Ici on fait la liste des privilèges féminin
Le 06 mai 2021 à 15:20:15 :
Le 06 mai 2021 à 15:13:55 Gougere a écrit :
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Dans les milieux mixtes (type bureau) les femmes sont beaucoup plus chouchouté par leurs collèges, pareil dans le milieu universitaire que je connais mieux
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Ca je n'en doute pas, mais je ne connais pas trop ces métiers là, pour ça que je ne parle que des métiers de l'artisanat, des milieux physiques, des métiers manuels, et crois moi que dedans on nous fait pas trop de cadeaux. Déjà car tu as toute une part de métier physique et plutôt féminin dont les gens se foutent royalement, et dans les autres milieux on doit souvent justifier notre place. Même si sur ce dernier point les mentalités changent car il y a de plus en plus de femmes dans les métiers de l'artisanat et de moins en moins d'hommes. Mais sinon on te fait pas trop de cadeau et tu es loin d'être chouchoutée, ou alors quand on te chouchoute c'est plus pour se foutre de ta gueule car tu es la "gonzesse"
Apres ma mère et mon père sont des prolos, donc je connais aussi ce milieu et oui tu as raisons, mais je peut comprendre pourquoi les hommes exerce une pression sur les femmes dans ce genre de boulot.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Je suis plus partagée, en un sens je peux comprendre quand on nous met cette pression, car c'est vrai qu'il y a quelques quiches, mais de l'autre il y a une tendance de certains hommes à l'appliquer à toutes les femmes de bases et surtout une hypocrisie de leur part à ne pas voir qu'ils ont une floppée de branquignoles dans leurs rangs aussi.
Donc devoir prouver que tu as ta place, et savoir qu'au moindre faux pas on va pas te rater, c'est très vite lourd.Apres je pense que c'est du genre " tu as la prétentions de faire le même boulot que nous, alors n'espère pas de traitement de faveur" , après oui c'est assez hypocrite, mais je peu comprendre que tu n'es pas envie que quelqu'un fait le même boulot que toi puisse avec des traitements de faveurs ou pense en voir le droit. En tout cas je sais que chez les pompier/ armée/ police ça soule parfois les mecs de voir des filles faire des entrainement et des sélections moins physique pour au final avoir le même salaire/ responsabilités .
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png
Il y a de ça et surtout du qu'est ce que tu fais ça alors que t'es une nana. Sous-entendu tu n'as pas à faire ça et tu es surement nul pour le faire. C'est ces réflexions qui vont vite saouler, en plus ça t'obliges à être désagréable parfois car t'es obligée de répondre au bout d'un moment et donc là tu as le droit au nouveau type de réflexions à base de pour qui elle se prend, putain les gonzesses toujours là pour casser les couilles, toujours les nanas qui foutent la merde, quelle connasse celle la, et j'en passe 
Pour le deuxième morceau de ton message, je suis d'accord, ça devient compréhensible car sélections moins dures chez nous, et certains aiment le rappeler. Par contre ce sont souvent les mêmes qui oublient qu'ils sont bien content d'avoir une fille dans le groupe pour faire certaines tâches.
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommes
Non mais tkt une femme de ménage a autant de pénibilité qu'un homme au front ou qu'un mec au chantier, c'est tout aussi physique n'oublie pas l'égalité homme femme 
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.
Les hommes et les femmes actuels sont le fruit de millions d'années d'évolution et de différences forgées par la vie en milieu naturel.
En très peu de temps on a complètement changé de vie mais de nombreuses différences subsistent, du coup les femmes ont certains avantages et les hommes idem.
Les féministes et incels sont les mêmes, des gens aigris qui sont persuadés qu'il auraient réussi en étant de l'autre sexe parce que c'est plus facile. La vérité c'est qu'ils auraient raté leur vie de la même façon et intégré le camp d'en face.
Tout ça c'est du vent, si tu as du courage et de l'abnégation tu réussiras ta vie que tu sois un homme ou une femme
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommes
Risque et force physique oui, pénibilité, pas tellement non.
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Le 06 mai 2021 à 15:01:30 -Soljen- a écrit :
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Le 06 mai 2021 à 14:50:49 :
Le 06 mai 2021 à 14:49:02 fufunette a écrit :
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Il les a guidé sur le chemin de la grandeur
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/51/3/1545254221-lucoa-coffee-copie.png Bordel, même dans les milieu ou vous êtes majoritaire, vous avez quand même besoin des hommes. Vous feriez quoi sans nous
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/50/1482000512-onsecalmerisitas.png Après ça reste un effet du néo-libéralisme. Au XVIIIème et au XIX, nombre des mouvements de révoltes (y compris dans la Révolution Française) étaient paradoxalement initiés par des femmes, lesquelles géraient le porte-monnaie du ménage, et voyaient donc avant les hommes, quand une situation devenait "invivable".
Maintenant, c'est un peu plus compliqué. Mais je dois me tirer j'ai à faire.Preuve ? Parce que moi j'ai plus l'images des femmes qui ne savent justement pas gérer leurs argents (ou celui des autres) et puis les femmes me semble bien moins s'intéresser au question sociales car elles sont peu politisés justement.
https://image.noelshack.com/fichiers/2016/50/1482000512-onsecalmerisitas.png Un exemple au pif : La marche des femmes (https://fr.wikipedia.org/wiki/Journ%C3%A9es_des_5_et_6_octobre_1789#La_marche_des_femmes). Surtout des poissonnières, etc. En gros, à l'époque, c'était les femmes qui allaient au marché. Donc elles y allaient, discutaient, voyaient les prix qui enflent, comptaient leur thune... et pétaient un cable. Elles ont été à l'origine de pas mal de mouvement dans la Révolution Russe, également.
J'ai l'impression que c'est très différant aujourd'hui alors, surement un embourgeoisement des femmes et l'avènement de la femme enfants qui est sur consommatrice
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Un mélange de facteurs, la société a beaucoup changé, le féminisme qui a fait de bonnes choses mais aussi de gros dégâts. Avant les femmes tenaient plus ces choses car c'était normal, les tâches étaient divisées ainsi car c'était nécessaire pour faire tourner les foyers, et aussi car elles n'avaient pas trop le choix que d'accepter ça. Autre temps autres mœurs.
Maintenant il n'y a plus le besoin de diviser les choses comme ça et on a le droit et la possibilité de choisir et d'être indépendante, ce qui change les choses.C'est même plus un choix d'être indépendant j'ai envie de dire, un seul salaire ne permet plus de faire vivre un couple, donc bon. Apres des femmes qui souhaitent faire un bon mariage pour ne plus travailler ça existe encore.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Si le choix de l'indépendance reste quand même présent. Et le mythe de la femme qui travail pas, c'est un mythe du XX siècles, les femmes ont toujours travaillé, partout, sauf que bien souvent nos salaires n'étaient pas pour nous et qu'on n'avait pas le droit de gérer nos propres revenus
Je sais que la femmes travailles depuis longtemps (ferme, manufactures), c'est d'ailleurs pour ça que les féministes qui disent que c'est grâce à elles que les femmes travaille, ca me fait doucement rire (c'est surtout la bourgeoise qui travaille grâce à elle). Mais pour avoir était en fac d'histoire j'avais justement étudié un chapitre sur ca qui expliquer que les femmes prolos voulais justement faire un bon mariage pour ne plus travailler à l'usine (à l'exception des fermes)
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Je crois qu'on aurait toutes fait pareilles à l'époque, ou même encore maintenant pour certaines, si le bon mariage peut t'éviter de bosser dans un truc de merde, il serait dommage de s'en priver. Ca devait être encore plus vrais à l'époque.
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Les hommes et les femmes actuels sont le fruit de millions d'années d'évolution et de différences forgées par la vie en milieu naturel.
En très peu de temps on a complètement changé de vie mais de nombreuses différences subsistent, du coup les femmes ont certains avantages et les hommes idem.Les féministes et incels sont les mêmes, des gens aigris qui sont persuadés qu'il auraient réussi en étant de l'autre sexe parce que c'est plus facile. La vérité c'est qu'ils auraient raté leur vie de la même façon et intégré le camp d'en face.
Tout ça c'est du vent, si tu as du courage et de l'abnégation tu réussiras ta vie que tu sois un homme ou une femme
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Le 06 mai 2021 à 15:13:55 Gougere a écrit :
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Dans les milieux mixtes (type bureau) les femmes sont beaucoup plus chouchouté par leurs collèges, pareil dans le milieu universitaire que je connais mieux
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Ca je n'en doute pas, mais je ne connais pas trop ces métiers là, pour ça que je ne parle que des métiers de l'artisanat, des milieux physiques, des métiers manuels, et crois moi que dedans on nous fait pas trop de cadeaux. Déjà car tu as toute une part de métier physique et plutôt féminin dont les gens se foutent royalement, et dans les autres milieux on doit souvent justifier notre place. Même si sur ce dernier point les mentalités changent car il y a de plus en plus de femmes dans les métiers de l'artisanat et de moins en moins d'hommes. Mais sinon on te fait pas trop de cadeau et tu es loin d'être chouchoutée, ou alors quand on te chouchoute c'est plus pour se foutre de ta gueule car tu es la "gonzesse"
Apres ma mère et mon père sont des prolos, donc je connais aussi ce milieu et oui tu as raisons, mais je peut comprendre pourquoi les hommes exerce une pression sur les femmes dans ce genre de boulot.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Je suis plus partagée, en un sens je peux comprendre quand on nous met cette pression, car c'est vrai qu'il y a quelques quiches, mais de l'autre il y a une tendance de certains hommes à l'appliquer à toutes les femmes de bases et surtout une hypocrisie de leur part à ne pas voir qu'ils ont une floppée de branquignoles dans leurs rangs aussi.
Donc devoir prouver que tu as ta place, et savoir qu'au moindre faux pas on va pas te rater, c'est très vite lourd.Apres je pense que c'est du genre " tu as la prétentions de faire le même boulot que nous, alors n'espère pas de traitement de faveur" , après oui c'est assez hypocrite, mais je peu comprendre que tu n'es pas envie que quelqu'un fait le même boulot que toi puisse avec des traitements de faveurs ou pense en voir le droit. En tout cas je sais que chez les pompier/ armée/ police ça soule parfois les mecs de voir des filles faire des entrainement et des sélections moins physique pour au final avoir le même salaire/ responsabilités .
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png Il y a de ça et surtout du qu'est ce que tu fais ça alors que t'es une nana. Sous-entendu tu n'as pas à faire ça et tu es surement nul pour le faire. C'est ces réflexions qui vont vite saouler, en plus ça t'obliges à être désagréable parfois car t'es obligée de répondre au bout d'un moment et donc là tu as le droit au nouveau type de réflexions à base de pour qui elle se prend, putain les gonzesses toujours là pour casser les couilles, toujours les nanas qui foutent la merde, quelle connasse celle la, et j'en passe
Pour le deuxième morceau de ton message, je suis d'accord, ça devient compréhensible car sélections moins dures chez nous, et certains aiment le rappeler. Par contre ce sont souvent les mêmes qui oublient qu'ils sont bien content d'avoir une fille dans le groupe pour faire certaines tâches.
La question et donc de savoir d'où viennent les préjuger, peut être de mauvaises expériences passés ? Honnêtement je ne sais pas. Apres totalement d'accord sur le fait qu'il y a beaucoup d'hypocrisie. Mais à titre d'exemple dans le milieu de l'informatique par exemple (je viens de la à la base) =, quand une fille à un soucis TOUT le monde rapplique pour l'aider à régler sont problème et pareil dans les études actuelles où j'ai vraiment l'impression qu'être une fille c'est cheat code. Néanmoins je suis totalement d'accord avec toi.
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommesNon mais tkt une femme de ménage a autant de pénibilité qu'un homme au front ou qu'un mec au chantier, c'est tout aussi physique n'oublie pas l'égalité homme femme
Tu sais que ça n'est pas un concours ? Qu'on peut reconnaître la pénibilité d'un métier sans pour autant occulter celle d'un autre ? Et même, encore mieux, distinguer les facteurs de pénibilité propres à chaque métier ?
Faut juste être abruti pour comparer un militaire en OPEX et une femme de ménage en entreprise, ou un ouvrier travaillant en fonderie avec un facteur. Pourtant chacun de ces emplois en ont, des facteurs de pénibilité, qui détruisent peu à peu les corps
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommesNon mais tkt une femme de ménage a autant de pénibilité qu'un homme au front ou qu'un mec au chantier, c'est tout aussi physique n'oublie pas l'égalité homme femme
Personnellement j'ai autant de respect pour l'homme au front que l'infirmière qui sera dans le camp à côté à pas dormir pendant des jours. J'ai autant de respect pour la femme à l'usine qui fait les 3 8 que l'homme qui soulève des sacs de 25kg à longueur de journée. Les deux en chient autant. Les hommes font juste les métiers exigeants plus de force physique car ils sont plus forts, et bien souvent ça implique des emplois parfois plus dangereux. Mais oui en terme de pénibilité, il y a pas eu un sexe plus épargné que l'autre. Te lever à 5h tout les jours pour t'occuper des bêtes, ou planter des clôtures sous le cagnard, homme ou femme, tu en chie autant.
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommesNon mais tkt une femme de ménage a autant de pénibilité qu'un homme au front ou qu'un mec au chantier, c'est tout aussi physique n'oublie pas l'égalité homme femme
Tu sais que ça n'est pas un concours ? Qu'on peut reconnaître la pénibilité d'un métier sans pour autant occulter celle d'un autre ? Et même, encore mieux, distinguer les facteurs de pénibilité propres à chaque métier ?
Faut juste être abruti pour comparer un militaire en OPEX et une femme de ménage en entreprise, ou un ouvrier travaillant en fonderie avec un facteur. Pourtant chacun de ces emplois en ont, des facteurs de pénibilité, qui détruisent peu à peu les corps
Ecoute, j'ai donné un avis sur un privilège féminin je me suis pris des attaques ad hominem par une hystérique.
Je parlais même pas de la pénibilité de base, j'ai parlé que quand une femme craque au boulot, elle attise généralement plus de sympathie que quand c'est un homme qui le fait.
Après c'est parti sur du n'importe quoi sans même répondre à mon postulat de base pour finalement me dire que les femmes font des métiers tout aussi physiques que les hommes.
La comparaison entre le milieu militaire et la femme de ménage vient du fait que la première personne ayant répondu avec agressivité à mon postulat m'a dit qu'une femme de ménage doit fermer sa gueule et bosser, que c'est un métier tout aussi physique qu'un métier manuel chez l'homme. Je lui ai dit que c'est pareil pour le militaire, il doit aussi fermer sa gueule.
Maintenant j'arrête de répondre à cette conversation qui est partie en hors sujet total.
Le 06 mai 2021 à 15:24:58 :
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Vous oubliez aussi que beaucoup de métiers "d'exception" sont plus facilement accessibles quand on est une femme qu'un homme grâce à la beauté et au physique, par exemple :
Métiers du cinéma (actrice)
Même si à mon sens, les arguments sur le fait que les femmes ont accès plus facilement aux relations sentimentales, amicales et amoureuses fait qu'à mon sens elles sont plus privilégiées que les hommes quand on sait que la majorité des dépressions c'est lié à l'isolement à la solitude chez l'homme.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png Je donnerais tout pour être une femme personnellement quand je vois ma vie actuellement, tout aurait été beaucoup plus simple et sans doute que mon harcèlement scolaire n'aurait jamais eu lieu.
https://image.noelshack.com/fichiers/2018/26/7/1530476579-reupjesus.png On croirait lire une féministe : "gneugneugneu si j'avais une bite ma vie serait plus facile"
L'herbe est toujours plus verte à côté
sauf que pour le coup il a raison , contrairement a ces dames qui déchanterai assez vite
Il essentialise, comme une féministe.
À les entendre les hommes formeraient un ensemble homogène, à vous lire les femmes formeraient aussi un ensemble homogène. Mais tout ça, c'est beaucoup plus nuancé.Malheureusement, la nuance est incompatible avec les raisonnements de merde
il y a des tendances , bien sur qu'il existe de la nuance .. mais on te parle de moyenne
Le 06 mai 2021 à 15:31:39 :
Le 06 mai 2021 à 15:25:33 :
Le 06 mai 2021 à 15:20:15 :
Le 06 mai 2021 à 15:13:55 Gougere a écrit :
Le 06 mai 2021 à 15:09:26 :
Le 06 mai 2021 à 15:03:48 :
Le 06 mai 2021 à 15:01:04 :
Le 06 mai 2021 à 14:58:22 :
Le 06 mai 2021 à 14:53:28 :
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Dans les milieux mixtes (type bureau) les femmes sont beaucoup plus chouchouté par leurs collèges, pareil dans le milieu universitaire que je connais mieux
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Ca je n'en doute pas, mais je ne connais pas trop ces métiers là, pour ça que je ne parle que des métiers de l'artisanat, des milieux physiques, des métiers manuels, et crois moi que dedans on nous fait pas trop de cadeaux. Déjà car tu as toute une part de métier physique et plutôt féminin dont les gens se foutent royalement, et dans les autres milieux on doit souvent justifier notre place. Même si sur ce dernier point les mentalités changent car il y a de plus en plus de femmes dans les métiers de l'artisanat et de moins en moins d'hommes. Mais sinon on te fait pas trop de cadeau et tu es loin d'être chouchoutée, ou alors quand on te chouchoute c'est plus pour se foutre de ta gueule car tu es la "gonzesse"
Apres ma mère et mon père sont des prolos, donc je connais aussi ce milieu et oui tu as raisons, mais je peut comprendre pourquoi les hommes exerce une pression sur les femmes dans ce genre de boulot.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png Je suis plus partagée, en un sens je peux comprendre quand on nous met cette pression, car c'est vrai qu'il y a quelques quiches, mais de l'autre il y a une tendance de certains hommes à l'appliquer à toutes les femmes de bases et surtout une hypocrisie de leur part à ne pas voir qu'ils ont une floppée de branquignoles dans leurs rangs aussi.
Donc devoir prouver que tu as ta place, et savoir qu'au moindre faux pas on va pas te rater, c'est très vite lourd.Apres je pense que c'est du genre " tu as la prétentions de faire le même boulot que nous, alors n'espère pas de traitement de faveur" , après oui c'est assez hypocrite, mais je peu comprendre que tu n'es pas envie que quelqu'un fait le même boulot que toi puisse avec des traitements de faveurs ou pense en voir le droit. En tout cas je sais que chez les pompier/ armée/ police ça soule parfois les mecs de voir des filles faire des entrainement et des sélections moins physique pour au final avoir le même salaire/ responsabilités .
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/13/1490886827-risibo.png Il y a de ça et surtout du qu'est ce que tu fais ça alors que t'es une nana. Sous-entendu tu n'as pas à faire ça et tu es surement nul pour le faire. C'est ces réflexions qui vont vite saouler, en plus ça t'obliges à être désagréable parfois car t'es obligée de répondre au bout d'un moment et donc là tu as le droit au nouveau type de réflexions à base de pour qui elle se prend, putain les gonzesses toujours là pour casser les couilles, toujours les nanas qui foutent la merde, quelle connasse celle la, et j'en passe
Pour le deuxième morceau de ton message, je suis d'accord, ça devient compréhensible car sélections moins dures chez nous, et certains aiment le rappeler. Par contre ce sont souvent les mêmes qui oublient qu'ils sont bien content d'avoir une fille dans le groupe pour faire certaines tâches.La question et donc de savoir d'où viennent les préjuger, peut être de mauvaises expériences passés ? Honnêtement je ne sais pas. Apres totalement d'accord sur le fait qu'il y a beaucoup d'hypocrisie. Mais à titre d'exemple dans le milieu de l'informatique par exemple (je viens de la à la base) =, quand une fille à un soucis TOUT le monde rapplique pour l'aider à régler sont problème et pareil dans les études actuelles où j'ai vraiment l'impression qu'être une fille c'est cheat code. Néanmoins je suis totalement d'accord avec toi.
https://image.noelshack.com/fichiers/2017/39/3/1506524542-ruth-perplexev2.png
Un peu des deux. Les milieux plus masculins où on est moins de femmes, on va être de base plus remarquée, donc même si on fera autant de conneries que les autres, ça se verra plus car quand tu fais connerie en étant la seule femme sur un groupe de 20 personne, tu es pas une des femmes, tu es la femme. Donc les hommes impriment plus l'infos je suppose, le fait que des hommes soient simplement macho. Dans le même temps tu as aussi beaucoup de femmes qui veulent faire des métiers plus masculins alors qu'elles sont pas douées pour, mais elles veulent montrer que même si c'est des femmes elles peuvent quand même faire ce travail, sauf qu'elles sont nulles et échouent, donc ça donne une sale image des femmes. Tu as aussi celles qui jouent de leur sexe, ce qui la encore donne une sale image.
Le mélange de tout ça engendre donc ces situations où tu te prendras des réflexions alors que tu n'as encore rien fait, et qu'on te rateras pas si tu fais une connerie
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Attirer de la compassion au boulot quand tu dis que tu craques
Si un homme dit craquer on lui dit d'avoir des couillesVas dire ça aux femmes de ménage ou aux meufs qui bossent dans les cuisines, Descoline
Oui et on fait la même avec les hommes de chantier ? De manière générale une femme qui dit craquer à son boulot attire beaucoup plus de compassion qu'un homme Trisotin
Non c'est du bullshit, un homme est sociologiquement poussé à endurer autant que les femmes. On dira à un mec de "porter ses couilles", et à une femme de "fermer sa gueule". Le résultat est le même. La seule chose qui change, c'est la gestion de la peur. L'homme n'y a pas droit.
Suffit de lire un seul livre sur la condition des femmes ouvrières depuis le 19ème siècle pour savoir ça, Descoline. D'ailleurs, au XIXème, une femme faisait dans une usine des boulots plus pénibles encore que les hommes. Elle et les enfants. Car ils étaient considérés comme négligeable.
Donc dispose.On parle du 21e siècle le desco
Au 21e siècle, les femmes dès qu'elles craquent un minimum au boulot, elles attisent la pitié. L'homme ferme sa gueule et fait son boulot.
L'homme va aux chantiers, l'homme va à la guerre, l'homme fait les travaux manuels les plus pénibles et les plus usants physiquement. Elle fait quoi la femme comme travaux dangereux dis-moi ? Elles sont où les femmes dans les secteurs pénibles ? Ah oui je sais, nul part. Car elles disent "ouin ouin ce serait trop dur"Bordel ça se voit tellement que tu viens pas d'un milieu ouvrier. Une meuf se casse le dos dans des hôtels, des cuisines, dans l'entretien des grandes surfaces. Les milieux de la souffrance invisibles, on les catégorise comme ça. Dès lors qu'une femme est présente dans un milieu physique, on la pressurise plus encore que les hommes. Celles-ci ayant, moins que les hommes, la culture du syndicalisme.
Le mec qui a lancé un mouvement de grève dans les hôtels par exemples, milieu peuplé de femmes, est un homme, justement.Source de la pression qu'on met plus sur les femmes que les hommes ?
Tu sors pas des arguments, tu parles avec tes émotions, et vu que tu parles du milieu ouvrir en particulier, on devine facilement pourquoi.
Je parle d'une généralité, de manière générale. Et dans la généralité, ben la plupart des métiers manuels sont fait par des hommes, la plupart des hommes ferment leur gueule et la plupart du temps quand un des deux sexes pleure, ben c'est la femme qui attire le plus la pitié.
Maintenant prend une tisane à la camomille et détend-toi, tu vas finir par rider prématurément.Si tu travaillais dans des milieux manuels, physique, en étant une femme tu demanderais même pas de source, car n'importe quelle femme te le dira. Quand on est dans des milieux masculins, on doit déjà se faire une place et on doit montrer justement qu'on la mérite. Je suis d'accord avec toi sur le reste, les hommes ont la majorité des métiers manuels qualifiés de physique, et rien que là c'est discutable, et ils sont plus éduqués à fermer leur gueule, et oui on attire plus de sympathie. Mais tu as beaucoup de métier physique, à majorité fait par des femmes et tout le monde s'en fout d'elles et elles ont une certaine pression , et être une femme dans un milieu masculin et physique tu as encore plus la pression crois moi.
Le truc c'est que l'homme fait beaucoup plus de métiers physiques que la femme donc il ressent tout autant la pression que la femme et pourtant si lui pleure, il attirera moins de sympathique que si une femme pleure.
Comme je l'ai dit, je parle de manière générale. Quand une femme craque par rapport à son boulot, elle attise plus de pitié que quand c'est un homme qui le fait, et ça, c'est un privilège féminin.Mais c'est quoi que tu appeles un métier physique ? Pour toi l'entretien ce n'est pas physique exemple ? Gérer des commerces non plus ? Infirmière ? Le textile qui était une des industries les plus grandes et les plus dures qui existaient étaient composés majoritairement de femmes ça te dit rien non plus ? Les femmes ne travaillaient pas aux champs non plus ? Hommes et femmes en ont chié tout autant, je ne suis pas une féministe loin de là, mais faut arrêter d'être bête comme ça et penser que métier physique c'est juste les maçons sur les chantiers.
Tu as juste raison sur le fait qu'il est moins tolérer pour un homme de craquer, c'est vrai, mais à côté les femmes ont toujours dû faire preuve de beaucoup de résilience, et en prime elles devaient juste fermer leur gueule pour le reste car elles étaient dépendantes. Je crois pas que nos grands-mères attisaient beaucoup de pitié si elles craquaient, et je dis bien si. A notre époque actuelle ce n'est pas si différent, la pitié tu peux l'avoir si tu chouines sur twitter, mais dans la vie réelle la plupart des femmes se taisent aussi et cachent plus souvent les choses plutôt que de chialer devant les autres.Euh y'a quand même une différence entre l'entretien ou la gestion de commerce et la mine, la peche, les plateformes pétrolières ou le bucheronnage niveau demande physique, risque et pénibilité
C'est pas pour rien que 95% des morts au travail sont des hommesNon mais tkt une femme de ménage a autant de pénibilité qu'un homme au front ou qu'un mec au chantier, c'est tout aussi physique n'oublie pas l'égalité homme femme
Tu sais que ça n'est pas un concours ? Qu'on peut reconnaître la pénibilité d'un métier sans pour autant occulter celle d'un autre ? Et même, encore mieux, distinguer les facteurs de pénibilité propres à chaque métier ?
Faut juste être abruti pour comparer un militaire en OPEX et une femme de ménage en entreprise, ou un ouvrier travaillant en fonderie avec un facteur. Pourtant chacun de ces emplois en ont, des facteurs de pénibilité, qui détruisent peu à peu les corps
Après c'est pas parce que les métiers ont des contraintes différentes qu'on peut pas les comparer. Par exemple un bon moyen de jauger de la pénibilité physique est de voir le taux d'incapacité ou l'esperance de vie en bonne santé propres à ces métiers
C'est plus difficile de jauger de la pénibilité psychologique, mais je pense qu'un proxy est d'observer l'inadéquation salaire/sélectivité. Un metier très bien payé mais qui ne demande que très peu de conditions pour être recruté veut en général dire que les gens ont pas envie de le faire
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