[Fic] Ma soeur et moi
2014-08-27 14:25:25
de l espoir
pacc46
2014-08-30 01:51:07
Sa serais cool que l'auteur revienne car franchement c'est chiant, qu'il se bouge sérieux ! TFK ?! Sinon que un autre fasse la suite comme avant, et l'auteur n'auras pas à se plaindre vu qu'il ne viens jamais ! Merci à celui ou à celle qui prendra la suite de cette histoire.. Merci
2014-09-21 19:12:46
louloute-siisii
2014-09-21 19:47:19
salut ,
est ce que au final ta fait des trucs avec ta soeur ??
gigatin
2014-09-29 19:27:46
Qui va la finir cette fic ?
gigatin
2014-09-30 21:39:56
LA FIC EST MORTE DOMMAGE
sad-hic-my-ster
2014-09-30 22:28:43
Bordel j'ai tout lu , et je veux une putain de suite ou une fin bordel (">
cookiereach
2014-10-03 20:00:14
Il n'était que 5h du matin, mais il était courant que je me lève tôt afin d'aller faire un footing, aussi cela ne parut pas choquer ma sœur outre mesure puisqu'elle ne fit aucune remarque en me voyant partir pour la douche.
Je me déshabillai, le boxer marqué par quelques jets de ma récente éjaculation, et entrai dans la cabine.
L'eau chaude me fit un bien fou, et je me laissai aller à des pensées agréables. Je me disais que ce que je venais de vivre était jusque-là un rêve inavoué, un tabou que seul mon imagination avait vu. Et, alors que je croyais la situation désespérée à cause de ma prétendue homosexualité, voilà que ma sœur m'avait prouvé, sans autre argument que sa douce main, que tout était encore possible.
L'eau coulait le long de mon corps, sur mon sexe encore dur, et je revivais intérieurement cette douce sensation que ma sœur venait de me faire connaître.
Cependant, une pensée particulière assombrit les autres : demain matin, il faudrait que j'affronte son regard, à elle qui pensait que je ne savais rien de ce qui s'était déroulé dans le secret d'un lit douillet. Que pourrais-je faire ou dire?
Et après tout, le moment n'était pas venu. J'allais profiter du jet d'eau chaude jusqu'à être détendu autant qu'il m'était possible.
Une fois ma douche finie, je sortis le plus doucement possible, et déposai délicatement un baiser sur la joue de cette incroyable fille qui dormait maintenant paisiblement, puis je m'attelai à préparer le petit déjeuner...
Dites ce que vous en pensez
2014-10-03 21:22:58
Enfin quelqu'un prend la suite ! :D
C'est très bien continu !
cookiereach
2014-10-03 21:57:04
Je gueulais sur ceux qui voulaient créer une suite mais ça c'était avant de voir que l'auteur ne valait plus grand chose depuis qu'il nous a lâchés
Merci à Sandy d'avoir donné un nouveau souffle à la fic Et m'en voulez pas si je commets quelques incohérences, je ne me rappelle plus tous les détails sur l'arrière-plan.
Allez, la sweet
Tandis que je faisais chauffer l'eau pour le café, je remarquai que le temps était exécrable, et que le martèlement de la pluie n'avait pas cessé depuis le début de l'orage. Bien au contraire, il s'était même accentué. Je regardai la météo sur mon portable et ce que je vis rempli mon esprit de joie : un avis de tempête était lancé, pour plusieurs jours! Ma sœur détestant les orages, cela me promettait de douces et chaleureuses nuits... Mais j'évitai de trop y penser, afin de ne pas être déçu si jamais rien ne se passait.
Je dressai un plateau complet- avec les cafés, jus d'orange et quelques viennoiseries à préparer au four- et me rendis dans ma chambre. Il était 6h, et ma sœur était resplendissante, dans sa légère nuisette blanche. Elle était recroquevillée dans le lit, dos à la fenêtre afin de ne pas voir le déchaînement des éléments qui avait lieu dehors.
Je posai le plateau au bord du lit en prenant garde de ne rien renverser, et glissai au passage un œil dans le décolleté de Julie, apercevant ses deux seins si bien sculptés collés l'un contre l'autre. Je ne pus retenir un frisson, qu'elle ne sembla cependant pas remarquer.
"Le ptit déjeuner est servi, ma chère."
Elle esquissa un sourire et déposa un baiser sur ma joue, avant de répondre:
"Merci de m'avoir laissée dormir avec toi, j'espère que je ne t'ai pas dérangée?
-Bien sûr que non, j'ai très bien dormi! Et toi, cet orage ne t'a pas gênée?
-Non, ta présence m'a vraiment soulagée, dit-elle en baillant. Me permets-tu d'aller prendre une douche après?
-Si tu veux, mais pour l'instant elle est encore mouillée, j'en ai pris une. En attendant que ça sèche un peu, si on passait à table?"
Elle me sourit à pleine dents, ravissante, et me fis signe de m'asseoir. Comment refuser? J'allumais ma télé, et nous regardâmes le bulletin météo qui annonçait les mauvaises nouvelles que j'avais vues peu avant. Julie trembla, et ses seins suivirent le mouvement de son corps gracieux. Je passai mon bras autour de son épaule, en prenant garde de ne pas renverser mon café brûlant juste au dessus de mon sexe.
Plus la fin du petit déjeuner venait, et plus la douche de ma sœur approchait...
Nick0croc0
2014-10-05 11:16:41
bonne reprise merci.
Sweet ;)
cookiereach
2014-10-05 11:43:58
Merci à vous La suite dans l'aprèm normalement!
cookiereach
2014-10-05 16:12:55
Quoique... il faut savoir se faire désirer...
Nick0croc0
2014-10-06 16:06:53
pas trop non plus ^^
cookiereach
2014-10-06 18:39:12
Allez mes frayres j'y vais
Comme tout bon frère se respectant, je rangeai le plateau et l'emmenai à la cuisine. Je remarquai alors que je ne m'étais pas habillé et que depuis ma douche je n'avais qu'un boxer (propre cette fois-ci). Il était souple et son contact contre mon pénis était tout à fait agréable. Tandis que je mettais tout au lave-vaisselle, j'entendais ma sœur faire couler l'eau de la douche afin de chauffer l'eau, et je ne pus m'empêcher de penser (une fois de plus) au formidable moment que j'avais vécu cette nuit.
Ayant fini la corvée, je me dirigeai à pas de loups vers ma chambre, et, une fois entré, mon regard fût attiré par un amas qui traînait au sol : c'étaient les sous-vêtements de ma sœur ainsi que sa nuisette. Je les pris délicatement et ne pus m'empêcher de les sentir. Le doux arôme légèrement exotique du parfum de ma sœur emplit mes narines, mélangé à l'odeur de son corps voluptueux. Une érection pointait en bas, que je ne pus retenir.
Je reposais la lingerie exactement où je l'avais prise, et j'entrepris d'ouvrir la porte de ma douche. Avec précaution, j'abaissai la poignée : elle n'était pas bloquée.
Le bruit de l'eau chaude de l'intérieur - et des bourrasques froides de l'extérieur - masquaient les bruits de mes actes. Lentement, j'entrouvris la porte. Une bouffée d'air chaud et humide me sauta au visage. La pièce était emplie de condensation, et, derrière ce rideau immatériel, je distinguai les formes généreuses de ma sœur...