Abbbegrosein
2024-10-28 06:56:08
je suis payé correctement, mon taf n est pas loin et le boulot n est pas chiant donc c est très bien, je préfère ça que perdre mon temps a rien faire et perdre de l'argent
AtaoyMystique99
2024-10-28 06:58:25
Le 28 octobre 2024 à 06:39:46 :
En soi c'est pas le fait d'aller se lever et travailler
mais de travailler en faisant des choses qui ne t'apporte aucun bonheur limite ça te fait chier + voir des gens que tu ne veux pas voir : limite être en interaction avec eux la majeur partie du temps
Profite bien des études not ready
Siennala
2024-10-28 07:02:30
Le 28 octobre 2024 à 06:44:17 :
Le 28 octobre 2024 à 06:41:06 FaimDeLougarou a écrit :
Le 28 octobre 2024 à 06:38:49 :
C'est le capitalisme
je tiendrai pas no fake
j'ai réussi à aller à l'école sans voir de boucle car je sais que j'avançais
mais le fait d'aller au travail en bouclant sans savoir si ça va évoluer c'est ça le gros problème + l'environnement si je suis à l'aise etc
Bah justement faut voir chaque taf comme l'école, un passage où faut lvl up, et quand tu vas voir ton salaire monter et le nombre de trucs que ça te permettra de financer en perso c'est ça qui me fait me lever perso je m'en bats les couilles de mon taf mais chaque année mon pouvoir d'achat augmente, je voyage de plus en plus, je finance plein de passions etc avec un objectif très long terme de prendre sa retraite avant l'âge légal c'est ça qui me fait kiffer perso
Change pas de pp
Odess
2024-10-28 07:06:22
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/44/1/1730095513-20241028-064253.jpg
Ce matin je marche vers la gare, mort à l'intérieur
Odess
2024-10-28 07:15:52
Le 28 octobre 2024 à 07:06:22 :
https://image.noelshack.com/fichiers/2024/44/1/1730095513-20241028-064253.jpg
L'heure du départ approche,
Ton regard m’inquiète et m’émeut,
Je ressens ton souffle et ta peine
Et l’aube se lève, en silence, sur nous.
L’air brumeux tremble et se teinte,
Un frisson me gagne, tout bas,
Une sonnerie nous appelle impérieuse,
Au pas des milliers de travailleurs.
Adieu, cher quartier,
Pense à nous ouvriers,
Adieu, doux regard,
Pardonne-nous, adieu, adieu…
Les années filent,
Les trains s’effacent dans la brume,
Emmenant avec eux les prolétaires.
Et dans le ciel gris,
Brille leur étoile d’acier.
Emmenant avec eux les prolétaires.
Et dans le ciel gris,
Brille leur étoile d’acier.