Est-il mal perçu de recourir à un vocabulaire riche ?

Ça sera mal vu oui, les gens associent ça à une personne arrogante ou pendante.

Mais tu t'en fiche, fais le ça montrera ton intellect supérieur selon comment tu le parle.https://image.noelshack.com/fichiers/2023/27/3/1688589828-ekrivinmonoclepipe.png

Mais que ce soit pertinent, pas pour brasser de l'oxygène et faire perdre du temps au gens pour dire une chose simple

weeeesssshhttps://image.noelshack.com/fichiers/2023/33/2/1692113209-imarkup-20230811-224731-removebg-preview.png

Le 24 octobre 2024 à 10:28:18 :

Le 24 octobre 2024 à 10:24:05 :
Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensables érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche qu'une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Le 24 octobre 2024 à 10:27:35 :
Complètement, ça démontre plus d'une tendance autistique qu'autre chose vu que ça nie complètement le langage adaptatif qu'utilise les pairs du même âge pour pouvoir trouver des partenaires sexuels à base de wallah quoicoubance

Suffit en général de lâcher le mental et parler comme un enfant pour s'adapter, devenir plus bêtes qu'eux en gros mais avec la candeur d'un enfant sinon c'est de la perversion et de la manipulation

Je me réserve le droit d'utiliser des mots compliqués IRL dans 2 situations, quand je suis bourré/défoncé comme ça mes potes moins intelligents peuvent se dire "ahlala diablotin613 qu'est c'qui parle tout le temps lui" (ie. on s'en branle de ta philosophie on veut faire la fête pour renier notre soi dans le groupe pas pour l'explorer ensemble)

Et sinon poésie/chanson pour mon besoin de complexité, la musique ayant l'avantage d'être un langage universel qui peut réunir l'idiot et l'homme uniquement rationnel dans une même soirée

Exactement, la vraie intelligence sociale c'est d'être capable de maitriser le langage au point de s'adapter à tous les milieux, qu'ils soient exigeants ou quoicoubesques sans faire l'erreur d'en faire trop dans un sens ou dans l'autre

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

PS : Je ne m'exprime jamais comme ceci, habituellement. Je parle tout de même relativement normalement.

This

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Complètement, ça démontre plus d'une tendance autistique qu'autre chose vu que ça nie complètement le langage adaptatif qu'utilise les pairs du même âge pour pouvoir trouver des partenaires sexuels à base de wallah quoicoubance

Suffit en général de lâcher le mental et parler comme un enfant pour s'adapter, devenir plus bêtes qu'eux en gros mais avec la candeur d'un enfant sinon c'est de la perversion et de la manipulation

Je me réserve le droit d'utiliser des mots compliqués IRL dans 2 situations, quand je suis bourré/défoncé comme ça mes potes moins intelligents peuvent se dire "ahlala diablotin613 qu'est c'qui parle tout le temps lui" (ie. on s'en branle de ta philosophie on veut faire la fête pour renier notre soi dans le groupe pas pour l'explorer ensemble)

Et sinon poésie/chanson pour mon besoin de complexité, la musique ayant l'avantage d'être un langage universel qui peut réunir l'idiot et l'homme uniquement rationnel dans une même soirée

Exactement, la vraie intelligence sociale c'est d'être capable de maitriser le langage au point de s'adapter à tous les milieux, qu'ils soient exigeants ou quoicoubesques sans faire l'erreur d'en faire trop dans un sens ou dans l'autre

Puis le next step c'est t'en a plus rien à foutre de comment t'es perçu par les gens que tu ne comprends pas non plus sans un effort important de ta part et tu rentres juste dans une logique de respect de l'intégrité mentale/physique de chacun notamment en ne me sentant pas obligé d'éclairer tout le monde de mes lumières alors qu'ils ont rien demandé ni me forcer à interagir avec eux si j'ai un besoin de complexité et non de sociabilité

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

PS : Je ne m'exprime jamais comme ceci, habituellement. Je parle tout de même relativement normalement.

Je ne puis qu'abonder en ton sens, tant il est indéniable que la maîtrise des arcanes de la rhétorique demande une dextérité toute particulière. Effectivement il faut savoir se mouvoir avec une finesse particulière dans le labyrinthe des interactions langagières, où chaque mot se doit d’être finement ciselé pour éviter la dissonance cognitive.

L’équilibre recherché est celui d’une harmonie lexicalement orchestrée, où l’élégance du discours se conjugue à une sobriété de bon aloi, sans sombrer dans une afféterie stérile ni dans une trivialité vulgaire.

C'est dans cette subtile alchimie que se révèle l'essence même de l'éloquence véritable, un juste milieu entre l’ostentation inutile et la fadeur des propos.

PS: Moi non plus mais ça fait du bien d'utiliser des termes plus singuliers de temps à autre

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensable érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Ayaaaaaa je suis médecin et au début dans les réunions de service je parlais un peu comme ça avec une tendance à en faire trop mais le chef de service m'a bien fait comprendre que c'était de la branlette et qu'il valait mieux que je parle comme je parlerais à mes potes en abrégeant

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

PS : Je ne m'exprime jamais comme ceci, habituellement. Je parle tout de même relativement normalement.

Je ne puis qu'abonder en ton sens, tant il est indéniable que la maîtrise des arcanes de la rhétorique demande une dextérité toute particulière. Effectivement il faut savoir se mouvoir avec une finesse particulière dans le labyrinthe des interactions langagières, où chaque mot se doit d’être finement ciselé pour éviter la dissonance cognitive.

L’équilibre recherché est celui d’une harmonie lexicalement orchestrée, où l’élégance du discours se conjugue à une sobriété de bon aloi, sans sombrer dans une afféterie stérile ni dans une trivialité vulgaire.

C'est dans cette subtile alchimie que se révèle l'essence même de l'éloquence véritable, un juste milieu entre l’ostentation inutile et la fadeur des propos.

PS: Moi non plus mais ça fait du bien d'utiliser des termes plus singuliers de temps à autre

On se défoule tous de notre verbiage grâce à l'op lol merci op

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensable érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Ayaaaaaa je suis médecin et au début dans les réunions de service je parlais un peu comme ça avec une tendance à en faire trop mais le chef de service m'a bien fait comprendre que c'était de la branlette et qu'il valait mieux que je parle comme je parlerais à mes potes en abrégeant

On peut abréger en restant précis et technique, mais ça demande des efforts

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensable érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Ayaaaaaa je suis médecin et au début dans les réunions de service je parlais un peu comme ça avec une tendance à en faire trop mais le chef de service m'a bien fait comprendre que c'était de la branlette et qu'il valait mieux que je parle comme je parlerais à mes potes en abrégeant

Je crois mais c'est mon avis que le monde est devenu tellement complexe en termes d'information à traiter que j'ai plus le temps pour l'inefficacité dans mes relations sociales perso

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Complètement, ça démontre plus d'une tendance autistique qu'autre chose vu que ça nie complètement le langage adaptatif qu'utilise les pairs du même âge pour pouvoir trouver des partenaires sexuels à base de wallah quoicoubance

Suffit en général de lâcher le mental et parler comme un enfant pour s'adapter, devenir plus bêtes qu'eux en gros mais avec la candeur d'un enfant sinon c'est de la perversion et de la manipulation

Je me réserve le droit d'utiliser des mots compliqués IRL dans 2 situations, quand je suis bourré/défoncé comme ça mes potes moins intelligents peuvent se dire "ahlala diablotin613 qu'est c'qui parle tout le temps lui" (ie. on s'en branle de ta philosophie on veut faire la fête pour renier notre soi dans le groupe pas pour l'explorer ensemble)

Et sinon poésie/chanson pour mon besoin de complexité, la musique ayant l'avantage d'être un langage universel qui peut réunir l'idiot et l'homme uniquement rationnel dans une même soirée

C'est regrettable de constater cette tendance au nivellement par le bas, qui touche toutes les tranches d'âge. Personnellement, je côtoie principalement des personnes plus âgées, et cette tendance existe également chez eux.

Dépends du contexte et du milieu, il faut également prendre en compte que l'on ne s'exprime pas de la même manière à l'oral et à l'écrit.

Bien s'exprimer ce n'est pas bien construire ses phrases avec un vocabulaire riche c'est être capable de se faire comprendre.

Oui sa montre que tu veux être au dessus des autres, le fait de bien parler a été inventer par les riches pour faire du mépris de classe

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Pour répondre adéquatement à son vis-à-vis, il convient de se conformer à la finesse de son discours, tout en veillant à éviter l'emploi de vocables inopportuns, qu'ils soient d'une exubérante érudition ou d'une platitude désolante.
La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensable érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Ayaaaaaa je suis médecin et au début dans les réunions de service je parlais un peu comme ça avec une tendance à en faire trop mais le chef de service m'a bien fait comprendre que c'était de la branlette et qu'il valait mieux que je parle comme je parlerais à mes potes en abrégeant

On peut abréger en restant précis et technique, mais ça demande des efforts

Ca ne l'intéressait pas il préférait que je dise le patient se remets à pisser après que je l'ai rempli puisqu'il avait l'air vide plutôt que suite à un remplissage vasculaire effectué sur la base d'indices de pré-charge dépendance, le patient à relancé sa diurèse

il m’est, je dois dire, bien difficile de converser avec des gueuxhttps://image.noelshack.com/fichiers/2018/24/3/1528921534-risitas-louis-xv-sticker-inverse-sans-fond.png

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La sagacité réside dans la capacité à moduler son verbiage avec une acuité extrême, afin de ne point heurter l'oreille de l'autre par un excès de prolixité ou, au contraire, par une indigence lexicale.

Je ne saurais que trop souscrire à cette réflexion. En effet, il est impératif de naviguer avec habileté dans le dédale des échanges verbaux, en veillant à ce que notre lexique soit à la fois approprié et engageant. La subtilité réside dans notre aptitude à moduler nos propos, à la fois en tenant compte du contexte et des attentes de notre interlocuteur, afin d’éviter les écueils d’une verbiage superflu ou d’une pauvreté lexicale qui pourrait nuire à la richesse du dialogue. Ainsi, l'art de la conversation exige un équilibre délicat entre clarté et sophistication.

À l'excès, les circonvolutions dispensable érodent la patience de l'auditoire qui n'a à la bouche une chose : ABRÈGE, BORDEL !

Ayaaaaaa je suis médecin et au début dans les réunions de service je parlais un peu comme ça avec une tendance à en faire trop mais le chef de service m'a bien fait comprendre que c'était de la branlette et qu'il valait mieux que je parle comme je parlerais à mes potes en abrégeant

On peut abréger en restant précis et technique, mais ça demande des efforts

This, quelqu'un qui est très précis c'est bien plus impressionnant et respectable que quelqu'un qui utilise juste des mots que personne utilise pour aucune raison apparente. Un mot c'est un outil pour exprimer quelque chose, et savoir utiliser le plus adapté au contexte et aux besoins c'est le plus important imo

Le 24 octobre 2024 à 10:19:29 :
Oui y a trois types de réactions
- certains s'en foutent
- certains pensent que tu les prends pour des cons
- certains remarqueront que tu utilise des mots ou des tournures de phrase inutilement longues et se diront que tu veux peter plus haut que ton cul

C'est comme tout faut s'adapter à son audience

d'autre prendront plaisir a entendre la richesse de la langue française
Parler de manière soutenue n'est pas pédant, c'est un hommage à la beauté

Penser mieux exige de parler mieux.
Comment véhiculer ou même avoir une idée lorsqu'on a pas les termes pour la concevoir ?

si ça transpire le pseudo intellectualisme, c'est pathétique, personne n'est dupe.

Nonobstant je mets maintenant plus de soin à la manière dont je m'exprime que dans mes jeunes années. J'y vois une certaine forme de respect vis à vis de mes interlocuteurs.