Le 14 octobre 2021 à 11:31:39 :
Le 14 octobre 2021 à 11:25:34 Yoonga a écrit :
Le 14 octobre 2021 à 11:24:26 :
Le 14 octobre 2021 à 11:23:09 Yoonga a écrit :
Le 14 octobre 2021 à 11:21:46 :
L'amour n'existe pas, c'est juste de la jalousie
Si l’amour existe. C’est un sentiment incomparable aux autres sentiments
Et se dire qu'un jour ou l'autre ça finira peu être par se terminerhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/34/1/1534765452-98555-static1.png
Se demander si on arrivera à autant aimer vu les redpills qu'on se prend au fur et à mesure du tempshttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/34/1/1534765452-98555-static1.png
C’est ce qu’il y a de terrifiant avec l’amour. On offre son cœur à quelqu’un qui pourrait très bien changer d’avis peu de temps après
Voilàhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/34/1/1534765452-98555-static1.png
Et maintenant ce que j'ai peur c'est d'avoir perdu cette petite innocence que j'avais en moi et qui me faisait vibrer lors de ma relation amoureuse. Ce côté fleur bleu. Je me suis relevé à chaque droite que j'ai prise dans la gueule, mais à la fin tu ne fini par plus rien ressentir car que tu le veuilles ou non ton cerveau se mettra en mode protection et limitera ses réactions chimiques face à l'amour. C'est prouvé :L’amour est-il une drogue?
Il faut savoir qu’il y a un véritable feu d’artifice de neurotransmetteurs qui se modifient durant l’état amoureux. Celui-ci libère des endorphines responsables du plaisir à être ensemble, mais induit également de grands sauts d’humeur au début de la relation. On passe très vite de l’euphorie au désespoir pour peu que l’amoureux(se) soit en retard, oublie l’anniversaire de votre rencontre, etc. L’élévation du taux de dopamine peut expliquer notre focalisation sur le partenaire et la tendance à voir en lui un être unique. Le problème réside ensuite dans le fait que l’émission de dopamine et d’endorphines est liée en grande partie à la nouveauté. Après un certain nombre de rencontres, on observe un tassement de l’effet euphorisant. L’amoureux est comme l’héroïnomane, il a besoin d’une dose de plus en plus grande pour la libération d’endorphines. Au fil du temps, chaque rencontre avec l’objet de son amour provoquera une plus faible décharge de dopamine et la dose d’endorphines se réduira d’autant pour atteindre un niveau correspondant au bonheur de la vie régulière à deux. Plus monotone évidemment. On appelle cet «effet nouveauté» l’effet Coolidge. Du nom de ce président américain qui, visitant un élevage bovin avec son épouse, fut impressionné par un taureau qui inséminait jusqu’à 17 vaches par jour. Sa femme lui aurait dit: «Tu vois, 17 fois par jour…» Ce à quoi il a répondu: «Certes ma chère, mais pas avec la même…»
Honnêtement c'est l'une de mes plus grande crainte. Ma dernière relation qui s'est terminé il y a quelques m'a laissé beaucoup de traces et c'est une plaquette de blackpill entière que j'ai avalé en 24h. Et j'ai bien peur qu'avec la prochaine, je ne ressente plus toutes ses sensations/émotions si belles que l'amour apporte.
Arrête d’avoir une approche aussi scientifique de l’amour et laisse toi guider par ton coeur