Miaouss_PAZ
2021-02-28 20:03:50
Je faisais mes courses tranquillement pour faire le dîner de ce soir vu que je reçevais des amis. Je remplissais tranquillement mon caddie quand soudain, j'ai senti comme une déflagration lointaine et sourde au plus profond de mes entrailles, ce qui ne manqua de faire vibrer tout mon corps.
Je sentais que le barrage allait céder. A tout moment, une brèche pouvait se créer. J'avais beau faire des mouvements respiratoires avec mon anus pour me faire remonter le flot de merde, ça n'avait aucun effet.
J'étais en sueur, j'avais de la fièvre, mal au ventre, j'étais trop mal. Je voulais aller à la caisse, toute pleine sauf une. Je me mis soudainement à accélérer, ce soudain mouvement de translation rectiligne accéléré libéra une petite pépite. J'arrivais à la caisse quand une vieille me passa devant au ras du nez. Dans ma tête, j'explosais mais j'essayais de me retenir. Bref, au moment de payer cette conne commence à sortir un rouleau de coupon de promotion digne d'un paquet de PQ Lotus XXL.
"Excusez-moi mademoiselle, j'avais ces coupons de réduction, pourriez-vous me les déduire de la somme s'il vous plait."
"Mais ils ne sont plus valables madame."
"Ah bon, vous êtes sûrs. Laissez-moi prendre mes lunettes dans mon sac."
J'avais réussi à colmater la brèche et à fermer hermétiquement mon cul pour un moment de répit. Mais la vieille ne daigner se magner le cul.
"Bouffe les tes coupons vieille bique et retourne donc te doigter sur Derrick!" grommelais-je.
Elle se retourna.
"Pardon, c'est à moi que vous parlez jeune homme?"
Putain, je l'attendais de manière trouble et lointaine la vieille, c'était comme si la merde m'était monté au cerveau pour sortir par ailleurs. J'atteignais les 40°C de fièvre, je commençais à voir trouble et je sentais que je perdais le contrôle sur mon sas anal. Discrètement, je me glissais un magazine Télé Z dans mon pantalon pour venir obstruer mon cul qui commencait à sentir des relents de cssoulet et raclette Richemont.
Soudain, il y eut une deuxième déflagration et un pet foireux dont je n'avais même pas soupçonné l'arrivée imminente. Je sentis que la couverture du télé Z avait absorbé en grande partie le choc mais combien de temps avant que le télé Z ne soit entièrement dépassé par les évènements lui aussi. Je me rappelais soudain la face innocente du chien sur la couverture, qui devait à présent être souillé jusqu'à la truffe d'une éruption volcanique
Impossible de rester plus longtemps à cette caisse, trop tard pour fuir, je devais chier et je devais chier dans Auchan au milieu de cette jungle.
Décidé à fuir, je fis demi-tour à l'arrache avec mon caddie un pe utrop rapidement et la roue se coinça soudainement dans la jante de la roue d'un fauteuil roulant.
Pris de panique, je secouais mon caddie comme une brute épaisse pour en dégager la roue qui visiblement rester coincé.
"Mais putain de merde de conne de roue, mais bouge de là toi avec ton bolide! hurlais-je sur l'handicapé moteur.
Ce dernier, effrayé, gémissait de plus en plus fort.
"Euuugneuuu gueugueugneugneu".
"Putain mais ta gueule et aide-moi ducon sinon on court tous à la catastrophe!"
Je secouais mon caddie comme jamais, le fauteuil roulant menacer de se renverser. Les gens, visiblement choqués, s'attroupaient autour de nous.
Une femme arriva subitement.
"Non mais ça va pas! cassez-vous ou j'appelle la sécurité! Vous effrayez ce petit"
Pas le choix, je lâchais mon caddie qui restait tjs coincé dans le fauteuil roulant de l'autre débile et je me barré en courant.
Soudain, je vis un magnifique saladier.
"Pas le choix Herculos, t'as déjà fais du gâteau au chocolat, c'est à peu près la même chose".
Hop, j'attrape le saladier à la vitesse du son et je cours dans le rayon vêtement, me cacher derrière les lignes de pantalon.
Serein, je défis mon pantalon, complètement empêtré dans la merde. Je me mis accroupis, tenant le saladier en réceptacle pour ma pêche. Soudain, j'entendis une voix douce et fine. Deux filles apparurent, magnifique. L'une brune et l'autre châtain. La châtain, Lisa de ma promo
La fille de mes rêves
Un pet foireux m'arrachait soudainement de mes pensées. Hélas, comme dans MGS2 avec les points d'exclamations, les filles furent alertés.
"C'était quoi ce bruit?"
"Je sais pas, ça venait des pantalons."
Impossible de me retenir plus longtemps, je devais les faire fuir sinon j'étais foutu pour la rentrée prochaine. Un deuxième pet, plus long, plus aigu, plus sifflant et plus strident s'éleva. Le problème, c'est qu'il aurait pu rester discret si le saladier n'avait pas agi comme caisse de résonnance. Les filles avaient spotted ma planque. Pas le choix Herculos, désolé Lisa.
Je me saisis de mon pantalon et le jetais au visage de ma tendre aimée. Je ne l'avais pas manqué, le visage souillait, elle ne comprit pas tout de suite. Puis elle hurla, hurla tellement fort que j'en profita pour me vider du gaz accumulé dans le rectum.
Ouf, elles sont parties. Je pouvais enfin en terminer avec cette sordide histoire tout en imaginant déjà le pavé que j'allais pondre sur le 18-25
Alors que mon saladier était déjà à moitié rempli, une petite main tâtonnait les pantalons. Un putain de gosse de merde s'amusait à déplacer les pantalons, menaçant de me révéler u grand jour. Paniqué, je tenais d'une main le saladier tremblant tandis que de l'autre, j'essayais de colmater les brèches que cet enfant persistait à crée. Il se mit à glousser de rire et pensait à un jeu car il augmenta la cadence. J'étais épuisé, le bras à feu. Le saladier tremblait de plus en plus et de ce fait, je commençais à dévier la trajectoire de chute. Je commençais à me chier dans les mains et à chier par terre.
"Mais dégage conard de merdeux.C'est vraiment pas possible de chier en paix? ("> ".
Bordel, j'arrivais pas à tenir la cadence. Soudain, mes pieds glissèrent sur une trainée par terre, je retombais sur le sol, plein de merde, et je rattrapais le saladier de justesse. Soudain l'innocent enfant me voyait vautré dans ma merde, j'étais paniqué, ma vie était foutu. Je voyais déjà les journaux déformaient la vérité avec leur version:
"Un homme de 20 ans, gourou d'une secte scatophile, cherchait à instruire à un enfant des rites paiens scatophile dans les rayons ésotériques d'un Auchan"
Dans ma tête, je me disais: "pitié ta gueule! n'hurle pas, ne détruit pas ma vie, je suis en fac de cuisine, j'ai de l'avenir "
Soudain, il se mit à hurler, pleurer. Mon seul réflexe a été de lui foutre le saladier sur la tête. Alors que j'allais pour fuir, une silhouette immense apparut:
"Non mais sale pervers de merde, attends tu vas voir."
C'était le père, il essaya de m'attrapa mais glissa et tomba dans la merde où j'étais moi aussi jusqu'au cou.
"Gneeeuuuargll......Raaaahhh putain mais c'est dégueulasse, c'est quoi toute cette merde! ("> ".
Je pris mon pantalon dans les mains et me mit à courir à travers tout Auchan. Saisissant une laitue bien fournie, j'en profitais pour me torcher avec sous le regard traumatisé de Jean-Pierre Coffe, le vrai l'authentique.
"Mais c'est de la merde! S'exclama t-il soudain alors qu'il reluquait des topinambours. Mais qu'a t-il fait avec cette mignonne petite salade?"
Soudain, il se mit à me poursuivre. J'arrivais à la caisse et j'entendis:
"C'est lui, c'est ce pervers!"
Je voyais le visage de Lisa. Je me mis soudainement à éclater en sanglot alors qque je prenais la fuite, poursuivis par Jean-Pierre Coffe et trois caissiers du Auchan