Le 02 novembre 2021 à 16:23:01 :
Pour ma part ce n'est pas un date Tinder mais balek
J'avais 15ans et puceau
Avec des potes on organise un camping, en haut d'une station de ski (on était en été). Superbe panorama, des potes, a boire, une sono et un feu reflétant nos efforts d'Alpha a éclater tous les arbres environnant.
Des meufs devait nous rejoindre plus tard, exactement 2 meufs.
L'une était mon ex - 6.5 voir 7/10 et l'autre sa meilleure amie que je n'avais jamais vu.
Mon collègue m'avais déjà demander si ça me dérangeait qu'il serre mon ex, ce à quoi je n'avais pas de soucis (on était sortit 1 mois ensemble)
Donc la soirée bat son pleins, 22h, nuit noir, seul les flammes dansantes du feu nous éclairait.
Et là les 2 gourgandines arrivent. A ce moment je suis plutôt déchiré et pour rappel il fait un noir absolu.
Mon ex viens se caller a côté de mon pote et ça copine, a ma grande surprise, prends assises contre moi.
Jeune Pulco que je suis, je sens déjà les tambours de la reproduction montés en moi. Le barreau raid comme la justice, je sens que l'heure de l'envol est proche.
La soirée se poursuit, tous les camarades tombe comme des palestiniens face à Israël sous l'effet de l'alcool.
Je ne sais toujours pas a quoi ressemble la fille, je vois que c'est un petit gabarit, qu'elle est chaude et que c'est une femelle. Il ne m'en fallait pas plus.
On se retrouve à regarder les étoiles, commence à faire une salade de langue bien dégueulasse comme les prepubere en ont le secret. L'instant suivant elle se lève et va poser une galette 10m plus loin. Il semble que l'on ai abuser de l'alcool.
Mais il en fallait plus pour décourager le jeune freluquet que j'étais, ce n'était pas quelques bout de bouffe coincé entre les dents et des relant nauséabond de gerbe qui allait me faire battre en retraite.
S'en suit alors le retour a la tante, on se déshabille (sous vêtement), se met sous les sacs et là et commence et me toucher la queue.
L'instant pour lequel je suis né est arrivé, que trépasse si je faiblis.
La gourgandine, tel une obèse devant une boîte de macaron, gobe alors mon chibre en ore innocent..
Du moins 40sec, puisque je debande instante (l'alcool empêche la puissance de ma bite de sang faut le savoir)
Et met de l'huile de coude, me suce encore jusqu'à un semblant de dureté. Me chevauche et là.. je m'endors. Oui oui, je rejoins Morphée
Le chibre de sang s'endors également et la miss regagné sa couche. 30sec après je me réveil, comprend la situation, mort de honte je me rassure et elle aussi en lui disant " désolé j'ai trop bu mais demain matin prépare toi "
Elle, tout contente, s'endors dans mes bras
Et c'est le lendemain que j'ai compris l'horreur de la situation.
10h du matin, plein été, sous une tante en haut du station. Une température avoisinant la surface du soleil.
Une odeur de marché au poisson me violé les narines. Presque de quoi faire rotter de sang n'importe quel être vivant .
S'en suit mon réveil, par une maladresse de débutant je me gratte le visage, sentant alors les résidus d'une arme bactériologique sur mes doigts ( j'avais oublié ce passage mais je lui ai mis des doigts bien sûr). Une puanteur venant direct des enfers, capable de dissoudre n'importe liaison nasale.
Mais encore une fois vous avez compris que jetait déterminé, et qui plus est il fallait que je sauve mon honneur.
Mais l'horreur n'as pas de limites.
Au moment de me pencher sur la coquine encore endormis que je m'aperçus du carnage.
J'avais face à moi un specimen parfaitement conservé de goule. On aurait dit la même que celles dans métro Exodus ou Fallout
Un corps rachitique, un visage creusé, un teint a la limite du transparent telle une méduse.
Je me demanda immédiatement si elle n'avais pas vécu sur les terres sauvages de Tchernobyl depuis son enfance, si elle n'avais pas été atteind par une arme chimique sur un théâtre d'opération ou si elle n'avais pas été ramené à la vie par un nécromancien
Ou bien les 3 en même temps.
L'endroit où devant se trouver sa poitrine était synonyme de néant. Une ligne parfaite, comme celle de l'horizon au loin. Dépité etait-je, je n'arrivais pas à faire la différence entre son torse et son dos .
Il me fallut plusieurs reprise pour me repérer sur celle qui semblait être une survivante de holocauste.
Et c'est ainsi que mon instinct de survie mon poussa a m'extraire de ce tombeau, délaissant ce qui semblait être le restant une momie piteusement conservée. Au diable le dépucelage, il en valait de ma survie
Le jour a la sortie de la tante m'eblouis, a la manière d'un gladiateur qui, rentrant dans l'arène, vis le soleil romain a son Zenith. La liberté avait pour la première fois un goût salvateur
La suite sera très rapide
-mes potes se foutent de ma gueule parce-que j'ai baisé une goule
-je dis à la meuf qu'on verra un autre jour parce que je suis encore éclaté
-Bien sur je ne l'ai jamais revu tellement le malaise était palpable
Donc les kheys, écoutez moi bien, ne baisez pas de goule
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