Je peux avoir le prix nobel avec ça ?
Kheur
2024-10-25 07:06:40
Ça fonctionne au niveau d'un bancs de cellules in vitro mais sur l'organisme le procédé est trop complexe et entraînerait des complications métabolique que l'on ne peut pas mesurer. Puis comptes cellules internalise ta pompe à proton et comment migré t'elle à la membrane des mito?
Komtuolo
2024-10-25 07:07:04
Le 25 octobre 2024 à 07:01:54 :
J'utilise une pompe à protons qui pompe dans le sens inverse dans les mitochondries, cette pompe est activée par la lumière et se situe dans la membrane interne des mitochondries. Donc on abaisse la force proton motrice. Et on booste ainsi la glycolyse et donc la recapture du glucose via GLUT4.
J'utilise la luciférase pour produire de la lumière et donc ouvrir la pompe qui nécessite de la lumière pour faire circuler les protons. Quand le taux d'ATP diminue la lumière s'arrête (car la luciférase a besoin d'ATP) et la thermogenèse est stoppée. Quand le taux d'ATP revient à la hausse la luciférase reproduit de la lumière à nouveau pour ouvrir la pompe à protons et accélérer la glycolyse en recrutant du glucose sanguin via GLUT4.
Intéressant. Mais sûrement infaisable en pratique.
Kheur
2024-10-25 07:07:15
Comment*
Gealni
2024-10-25 07:10:14
Le 25 octobre 2024 à 07:06:40 :
Ça fonctionne au niveau d'un bancs de cellules in vitro mais sur l'organisme le procédé est trop complexe et entraînerait des complications métabolique que l'on ne peut pas mesurer. Puis comptes cellules internalise ta pompe à proton et comment migré t'elle à la membrane des mito?
Je fabrique la protéine in-vitro avec l'étiquette "membrane interne de la mitochondrie". C'est ce que le corps fait naturellement pour gérer le traffic intracellulaire de protéines. Quand la protéine est produite durant la traduction dans le cytoplasme il y aura donc cette étiquette.
_vie_ou_mort
2024-10-25 07:13:46
Le 25 octobre 2024 à 07:10:14 :
Le 25 octobre 2024 à 07:06:40 :
Ça fonctionne au niveau d'un bancs de cellules in vitro mais sur l'organisme le procédé est trop complexe et entraînerait des complications métabolique que l'on ne peut pas mesurer. Puis comptes cellules internalise ta pompe à proton et comment migré t'elle à la membrane des mito?
Je fabrique la protéine in-vitro avec l'étiquette "membrane interne de la mitochondrie". C'est ce que le corps fait naturellement pour gérer le traffic intracellulaire de protéines. Quand la protéine est produite durant la traduction dans le cytoplasme il y aura donc cette étiquette.
Tu veux plutôt dire modifier l'ADN et pas intégrer une protéine in-vitro dans le corps ?
Kheur
2024-10-25 07:14:01
L'adressage des protéines aux membranes se fait naturellement après traduction oui en effet mais je ne savais pas que c'était également possible si elle est administré :o
fion8fiona
2024-10-25 07:16:46
Je peux pas dévoiler plus
C'est pas de la science si tu peux pas expliquer publiquement précisément comment ça marche.
Tu feras peut être de la thune avec l'industrie mais t'auras jamais un prix Nobel, ni aucun prix qui a de la valeur scientifiquement.
Gealni
2024-10-25 07:20:27
Le 25 octobre 2024 à 07:14:01 :
L'adressage des protéines aux membranes se fait naturellement après traduction oui en effet mais je ne savais pas que c'était également possible si elle est administré :o
Je mets un promoteur d'adiponectine pour faire exprimer ma protéine de la mitochondrie dans le tissu adipeux blanc. Ainsi la pompe à protons fonctionnera dans ce tissu et recrutera beaucoup de glucose sanguin car le tissu adipeux blanc est grand.
C'est de la thérapie génique et de l'optogénétique.
[JV]Dani
2024-10-25 07:21:09
Le 25 octobre 2024 à 07:01:54 :
J'utilise une pompe à protons qui pompe dans le sens inverse dans les mitochondries, cette pompe est activée par la lumière et se situe dans la membrane interne des mitochondries. Donc on abaisse la force proton motrice. Et on booste ainsi la glycolyse et donc la recapture du glucose via GLUT4.
J'utilise la luciférase pour produire de la lumière et donc ouvrir la pompe qui nécessite de la lumière pour faire circuler les protons. Quand le taux d'ATP diminue la lumière s'arrête (car la luciférase a besoin d'ATP) et la thermogenèse est stoppée. Quand le taux d'ATP revient à la hausse la luciférase reproduit de la lumière à nouveau pour ouvrir la pompe à protons et accélérer la glycolyse en recrutant du glucose sanguin via GLUT4.
Je suis le seul à avoir rien pigé ?
Le level me dépasse à ce stade
Gealni
2024-10-25 07:21:27
Le 25 octobre 2024 à 07:16:46 :
Je peux pas dévoiler plus
C'est pas de la science si tu peux pas expliquer publiquement précisément comment ça marche.
Tu feras peut être de la thune avec l'industrie mais t'auras jamais un prix Nobel, ni aucun prix qui a de la valeur scientifiquement.
Je viens d'expliquer en gros. ça prendrait des années sans garantie de succès.
Trotro-Linet
2024-10-25 07:24:54
Le 25 octobre 2024 à 07:21:09 :
Le 25 octobre 2024 à 07:01:54 :
J'utilise une pompe à protons qui pompe dans le sens inverse dans les mitochondries, cette pompe est activée par la lumière et se situe dans la membrane interne des mitochondries. Donc on abaisse la force proton motrice. Et on booste ainsi la glycolyse et donc la recapture du glucose via GLUT4.
J'utilise la luciférase pour produire de la lumière et donc ouvrir la pompe qui nécessite de la lumière pour faire circuler les protons. Quand le taux d'ATP diminue la lumière s'arrête (car la luciférase a besoin d'ATP) et la thermogenèse est stoppée. Quand le taux d'ATP revient à la hausse la luciférase reproduit de la lumière à nouveau pour ouvrir la pompe à protons et accélérer la glycolyse en recrutant du glucose sanguin via GLUT4.
Je suis le seul à avoir rien pigé ?
Le level me dépasse à ce stade
Oui tu es le seul
Gealni
2024-10-25 07:26:27
Le 25 octobre 2024 à 07:13:46 :
Le 25 octobre 2024 à 07:10:14 :
Le 25 octobre 2024 à 07:06:40 :
Ça fonctionne au niveau d'un bancs de cellules in vitro mais sur l'organisme le procédé est trop complexe et entraînerait des complications métabolique que l'on ne peut pas mesurer. Puis comptes cellules internalise ta pompe à proton et comment migré t'elle à la membrane des mito?
Je fabrique la protéine in-vitro avec l'étiquette "membrane interne de la mitochondrie". C'est ce que le corps fait naturellement pour gérer le traffic intracellulaire de protéines. Quand la protéine est produite durant la traduction dans le cytoplasme il y aura donc cette étiquette.
Tu veux plutôt dire modifier l'ADN et pas intégrer une protéine in-vitro dans le corps ?
Exact. J'ai dit une connerie. L'idée est la transduction in vivo des motifs ADN dont le promoteur est l'adiponectine via des virus AAV, ça c'est assez bien documenté.
Kheur
2024-10-25 07:32:43
Et c'est le directeur du labo qui reçoit tout les mérites