ELLE VIENT D’OÙ LA HYPE AUTOUR DE BREAKING BAD

FilsDel-OP6
2021-07-31 16:42:07

Le 31 juillet 2021 à 16:40:38 :
Mais tout est prévisible dans cette série c’est trop n’importe quoi :rire:

Le pire c’est les kheys qui ont les t shirt, poster breaking bad eux c’est trophttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png

Ne pas feed, dis moi ce que tu prévoyait en la regardant ? Sauf peut-être la fin qui est déjà acté dès le premier épisode saison 1 :(

ChienMarlou
2021-07-31 16:42:23

Il faut regarder Malcolm d'abord pour bien comprendre toutes les référenceshttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/30/6/1627742517-22794-full.png
Quand Doowap tombe sur le pochon de meth :rire:

Keyssou3
2021-07-31 16:42:25

Le 31 juillet 2021 à 16:41:14 :

Le 31 juillet 2021 à 16:39:49 :

Les kheys faut m’explique tout elle vient cette hype pour la série okay elle est bien mais trop surcoté a mort par les gens. :oui:

ouais enfin pour un puceau, tout est toujours surcoté. Y a jamais rien qui vous plait.

Ok nelson je suis puceau tu es le seigneur pardonne moi

Donne tes séries préférées qu'on rigole

MsCapalot
2021-07-31 16:43:04

Le 31 juillet 2021 à 16:41:05 :

Le 31 juillet 2021 à 16:29:51 :

Le 31 juillet 2021 à 16:29:31 :
Je la trouve pas si surcôtée comparée à d'autres séries

Sinon peut être pour le casting, surtout Bryan C je pense

C’est sur côté à mort

C'est quoi tes séries préférées ?

The wire, les sopranos , six feet under , the shield

Keyssou3
2021-07-31 16:44:27

Le 31 juillet 2021 à 16:43:04 :

Le 31 juillet 2021 à 16:41:05 :

Le 31 juillet 2021 à 16:29:51 :

Le 31 juillet 2021 à 16:29:31 :
Je la trouve pas si surcôtée comparée à d'autres séries

Sinon peut être pour le casting, surtout Bryan C je pense

C’est sur côté à mort

C'est quoi tes séries préférées ?

The wire, les sopranos , six feet under , the shield

De très bonnes séries pour les 2 premières voire la 3eme.
Mais faut arrêter de cracher ton venin parce que Breaking Bad est clairement au moins du même acabit.

Morrocan24
2021-07-31 16:45:32

Le 31 juillet 2021 à 16:31:06 :
Les 2000 qui découvrent la vie rien de plus

Ressenti maximale de gêne va te trouver un taff en depit de

Raven__
2021-07-31 16:47:28

Le 31 juillet 2021 à 16:38:25 :
La seul série que j'ai regardé 6 fois.

MsCapalot
2021-07-31 16:47:33

En plus la mort de Walter ultra prévisible une série comme ça il peuvent pas finir en happy end ou tous le monde mange un barbecuehttps://image.noelshack.com/fichiers/2021/18/7/1620572127-jesus-barbe-serein.png

deepslate
2021-07-31 16:49:18

Si la série était sortie fin 90, tous les élitistes l'auraient placé au même niveau que The Wire et compagnie.

Morrocan24
2021-07-31 16:50:17

Le 31 juillet 2021 à 16:49:18 :
Si la série était sortie fin 90, tous les élitistes l'auraient placé au même niveau que The Wire et compagnie.

Si la série n'avait pas été mainstream surtout

Syllogisme_104
2021-07-31 16:50:44

Le 31 juillet 2021 à 16:32:41 MsCapalot a écrit :
En vrai de vrai ça fais longtemps je regarde des séries et quand je regardais bb et que l’épisode étais fini pas j’étais pas pressé de connaître la suite.
Parce que le suspens il est 0 c’est pas comme des série comme Lost ou chaque épisode t’étais impatient de savoir la suite. :ok:

Faudra ça soit plus subtil en vrai de vrai la prochaine fois.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/29/7/1627241101-axlrose11.png

MsCapalot
2021-07-31 16:51:01

Mentez pas et ditent la vérité quand lost est sorti on a attendais tous l’épisode suivants avec impatience parce que c’était un nouveau genre qu’on avait jamais vu auparavant :oui:. Alors que bb on les gars déjà les séries de ce genre.

deepslate
2021-07-31 16:51:37

Le 31 juillet 2021 à 16:50:17 :

Le 31 juillet 2021 à 16:49:18 :
Si la série était sortie fin 90, tous les élitistes l'auraient placé au même niveau que The Wire et compagnie.

Si la série n'avait pas été mainstream surtout

Aussi

JakartaSch
2021-07-31 16:53:15

Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

Pourquoi évoquais-je la crise au début de cette critique ? Parce qu'à mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

HollySmile
2021-07-31 16:54:17

Surcotax comme toutes les séries qui parlent de drogue

MsCapalot
2021-07-31 16:55:10

Le 31 juillet 2021 à 16:53:15 :
Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

Pourquoi évoquais-je la crise au début de cette critique ? Parce qu'à mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

Mashallah t’écris beaucoup

Pyrgos
2021-07-31 17:03:53

L'op c'est la mouche dans le labo de Gustavo

TheSteakachier
2021-07-31 17:05:24

Les 2000 incapables de rester concentrer plus de 30 minutes devant une série quand ça n'explose pas de partout et qui trouvent la série " molle " alors que c'est juste un chef d'oeuvre de naration lente

TheSteakachier
2021-07-31 17:07:06

Le 31 juillet 2021 à 16:55:10 :

Le 31 juillet 2021 à 16:53:15 :
Breaking Bad c'est, au sortir du visionnage de cinq saisons exceptionnelles, une superbe série noire, glauque, remarquablement écrite, qui cristallise en un seul personnage, Walter White, tous les maux d'une société mise à mal par la crise.

Sur la forme, c'est un quasi sans faute. La réalisation est excellente, avec une multiplicité de prises de vues inventives (au point que par moments, ça frise le "too much") toujours au service de la narration. La musique est toujours appropriée, que ce soit celle composée pour la série ou les morceaux choisis en contrepoint des images qui défilent.

Sur le fond, les arcs narratifs déployés tout au long des cinq saisons sont remarquables, avec un suspens savamment distillé, mettant en exergue des situations où la morale et les valeurs des personnages sont constamment maltraitées... Le tandem phare "Pinkman / White" entretient une relation équivoque qui sous-tend toute les intrigues, entre fidélité et mépris, erzatz de filiation et rejet épidermique. Tous les personnages entrants et sortants sont ciselés, fouillés, (Saul Goodman, Gustavo Fring), jamais accessoires... Quant au casting, si la performance de Bryan Cranston crève l'écran, Aaron Paul en Jesse Pinkman n'a jamais cessé de me bluffer, incarnant la fragilité de son personnage avec une justesse rare...

Pourquoi évoquais-je la crise au début de cette critique ? Parce qu'à mon sens, Breaking Bad est moins l'histoire d'un homme qui pète un plomb (ce n'est vrai que le temps de quelques épisodes dans la première saison) que l'histoire d'un homme qui rejette les valeurs d'une société qui ne fonctionne plus, qui ne peut pas le soutenir, à qui il a donné sans compter sans jamais rien recevoir en retour. Animé d'un orgueil allant toujours croissant, Walter White rejette toute main tendue, veut vivre "son" rêve américain qui tourne au cauchemar, réussir seul, en dehors des limites imposées par la morale et accessoirement la loi.

Vous me direz, avec ou sans crise, l'histoire serait la même, mais je ne suis pas certain que Breaking Bad aurait une telle résonance sans ce contexte bien particulier que traverse notre époque depuis mi 2007 côté US. L'économie folle qui s'effondre, les valeurs positives du modèle américain qui battent de l'aile, la réussite court termiste se nourrissant du désespoir général...

Walter White refuse de mourir gentiment en laissant sa famille ruinée comme ce pays incapable de lui apporter des solutions le lui demande. Il décide de se battre, de "s'amoraliser" toujours plus afin d'échapper à l'inéluctable... Walter White est un homme en crise qui défie la défaite annoncée de son existence. Une existence qu'il a subi, qu'il reprend en main de façon la plus abjecte à son crépuscule.

A présent que la série est achevée, on peut légitimement qualifier Breaking Bad de chef d'oeuvre. Quoique prévisible, sa conclusion est orchestrée avec une maestria sans commune mesure ou presque (Dans des registres différents, The Wire et Six Feet Under atteignent des sommets équivalents où (a)moralité et émotion se confondent) qui marque durablement le spectateur. Jusqu'au bout, l'ambivalence du personnage de Walter White a persisté. Un formidable salaud sur lequel il est bien complexe de se prononcer, qui va hanter longtemps les futures productions de séries souhaitant s'inscrire dans ce registre.

Mashallah t’écris beaucoup

Le mec sort une argumentation détaillé à ton topic et tu lui sors une expression digne de twitter, merci de révéler ton QI

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