InBigDespite
2024-11-30 11:25:20
Pour rappel les golems GutKaiser avait raison
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).
Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (https://image.noelshack.com/fichiers/2024/09/4/1709162755-pornhub-insights-2023-year-in-review-gender-most-viewed-categories.jpg) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :
An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique. C'est en raison de cette dimension sociale de l'amour féminin que les femmes tendent à éprouver davantage de désir envers un homme déjà en couple, car cela signifie pour elles qu'il a été validé par une paire.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
GourdinDurFou
2024-11-30 11:36:50
Le 30 novembre 2024 à 11:25:20 :
Pour rappel les golems GutKaiser avait raison
C'est très tabou à cause de l'idéologie égalitaire qui veut qu'il n'y ait aucune différence biologique entre les sexes et à l'influence de lobbys très agressifs et influents (feeministres et LOGOBGTQIA).
Tout d'abord, il faut évoquer un fait que beaucoup d'entre vous savent mais dont peu saisissent réellement la portée : l'homme a une sexualité active et extériorisée sur le corps de la femme, raison pour laquelle il est obsédé par le corps de la femme (certains développeront même une monomanie sur une partie spécifique de ce dernier), tandis que la femme a une sexualité intériorisée et passive. La testostérone, hormone abondante chez l'homme, le fait s'intéresser de manière abrupte et irraisonnée à l'être convoité ce qui se traduit par une attirance envers le physique qui n'a pas d'égale dans le cerveau féminin.
Ce qu'il faut comprendre c'est que l'homme est tourné vers la femme, et la femme vers elle-même. Il n'y a pas d'égalité ni de réciprocité. La femme manifeste l'orgueil d'accomplir la finalité de l'acte sexuel, qui est la mise au monde de l'enfant. L'homme peut planter sa semence comme bon lui semble plusieurs fois par jour pour se reproduire, alors qu'une femme ne pourra donner naissance qu'une fois tous les neuf mois. C'est pour cette raison qu'elle cherchera le meilleur parti possible, ce qui suppose qu'elle s'estime au préalable.
Les femmes n'aiment pas se donner à un homme. Elles s'aiment elles-mêmes se donnant à un homme.
Les femmes peuvent donc utiliser leur sexualité comme monnaie d'échange grâce à cette asymétrie de désir et d'attirance. L'exemple le plus parlant est celui de la supermodel mariée à un homme riche. C'est d'ailleurs ainsi que les couples hétérosexuels ont fonctionné durant les deux derniers millénaires : la femme offrait ses faveurs à l'homme en échange d'un foyer et de perspectives familiales. Sauf qu'à l'heure où les femmes peuvent assurer d'elles-mêmes leur survie, en substituant l'autorité d'un patron à l'autorité d'un époux, ce contrat social est rompu.
Vous remarquerez que ces considérations expliquent ce que vous autres appelez « hypergamie ». L'hypergamie n'est ni une mode ni une tendance sociétale, mais la propension naturelle qu'a la femme de se surévaluer et de se placer au-dessus de l'être masculin. C'est pour cette raison que le marché de la séduction fonctionne pour les femmes comme une application surjective : lorsqu'il s'agit de relations sexuelles, 20 % des hommes partagent 80 % des femmes. Les hommes n'en ont pas eu conscience pendant les siècles précédents car les deux sexes étaient alors complémentaires, ce qui n'est plus le cas aujourd'hui.
La vérité c'est que le corps de l'homme n'est pas un objet de désir sexuel pour la femme ; les femmes ne ressentent rien sexuellement pour le corps de l'homme. Les femmes n'objectifient ni ne sexualisent le corps de l'homme pour la raison évoquée ci-dessus. C'est ainsi que les hommes qui prennent beaucoup soin de leur apparence sont souvent gays ou bisexuels.
Plusieurs faits étayent cette assertion : ce n'est pas pour rien que la catégorie de pornographie la plus consommée par les femmes est le lesbien (https://image.noelshack.com/fichiers/2024/09/4/1709162755-pornhub-insights-2023-year-in-review-gender-most-viewed-categories.jpg) ou que les femmes sont autant attirées par le sexe hétérosexuel que par le sexe lesbien :
An unexpected result was that homosexual women responded more to nude female targets exercising and masturbating than to nude male targets, whereas heterosexual women responded about the same to both sexes at each activity level. [ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/18072857/ ]
Studies with volunteers in sexual arousal experiments suggest that women are, on average, physiologically sexually aroused to both male and female sexual stimuli. [ https://www.researchgate.net/publication/283260585_Sexual_Arousal_and_Masculinity-Femininity_of_Women ]
Les fétiches sont très peu présents chez les femmes, les escort boys existent pour les gays avant d'exister pour elles, et dans le monde animal, le mammifère mâle donne sa vie pour trouver une femelle, alors que l'inverse est faux.
Les femmes ne convoitent pas les hommes beaux mais les hommes dominants. Et si les hommes dominants sont très souvent beaux, c'est parce que la société les a valorisés dès le plus jeune âge et qu'elle a gonflé leur confiance. Parce qu'une société saine aime représenter la beauté et que celle-ci est une grandeur objective et mesurable par le cerveau. Parce que la beauté du corps et des muscles est directement assimilée à la suprématie masculine. Héritage direct des représentations de la masculinité qui datent de la Grèce antique. C'est en raison de cette dimension sociale de l'amour féminin que les femmes tendent à éprouver davantage de désir envers un homme déjà en couple, car cela signifie pour elles qu'il a été validé par une paire.
Les femmes ne recherchent ni une beauté intrinsèque ni un physique purement plastique : ces derniers ne sont que des balises dans leur recherche plus vaste d'un homme supérieur aux autres hommes, recherche inhérente à leur nécessité d'obtenir pour leur future progéniture de bons gènes et de jouir de ressources en abondance. La sexualité de la femme est une sexualité intéressée et c'est pour cette raison qu'une femme sera facilement prête à sacrifier une belle esthétique si l'homme en question possède d'autres atouts significatifs (richesse, statut social, etc.).
Attractiveness and dominant appearance accounted for variance in sexual experience beyond that explained by pubertal development, with dominance being the better predictor of the two. (cf. https://psycnet.apa.org/record/1994-44767-001 )
Ce qu'il faut comprendre c'est que les femmes perçoivent le corps des hommes psychologiquement, là où les hommes perçoivent le corps des femmes dans un absolu esthétique. La sexualité des femmes est psychologique, sociale, symbolique.
Les femmes ne sont pas attirées par le corps des hommes - ce qui ne signifie pas que les femmes n'aiment pas le sexe, seulement que leur rapport au corps et à la sexualité est différent.
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MaitreSlibard
2024-11-30 11:41:02
Le 30 novembre 2024 à 11:30:44 :
Je discute avec pleins de jeunes teens ., des2000 et +.....Elles
ont une haine profonde , un dégoût profondde l'homme hétéro lamda ..Elles préfèrent une société avec des hommes qui s'enc entre eux.. Des gwiwi gwis gwis qui se bouffent la cramouille....Des hommes avec une schnek .et des femmes avec un schibre..et limite,elles valident la petdeau..
Elles sont complètement dégénérées ces hystériques.
Dans l’ésotérisme occidental le féminin a toujours était associé à la matière, au principe de ténèbres passif des alchimistes, le Sel.
La matière se ramène à la puissance pour Aristote, qui est un milieu entre l’être et le non-etre.
Le féminin est un non être réel. Et si il n’est pas ordonné à l’acte, si la femme n’est pas soumise à l’homme, de la même manière que le corps est soumis à l’esprit, alors il se replie sur lui même dans les ténèbres et dégénère