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Vous êtes à l'ouest les gauchos, vous faire sodomiser ça vous fait perdre le sens des réalités...
En fait les droitardés sont vraiment des victimes. Vous êtes angoissés au quotidien et vous aimeriez que les gauchistes solides qui ne trouvent pas qu'on soit dans un climat d'insécurité généralisée partagent vos angoisses de petites fiottes
Déjà ça n'existe pas les gauchistes solides. Les gauchistes vivent loin de l'immigration qu'ils aiment tant.
Mélenchon tape ses plus gros scores en banlieue et dans les grands centres urbains. Le FN tape ses plus gros scores dans les milieux ruraux, là où il y a peu d'immigration.
Ben evidemment, c'est sa "cible" et il passe son temps à les "draguer" (comme le PS avant lui, ça s'appelle du clientélisme)
Donc non, je persiste et je signe : les droitards angoissés qui votent FN ou Zemmour sont ceux qui côtoient le moins l'immigré et qui sont le plus atteint d'une peur panique.
En fait, ils les cotoient parce que tu peux vivre en campagne mais aller travailler dans le centre ville ou la métropole comme ça se fait majoritairement puisque c'est là que se situent le travail. Donc c'est un peu surinterprété ta donnée là.
Les gens qui vivent en campagne et dont tu parles ne sont pas "Assignées" à la campagne et incapable d'en sortir. C'est même plutot le contraire, ils sont obligées puisqu'il faut bien vivre.
Je crois que tu connais mal le rural hein. Les départements ruraux où le FN tape de gros scores, type Haute-Loire, Cantal ou Ardèche, c'est pas des départements adjacents à des grandes métropoles. Les préfectures et les "grandes villes" qui centralisent les commerces et les services publics c'est des villes où y'a pas ou peu d'immigration.
C'est à dire qu'un rural, quand il va faire ses courses ou qu'il veut aller au ciné, il ne va pas à Paris, à Lyon ou à Marseille, il va au Puy en velay, il va à Mende, à Annonay, à Mont-de-Marsan, à Tulle, etc.
Pourquoi c'est toujours ceux qui connaissent moins le rural qui en parlent le plus ?
Et même si on admettait que les ruraux soient occasionnellement au contact des immigrés, ils ne font donc pas partie de leur quotidien, contrairement aux citadins. Pourquoi est-ce qu'un type qui voit un arabe ou un noir une fois tous les 36 du mois aurait plus de raisons d'être hostile qu'un type qui les fréquente au quotidien ?
Parce qu'il en a eu une mauvaise expérience ? Pour les raisons que j'ai déjà cité.
C'est toi qui a une représentation "fermée" de la province en fait.
Ils restent pas enfermés dans leur campagne en vase clos comme tu le crois.
Mais je comprend que tu te confortes dans cette explication puisqu'elle psychologise tout ("Il regarde trop la télé, c'est la faute de Cnews et Pascal Praud"), parce que c'est ça le fond de ta pensée (j'ai bon ?) et évacue le problème.
Ensuite, c'est un peu commode de dire "qu'ils ne font pas partie de leur quotidien"
Tes explications ne convaincront personne. Les faits sont là : https://www.tf1info.fr/politique/resultats-second-tour-election-presidentielle-marine-le-pen-en-tete-dans-18-100-communes-sur-35-000-2217721.html
"Le RN en tête dans la plupart des villages de moins de 1000 habitants"
Tandis que : https://www.insee.fr/fr/statistiques/2121524 "es immigrés vivent plus souvent dans les villes-centres et les banlieues que les non-immigrés
Au sein des grandes aires urbaines, huit habitants immigrés sur dix vivent dans les grands pôles urbains, alors que c’est le cas de moins de six non-immigrés sur dix. Cette situation s’explique encore par la particularité de l’aire urbaine de Paris : 35,8 % des immigrés vivent dans le grand pôle urbain de Paris (villes-centres et banlieue) contre 14,3 % pour les non-immigrés (figure 2). Les immigrés résident moins fréquemment que les non-immigrés dans les couronnes des grands pôles urbains (8,7 % contre 19,6 %).
En contrepartie, une plus faible proportion d’immigrés vit dans les moyennes ou petites aires (5,0 % contre 7,7 % pour les non-immigrés) et dans les communes isolées hors de l’influence des pôles (2,9 % contre 4,8 %).
Six immigrés sur dix vivent ainsi dans les communes « densément peuplées » alors qu’en comparaison, ce n’est le cas que de trois non-immigrés sur dix. Il s’agit de villes-centres mais surtout de villes de banlieue où un nombre important de grands ensembles ont été construits au cours des années 1960 et jusqu’au milieu des années 1970."
Et c'est censé prouver quoi ? Un peu logique que le RN ne fasse pas de bons scores dans des villes où il y'a une forte population d'origine immigrée, et encore qu'à Marseille, ils font de très bons scores