Le 06 février 2022 à 03:42:06 :
agnostique = premiers golemsMême les plus grands génies de notre monde s'accordaient à dire qu'il existait possiblement une puissance supérieure
Ok alors toi t'as rien compris du coup
Le 06 février 2022 à 03:42:06 :
agnostique = premiers golemsMême les plus grands génies de notre monde s'accordaient à dire qu'il existait possiblement une puissance supérieure
Les agnostiques sont tout à fait ouvert à cette possibilité. Agnostique ne veut pas dire athée.
Le 06 février 2022 à 03:42:06 :
agnostique = premiers golemsMême les plus grands génies de notre monde s'accordaient à dire qu'il existait possiblement une puissance supérieure
C'est également dans le champ des possibilités des agnostiques ça, la puissance supérieure...
Il faut revoir les définitions key.
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
Le 06 février 2022 à 03:05:37 :
Le 06 février 2022 à 03:03:24 :
En quoi l'agnostisme est plus scientifique?Car la science (contrairement à ce que certains croient), n'a pas pour principe de supposer l'inexistence jusqu'à preuve de l'existence. La science accepte le status quo de l'absence de connaissance
Le fait de rechercher des réponse scientifiquement = mettre en doute tes croyances.
Les Agnostiques sont en réalité des Materialistes.
Le 06 février 2022 à 03:46:17 :
Le 06 février 2022 à 03:05:37 :
Le 06 février 2022 à 03:03:24 :
En quoi l'agnostisme est plus scientifique?Car la science (contrairement à ce que certains croient), n'a pas pour principe de supposer l'inexistence jusqu'à preuve de l'existence. La science accepte le status quo de l'absence de connaissance
Le fait de rechercher des réponse scientifiquement = mettre en doute tes croyances.
Les Agnostiques sont en réalité des Materialistes.
Pourquoi ?
Le 06 février 2022 à 03:46:17 :
Le 06 février 2022 à 03:05:37 :
Le 06 février 2022 à 03:03:24 :
En quoi l'agnostisme est plus scientifique?Car la science (contrairement à ce que certains croient), n'a pas pour principe de supposer l'inexistence jusqu'à preuve de l'existence. La science accepte le status quo de l'absence de connaissance
Le fait de rechercher des réponse scientifiquement = mettre en doute tes croyances.
Les Agnostiques sont en réalité des Materialistes.
C'est réducteur. La possibilité de l'existence d'une transcendance est parfaitement envisagé comme possible par un véritable agnostique.
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je vois pas en quoi un modèle de société vient faire dans le débat soulevé par l'auteur.
D'ailleurs ce que tu dis est pas forcément vrai. La relgion n'est pas au centre de chaque société et ce n'est pas le seul facteur qui meut l'être humain. Ca peut être une idéologie, un but commun (réel ou non).
Les Japonais n'ont pas de religion, pour la majorité. Ca les empêche pas d'être aux antipodes de ce que tu décris.
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur un mensonge pareil me parait absolument terrifiante.
Le 06 février 2022 à 03:23:06 Mythopoeia a écrit :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
C'est marrant, tu dis d'une autre façon ce que je t'ai déjà vu dire sur un autre topic à propos de l'absurdité et la même objection me vient : j'entends bien l'argument que la science peut aseptiser (et je suis en partie d'accord dans un certain contexte) mais elle peut aussi être au contraire un vecteur de transcendance.
"un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup en rapproche", comme disait l'autre
Que le monde soit possiblement absurde constitue en soi un absolu ou quelque chose de supérieur à mes yeux (même si j'ai échoué à te faire comprendre en quoi ce n'était pas contradictoire), et ne m'empêche pas de ressentir un certain "enchantement", au contraire, car cette absurdité semble "belle" et parfaite en soi. Tout ce qui a un sens rigide est limité par ce sens. L'absurde est illimité. Et l'absence de limite est quelque chose d'absolu en soi.
En revanche, tout ça me mène à une existence essentiellement contemplative et je suis en effet peu motivé à me lancer dans de grands projets, même si le côté "tout est permis" me motive parfois à faire le contraire. Mais où est la preuve que l'inactivité est un mal ? L'humanité ne s'est-elle pas abîmée à force de chercher sans cesse "la fougue" ? Ce que tu nommes l'aseptisation peut être vu comme une forme de sagesse et nous mener à une moralité commune basée sur la tempérance.
Ce qui t'empêche de le voir c'est que tu pars du principe qu'il faut nécessairement agir, et que l'être humain ne peut être autre chose qu'un conquérant. Mais tout ça se discute et c'est très culturel. Une société fonctionnelle peut parfaitement reposer sur l'absurdité (réelle ou supposée) et une vision positive de celle-ci. En somme tu voudrais que les hommes soient exaltés par l'action, là où j'y vois une promesse future de malheurs (dérives destructrices, mythe d'Icare et le fameux pendule de la souffrance à l'ennui).
Enfin, je digresse.
Les agnostiques sont des positivistes arrogants qui font face a un effet dunnig kruger FLAGRANT.
Il est tout a fait possible d'allier raison et foi(MUTAZILISME) même si le mieux serait d'aller encore plus loin que cette façon de raisonner...
Le 06 février 2022 à 03:55:04 :
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur une mensonge me parait absolument terrifiante.
Ce n'est pas une bonne chose d'après moi, car si la question du comment est débattue (la science s'attèle à cette problématique), dans une société matérialiste sans âme la question du pourquoi qui demeure en suspens est balayée (la spiritualité / religion s'attèle à cette problématique).
Le 06 février 2022 à 04:04:45 :
Le 06 février 2022 à 03:55:04 :
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur une mensonge me parait absolument terrifiante.
Ce n'est pas une bonne chose d'après moi, car si la question du comment est débattue (la science s'attèle à cette problématique), dans une société matérialiste sans âme la question du pourquoi qui demeure en suspens est balayée (la spiritualité / religion s'attèle à cette problématique).
La religion existe toujours. Je ne pense pas que les hommes se posent moins de question qu'avant.
Le 06 février 2022 à 04:00:18 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 Mythopoeia a écrit :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
C'est marrant, tu dis d'une autre façon ce que je t'ai déjà vu dire sur un autre topic à propos de l'absurdité et la même objection me vient : j'entends bien l'argument que la science peut aseptiser (et je suis en partie d'accord dans un certain contexte) mais elle peut aussi être au contraire un vecteur de transcendance.
"un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup en rapproche", comme disait l'autre
Que le monde soit possiblement absurde constitue en soi un absolu ou quelque chose de supérieur à mes yeux (même si j'ai échoué à te faire comprendre en quoi ce n'était pas contradictoire), et ne m'empêche pas de ressentir un certain "enchantement", au contraire, car cette absurdité semble "belle" et parfaite en soi. Tout ce qui a un sens rigide est limité par ce sens. L'absurde est illimité. Et l'absence de limite est quelque chose d'absolu en soi.
En revanche, tout ça me mène à une existence essentiellement contemplative et je suis en effet peu motivé à me lancer dans de grands projets, même si le côté "tout est permis" me motive parfois à faire le contraire. Mais où est la preuve que l'inactivité est un mal ? L'humanité ne s'est-elle pas abîmée à force de chercher sans cesse "la fougue" ? Ce que tu nommes l'aseptisation peut être vu comme une forme de sagesse et nous mener à une moralité commune basée sur la tempérance.
Ce qui t'empêche de le voir c'est que tu pars du principe qu'il faut nécessairement agir, et que l'être humain ne peut être autre chose qu'un conquérant. Mais tout ça se discute et c'est très culturel. Une société fonctionnelle peut parfaitement reposer sur l'absurdité (réelle ou supposée) et une vision positive de celle-ci. En somme tu voudrais que les hommes soient exaltés par l'action, là où j'y vois une promesse future de malheurs (dérives destructrices, mythe d'Icare et le fameux pendule de la souffrance à l'ennui).
Enfin, je digresse.
J'approuve la digression
Le 06 février 2022 à 04:07:24 :
Le 06 février 2022 à 04:04:45 :
Le 06 février 2022 à 03:55:04 :
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur une mensonge me parait absolument terrifiante.
Ce n'est pas une bonne chose d'après moi, car si la question du comment est débattue (la science s'attèle à cette problématique), dans une société matérialiste sans âme la question du pourquoi qui demeure en suspens est balayée (la spiritualité / religion s'attèle à cette problématique).
La religion existe toujours. Je ne pense pas que les hommes se posent moins de question qu'avant.
Elle est simplement tombée en disgrâce à notre époque, et plus particulièrement dans les sociétés occidentales.
Le 06 février 2022 à 04:14:39 :
Le 06 février 2022 à 04:07:24 :
Le 06 février 2022 à 04:04:45 :
Le 06 février 2022 à 03:55:04 :
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur une mensonge me parait absolument terrifiante.
Ce n'est pas une bonne chose d'après moi, car si la question du comment est débattue (la science s'attèle à cette problématique), dans une société matérialiste sans âme la question du pourquoi qui demeure en suspens est balayée (la spiritualité / religion s'attèle à cette problématique).
La religion existe toujours. Je ne pense pas que les hommes se posent moins de question qu'avant.
Elle est simplement tombée en disgrâce à notre époque, et plus particulièrement dans les sociétés occidental.
Je pense que c'est une apparence. Les gens qui sont aujourd'hui athées par défaut étaient jadis croyants par défaut. Dans tout les cas, ils ne faisaient que suivre le mouvement, que s’inscrire dans un système. Ils croyaient que Dieu existait parce qu'on leur disait qu'il existait, aujourd'hui on ne le leur dit plus alors ils ne le croient plus. Mais ils ne se posent pas plus ni moins de questions. Ceux qui se posent des questions, sur ce domaine, adhèrent à une religion - ou pas - selon leur sensibilité.
Le 06 février 2022 à 04:04:18 :
Les agnostiques sont des positivistes arrogants qui font face a un effet dunnig kruger FLAGRANT.
Il est tout a fait possible d'allier raison et foi(MUTAZILISME) même si le mieux serait d'aller encore plus loin que cette façon de raisonner...
Oui tout à fait, ou du moins d'arriver à un juste milieu conciliateur entre les deux, et c'est une position très personnelle qui conduit, ou que l'on nomme justement agnosticisme. Et en toute logique, l'agnosticisme bien compris appel à l'humilité
Le 06 février 2022 à 04:20:20 :
Le 06 février 2022 à 04:14:39 :
Le 06 février 2022 à 04:07:24 :
Le 06 février 2022 à 04:04:45 :
Le 06 février 2022 à 03:55:04 :
Le 06 février 2022 à 03:44:52 :
Le 06 février 2022 à 03:35:00 :
Le 06 février 2022 à 03:23:06 :
Le 06 février 2022 à 03:06:21 :
Le 06 février 2022 à 03:05:33 :
L'auteur qui disparaît dès qu'il s'agit de débattre mdr.Ah dsl, non c'est quoi selon toi ?
Qu'est-ce qui rendait l'éducation grecque si singulière ? Pourquoi diable faisaient-ils apprendre par cœur un récit largement romancé (et pourtant vendu comme l'exemple bien réel à suivre) à leur jeunesse ?
Tu peux comparer ça à l'Histoire que l'on enseigne aujourd'hui et qui se veut (quand elle n'est pas trop teintée d'idéologie) scientifique. On enseigne l'Histoire comme une science sociale. Une Histoire du fait, désenchantée. Était-ce sa seule fonction ? Quel impact cela peut-il avoir sur la jeunesse ?
Ça se traverse aussi des réflexions de Nietzsche sur la science, et le rôle de la poésie que nous avons largement abandonnée. La science, aussi utile fut-elle, aseptise. Et généraliser ses codes jusqu'au rapport des hommes à ce qui les dépasse c'est éteindre leur cœur.
Certains te l'ont déjà signifié sur le topic. La science moderne n'étant plus animée par un volonté supérieure, une quête d'Absolu, finit par perdre toute sa fougue d'antan. Je ne dis pas que le fait (avéré) d'un taux de macro-innovations/tête divisé par quatre an un siècle est uniquement causé par cela, mais ça joue nécessairement un rôle.
On pourrait aussi développer sur l'incapacité de l'agnosticisme à offrir un principe de société complet et cohérent aux hommes. La religion donnait à ceux-ci un but commun, une somme de lois morales partagées, un rapport de transcendance, un système politique, les outils politiques d'une subsidiarité efficace de la société par l'ordre paroissial.
L'agnosticisme n'offre rien de tout ça. Il ne motive personne faute d'avoir su s'incarner réellement dans un nouveau rapport de transcendance, il n'offre aucun ordre pérenne à la société.
Dans les faits, l'agnosticisme est, très empiriquement, un mauvais logiciel de société.
Je me place uniquement d'un point de vue purement rationnel qui selon moi prévaut sur toutes conséquences sociales-comportementales-philosophiques qu'impliquerait la "mort" de Dieu.
Le rationnel c'est aussi rationaliser ce qui permet une société juste, efficace, en quête pérenne de savoir et de félicité. Tu places au plus haut degré la science, mais la science a besoin du génie humain et de ce qui le génère.
A l'inverse de toi je pense que la disparation de Dieu est une bonne chose, mais ce n'est qu'un point de vue.
Dans l’hypothèse ou aucun Dieu de religion n'existe, la perspective d'une société dont le fonctionnement et la raison d’être reposent sur une mensonge me parait absolument terrifiante.
Ce n'est pas une bonne chose d'après moi, car si la question du comment est débattue (la science s'attèle à cette problématique), dans une société matérialiste sans âme la question du pourquoi qui demeure en suspens est balayée (la spiritualité / religion s'attèle à cette problématique).
La religion existe toujours. Je ne pense pas que les hommes se posent moins de question qu'avant.
Elle est simplement tombée en disgrâce à notre époque, et plus particulièrement dans les sociétés occidental.
Je pense que c'est une apparence. Les gens qui sont aujourd'hui athées par défaut étaient jadis croyants par défaut. Dans tout les cas, ils ne faisaient que suivre le mouvement, que s’inscrire dans un système. Ils croyaient que Dieu existait parce qu'on leur disait qu'il existait, aujourd'hui on ne le leur dit plus alors ils ne le croient plus. Mais ils ne se posent pas plus ni moins de questions. Ceux qui se posent des questions, sur ce domaine, adhèrent à une religion - ou pas - selon leur sensibilité.
C'est parfaitement vrai, très bonne remarque, simple constat. La dialectique est aujourd'hui inversée.
Le 06 février 2022 à 02:55:49 :
Ne pas avoir d'opinion = appréhender l'univers et l'existence de manière saine et raisonnable ?
C'est pas ça l'agnosticisme le desco
Agnostique à tendance déiste = high Q.I
Le 06 février 2022 à 04:26:39 :
Le 06 février 2022 à 02:55:49 :
Ne pas avoir d'opinion = appréhender l'univers et l'existence de manière saine et raisonnable ?C'est pas ça l'agnosticisme le desco
Agnostique à tendance déiste = high Q.I
C'est exactement de cette manière que je devrai me définir, si l'on devait nommer précisément les choses : agnostique à tendance déiste, bien vu. Je ne pense pas avoir un Q.I à crever le plafond pour autant.