Le 17 avril 2021 à 15:21:33 Gilberto05 a écrit :
Sorosed Le 17 avril 2021 à 15:18:08 :
Quand les judoka te donnent accès à quelque chose en quantité illimité et gratuitement faut se poser des questions.
J'avoue que ce détail m'a toujours fait tiquer
Du coup je mate du vrai amateur
Et le gouvernement sous la direction de Bill Clinton, un personnage qui avait du mal à contrôler ses passions, fit passer le mal nommé "Communications Decency Act", qui mit fin, en pratique, aux efforts du gouvernement pour poursuivre l'obscénité. Aux antipodes de la liberté que promettaient Larry Flint et les libertariens, le résultat de la dépénalisation de fait de la pornographie fut, comme aurait pu le prédire saint Augustin, une addiction exponentielle, ce qui est la dénomination moderne pour l'esclavage par le péché. De façon prévisible, les médias sous contrôle oligarchique dirent que l'addiction à la pornographie était un mythe. Dans un rapport basé sur "une recherche fascinante, rénovée et rigoureuse", Psychology Today annonça qu'il n'y avait pas de preuve scientifique pour valider l'idée que l'addiction au sexe soit une réalité.[8]
Mais si vous associez sur google une recherche sur les termes "porno" et "addiction", vous obtenez environ 67 000 résultats, ce qui constitue un vibrant démenti.
En novembre 2019, les jeunes hommes qui étaient les principales victimes de cette campagne de guerre psychologique dissimulée annoncèrent un boycott de la pornographie et de la masturbation qui en est l'invariable accompagnement dans ce qu'ils appelèrent le "November no nut". La réaction des oligarques qui avaient mis en place la révolution sexuelle pour détourner l'attention des masses du fait qu'elles se retrouveraient enchaînées sans espoir à leurs propres passions, et à leurs dettes, ne tarda pas: le magazine Rolling Stone dénonça quiconque s'opposerait à la pornographie comme (insulte ultime censuré). Comme autorité en la matière, Rolling Stone citait David Ley, "PhD, auteur de Le mythe de l'addiction sexuelle, le psychologue clinicien et thérapeute sexuel spécialiste de la pornographie et de la santé mentale".
La loi condamna No Nut November comme "une petite palette d'horreurs distillant une haine liée à l'insécurité, de (insulte ultime censuré), de la misog*nie, et de l'hom*p*obie tout en un.[9]
Si les libertariens s'intéressent à la promotion de la liberté, pourquoi font-ils la promotion de la pornographie? Tout le monde sait maintenant que le porno mène à l'addiction, mais nous savons aussi que plus personne ne paye pour cela, ce qui élimine la motivation économique qu'on brandissait autrefois pour la justifier en tant qu'activité rentable. Il y a dix ans, des gens comme John Stagliano pouvaient s'enrichir en produisant du porno. Désormais, le porno est gratuit, et personne ne fait de l'argent avec.[11] Selon un pornographe "il est très difficile de faire payer les gens pour le porno. Nous nous battons littéralement pour chaque dollar. Il y a dix ans, cela n'avait pas d'importance. Si on perdait un client, il y en avait un autre pour prendre la place. Mais maintenant, chaque client compte".[12]
Le porno n'est donc pas une affaire d'argent, au final, il relève du contrôle mental.
[8] https://www.psychologytoday.com/us/blog/women-who-stray/201307/your-brain-porn-its-not-addictive
[9] https://www.rollingstone.com/culture/culture-features/coomer-meme-no-nut-november-nofap-908676/
[11] https://fightthenewdrug.org/how-does-the-porn-industry-actually-make-money-today/
[12] https://www.menshealth.com/sex-women/a19538746/pays-for-porn/