cookiereach
2014-10-08 19:16:21
Allez on s'y remet
Notre maison était faite de telle manière que nous étions séparés de nos parents et avions un semblant d'autonomie, et donc d'intimité. Aussi je ne m'inquiétais pas d'être surpris dans cette délicate position.
Mon sexe se faisait de plus en plus dur, il se tendait à m'en faire mal, comme s'il ne s'était rien passé cette nuit. Ne pouvant plus me retenir, je fis lentement glisser mon boxer le long de mes cuisses, découvrant mon membre dressé comme jamais je ne l'avais vu.
La porte était suffisamment entrouverte pour laisser sortir un peu de buée, ainsi je pouvais distinguer assez clairement ma sœur sans qu'elle ne puisse se douter de ma présence. Saisissant mon courage - et mon pénis - à pleine main, je commençais à me masturber en regardant ma sœur se doucher.
Ce doux mouvement de va-et-vient correspondait parfaitement à celui qu'effectuait Julie pour se frotter, tantôt les seins, tantôt le ventre, et finalement son magnifique postérieur. Elle se cambrait, et m'offrait un spectacle inimaginable. Des gouttes d'eau perlaient de ses tétons, tandis que je sentais monter en moi une implacable et puissante jouissance.
Mon membre pulsait au rythme de mon corps tout entier, mon cœur envoyait le sang dans mon entrejambe à un débit digne des plus grands sportifs. Et alors que j'accélérais le mouvement de ma main, ma sœur se baissa afin de ramasser son shampoing.
J'éjaculai violemment dans mon boxer à la vue de son petit trou rose qui me narguait, au dessus de ses lèvres humides et charmantes. Je finis alors mon plaisir solitaire en admirant le rebondissement de son fessier sans pareil...
cookiereach
2014-10-11 11:48:02
Me remettant difficilement de mes émotions, je sortis à contrecœur de ma salle de bain, et m'habillai rapidement. Je jetai un œil à l'extérieur et constatai que la pluie battait violemment la pelouse, tandis que l'orage tonnait sur la ville à quelques kilomètres de là. Les nuages semblaient s'accrocher aux sommets des montagnes voisines, les majestueuses Alpes du Sud. Et je songeai, non sans ironie, qu'au bas de cette chaîne deux collines semblaient être une magnifique paire de seins rebondis.
Feignant d'entrer dans ma chambre comme si de rien n'était, je dis à Julie :
"Je sors marcher, je passe faire les courses en même temps!"
J'enfilai une veste, pris un parapluie et sorti sous les bourrasques violentes. Jamais faire cela ne m'avait fait peur, bien au contraire. Sortir affronter les forces de la nature me donnait l'impression d'être vivant, sentir les gouttelettes battre mon visage me procurait des sensations sans pareil - bien que fades par rapport à celles que j'avais connues cette nuit.
Je parcourus un bon kilomètre avant de bifurquer à droite et d'entrer au supermarché. Je pris ce qu'il me fallait et, en sortant, je ne pus m'empêcher d'acheter quelques préservatifs. Nos parents partaient ce soir pour leur voyage de conscrits, ce qui me laissait le champ libre pour préparer une superbe soirée pour ma sœur et moi...
cookiereach
2014-10-12 14:30:55
Allez c'est dimanche, je vous fais un truc un peu long
Tandis que j'achetai lesdits préservatifs, une jolie demoiselle me frôla, et alla se placer au distributeur adjacent au mien. Elle était bien proportionnée, bien qu'un peu trop maigre à mon goût. Cependant son contact,et le fait qu'elle aussi achète des préservatifs, stimula mon imagination. Une pensée me vint. Elle, couchée sur le dos, soufflant sous les coups de butoir de quelque homme, puis ouvrant sa bouche pour en accueillir un second. Finalement, elle jouissait sous deux jets chauds et laiteux.
Je me repris et filai en vitesse.
Je rentrai tranquillement à pied, sifflotant sous la pluie - et sous l'air amusé de quelques badauds qui avaient eux aussi le courage d'affronter les éléments.Je changeai subitement d'itinéraire afin de me diriger vers l'allée où habitait un de mes plus anciens amis. Les courses pourraient bien attendre une heure ou deux.
Arrivé devant son porche, je sonnai. Un instant plus tard, il m'ouvrait la porte et me faisait entrer dans sa maison où régnait une douce chaleur et un calme appréciable.
"T'es malade khey, y'a des jours où faut pas sortir et je crois que t'as choisi le bon! me lança-t-il en riant.
-Qu'est ce que tu veux, faut bien remplir les placards! lui rétorquai-je."
Tandis qu'il m'emmenait dans sa cuisine, j'aperçus en passant devant sa chambre à la porte entrouverte, une jolie paire de fesses. Alors sa copine était chez lui... Il avait bon goût, pour ce que je pus en voir.
Installés à table, nous nous mîmes à discuter de l'avancement de sa formation militaire. Il était très satisfait de ce qu'il y apprenait, et montrait ouvertement son mépris à ceux qui disaient qu'être soldat et avoir une attache sentimentale était impossible.
J'hésitait à lui parler de cette nuit mais, jugeant qu'il ne pourrait comprendre, je m'en abstins. Je lui affirmai cependant:
"Tu sais, si jamais quelqu'un te dit que je suis gay, joue le jeu, j'ai lancé ça y'a un moment et ça m'amuse pour l'instant.
-T'aurais pu me sortir l'excuse du pari raté, ça n'aurait rien changé! "
Au fur-et-à-mesure de nos discussions, nous vidions quelques bières, mais, lorsque je le vis sortir une bouteille de Ricard, je l'arrêtai:
"Le temps se dégrade tu sais, je veux rentrer tant que c'est possible. Et puis il y a ta chérie, je voudrais pas vous déranger!" lui lançai-je avec un clin d'œil.
Une empoignade amicale plus tard, je me retrouvai de nouveau sous la pluie battante, sur le chemin du retour. Désormais les rues, déjà peu peuplées, avaient été désertées. Le bulletin d'alerte s'était-il aggravé? Et, au moment même où je formulai cette pensée, une violente bourrasque me frappa le visage. Me rendant compte de la sombre teinte du ciel, je me mis à courir. La maison n'était plus qu'à une centaine de mètre. Déjà j'apercevais le garage, derrière le gros chêne sous lequel j'avais une fois - et pas la dernière - embrassé ma cousine.
Je m'élançai vers la porte d'entrée, quand je fus soudain plaqué contre le mur par un souffle puissant. Je chutai lourdement au sol, la tête dans une flaque. Désorienté, je tentai de me relever, mais une branche du même chêne céda sous les impitoyables coups de la nature, et vint me percuter le dos, me ramenant le visage dans l'eau froide. Péniblement, dans un dernier accès de conscience, je roulai sur le côté, et restai allongé. Je perdis lentement connaissance...