Les timides à quel point êtes vous timides ?

Mike5478
2021-08-16 23:19:32

Regarder les gens dans les yeux quand tu leur parle ou qu'il te parle...

Goyokin04
2021-08-16 23:20:35

Le 16 août 2021 à 23:18:13 1JourJeBaiserai a écrit :

Le 16 août 2021 à 23:14:24 :

Le 16 août 2021 à 23:09:07 JaiPaDideGro a écrit :

Le 16 août 2021 à 23:06:52 :

Le 16 août 2021 à 23:02:56 MobiusDigital a écrit :
Le traitement pour le trouble de la personnalité évitante peut inclure une variété de techniques, telles que l'entraînement du savoir-être, la thérapie cognitive, expositions à des traitements qui améliorent les relations sociales, la thérapie de groupe pour pratiquer certaine sociabilité, et souvent les médicaments7. Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

Une autre conséquence qui peut se révéler tout aussi grave est une tendance excessive à fuir dans l'imaginaire. Au lieu d'essayer de nouer des relations réelles, ce qui par définition pose problème pour le patient évitant, il peut décider de les imaginer. Ses proches diront de lui qu'il est « dans la lune », « rêveur ». Vu de l'extérieur, à force de réduire ses interactions sociales au minimum, on dira de lui qu'il mène une vie « monacale », ce qui est à la fois vrai et faux : en réalité, il « imagine » sa vie telle qu'il la voudrait. C'est particulièrement vrai pour l'adolescent et le jeune adulte, qui n'ont pas nécessairement la maturité nécessaire pour comprendre qu'en agissant de la sorte, ils ne font que creuser le gouffre qui les sépare du reste des gens. On peut voir alors se mettre en place un véritable cercle vicieux, dans lequel le patient fantasme, puis se heurte à la réalité, qui lui apparaît forcément dure et insatisfaisante (d'autant plus qu'elle est en discordance avec ses fantasmes). En conséquence, il la fuit toujours plus, se réfugie toujours plus dans l'imaginaire, et ainsi de suite. Là aussi, une thérapie peut être très difficile à amorcer car, temporairement du moins, la personne évitante peut se satisfaire de la situation, et n'aura pas l'impression de souffrir. Dès lors, il sera d'autant plus réticent à consulter.

Vous aussi vous vous reconnaissez parfaitement dans ça ?
C'est mot pour mot ce que je suis :hap:
Tout est juste, même ça : (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

C'est typiquement ce que je suis devenu ces dernières années.

Bordel le deuxième paragraphe, c'est tout à fait moi. Heureusement que j'ai encore des relations sociales et un rythme de vie normal pour garder un peu les pieds sur terre. Mais je passe mon temps à fantasmer une vie que j'aurais jamais. C'est usant. :(

Ca fait 10 ans que chaque nuit avant de dormir, je m'imagine aborder et me trouver une copine, 10 ans que j'ai jamais rien tenté avec un meuf :hap:

Dur clé. :-(
On passe plus de temps à imaginer la vie qu'on voudrait qu'à vivre le nôtre. J'ai tellement la haine contre moi-même bordel. :)

Après, si tu veux une note d'espoir les gens qui réussissent dans la vie ont eux aussi souvent longuement imaginé et visualisé leur succès avant. C'est même un concept qui est utilisé en PNL et en hypnose, pour conditionner son cerveau. Des grands sportifs et entrepreneurs utilisent cette méthode.

La différence c'est qu'eux agissent ensuite. Nous malheureusement on reste bloqués :(

Encore faut-il avoir de l'ambition pour ça.
Personnellement, j'espère simplement gagner l'Euromillion pour être tranquille le reste de ma vie. Alors que je n'y ai jamais joué.https://image.noelshack.com/fichiers/2016/24/1466366197-risitas10.png

1JourJeBaiserai
2021-08-16 23:22:36

Le 16 août 2021 à 23:18:58 :

Le 16 août 2021 à 23:13:12 :
Avant j'angoissais à l'idée d'envoyer un mail quand il s'agit de quelqu'un représentant une autorité. Par exemple pour trouver un stage. Il fallait que je me motive pendant plusieurs jours et je relisais 20 fois mon mail avant de l'envoyer. Je profitais de certains jours pendant lesquels je me sentais un peu en "confiance" pour envoyer des salves de mails pour trouver un stage et après il fallait de nouveau attendre plusieurs jours avant de me remotiver.

C'est vrai moi aussi je perds mes moyens avec toute personne représentant une autorité, comme les profs, mes supérieurs, mes oncles/tantes...
D'ailleurs ça m'a freiné pour trouver un job, quand on m'appeler pour me donner rdv pour un entretien ou lors de l'entretien en lui même c'était catastrophique

Sinon, la seule fois où j'ai eu une copine (un véritable miracle pour moi) je détestais qu'elle me tienne la main dans la rue ou qu'il y ait tout geste d'affection en public.

J'arrive même pas à parler aux meufs par messages, rien que de lire un message reçu je dois attendre plusieurs heures afin de concentrer asses de KI pour pouvoir le faire :hap;

Et d'habitude je ghost dés qu'une sorte de complicité se crée

Bien sûr préparer à l'avance ce que l'on va dire avant une interaction type coup de téléphone ou un rendez vous pour quelque chose.

Classique :hap:

Franchement la timidité m'a poussé à faire des choses parfois vraiment pas terrible. Le plus difficile c'est d'oser dire non. Et avoir toujours la sensation d'être obligé de faire des efforts et des compromis pour les autres de peur de les contrarier alors que généralement les gens s'en battent les couilles de toi et pensent avant tout à leurs intérêts.

J'ose jamais dire non et je peux littéralement pas me défendre verbalement, je suis un putain de lâche et tout le monde en profite, j'en ai conscience mais je peux pas agir, ça me rend ouf

Maintenant ça va mieux, je progresse d'année en année, mais ça reste handicapant pour moi malgré tout.

T'as vu un psy pour ça ?

Je n'ai jamais consulté de psychologue pour ça. Sauf une fois mais c'était pas un rendez vous que j'avais programmé, en fait je suis suivi à l'hôpital pour une maladie que j'ai eu quand j'étais petit et il y a quelques années dans le cadre d'un bilan une consultation avec une psychologue était prévue et je ne l'ai pas refusé. Du coup j'en ai profité pour lui parler de ça mais sinon il n'y a rien eu de plus.

D'un côté j'aime bien parler de ça, ça me permet de libérer un peu. Mais d'un autre je n'aime pas tellement les méthodes utilisées en psychologie (enfin en même temps je n'ai jamais essayé, mais disons que ça ne me parle pas). Je préfère tenter des choses par moi même

JaiPaDideGro
2021-08-16 23:23:36

Le 16 août 2021 à 23:14:24 :

Le 16 août 2021 à 23:09:07 JaiPaDideGro a écrit :

Le 16 août 2021 à 23:06:52 :

Le 16 août 2021 à 23:02:56 MobiusDigital a écrit :
Le traitement pour le trouble de la personnalité évitante peut inclure une variété de techniques, telles que l'entraînement du savoir-être, la thérapie cognitive, expositions à des traitements qui améliorent les relations sociales, la thérapie de groupe pour pratiquer certaine sociabilité, et souvent les médicaments7. Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

Une autre conséquence qui peut se révéler tout aussi grave est une tendance excessive à fuir dans l'imaginaire. Au lieu d'essayer de nouer des relations réelles, ce qui par définition pose problème pour le patient évitant, il peut décider de les imaginer. Ses proches diront de lui qu'il est « dans la lune », « rêveur ». Vu de l'extérieur, à force de réduire ses interactions sociales au minimum, on dira de lui qu'il mène une vie « monacale », ce qui est à la fois vrai et faux : en réalité, il « imagine » sa vie telle qu'il la voudrait. C'est particulièrement vrai pour l'adolescent et le jeune adulte, qui n'ont pas nécessairement la maturité nécessaire pour comprendre qu'en agissant de la sorte, ils ne font que creuser le gouffre qui les sépare du reste des gens. On peut voir alors se mettre en place un véritable cercle vicieux, dans lequel le patient fantasme, puis se heurte à la réalité, qui lui apparaît forcément dure et insatisfaisante (d'autant plus qu'elle est en discordance avec ses fantasmes). En conséquence, il la fuit toujours plus, se réfugie toujours plus dans l'imaginaire, et ainsi de suite. Là aussi, une thérapie peut être très difficile à amorcer car, temporairement du moins, la personne évitante peut se satisfaire de la situation, et n'aura pas l'impression de souffrir. Dès lors, il sera d'autant plus réticent à consulter.

Vous aussi vous vous reconnaissez parfaitement dans ça ?
C'est mot pour mot ce que je suis :hap:
Tout est juste, même ça : (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

C'est typiquement ce que je suis devenu ces dernières années.

Bordel le deuxième paragraphe, c'est tout à fait moi. Heureusement que j'ai encore des relations sociales et un rythme de vie normal pour garder un peu les pieds sur terre. Mais je passe mon temps à fantasmer une vie que j'aurais jamais. C'est usant. :(

Ca fait 10 ans que chaque nuit avant de dormir, je m'imagine aborder et me trouver une copine, 10 ans que j'ai jamais rien tenté avec un meuf :hap:

Dur clé. :-(
On passe plus de temps à imaginer la vie qu'on voudrait qu'à vivre le nôtre. J'ai tellement la haine contre moi-même bordel. :)

C'est frustrant oui :hap:

Le 16 août 2021 à 23:18:13 :

Le 16 août 2021 à 23:14:24 :

Le 16 août 2021 à 23:09:07 JaiPaDideGro a écrit :

Le 16 août 2021 à 23:06:52 :

Le 16 août 2021 à 23:02:56 MobiusDigital a écrit :
Le traitement pour le trouble de la personnalité évitante peut inclure une variété de techniques, telles que l'entraînement du savoir-être, la thérapie cognitive, expositions à des traitements qui améliorent les relations sociales, la thérapie de groupe pour pratiquer certaine sociabilité, et souvent les médicaments7. Il est important pour le patient qu'il garde confiance, car les individus atteints de troubles de la personnalité évitante tenteront souvent d'éviter les séances du traitement s'ils ne font pas confiance au thérapeute ou s'ils éprouvent une peur de rejet. Dans tous les cas, il convient de ne pas prendre ce problème à la légère, car une personne évitante non traitée peut présenter des troubles secondaires : assuétudes, fuite dans l'imaginaire, dépression… De plus, à force d'accumuler les échecs et les déceptions sur le plan relationnel, le patient peut finir par perdre confiance, tant en lui que dans les autres. (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

Une autre conséquence qui peut se révéler tout aussi grave est une tendance excessive à fuir dans l'imaginaire. Au lieu d'essayer de nouer des relations réelles, ce qui par définition pose problème pour le patient évitant, il peut décider de les imaginer. Ses proches diront de lui qu'il est « dans la lune », « rêveur ». Vu de l'extérieur, à force de réduire ses interactions sociales au minimum, on dira de lui qu'il mène une vie « monacale », ce qui est à la fois vrai et faux : en réalité, il « imagine » sa vie telle qu'il la voudrait. C'est particulièrement vrai pour l'adolescent et le jeune adulte, qui n'ont pas nécessairement la maturité nécessaire pour comprendre qu'en agissant de la sorte, ils ne font que creuser le gouffre qui les sépare du reste des gens. On peut voir alors se mettre en place un véritable cercle vicieux, dans lequel le patient fantasme, puis se heurte à la réalité, qui lui apparaît forcément dure et insatisfaisante (d'autant plus qu'elle est en discordance avec ses fantasmes). En conséquence, il la fuit toujours plus, se réfugie toujours plus dans l'imaginaire, et ainsi de suite. Là aussi, une thérapie peut être très difficile à amorcer car, temporairement du moins, la personne évitante peut se satisfaire de la situation, et n'aura pas l'impression de souffrir. Dès lors, il sera d'autant plus réticent à consulter.

Vous aussi vous vous reconnaissez parfaitement dans ça ?
C'est mot pour mot ce que je suis :hap:
Tout est juste, même ça : (À ce stade, il peut paradoxalement devenir irrespectueux et agressif envers tout le monde)[réf. nécessaire], considérant qu'il vaut mieux être égoïste « par défaut », et ne penser qu'à lui-même, qu'angoisser à l'idée de ne pas arriver à plaire. Dans ce cas, toute tentative de thérapie devient encore plus difficile.

C'est typiquement ce que je suis devenu ces dernières années.

Bordel le deuxième paragraphe, c'est tout à fait moi. Heureusement que j'ai encore des relations sociales et un rythme de vie normal pour garder un peu les pieds sur terre. Mais je passe mon temps à fantasmer une vie que j'aurais jamais. C'est usant. :(

Ca fait 10 ans que chaque nuit avant de dormir, je m'imagine aborder et me trouver une copine, 10 ans que j'ai jamais rien tenté avec un meuf :hap:

Dur clé. :-(
On passe plus de temps à imaginer la vie qu'on voudrait qu'à vivre le nôtre. J'ai tellement la haine contre moi-même bordel. :)

Après, si tu veux une note d'espoir les gens qui réussissent dans la vie ont eux aussi souvent longuement imaginé et visualisé leur succès avant. C'est même un concept qui est utilisé en PNL et en hypnose, pour conditionner son cerveau. Des grands sportifs et entrepreneurs utilisent cette méthode.

La différence c'est qu'eux agissent ensuite. Nous malheureusement on reste bloqués :(

Je comprends que tu veilles me remonter le moral, mais ces gens là ont une volonté de fer et un audace qui va avec, moi je sais que je changerai jamais

JaiPaDideGro
2021-08-16 23:27:33

Le 16 août 2021 à 23:22:36 :

Le 16 août 2021 à 23:18:58 :

Le 16 août 2021 à 23:13:12 :
Avant j'angoissais à l'idée d'envoyer un mail quand il s'agit de quelqu'un représentant une autorité. Par exemple pour trouver un stage. Il fallait que je me motive pendant plusieurs jours et je relisais 20 fois mon mail avant de l'envoyer. Je profitais de certains jours pendant lesquels je me sentais un peu en "confiance" pour envoyer des salves de mails pour trouver un stage et après il fallait de nouveau attendre plusieurs jours avant de me remotiver.

C'est vrai moi aussi je perds mes moyens avec toute personne représentant une autorité, comme les profs, mes supérieurs, mes oncles/tantes...
D'ailleurs ça m'a freiné pour trouver un job, quand on m'appeler pour me donner rdv pour un entretien ou lors de l'entretien en lui même c'était catastrophique

Sinon, la seule fois où j'ai eu une copine (un véritable miracle pour moi) je détestais qu'elle me tienne la main dans la rue ou qu'il y ait tout geste d'affection en public.

J'arrive même pas à parler aux meufs par messages, rien que de lire un message reçu je dois attendre plusieurs heures afin de concentrer asses de KI pour pouvoir le faire :hap;

Et d'habitude je ghost dés qu'une sorte de complicité se crée

Bien sûr préparer à l'avance ce que l'on va dire avant une interaction type coup de téléphone ou un rendez vous pour quelque chose.

Classique :hap:

Franchement la timidité m'a poussé à faire des choses parfois vraiment pas terrible. Le plus difficile c'est d'oser dire non. Et avoir toujours la sensation d'être obligé de faire des efforts et des compromis pour les autres de peur de les contrarier alors que généralement les gens s'en battent les couilles de toi et pensent avant tout à leurs intérêts.

J'ose jamais dire non et je peux littéralement pas me défendre verbalement, je suis un putain de lâche et tout le monde en profite, j'en ai conscience mais je peux pas agir, ça me rend ouf

Maintenant ça va mieux, je progresse d'année en année, mais ça reste handicapant pour moi malgré tout.

T'as vu un psy pour ça ?

Je n'ai jamais consulté de psychologue pour ça. Sauf une fois mais c'était pas un rendez vous que j'avais programmé, en fait je suis suivi à l'hôpital pour une maladie que j'ai eu quand j'étais petit et il y a quelques années dans le cadre d'un bilan une consultation avec une psychologue était prévue et je ne l'ai pas refusé. Du coup j'en ai profité pour lui parler de ça mais sinon il n'y a rien eu de plus.

D'un côté j'aime bien parler de ça, ça me permet de libérer un peu. Mais d'un autre je n'aime pas tellement les méthodes utilisées en psychologie (enfin en même temps je n'ai jamais essayé, mais disons que ça ne me parle pas). Je préfère tenter des choses par moi même

Que t'a dit le psy quand tu lui en as parlé ?

Diam5
2021-08-17 07:49:38

Ça ruine toutes mes relations sociales, aussi bien amicales qu’amoureuses
On me trouve ennuyeux, donc forcément, personne ne veut rester avec moi :)

LegoTonix
2021-08-17 07:54:39

j'ai été timide pendant des années maintenant je le suis pratiquement plus du tout je suis en mode osef total c'est bien mieux

sauf pour draguer ou faire le 1er pas a une meuf la c'est différent

JaiPaDideGro
2021-08-17 08:21:03

Le 17 août 2021 à 07:49:38 :
Ça ruine toutes mes relations sociales, aussi bien amicales qu’amoureuses
On me trouve ennuyeux, donc forcément, personne ne veut rester avec moi :)

Oui quand tu n'oses rien les gens te trouvent chiant

Le 17 août 2021 à 07:54:39 :
j'ai été timide pendant des années maintenant je le suis pratiquement plus du tout je suis en mode osef total c'est bien mieux

sauf pour draguer ou faire le 1er pas a une meuf la c'est différent

Moi je réfléchi trop, j'arrive pas a déconnecter mon cerveau

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