Toi, fiers mâle alpha ou souffre-douleur, peu importe qui tu es ! Pendant le temps que dure une levrette nous sommes tous des seigneurs de guerre. Ta virilité se cristallise, tu es le dominant, le maître de se bout de viande prosternée à 4 pattes devant toi. Tu la sens soumise à toi et tu as bien raison car elle l’est ! Pourquoi serait-elle nue en face de toi sinon ?
Agenouillé tel un guerrier grec, tu regardes avec un plaisir accapareur le corps de ta femelle tel un présent qui t’est offert. En face de toi, se dresse son corps nu sur lequel tu peux apprécier sa délicieuse paire de fesses agrémentée de ses formes féminines qui libère en toi des instincts primaux. Son postérieur est à toi, tu peux en faire ce que tu veux. En contrebas, tu vois trôner son vagin, véritable fort à assiéger, gouverné par un souverain étrillé qui à la vue de votre pièce, sans appel, ouvre l’impénétrable cuirasse que forment ses lèvres charnues aux teintes rosées tels les pétales d’une rose à la première rosée du matin. Ton pénis, non ton dard que dis-je ton rostre reproducteur se dresse. Rien n’est plus éminent que le sexe masculin et je défie le sexe faible de pouvoir dresser leur sexe à la seule force de leurs pensées.
En face de toi, ce n’est plus une femme mais une catin. Tu te dis quelle honte de laisser son vagin en pâture ! Tant pis pour elle, si elle ne fait pas preuve d’amour propre, toi tu ne vas pas te priver pour la pénétrer. Quatre milliards d’années d’évolution se sont écoulées pour aboutir à cet organe de soumission. Organe passif, fait pour être perforé et recevoir la semence… ta semence.
Du premier coup, ton pénis rentre. Ce n’est pas agréable dès les premiers assauts car malgré les sécrétions qui s’écoulent de son vagin, tu sens une petite résistance. Tu recules ton rostre et tu reviens à la charge tout doucement. Non pas par respect pour ta partenaire car tu n’en n’as aucun, sinon pourquoi la prendrais tu en levrette ? Non la raison t’est plus personnelle, la douleur t’est gênante lorsque tu tapes sur cette barrière imperceptible. Néanmoins, suite à ta détermination sexuelle infaillible mélangée à l’excitation de ta partenaire, le coup fatidique s’en suit très vite et ton rostre par un élan homérique assiège la dernière poche de résistance, telle la tête de loup éventrant la porte de Minas Tirith. Cette barrière dérobée, tu as accès à la partie profonde de son vagin, véritable place stratégique pour ton éjaculation. Tes sécrétions séminales qui suintent de ton prépuce gonflé de plaisir se confondent dans ses sécrétions vaginales. Ton pénis est ancré, plus rien ne peut compromettre ton projet.
S’en suit des coups de pénétration frénétiques. Ton gland embrasse ses parois vaginales de plus en plus fort. Le rostre glisse sur ses parois vaginales à chaque à-coup tel la coque d’un drakkar glissant sur l’eau. Chaque pénétration est motivée par le gémissement de ta captive. Mais comme tout général de guerre, tu es confronté à un problème de taille. Son vagin est en train de se foutre littéralement de ta gueule. Il te provoque et te met au défi. «Tu me défonces là ?» entends-tu au loin. S’en est trop, tu dois lui faire payer son insolence. Tu l’as pénètre de plus en plus fort, de plus en plus vite et toujours plus profondément. Cette fois tu n’entends plus aucune vocifération, son vagin étouffé par ton sexe ne dit plus mots. Ses seins, si ils sont assez longs, applaudissent au rythme maniaque des tiraillements de cette joute bestiale. Ton pubis cogne et gronde sur son fessier replet. Ta position t’autorise à admirer la chorale physique qui s’orchestre. Quant à elle, dans sa position, elle ne peut te regarder. De toute façon elle n’en n’a pas besoin. C’est toi qui doit jouir pas elle. Elle ne fait que s’offrir à toi. Tu vois tout d’elle et c’est tout ce qu’on demande pour une levrette. Une règle primordiale en levrette, est de ne pas être emmerdé pendant l’acte car une éjaculation requiert concentration. De toute façon à quoi pourrait-elle penser ? A vous 2, vous baladant au bord d’un lac ? A des câlins ? Le fait de te penser amoureux d’elle l’excite ?... Pensées naïves et triviales. Toi tu ne penses qu’à une chose : Littéralement défoncer son vagin et éjaculer dedans. C’est convenu pour ça et tu ne vas pas te gêner.
Après t’être suffisamment repaitre, tu sens cette petite chaleur qui te chatouille le fond de ta prostate. Tu le sens que ça va venir. La fréquence de tes pénétrations s’accélère tout en étant accompagnée d’une vigueur que Freud qualifierait de sauvage. Tes muscles fessiers se contractent comme si les cellules de ton corps savaient que ce moment était important pour toi. Tes mains tiennent fermement les hanches et caressent de temps en temps ses fesses. Cette sotte ne se rend même pas compte que tu vas éjaculer en elle. Elle est encore dans ses rêves de gamines. Cette chaleur rayonne de plus en plus fort. Tu viens à imaginer ta petite armée microscopique se préparer à assiéger l'ovaire de ta proie. Ton éjaculat va venir arroser son vagin fané par la fatigue.
Ta proie n'est plus qu'un sac à foutre pour toi. Ton visage ne peut s’empêcher d’échapper des rictus.
C'est bon ça arrive ! La chaleur traverse ton pénis ! Par un réflexe primaire hérité de tes ancêtres primitifs, tu l'as tiens bien fermement, tes bras encerclant solidement son ventre pour éviter «au cas où» qu'elle ne s'enfuie et tu enfonces le plus profondément ton rostre reproducteur au fond de son vagin. Dans sa cavité vaginale, c’est l’hécatombe. Ton sperme prisonnier depuis un long moment se déferle tel un torrent destructeur. Ne te justifie pas de la violence de ton éjaculat, si elle te vidait régulièrement les couilles, tes colères seraient moindre. Pour toi, un dernier petit va et vient pour bien disperser ta semence dans les parties encore épargnées. Ses tétons sont durs et de petits cratères ont émergé autour, ils servent initialement à humidifier ses tétons pour l’allaitement mais apparaissent aussi lorsque leur propriétaire est excitée. Elle comprend rapidement que tu as déposé en elle. Elle doit sentir la chaleur de ton foutre lui réchauffer les parois vaginales. Elle acquiesce un petit gémissement pour te faire comprendre qu’elle a bien reçu ta semence.
En conquérant victorieux, tu ressors ton vigoureux rostre reproducteur dont le bout laisse libre une petite goute de sperme. Le trou dans son vagin laissé par le retrait de ton rostre se referme tout doucement, tel des rideaux d’opéra marquant la fin d’une pièce exquise. Quand tout d’un coup, tu entraperçois un liquide blanc coulé de son orifice. C’est ton sperme mon grand ! Quel fierté de voir TON sperme couler de son vagin. Tel un fleuve, ta semence s’écoule en suivant les sillons qui ornementent ses lèvres pour finir s’écraser sur sa culotte encore présente au niveau de ses genoux. Ses lèvres sont encore dilatées et grandes ouvertes. Tu rêvasses sur ce que tu viens d’accomplir. Tu sondes ton esprit. Une partie de toi-même se demande comment les femmes peuvent-elles supporter cette soumission. Une partie plus magnanime de toi, remercie les parents de cette fille de l’avoir mis au monde. Merci à cet homme et cette femme de s’être aimé car sans cet amour, la fille sur laquelle tu t’es vidé les couilles n’existerait pas. Tu la vois se relever exténuée. Tu l’as toise avec un peu de mépris. Tu as tout fait ! La seule chose qu’elle a fait c’est se mettre à 4 pattes et te donner son vagin en pâture puis gémir de temps à autre. Néanmoins tu t’es vidé les couilles et c’est ce qui compte.
D’ailleurs, tu ressens une certaine satisfaction à la voir se rhabiller pour aller au collège en sachant qu’au plus profond d’elle se cache une partie de toi encore vivante tel un horcrux et dont ses parents et ses camarades de classe ne soupçonneront même pas.
Alors les kheys, ça parle à des gens ses sensations qu’on a tous eu au moins une fois dans sa putain de vie ?
Changes rien surtout t'es au top
Les plus belles années de ta vie sont en train de défiler devant ta fenêtre et tu végète comme un gros glaire au fond d'un évier
Pour sur ta mère doit être fière de toi. Des heures de souffrances en couche pour se retrouver 32 ans plus tard à plier le linge de la flaque brunatre qui a coulé hors d'elle
Tu bois le sang de la société, vole le pain de ceux qui sont vraiment dépendant et en plus tu en fais un topic "gneugneu regardez comme je crains", comme un enfant de 2 ans qui étale son caca sur les murs et trouve ça magnifique.
Sauf que tu as 30 ans de plus. Un putain de poids mort de 32 ans qui masque sa fragilité derrière sa "phobie sociale". T'es inadapté et sans volonté, inutile et transparent.
T'as cru que les copines de ta mère venait boire le thé? Elles sont en visite au zoo khey. Tout les jours elles se rassurent de pas avoir pondu un parasite en venant admirer le spectacle de ton immobilisme
T'es un antidépresseur pour elle, en te voyant elles comprennent la chance qu'elles ont.
Mais la nature fait parfaitement les choses puisque tu ne te reproduiras sûrement pas. Ta génétique fait fuir les femelles et ta mère est déjà ménopausée.
Nope khey, c'est le chant du cygne de ta lignée, le dernier crépitement de ton sang, alors profites en bien, tire encore 2-3 feux d'artifice et oublies pas de fermer la porte en sortant.
magnifique
Le pavé Gibbon
Bien moins connu que ses congénères tels que le gorille
Une telle sagesse émane de leur regard...
sens de la vie et que cela les rendaient tristes.
Mais rassurez-vous le gibbon n'est pas là pour s'apitoyer sur son sort. Que nenni !
Des qualités physiques exceptionnelles
Une intelligence hors du commun
Un sang froid légendaire
Un sens de la famille surdéveloppé
jungle de demain
C'est ÇA le Gibbon !
En outre le Gibbon apprécie également les moments de détente; se poser dans un parc et écouter le chant des oiseaux
A noter que le Gibbon est très tolérant: ainsi Noir et Blanc cohabitent parfaitement ensemble
Par ailleurs, sur le plan inter-espèces, le gibbon est également un exemple de fraternité; le fédérateur de la jungle j'aime à l'appeler
Il a su également intégrer parfaitement les coutumes humaines aux siennes
Et dites vous que ce n'était qu'un court aperçu de ce que le gibbon pouvait nous offrir, il nous réserve encore bien des surprises ça c'est sûr
Qui va en boite?Des prolétaires qui se cotisent pour acheter une bouteille hors de prix (bien d'acheter un truc qui vaut 5 fois le prix en magasin?). Des crasseuses avec un CAP coiffure qui bougent leurs culs devant les CAP maçon et plomberie, les kéké en t shirt guess et armani chinois, dansant sur des musiques sans recherche.Et qui ensuite rentrent chez eux en ramenant une de ses crasseuses dans leur lit et postent leurs photos de "soiré tro fréch oLLLLOOOOLLL" avec des effets de lumière en cherchant une reconnaissance sociale pour combler leur misère intellectuelle
Quels sont vos arguments les boiteux? Et autre que "bah pour samuser lololol" .
Vous y allez pour la musique? Bien vos goûts musicaux plus que discutables ? Pour vous frottez à des trainées? Bien la fierté d'avoir mis votre Z dans le V pleins de MST d'une fille affaiblie par l'alcool ( en plus d'être affaiblie de naissance) ? Faire popopopopopopoooo fièrement avec vos potes? Vous n'aimez pas les boites mais vous y allez quand même sous la pression sociale ( autrement dit vous êtes faibles et suivez le mouvement plutôt que d'assumer vos préférences car faire le mâle alpha vous laisserait seul le samedi soir? Autre raison?
Et me répondre "lolololol tu va pa dan lé bonn boite mdr" n'est pas dans votre intérêt car cela ne fait que grossir mon argumentaire déjà considérable. Pourquoi? Car vous avouez de ce fait que la majorité des boîtes sont conformes à ce que j'ai décrit, et vous tentez de réhabiliter l'ensemble en mettant en avant les quelques boites de luxe que vous estimez potable (à Paris, Berlin ou Londres hein) . L'arbre qui cache la forêt.
Le 25 août 2019 à 15:31:24 Hirondelled a écrit :
Pavé Buffalo
Chaque fois que je vais dans le Buffalo de ma ville, je pars du principe que je suis déjà mort.
La surprise nous attend à chaque poussée de porte pour entrer manger.
Hier d'ailleurs, je suis allé manger là bas le soir, au soleil couchant.
En entrant dans le Buffalo, j'avais cette musique dans la tête. Mettez là pour vous imprégner dans l'ambiance:Je franchis donc la porte. Une dizaine de personnes mangeaient à l'intérieur. Quatre d'entre eux étaient au bar, à boire des pintes de bière, pendant qu'un serveur nettoyait une chope. Ils se sont tous retournés vers moi quand je suis entré.
J'ai gardé mon chapeau (on garde toujours son chapeau à Buffalo), je suis allé droit vers le bar, avec une démarche lente. Puis j'ai dis au serveur: "Whisky..."
Il me l'a fait glisser le long du bar puis je l'ai bu d'une traite.
"Je vais prendre la table 10..." ai je dit d'un ton grave.
Les quatre types accoudés au bar me regardaient d'un air tendu. L'ambiance était pesante.Un d'eux s'est approché de moi alors que je m'attablais.
"C'est moi le serveur aujourd'hui...étranger..." a t'il dit.
"Ah...dommage" ai je dit en consultant la carte.
"Pourquoi donc, amigo?" a t'il demandé en me dévisageant.
"Je suis un habitué, pied tendre, je sais que les petits nouveaux de ton genre font mal leur job... tu comptes bien faire ton job, amateur?" ai je dit en le défiant du regard.
"Modère tes propos l'étranger...ça pourrait vite déraper."
Je n'étais guère intimidé. J'ai annoncé ma commande: "Un steak trois poivres grillé..."
"Quelle cuisson?" a t'il demandé d'un ton rauque."
J'ai répondu: "J'aime la cuisson de mon steak, comme le sort réservé à mes victimes..."
"C'est à dire?" a t'il dit d'un air étonné.
"Saignante..." ai je répondu simplement en mettant la main sur mon holster.
"Je...j'apporte ça...étranger" a t'il répondu d'un air légèrement apeuré.Si j'avais joué au cowboy nerveux dés le début, lui et ses potes du bar m'auraient plumé. J'y suis allé au bluff. L'air mystérieux. J'ai même eu une réduction sur la tarte au pomme en dessert. Je suis même reparti avec une fausse coiffe d'indien après avoir joué sur les bornes d'arcade de Crazy Taxi à l'étage.
Buffalo Grill, ça rigole pas.
Oui lui je l'adore ... il me fait bien rire
Le 25 août 2019 à 15:31:24 Hirondelled a écrit :
Pavé BuffaloChaque fois que je vais dans le Buffalo de ma ville, je pars du principe que je suis déjà mort.
La surprise nous attend à chaque poussée de porte pour entrer manger.
Hier d'ailleurs, je suis allé manger là bas le soir, au soleil couchant.
En entrant dans le Buffalo, j'avais cette musique dans la tête. Mettez là pour vous imprégner dans l'ambiance:Je franchis donc la porte. Une dizaine de personnes mangeaient à l'intérieur. Quatre d'entre eux étaient au bar, à boire des pintes de bière, pendant qu'un serveur nettoyait une chope. Ils se sont tous retournés vers moi quand je suis entré.
J'ai gardé mon chapeau (on garde toujours son chapeau à Buffalo), je suis allé droit vers le bar, avec une démarche lente. Puis j'ai dis au serveur: "Whisky..."
Il me l'a fait glisser le long du bar puis je l'ai bu d'une traite.
"Je vais prendre la table 10..." ai je dit d'un ton grave.
Les quatre types accoudés au bar me regardaient d'un air tendu. L'ambiance était pesante.Un d'eux s'est approché de moi alors que je m'attablais.
"C'est moi le serveur aujourd'hui...étranger..." a t'il dit.
"Ah...dommage" ai je dit en consultant la carte.
"Pourquoi donc, amigo?" a t'il demandé en me dévisageant.
"Je suis un habitué, pied tendre, je sais que les petits nouveaux de ton genre font mal leur job... tu comptes bien faire ton job, amateur?" ai je dit en le défiant du regard.
"Modère tes propos l'étranger...ça pourrait vite déraper."
Je n'étais guère intimidé. J'ai annoncé ma commande: "Un steak trois poivres grillé..."
"Quelle cuisson?" a t'il demandé d'un ton rauque."
J'ai répondu: "J'aime la cuisson de mon steak, comme le sort réservé à mes victimes..."
"C'est à dire?" a t'il dit d'un air étonné.
"Saignante..." ai je répondu simplement en mettant la main sur mon holster.
"Je...j'apporte ça...étranger" a t'il répondu d'un air légèrement apeuré.Si j'avais joué au cowboy nerveux dés le début, lui et ses potes du bar m'auraient plumé. J'y suis allé au bluff. L'air mystérieux. J'ai même eu une réduction sur la tarte au pomme en dessert. Je suis même reparti avec une fausse coiffe d'indien après avoir joué sur les bornes d'arcade de Crazy Taxi à l'étage.
Buffalo Grill, ça rigole pas.
ayaaa
Le pavé EUSSOU
Le pavé l'odeur des chattes
Le "Ecoute mon petit pote"
le pavé bigflo et oli me fait mourir tellement il pue la haine
Le pavé "une 10/10 va faire cliquer les kheys sur ce topic", je suis tombé en dépression à cause de ça
"Hey ! Salut... J'espère que cette lettre te donnera autant de joie que j'en ai eu à l'écrire.
Pose toi 5 minutes sur ton lit, ne fais rien d'autre pendant la lecture de cette lettre. Ouaip, faisons comme ça. Maintenant j'aimerais que tu me dédies quelques minutes de ta vie parce que c'que j'vais te dire là est super important.
T'sais ça fait maintenant 6 mois que j'te connais et même si nous n'étions pas les collègues les plus proches du monde au début... Et bien... Comment dire... J'trouve qu'on s'entend plutôt bien actuellement, j'aime bien venir te parler même si on s'capte que très rapidement dans la journée.
J'voulais te dire que j'comprends ta méfiance envers les gars, des gros cons j'en ai connu malheureusement... Mais j'sais aussi que ça ne sert à rien de se comporter comme eux car ils n'apportent que du malheur à leur entourage... J'sais que je ne suis pas comme eux mais qu'il est difficile de te l'prouver alors je t'invite à me connaître plus en détail et tu verras qu'avec le temps j'peux être quelqu'un de bien, drôle et attentionné (veuillez rayer la mention inutile, j'rigole).
En tout cas j't'apprécie vachement pour ce que tu es, c'que tu apportes, tes discussions, ton rire, ton humour, j'ai envie d'te connaître ouais, j'ai envie d'en apprendre plus sur toi.
C'pas une déclaration d'amour je t'arrête tout de suite... Mais si tu m'donnes l'opportunité de te connaître et bien peut-être que je t'en ferai une dans les mois à v'nir pourquoi pas...
J'espère que tu répondras positivement à cette demande, t'sais t'es pas obligée d'écrire une lettre pour me répondre, de toute façon qui fait ça aujourd'hui... Écrire des lettres... J'déconne j'sais qu'on se reverra la semaine prochaine au travail alors j'espère qu'on aura l'occasion d'en discuter.
Mais ça c'est si j'ai les cojones de t'envoyer cette lettre parce que ouais je l'ai déjà écrite mais j'ai peur, peur de ta réaction, peur du refus, peur du malaise, peur de m'être trompé sur tes sentiments, sur mes sentiments. En tout cas si tu la lis sache que j'ai fait un gros effort pour toi et ça c'est bien la preuve que je t'apprécie, ouais."
Le pavé cul les kheys
Avec les citations selon la meuf , la pomme de rosch hachana , le burger américain