Rigast
2021-04-09 17:38:54
Le 09 avril 2021 à 17:21:47 :
il est né à l'époque des empires coloniaux où le racisme battait son plein
d'ailleurs beaucoup de natios fr ont du mal à accepter que cette époque soit révolue et c'est pour ça qu'ils sont aussi frustrés
ils n'admettent pas l'idée que des populations qui jadis baissaient la tête se mettent maintenant à la relever
Rifson toujours aussi abruti.https://image.noelshack.com/fichiers/2021/11/5/1616177140-ayahi-amiral-kizaruent.png
Pseudo7463
2021-04-09 17:40:36
Le 09 avril 2021 à 17:21:47 Rifson36 a écrit :
il est né à l'époque des empires coloniaux où le racisme battait son plein
d'ailleurs beaucoup de natios fr ont du mal à accepter que cette époque soit révolue et c'est pour ça qu'ils sont aussi frustrés
ils n'admettent pas l'idée que des populations qui jadis baissaient la tête se mettent maintenant à la relever
Beaucoup d'antifa bas de plafond qui fantasment sur le racisme d'antan surtout.
piloteenfuite
2021-04-09 17:43:22
Ayaa ce maitre coursehttps://image.noelshack.com/fichiers/2016/50/1481648617-benissoumasterrace.png
Marques d’affection décalées, manifestations de l’humour britannique ou remarques franchement déplacées, voire stupides : le prince Philip n’a jamais cessé d’alimenter un répertoire de gaffes dont les médias se délectaient, au point de publier un « best of » à chacun de ses anniversaires. Titulaire de centaines de titres honorifiques – comme chevalier de l’ordre de l’Eléphant au Danemark ou collier de l’ordre de l’Aigle aztèque au Mexique –, le duc d’Edimbourg aurait pu être aussi élevé au grade de prince de la bourde.
Lire aussi: Le prince Philip, époux de la reine d’Angleterre, est mort
Certaines de ses boutades manifestaient clairement une forme de condescendance aristocratique, voire de xénophobie ou de racisme impérial. Au président du Nigeria qui le recevait vêtu du traditionnel boubou, le prince lança en 2003 : « On dirait que vous êtes prêt pour aller au lit ! » A un aborigène, il demanda en 2002 : « Vous vous battez toujours à coups de lance ? » A un patron indien, lors d’une cérémonie célébrant la diversité du Royaume-Uni en 2009 : « Il y a beaucoup de gens de votre famille ce soir ! » « De quelle partie exotique du monde venez-vous ? », demanda-t-il à un lord d’origine jamaïcaine. « De Birmingham », lui répondit l’intéressé.
D’autres gaffes du duc d’Edimbourg n’ont pas dû faire rire ceux et celles qu’elles ont visés. A un groupe d’enfants sourds qui se tenaient près d’un orchestre de steel-drums dans les Caraïbes, en 2000 : « Vu l’endroit où vous êtes, ce n’est pas étonnant que vous soyez sourds », lâcha-t-il. Et l’on peine à croire qu’il ait pu dire en 2002 à une femme aveugle accompagnée d’un chien-guide : « Il paraît qu’il existe des chiens-mangeurs pour les anorexiques, maintenant ! »
Contrarier le formalisme de rigueur
La défense des armes à feu et des bonnes vieilles valeurs ont alimenté d’autres saillies du prince. Après un massacre dans une école écossaise et en plein débat sur l’interdiction des armes, il interrogea en 1996 : « Si un joueur de cricket fait irruption dans une école et tue plein de gens avec une batte, va-t-on interdire les battes de cricket ? » Il avait également affirmé que « les Anglaises ne savent pas faire la cuisine ».
Le prince consort était aussi connu pour sa manière particulière de saluer ses visiteurs et d’amorcer la conversation. « Que faites-vous ici ? », demanda-t-il à un rédacteur en chef du quotidien The Independent. « J’ai été invité, sire », répondit ce dernier. Cinglante, la réplique ne se fit pas attendre : « Vous n’étiez pas obligé de venir ! »
Certains interlocuteurs du duc d’Edimbourg tendaient d’ailleurs à interpréter avec indulgence ses rudesses langagières. Il ne s’agissait selon eux que de donner du relief aux innombrables échanges de banalités qu’imposait son titre. Les gaffes du prince seraient en réalité des blagues destinées à contrarier le formalisme de rigueur. L’histoire ne dit pas si la journaliste de la BBC qui, lors d’un banquet à l’Elysée, lui avait demandé si la reine appréciait son séjour à Paris, avait considéré comme une farce la réplique de Philip : « Quelle question idiote ! »