[HARRY POTTER] Dumbledore, Le Maître de la Mort

Sympa, mais faudrait expliquer plus clairement comment Dumbledore a créé la marionnette Voldemort et en gros avoir des explications de tout ce qui s'est réellement passé pendant les 7 tomes, ce serait cool.

T'es pas chaud pour continuer la fic d'arseneur au fait ?

J’ai pas tout lu mais c’est super bien écrit GG à toi khey

J’écrirais la suite demain

Le 01 novembre 2024 à 01:39:50 :
J’écrirais la suite demain

Et la suite de la fic d'arseneur tu l'écris quand ? Dans 40 minutes ?

Suite et fin :

1. Le Discours de l'Empereur

Le Ministère de la Magie avait été transformé. L'Atrium, autrefois symbole de bureaucratie, était maintenant un amphithéâtre imposant. Les murs, autrefois ornés de cheminées, étaient désormais couverts de bannières blanches et or, frappées d'un nouveau symbole : les Reliques de la Mort entrelacées dans un phénix stylisé.

Des milliers de sorciers et sorcières avaient été "conviés" à cette assemblée historique. Les spectres invoqués par la Pierre de Résurrection surveillaient chaque entrée, chaque issue. Les survivants de Poudlard et du Ministère, maintenant prisonniers, étaient au premier rang, forcés d'assister à la fin de leur monde.

Dumbledore apparut dans un tourbillon de sa cape d'ombre. Les Reliques de la Mort brillaient d'une lueur surnaturelle. Sa présence était écrasante, divine presque, alors qu'il s'élevait au-dessus de la foule.

"Mes chers amis," commença-t-il, sa voix douce mais portant jusqu'aux confins de la salle. "Nous nous tenons à l'aube d'une nouvelle ère."

Il fit une pause, ses yeux maintenant complètement noirs balayant l'assemblée.

"Pendant des siècles, nous nous sommes cachés. Nous avons diminué notre potentiel, restreint notre magie, tout cela par peur des Moldus. Nous avons créé des ministères, des règles, des lois, pensant que l'ordre viendrait de la restriction. Mais qu'avons-nous gagné? Des guerres intestines, des Mages Noirs, la corruption, la peur..."

Les ombres de sa cape s'étirèrent, enveloppant la salle comme un linceul.

"Tom Jedusor, que vous connaissiez sous le nom de Voldemort, n'était qu'un symptôme. Un symptôme d'un système malade, corrompu jusqu'à la moelle. Il prêchait la pureté du sang - quelle absurdité! La vraie pureté est celle de l'intention, la vraie force est celle de la magie elle-même."

La Baguette de Sureau pulsa, projetant des images dans l'air : des scènes de l'histoire magique, des persécutions, des guerres.

"J'ai passé ma vie à observer, à planifier, à comprendre. Le monde magique avait besoin non pas d'un sauveur, mais d'une révolution. Les Reliques de la Mort ne sont pas de simples objets de pouvoir - elles sont les clés d'un nouveau monde."

Il éleva la Pierre de Résurrection, et les spectres des grands sorciers de l'histoire apparurent : Merlin, les Fondateurs, Grindelwald, tous maintenant sous son contrôle.

"Aujourd'hui, je déclare la naissance de l'Empire Sorcier. Un empire où la magie ne sera plus enchaînée, où le savoir ne sera plus restreint, où chaque sorcier et sorcière pourra atteindre son plein potentiel."

Des murmures parcoururent la foule. Certains de peur, d'autres... d'espoir.

"Les anciennes institutions sont dissoutes. Poudlard deviendra le centre de notre nouveau savoir - plus de restrictions, plus de sorts 'interdits'. Le Ministère sera reformé pour servir non pas à contrôler, mais à guider. Et les Moldus..."

Un silence pesant tomba sur l'assemblée.

"Les Moldus apprendront à nous respecter, non pas comme des monstres à craindre, mais comme des guides vers un avenir meilleur. Nous ne nous cacherons plus. Nous les élèverons, les guiderons vers une nouvelle ère de coexistence... sous notre direction bienveillante."

La Baguette de Sureau traça des symboles complexes dans l'air, créant une vision d'un monde nouveau : des cités où magie et technologie coexistaient, des écoles où jeunes sorciers et Moldus apprenaient côte à côte, un monde unifié sous la bannière de l'Empire.

"Je me tiens devant vous non pas comme un conquérant, mais comme un guide. Le plus grand bien n'était pas un rêve - c'était une prophétie. Et je suis son instrument."

Il déploya sa cape d'ombre, qui semblait maintenant englober toute la salle.

"Ceux qui s'opposeront à cette vision seront traités comme des ennemis du progrès. Ceux qui l'embrasseront deviendront les architectes d'un nouveau monde. Le choix est vôtre."

Les prisonniers au premier rang virent avec horreur de nombreux sorciers s'agenouiller. D'abord quelques-uns, puis des dizaines, des centaines...

"L'ère du secret est révolue. L'ère de la peur est terminée. Bienvenue dans l'Empire Sorcier."

Sa voix résonna comme un glas, marquant la fin d'une époque et le début d'une autre. L'Empereur Blanc contempla son œuvre avec satisfaction, tandis que les derniers rayons du soleil couchant traversaient les vitraux, baignant la salle d'une lumière sanglante.

Le monde magique ne serait plus jamais le même.

1. Le Dernier des Dumbledore

Le discours d'Albus fut interrompu par un fracas assourdissant. Les portes de l'Atrium explosèrent dans une gerbe d'étincelles bleues. Une silhouette familière émergea de la fumée, sa longue barbe grise fouettant l'air chargé de magie.

"ALBUS!" La voix d'Abelforth résonna comme le tonnerre. "J'aurais dû le voir venir... J'aurais dû comprendre quand Ariana est morte!"

Albus se tourna lentement vers son frère, un sourire triste aux lèvres. "Ah, mon frère. Toujours à vivre dans le passé."

"Le passé?" rugit Abelforth. "Tu as tué Harry! Ron! Hermione! Des enfants, Albus! Comme tu as tué notre sœur!"

Les spectateurs s'écartèrent, formant un cercle autour des deux frères. Les spectres invoqués par la Pierre de Résurrection se massèrent autour d'Albus, tandis que derrière Abelforth apparaissaient des figures encapuchonnées - les derniers résistants qu'il avait pu rassembler.

"Tout ce que j'ai fait," répondit Albus calmement, "je l'ai fait pour le plus grand bien."

"LE PLUS GRAND BIEN?" La rage d'Abelforth fit trembler les murs. "C'était aussi pour le plus grand bien avec Grindelwald? Avec Ariana?"

D'un geste fluide, Abelforth lança le premier sort - un éclair de feu bleu si intense qu'il fit fondre le marbre du sol. Albus le dévia avec sa cape d'ombre, qui absorba les flammes comme un puits sans fond.

Le combat qui s'ensuivit fut d'une violence inouïe. Les deux frères Dumbledore, peut-être les plus puissants sorciers vivants, déchaînèrent des forces magiques que peu avaient jamais vues.

Abelforth transfigura les débris en une armée de guerriers de pierre, pendant que ses alliés engageaient les spectres et les partisans d'Albus. L'Atrium devint un champ de bataille chaotique.

"Tu as toujours été doué pour la transfiguration, petit frère," commenta Albus tout en animant sa cape d'ombre qui prit la forme d'un dragon de ténèbres. "Mais tu n'as jamais compris le vrai pouvoir."

"Le vrai pouvoir?" cracha Abelforth en conjurant un bouclier de lumière pure. "Le pouvoir t'a corrompu, Albus! Les Reliques t'ont rendu fou!"

Les sorts s'enchaînaient à une vitesse vertigineuse. La Baguette de Sureau traçait des arcs mortels dans l'air, pendant qu'Abelforth parait et ripostait avec une maîtrise née de décennies de préparation.

"Regarde ce que tu es devenu!" hurla Abelforth en esquivant une vague d'énergie noire. "Tu te prends pour un dieu!"

"Je suis devenu ce que je devais être," répondit Albus, ses yeux noirs brillant d'une lueur surnaturelle. "Ce que nous aurions pu être ensemble, si tu avais compris."

La Pierre de Résurrection brilla soudain d'un éclat malsain. Une forme spectrale apparut - celle d'Ariana.

"Non..." murmura Abelforth, son visage blêmissant.

"Grande sœur," sourit Albus, "montre à notre frère le prix de la résistance."

Mais quelque chose d'inattendu se produisit. Le spectre d'Ariana regarda Albus avec une tristesse infinie, puis se tourna vers Abelforth avec un sourire doux.

"Tu ne peux pas la contrôler," réalisa Abelforth, des larmes dans les yeux. "Même avec la Pierre, tu ne peux pas contrôler l'amour!"

Cette distraction fut suffisante. Les ombres d'Albus s'enroulèrent autour d'Abelforth comme des serpents. La Baguette de Sureau s'illumina.

"L'amour?" murmura Albus. "L'amour nous a rendus faibles, mon frère. Regarde où il nous a menés."

"Non, Albus," répondit Abelforth alors que les ombres le serraient plus fort. "L'amour était notre force. Tu l'as juste oublié."

D'un geste désespéré, Abelforth pointa sa baguette non pas vers son frère, mais vers la Pierre de Résurrection. "Pour Ariana!"

Le sort frappa la Pierre dans un éclair aveuglant. Pendant un instant, une fissure apparut sur sa surface - mais les Horcruxes étaient trop puissants. La fissure se referma presque instantanément.

"Un bel effort," dit Albus presque avec regret. "Mais futile."

Les ombres se resserrèrent. Un craquement sinistre résonna dans l'Atrium. Abelforth Dumbledore, le dernier rempart contre la folie de son frère, s'effondra.

"Tu aurais pu régner à mes côtés," murmura Albus en s'agenouillant près du corps de son frère.

Le spectre d'Ariana disparut, une dernière larme coulant sur sa joue spectrale. Les résistants qui avaient accompagné Abelforth furent rapidement maîtrisés par les partisans de l'Empire.

L'Empereur Blanc se redressa, plus terrible que jamais. "Que ceci serve d'exemple," déclara-t-il à l'assemblée terrifiée. "L'ancien monde meurt. Le nouveau ne tolérera pas la dissidence."

Mais dans ses yeux noirs, pour la première fois, brillait quelque chose qui ressemblait presque à du regret. Le dernier des Dumbledore était mort, emportant avec lui les derniers vestiges d'humanité de son frère.

1. La Grande Manipulation : Les Origines du Plan

1881-1899 : Les Fondations
Albus Dumbledore naît avec un don rare : une capacité presque innée à voir les schémas, à manipuler les événements. Très jeune, il comprend que le monde magique est paralysé par ses propres règles. La mort de sa sœur Ariana cristallise sa vision : le monde magique a besoin d'être guidé, contrôlé, pour son propre bien.

Sa relation avec Grindelwald n'est pas qu'une simple histoire d'amour et de pouvoir - c'est une expérience. Il observe comment les idéaux peuvent être corrompus, comment le pouvoir peut être légitimé par une noble cause. La rupture avec Grindelwald n'est pas un rejet de leurs idéaux, mais une réalisation : la révolution ne peut pas être brutale, elle doit être subtile.

1926 : Le Début du Grand Plan
Quand Dumbledore entend parler d'un orphelin nommé Tom Jedusor, il voit une opportunité. Il observe l'enfant avant même de le rencontrer, notant sa puissance brute, sa solitude, sa rage. Il comprend : voilà son pion parfait.

Sa première visite à l'orphelinat est calculée. Il effraie intentionnellement le jeune Tom en mettant le feu à son armoire, plantant les premières graines de ressentiment. Il lui parle des Serpentard, sachant que la maison nourrira ses tendances.

1938-1945 : La Formation de l'Arme
À Poudlard, Dumbledore manipule subtilement l'environnement de Tom. Il le laisse découvrir la Chambre des Secrets, fait semblant de le soupçonner pour l'incident de Mimi Geignarde. Chaque action renforce la paranoïa de Tom, son désir de pouvoir.

Il s'assure que Tom découvre des livres sur les Horcruxes, via Slughorn qu'il manipule également. Il sait que les Horcruxes affaibliront l'âme de Tom, le rendant plus prévisible, plus contrôlable.

1950-1960 : L'Ascension Orchestrée
Quand Tom postule pour le poste de professeur de Défense contre les Forces du Mal, Dumbledore le refuse, sachant que cela le poussera davantage vers les ténèbres. Il suit discrètement la transformation de Tom en Voldemort, s'assurant que certaines informations sur la magie noire lui parviennent "par hasard".

1970 : La Première Guerre des Sorciers
La montée en puissance de Voldemort sert parfaitement ses plans. Dumbledore crée l'Ordre du Phénix, non pas tant pour combattre Voldemort que pour contrôler la résistance. Chaque perte renforce sa réputation de leader de la lumière.

1980 : La Prophétie
La prophétie concernant Harry n'est pas un hasard. Dumbledore la fait délibérément prononcer en présence de Rogue, sachant que l'information parviendra à Voldemort. Il a besoin d'un "Élu", d'un symbole pour unifier le monde magique.

1981 : La Chute Planifiée
La mort des Potter est un coup de maître. Dumbledore s'assure que Harry survit, créant ainsi une figure messianique qu'il pourra modeler. Il place intentionnellement Harry chez les Dursley, sachant que les mauvais traitements le rendront plus malléable, plus désireux d'accepter le monde magique et son "sauveur".

1991-1997 : Le Grand Jeu
Chaque année à Poudlard est orchestrée :
- La Pierre Philosophale : Un test pour Harry, placée derrière des obstacles qu'un première année peut surmonter
- La Chambre des Secrets : Une occasion de tester la loyauté de Harry
- Le prisonnier d'Azkaban : La manipulation de Sirius et du Retourneur de Temps
- Le Tournoi des Trois Sorciers : L'occasion parfaite pour le retour de Voldemort
- L'Ordre du Phénix : La mort de Sirius, isolant davantage Harry
- Le Prince de Sang-Mêlé : La mise en place de sa "mort"

1997 : La Fausse Mort
La scène de la tour d'astronomie est son chef-d'œuvre. Avant même cette nuit-là, il a :
- Créé un double parfait de lui-même grâce à une ancienne magie
- Enchanté la Bague des Gaunt pour qu'elle semble le maudire
- Manipulé Rogue avec le Serment Inviolable
- Préparé une potion de Mort Vivante modifiée

Quand Rogue lance l'Avada Kedavra, le sort frappe le double pendant que le vrai Dumbledore, sous un sortilège de Désillusion amélioré, observe. La chute de la tour est amortie par un sortilège informulé, et son "corps" est en réalité une création complexe de transfiguration.

1997-1998 : L'Ombre
Pendant que le monde magique le croit mort, Dumbledore :
- Suit discrètement le trio dans leur quête des Horcruxes
- S'assure que l'épée de Gryffondor leur parvienne
- Manipule les événements via son portrait à Poudlard
- Commence à étudier les Reliques plus profondément
- Prépare les rituels nécessaires pour ses propres Horcruxes

Son plan est parfait : Voldemort affaiblit le Ministère, terrorise la population, élimine ses opposants potentiels. Et quand Harry, Ron et Hermione détruisent les Horcruxes et que Voldemort tombe enfin, le monde magique sera prêt pour son "sauveur" - non pas Harry Potter, mais Albus Dumbledore, revenu d'entre les morts pour instaurer un nouvel ordre.

Le plus grand tour de magie de Dumbledore n'était pas de vaincre un Mage Noir - c'était d'en créer un, de le contrôler pendant des décennies, et de l'utiliser pour restructurer entièrement le monde magique. Voldemort n'a jamais été qu'un pion dans le plus grand plan jamais conçu.

Alors ?

Y a pas de stickers, j'arrive pas à lire, chaudhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/32/5/1691764800-chokbar2bz.png

J'ai pas lu mais je up et soutient nonobstant

C'est pas mal, tu t'aides de l'IA ? Y a des répétitions et des formulations qui ressemblent pas mal à des textes écrits par ChatGPT
Dans tous les cas j'aime bien ce scénario

Le 01 novembre 2024 à 19:26:09 :
C'est pas mal, tu t'aides de l'IA ? Y a des répétitions et des formulations qui ressemblent pas mal à des textes écrits par ChatGPT
Dans tous les cas j'aime bien ce scénario

Des répétitions et des formulations qui me font penser au style de Rowling moi pour le coup.
J'aime bien en tout cas, je mets le topic dans mes favoris. Je me demande qui parviendra à renverser cet Empereur Blanc.

https://image.noelshack.com/fichiers/2023/52/7/1672594646-troanainted-nain-jaune-zoom.png

Ça se laisse bien lire
Par contre abelforth n'est pas censé être un grand sorcier il me semble. Enfin, tu dis qu'il s'est entraîné pendant des décennies alors pourquoi pas...

Cependant alors que tout semblait finit, une sorte de sniper d'élite abatta proprement à bout portant Albus qui n' eu biologiquement pas le temps de réaction pour esquiver.
Cette ascension soudaine n'était semblerait-il pas au goût de tout les puissants de ce monde

Le 01 novembre 2024 à 19:26:09 :
C'est pas mal, tu t'aides de l'IA ? Y a des répétitions et des formulations qui ressemblent pas mal à des textes écrits par ChatGPT
Dans tous les cas j'aime bien ce scénario

Oui, c’est juste une idée, pas une histoire complète, ça fait des années que je pense que Dumbledore est le véritable méchant

Le 01 novembre 2024 à 19:35:42 :
Ça se laisse bien lire
Par contre abelforth n'est pas censé être un grand sorcier il me semble. Enfin, tu dis qu'il s'est entraîné pendant des décennies alors pourquoi pas...

Si si, il est balese, dans le film par exemple il envoie des putain de patronus