Mais la DOGPILL c’est réel ou pas ?

jetable00055
2022-09-17 14:11:55

Le 17 septembre 2022 à 14:10:52 :
A chaque fois que vois une meuf seule promener un gros chien je peux pas m'empêcher d'y penser...https://image.noelshack.com/fichiers/2022/26/1/1656354287-chatetirebeurk.png

Oui ça va tellement de soi, que ça en est limite indécent :rire:

DFJent
2022-09-17 14:12:01

Le 17 septembre 2022 à 14:04:54 :

Le 12 septembre 2022 à 09:12:15 :
go sur femefun tu verras pas toi même

je viens de regarder, c'est dégoutant bordel

Bordel

Rusard_le_clodo
2022-09-17 14:12:30

C'est pas courant mais c'est pas 0.5%https://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

Je l'ai déjà raconté sur le forum mais mes potes qui ont des élevages reçoivent régulièrement des appels pour """louer"""" des animauxça refuse toujours bien entendu

Et mes autres potes qui bossent en téléphonie et qui réparent les téléphones me disent que c'est pas si rare de trouver des trucs bizarres de ce genre

Britney-Spearmm
2022-09-17 14:12:36

le projection des zoophiles ici :rire:

jetable00055
2022-09-17 14:13:37

Le 17 septembre 2022 à 14:12:36 :
le projection des zoophiles ici :rire:

Oui oui « projection » :rire:

_____-___-___-_
2022-09-17 14:15:46

La dogpill est bien une réalité. De toutes les pilules, elle est bien celle qui se constate si l'on fait quelques recherches sérieuses, mais aussi la plus difficile à avaler. Enormément de femmes détenant un chien, souvent grand, se sont au moins déjà laissé tenter par le fait de se faire lécher l'entre-jambe, voire plus dans certains cas. Il faut bien comprendre que le chien est naturellement attiré par l'odeur des règles, de la flore vaginale, mais aussi et surtout qu'il est, pour une femme seule, sa propriété, surtout si vous n'étiez pas là au moment où le chien a élu domicile chez elle. Et une chose plus importante que toutes encore : le chien ne parle pas. Ce qui se passe dans l'intimité restera donc secret.
Croyez-moi, la dogpill est réelle. J'ai des exemples concrets de mon entourage que je pourrais énoncer, d'autres qui sont suspectés... et vous, si vous y réfléchissez deux secondes, certains viendront aussi à votre esprit.

Pour illustrer, une de mes exs, pour l'exemple concret. Disons qu'elle entretenait un rapport... particulier, avec un chien qu'elle avait acquis juste avant que je ne m'engage avec elle et que l'on vive ensemble. Il faut tout d'abord rappeler qu'elle était célibataire à ce moment, sans doute touchée par quelques névroses aussi, chose somme toute commune pour toute jeune femme de la vingtaine environ.
Bref, il s'agissait d'un beau chien, berger australien croisé, très intelligent, dominant. Très rapidement, en m'installant avec elle, j'ai compris qu'il s'agissait certes d'un chien, mais que son statut, au sein de ce domicile, était plus important que cela. Les surnoms qu'elle lui donnait ne trompaient pas ; la façon dont elle le choyait, non plus. Il avait des autorisations, comme pouvoir se rendre dans la salle de bain avec elle, au moment de sa douche (pour l'anecdote, lorsque j'ai commencé à habiter avec elle, on préférait le sortir de la salle de bain, lorsque nous nous douchions ensemble. Eh bien il a eu beaucoup de mal à l'accepter, s'affaissant devant la porte et grognant, souvent, sachant qu'au-delà de tout ça, il avait déjà du mal à m'accepter sur son territoire).
Bref, elle le laissait aussi dormir dans sa chambre, sous le lit. Le matin, il avait l'habitude de monter à moitié sur le lit pour le "câlin matinal", comme elle l'appelait. Il continuait à le faire en ma présence, quand on l'invitait à rentrer dans la chambre, le matin venu.

Mais au-delà de tout ça encore, c'était aussi dans sa façon de faire. Elle disait qu'elle l'aimait, que c'était son homme. Sur un ton affectif, bien sûr.
Plus encore, c'était un chien intelligent, vers ceux dont les femmes que je décris aiment à se tourner, dans leurs moments de lassitude ou d'égarement psychologique. Bref, il savait me faire comprendre, par le regard, la façon dont il me sautait dessus, ou encore la façon dont il allait la câliner en ma présence, qu'il était là comme son homme et que ma présence le dérangeait au plus haut point. Que jamais je ne prendrais sa place dans son cœur, ni même entre ses cuisses.

Je me souviens d'une anecdote, un jour, où nous l'avions laissé se mettre sous le lit. Nous avons couché ensemble, ma copine et moi. Lors de nos ébats, le chien poussait des soupirs longs, car il comprenait. Il cherchait à me faire comprendre qu'il était déjà passé par là et que je ne serai, à jamais, que l'éternel second.

Pour moi, il est évident que sous ce toit, la dogpill fut réelle. Et elle a probablement continué, lorsque nous nous sommes séparés.

Concernant les suspicions, maintenant, ça concerne des amies de faculté. J'en suspecte deux, même si évidemment, je n'ai jamais vécu avec elles. Ce sont des jeunes femmes à priori célibataires, qui vivent en appartement, avec un grand chien, et qui en parlent souvent...

Les kheys, la dogpill est réelle. Je peux vous en assurer. Il faut l'accepter.

Rusard_le_clodo
2022-09-17 15:23:19

Le 17 septembre 2022 à 14:15:46 :
La dogpill est bien une réalité. De toutes les pilules, elle est bien celle qui se constate si l'on fait quelques recherches sérieuses, mais aussi la plus difficile à avaler. Enormément de femmes détenant un chien, souvent grand, se sont au moins déjà laissé tenter par le fait de se faire lécher l'entre-jambe, voire plus dans certains cas. Il faut bien comprendre que le chien est naturellement attiré par l'odeur des règles, de la flore vaginale, mais aussi et surtout qu'il est, pour une femme seule, sa propriété, surtout si vous n'étiez pas là au moment où le chien a élu domicile chez elle. Et une chose plus importante que toutes encore : le chien ne parle pas. Ce qui se passe dans l'intimité restera donc secret.
Croyez-moi, la dogpill est réelle. J'ai des exemples concrets de mon entourage que je pourrais énoncer, d'autres qui sont suspectés... et vous, si vous y réfléchissez deux secondes, certains viendront aussi à votre esprit.

Pour illustrer, une de mes exs, pour l'exemple concret. Disons qu'elle entretenait un rapport... particulier, avec un chien qu'elle avait acquis juste avant que je ne m'engage avec elle et que l'on vive ensemble. Il faut tout d'abord rappeler qu'elle était célibataire à ce moment, sans doute touchée par quelques névroses aussi, chose somme toute commune pour toute jeune femme de la vingtaine environ.
Bref, il s'agissait d'un beau chien, berger australien croisé, très intelligent, dominant. Très rapidement, en m'installant avec elle, j'ai compris qu'il s'agissait certes d'un chien, mais que son statut, au sein de ce domicile, était plus important que cela. Les surnoms qu'elle lui donnait ne trompaient pas ; la façon dont elle le choyait, non plus. Il avait des autorisations, comme pouvoir se rendre dans la salle de bain avec elle, au moment de sa douche (pour l'anecdote, lorsque j'ai commencé à habiter avec elle, on préférait le sortir de la salle de bain, lorsque nous nous douchions ensemble. Eh bien il a eu beaucoup de mal à l'accepter, s'affaissant devant la porte et grognant, souvent, sachant qu'au-delà de tout ça, il avait déjà du mal à m'accepter sur son territoire).
Bref, elle le laissait aussi dormir dans sa chambre, sous le lit. Le matin, il avait l'habitude de monter à moitié sur le lit pour le "câlin matinal", comme elle l'appelait. Il continuait à le faire en ma présence, quand on l'invitait à rentrer dans la chambre, le matin venu.

Mais au-delà de tout ça encore, c'était aussi dans sa façon de faire. Elle disait qu'elle l'aimait, que c'était son homme. Sur un ton affectif, bien sûr.
Plus encore, c'était un chien intelligent, vers ceux dont les femmes que je décris aiment à se tourner, dans leurs moments de lassitude ou d'égarement psychologique. Bref, il savait me faire comprendre, par le regard, la façon dont il me sautait dessus, ou encore la façon dont il allait la câliner en ma présence, qu'il était là comme son homme et que ma présence le dérangeait au plus haut point. Que jamais je ne prendrais sa place dans son cœur, ni même entre ses cuisses.

Je me souviens d'une anecdote, un jour, où nous l'avions laissé se mettre sous le lit. Nous avons couché ensemble, ma copine et moi. Lors de nos ébats, le chien poussait des soupirs longs, car il comprenait. Il cherchait à me faire comprendre qu'il était déjà passé par là et que je ne serai, à jamais, que l'éternel second.

Pour moi, il est évident que sous ce toit, la dogpill fut réelle. Et elle a probablement continué, lorsque nous nous sommes séparés.

Concernant les suspicions, maintenant, ça concerne des amies de faculté. J'en suspecte deux, même si évidemment, je n'ai jamais vécu avec elles. Ce sont des jeunes femmes à priori célibataires, qui vivent en appartement, avec un grand chien, et qui en parlent souvent...

Les kheys, la dogpill est réelle. Je peux vous en assurer. Il faut l'accepter.

Bordel 0 preuvehttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

T'es "preuves" sont bidons, genre J'ai un animal aussi et si je ferme une porte qu'il a l'habitude de voir ouverte il va pas être content et pourtant je me le tape pashttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/13/4/1522325846-jesusopti.png

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