problèmes au quotidien (qui sont probablement beaucoup plus importants que les siens), pas besoin de régler ceux de ta copine.

Je suis entièrement d'accord. Pour ce qui est de ton point n°2, en tout cas pour mon ex, elle avait réellement un problème avec ça. Exemple simple : elle a un ami d'enfance depuis longtemps qui a toujours été gentil à son égard. C'est pas son meilleur pote, mais juste un bon pote sans ambiguïté pour elle, même si elle l'a trouvé étrange parfois. Lorsqu'on s'est mis ensemble elle et moi, ce mec en question a pris ses distances et a commencé à ghoster mon ex. Elle ne comprenait pas. Et le mec a eu le culot d'inventer comme excuse qu'il était pas bien dans sa vie, en dépression et je sais pas quoi alors qu'il répond h24 à ses autres contacts en un éclair. Évidemment, j'ai dit à ma meuf à l'époque qu'il la prenait pour une conne et qu'évidemment il y avait quelque chose qui le perturbait vis à vis d'elle. Et le problème est là : comme par le passé ce garçon a toujours été gentil avec elle, elle a une image biaisée de lui [à cause de son trouble de l'attachement], comme il est "gentil", il ne peut pas être malveillant à "mon" [son] égard (c'est vraiment enfantin comme façon de penser quand on y pense, d'où le fait de parler d'intelligence émotionnelle peu développée). Et j'avais beau lui expliquer par A+B elle ne comprenait pas qu'il se jouait d'elle. En fait plus j'en faisais pour la convaincre, plus elle stressait et voyait en moi un mec trop méfiant et jaloux. Elle a seulement fini par le comprendre quand ce mec s'est étrangement rapproché d'elle lorsqu'elle lui a annoncé qu'elle voulait rompre avec moi. Drôle de coïncidence pour un mec qui la ghostait il y a 6 mois.

J'ai de nombreux autres exemples de la vie quotidienne qui démontre son incapacité à voir la réalité et qui témoigne d'une dissonance cognitive importante. D'ailleurs, c'est un trait commun dont souffrent les personnes hypersensibles, bipolaires/borderline, et les personnes souffrant de trouble de l'anxiété et de l'attachement.

Mais je rejoins entièrement ce que tu dis sinon, il y a bel et bien des filles qui savent faire semblant également.

Pseudoban444
2022-10-11 08:46:49

Le 11 octobre 2022 à 08:34:49 :

Le 11 octobre 2022 à 08:21:57 :

Le 11 octobre 2022 à 08:11:31 :

Le 11 octobre 2022 à 07:58:08 :

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Tu en as fait beaucoup trop khey, c'est pas sain et les meufs détestent ça

Avec mon ex j'étais le petit copain idéal, je faisais tout pour que ça aille bien entre nous et ça a produit l'effet inverse

Faut surtout pas en faire de trop, après on se fait marcher dessus comme la dernière des merdes

Et j'avoue que je suis pas fan des meufs qui ont des amis mec, c'est pas respectueux

J'ai suivi mon instinct d'empathe et j'ai fini par trop lui donner. En vérité, elle méritait tous mes efforts, mais à partir d'un moment donné dans la relation, elle a perdu de vue ce que je représentais pour elle. Le truc le plus dur à supporter ça a été de la voir complètement changer de caractère, je me souviens avoir dit à un pote à l'époque que j'avais l'impression de ne plus la connaître réellement.

Peut-être j'aurais dû être un mec toxique, jouer avec elle, un peu comme font les connards. Mais c'est pas mon style, j'ai toujours préféré la stabilité, la complicité et la compassion. Au moins, j'ai pu voir de quoi j'étais capable par amour et je sais quel genre de mec je suis, ça me suffit. Parce que plusieurs fois, au bord de la crise, j'aurais pu la tromper et les opportunités ne manquaient pas, mais jamais de la vie je ne l'aurais fait, elle représentait énormément pour moi.

Pour ce qui est des amitiés mecs, pour sa part, elle était comme ça depuis toute petite, mais y'a jamais eu d’ambiguïtés et elle avait friendzone énormément de mecs avant même de me rencontrer. Parfois, je me demande si elle n'avait pas une forme d'autisme social, parce qu'elle n'arrivait pas à déceler les intentions des gens, en particulier des mecs. Et je suspecte chez ce genre de fille une grosse dissonance cognitive.

Et bien évidemment, c'est elle qui a mis un terme à la relation car elle voulait "retrouver de la liberté". Parce que justement, à force d'endosser tous ces rôles, on finit par l'étouffer et comme leur intelligence émotionnelle est souvent pas assez développée, elles finissent par interpréter notre façon d'agir comme quelqu'un de trop "peureux", trop "collant", trop "derrière elle" alors qu'elles sont justement à l'origine de ce ressenti. D'où l'énorme égoïsme dont elles savent faire preuve.

Une relation où le mec est piégé par le rôle de sauveur qu'il endosse progressivement, et en prime la pointe de l'épée de Damoclès au dessus de sa tête qui menace de descendre à tout instant.

1) Jouer le rôle du "connard" est parfois la meilleure façon de trouver de la stabilité dans un couple, même si ça peut sembler illogique. Évidemment ça ne signifie pas la tromper, l'insulter à tout va, etc, mais juste faire en sorte d'être respecté dans le couple (ton autorité, ta sexualité, tes opinions, ton temps, etc) quitte à être cassant et un peu distant quand c'est nécessaire.

2) Je pense que tu la sous-estimes beaucoup si tu penses qu'elle n'est pas capable de déceler les intentions des mecs, beaucoup de meufs font semblant de pas savoir alors qu'au fond elles SAVENT très bien (mais parfois ne veulent pas se l'avouer). Pour éviter ce genre de délire, il suffit de refuser de se mettre avec une meuf qui a des potes homme (il y en a plein)

3) Et je suis totalement d'accord avec tes deux derniers paragraphes, les femmes nous poussent à endosser ce rôle du sauveur puis elles nous quittent car on l'a accepté. Essaye de ne pas refaire cette erreur à l'avenir, tu as tes propres problèmes au quotidien (qui sont probablement beaucoup plus importants que les siens), pas besoin de régler ceux de ta copine.

Je suis entièrement d'accord. Pour ce qui est de ton point n°2, en tout cas pour mon ex, elle avait réellement un problème avec ça. Exemple simple : elle a un ami d'enfance depuis longtemps qui a toujours été gentil à son égard. C'est pas son meilleur pote, mais juste un bon pote sans ambiguïté pour elle, même si elle l'a trouvé étrange parfois. Lorsqu'on s'est mis ensemble elle et moi, ce mec en question a pris ses distances et a commencé à ghoster mon ex. Elle ne comprenait pas. Et le mec a eu le culot d'inventer comme excuse qu'il était pas bien dans sa vie, en dépression et je sais pas quoi alors qu'il répond h24 à ses autres contacts en un éclair. Évidemment, j'ai dit à ma meuf à l'époque qu'il la prenait pour une conne et qu'évidemment il y avait quelque chose qui le perturbait vis à vis d'elle. Et le problème est là : comme par le passé ce garçon a toujours été gentil avec elle, elle a une image biaisée de lui [à cause de son trouble de l'attachement], comme il est "gentil", il ne peut pas être malveillant à "mon" [son] égard (c'est vraiment enfantin comme façon de penser quand on y pense, d'où le fait de parler d'intelligence émotionnelle peu développée). Et j'avais beau lui expliquer par A+B elle ne comprenait pas qu'il se jouait d'elle. En fait plus j'en faisais pour la convaincre, plus elle stressait et voyait en moi un mec trop méfiant et jaloux. Elle a seulement fini par le comprendre quand ce mec s'est étrangement rapproché d'elle lorsqu'elle lui a annoncé qu'elle voulait rompre avec moi. Drôle de coïncidence pour un mec qui la ghostait il y a 6 mois.

J'ai de nombreux autres exemples de la vie quotidienne qui démontre son incapacité à voir la réalité et qui témoigne d'une dissonance cognitive importante. D'ailleurs, c'est un trait commun dont souffrent les personnes hypersensibles, bipolaires/borderline, et les personnes souffrant de trouble de l'anxiété et de l'attachement.

Mais je rejoins entièrement ce que tu dis sinon, il y a bel et bien des filles qui savent faire semblant également.

En vérité ces amis masculins ne représentent aucune véritable concurrence, si elle discute avec un type depuis l'enfance et n'a jamais baisé avec lui, et baise plutôt avec toi, autant dire que (en début de relation au moins) tu es 100x au dessus de lui

Néanmoins il y a quelque chose de malsain dans le fait d'avoir tout un troupeau d'hommes zêta prêts à jouer les confidents au cas où ça déraperait avec toi. Une meuf qui a des amis mec, moi je la catégorise direct comme "pas fiable" et je me mets pas en couple avec. D'ailleurs les femmes sont les premières à ne pas vouloir un mec qui a trop d'amis femmes, car elles savent très bien leurs intentions réelles (à juste titre).

Heureusement maintenant je me suis trouvé une célestine asociale qui a littéralement 0 ami et aime pas parler aux étrangers, autant dire que je suis assez serein de ce côté là.

Il aurait fallu éviter les conversations sans intérêt où à la fin tu es vu comme "insecure" à la fin. Si tu dois lui expliquer par A+B que son pote veut la niquer depuis l'enfance et se branle sur ses photos alors que c'est ultra évident, alors ça sert à rien d'avoir cette conversation. La meilleure marche à suivre aurait été de se distancer d'elle, parler à d'autres meufs, et si elle se plaignait il aurait fallu dire "tkt y'a pas d'ambiguité :) "

FutureFunk
2022-10-11 08:47:22

Le 11 octobre 2022 à 07:09:52 :
Elles seront toujours en quête d'une figure paternelle.
Meufs qui ont souvent besoin de jeu de séduction, des AW en puissance...
elles font partie des moins fiables en matière de couple, meufs à problèmes dans 100% des cas.

FutureFunk
2022-10-11 08:48:32

Je résume : meuf à éviter d'urgence

JEHoover
2022-10-11 08:54:31

Le 11 octobre 2022 à 07:49:22 :
Très compliqué de tenir sur le long terme, j'en ai fais les frais récemment. Je viens de rompre il y a quelques temps après 3 ans de relation.

Une rencontre incroyable, une première année passée ensemble magnifique idyllique. L'année d'après, sentiments atténués, dépression, changement de caractère et comportement, un enfer mais j'ai essayé d'être courageux jusqu'au bout là où de nombreux mecs auraient abandonné déjà.

Ce sont des filles qui souffrent d'un trouble de l'attachement et de l'abandon. Très douces et sensibles en apparence, mais extrêmement centrées sur elles-même, très impulsives et à tendance borderline.
Mon ex n'avait pas connu d'autres garçons avant moi, j'étais son premier et elle ma première. A noter également une grande prépondérance à la victimisation. Pour ce qui est de l'aspect relationnel avec le genre masculin, j'ai remarqué une grosse tendance à vouloir nouer des amitiés avec des garçons plus qu'avec des filles, et dans certains cas précis une envie de "plaire"/séduire, sans forcément un but sexuel derrière. J'ai tout donné, littéralement tout. Et je peux te dire que ce sont des personnes qui vampirise leur partenaire une fois que la relation est "scellée" et le pire, c'est que c'est fait inconsciemment, donc une double souffrance à endurer.

J'ai été à la fois son psy, son père, son mec et son meilleur allié. Le problème, c'est qu'endosser tous ces rôles fait que tu ne peux pas être son mec. Car tu dois lui expliquer la vie, l'empêcher de faire des conneries, mais en même temps montrer que tu lui fais confiance et que t'es pas un dictateur. Au bout d'un moment tu sais jamais sur quel pied danser, tu peux jamais être cash, et tu peux pas ne pas en faire assez car ça se retourne vitre contre toi. Je l'ai défendue à de nombreuses reprises contre sa propre famille (mère trop sensible qui n'arrive pas à la comprendre, et frère débile qui se prend pour un roi), la rassurer pour ses examens, la soutenir dès qu'elle était mal, aller la chercher quand elle fuguait en pleine nuit de chez elle, je faisais passer h24 ses besoins avant les miens.

Pour ma part, après la phase "lune de miel" de mon couple, elle a complètement vrillé. Dépression hivernale, grosse distanciation physique avec moi, tendance à tout me reprocher, et bien évidemment ce que je redoutais, elle a commencé à se rapprochement virtuellement d'autres mecs, à jouer la confidente des autres, à vouloir faire des nouvelles rencontres (sans ambiguïté) mais je savais où tout cela menait : la volonté de vérifier si elle plaisait car bien sur ce genre de fille cache un grand manque de confiance en elle. Elle a poussé le vice tellement loin que même des simps qui lui parlaient elle voulait pas les recadrer, quand je lui disais quelque chose j'étais direct catégorisé en tant que jaloux, tout le temps un prétexte pour retourner le truc contre moi, sans rigoler, il manquait plus que "manipulateur" et j'aurais implosé.

Et j'ai beau être grand, noté 8-9/10, intelligent, avec une bonne situation financière et un caractère irréprochable ça n'a pas suffit apparemment. Parce qu'en fait ça devient acquis chez elles plus vite que chez une fille "normale" sans troubles. Une fille normale sait quels efforts il faut faire pour te garder et connaît les limites. Une meuf à trouble non, elle teste tes limites inconsciemment par son désordre comportemental. Et si tu n'es pas là au bon moment au bon endroit, je n'ose même pas imaginer ce qu'il peut se produire.

Donc oui, la prochaine fois, je réfléchirai à deux fois avant de m'engager de la sorte.

Bordel ça ressemble à deux gouttes comme ma dernière relation de 4 ans :(
Père conflictuel et un peu absent. J’étais TOUT pour elle, son mec son père son meilleur amis, je devait constamment m’occuper d’elle et elle aimait ça. Au final j’ai lâché car j’en pouvait plus j’avais l’impression d’être avec une meuf trop immature

Naind1m67
2022-10-11 08:57:06

perso j en vois une souvent elle est discrète et douce, ca a l air d etre une fille bien, elle bosse mais elle tire souvent la gueule :(

Colonnel-Kobby
2022-10-11 08:59:00

Ce sont les plus instable des qu elles ont de l amour elle se precipite.

Bougnadere23
2022-10-11 08:59:05

Une fille élevée uniquement par sa mère, tu peux etre certain que les valeurs ne sont pas la
Parce que si le père impose à sa fille de pas sortir avant 18ans, de se méfier des garçons etc.
La mère va lui dire de profiter, et elle va commencer très vite a gober des kilomètres de teub
J'en ai connu une seule, elle voyait aucun mal à ses centaines de partenaires :mort:

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